Bonsoir à tous,
Essai de synthèse, s'agissant des matelots ayant appartenu à la
Brigade des fusiliers marins.
1er Régiment de fusiliers marins.
— AMIOT Gustave Jean Pierre, né le 7 décembre 1894 à Nantes
(Loire-Atlantique) et y domicilié, mort le 23 décembre 1914, «
décédé à Furnes (Belgique) »,
Matelot de 3e classe, Matricule n° 17.121 – Nantes
(Acte transcrit à Nantes, le 9 août 1918). Restes déposés dans l’ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
«
Amiot (Gustave-Jean), matelot sans spécialité, Nantes 17.121 : mort glorieusement pour la France en faisant courageusement son devoir, le 23 décembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze. »
(p. 2.730).
— FAURE André Albert, né le 23 août 1890 à Paris
(... Arr.) et y domicilié
(XIVe Arr.), mort le 25 octobre 1914 à Dixmude, «
disparu sur le champ de bataille »,
Matelot de 3e classe fusilier auxiliaire, Matricule n° 27.381 – 1 [
Jug. Trib. Seine, 3 déc. 1920, transcrit à Paris (XIVe Arr.), le 18 janv. 1921]. Restes déposés dans l’ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
— LABARRE Pierre Marie, né le ... à ...
(...),mort le 18 novembre 1914 à ...,
Matelot de ... classe sans spécialité, Matricule n° 755 – Vannes
(Ne figure pas dans la base « Mémoire des hommes »).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
(p. 2.746).
— LE BOUDOUIL Joseph Marie, né le 10 mars 1890 à Cléguer
(Morbihan) et domicilié à Calan
(– d° –),
Matelot de 1re classe fusilier, «
disparu » le 22 octobre 1914 à Dixmude, Matricule n° 21.011 – 3 [
Jug. Trib. Lorient, 9 août 1920 (Non transcrit)]. Restes déposés dans l’ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
« Le Boudouil (Joseph-Marie), matelot fusilier, 21.011-3 : mort glorieusement pour la France en faisant courageusement son devoir, le 22 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze. » (p. 2.744).
— LE CHAPELAIN François Marie, né le 28 janvier 1894 à Betz
(Morbihan) et y domicilié, mort le 22 décembre 1914 «
à l’Hôpital civil de Furnes (Belgique), décédé des suites de blessures de guerre »,
Matelot de ... classe sans spécialité, Matricule n° 10.012 – Auray
(Acte transcrit à Belz, le 10 sept. 1918). Restes déposés dans l'ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
« Le Chapelain (François-Marie), matelot sans spécialité, Auray 10.012 : mort glorieusement pour la France en faisant courageusement son devoir, le 22 décembre 1914. A été cité. » (p. 2.747).
— LEHOURS Isidore Alexandre, né le 8 janvier 1894 à La Plaine-sur-Mer
(Loire-Atlantique) et domicilié à Préfailles
(– d° –), mort le 24 octobre 1914 à Dixmude
(Belgique), «
disparu au combat »,
Matelot de 3e classe, inscrit à Nantes, f° 669, n° 265
(n° 265 – Noirmoutier) (Acte transcrit à Préfailles, le 24 août 1920). Restes déposés dans l’ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
« Lehours (Isidore-Alexandre), matelot sans spécialité, Noirmoutier 265 : mort glorieuse-ment pour la France en faisant courageusement son devoir le 24 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze. » (p. 2.747).
— LÉZIN Joseph Eugène, né le 24 août 1889 à Saint-Nazaire
(Loire-Atlantique) et y domicilié, mort le 21 octobre 1914, «
à Furnes des suites de blessures de guerre »,
Matelot de 2e classe mécanicien, Matricule n° 3.551 – Saint-Nazaire
(Acte transcrit à Saint-Nazaire, le 9 août 1918). Restes déposés dans l’ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
« Lézin (Joseph-Eugène), matelot mécanicien, Saint-Nazaire 3.551 : mort glorieusement pour la France en faisant courageusement son devoir, le 21 octobre 1914. A été cité. » (p. 2.746).
— LODÉHO Louis Marie – ou
Louis Maurice –, né le 8 juin 1890 à Sarzeau
(Morbihan) et y domicilié, «
disparu » le 21 octobre 1914 à Dixmude,
Matelot de 1re classe sans spécialité, Matricule n° 21.583 – 3 (
Jug. Trib. Vannes, 8 sept. 1920, transcrit à ..., le ...). Restes déposés dans l’ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
« Lodého (Louis-Maurice), matelot sans spécialité, 21.583-3 : mort glorieusement pour la France en faisant courageusement son devoir le 21 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.» (p. 2.748).
2e Régiment de fusiliers marins.
— COCHE Mathurin Joseph, né le 18 août 1895 à Lorient
(Morbihan) et y domicilié, mort le 24 octobre 1914 à Dixmude
(Belgique), «
tué à l’ennemi »,
Matelot de 2e classe fusilier, Matricule n° 26.959 – 3
(Acte transcrit à Lorient, le 26 oct. 1915). Restes déposés dans l’ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
— DUMONT Alexis Louis, né le 11 mars 1894 à Paris
(VIIIe Arr.) et y domicilié
(XIIe Arr.), mort le 23 novembre 1914 «
à l’ambulance anglaise de Furnes (Belgique) »,
Apprenti-marin, Matricule n° 40.728 – 1 [
Acte transcrit à Paris (XIIe Arr.), le 10 sept. 1918]. Inhumé dans le carré militaire de Veurne
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
« Dumont (Alexis-Louis), matelot sans spécialité, 40.728-1 : mort glorieusement pour la
France en faisant courageusement son devoir le 23 novembre 1914. A été cité. » (p. 2.738).
— MÉTAYER Théodore, né le 24 juin 1887 à Groix
(Morbihan) et y domicilié, décédé le 10 novembre 1914 «
à l'Hôpital de Furnes (Belgique) des suites des blessures de guerre »,
Matelot de 2e classe fusilier breveté, Matricule n° 1.822 – Groix
(Acte transcrit à Groix, le 12 août 1918). Restes déposés dans l’ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922 (J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
« Métayer (Théodore), matelot fusilier, Groix 1.822 : mort glorieusement pour la France en
faisant courageusement son devoir, le 10 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze. » (p. 2.749).
— MONCANY Joseph Pierre, né le 11 novembre 1887 à Saint-Suliac
(Ille-et-Vilaine) et y domicilié, mort le 20 octobre 1914 à Furnes
(Belgique) « décédé à l’Hôpital civil des suites de blessures reçues à l’ennemi »,
Matelot de 3e classe fusilier, Matricule n° 4.345 – Saint-Malo
(Acte transcrit à Saint-Suliac, le 2 sept. 1918). Inhumé dans le carré militaire de Veurne
(Belgique), tombe n° 12.
— PANISSAUD Émile Jean, né le 20 février 1897 à Bordeaux
(Gironde) et domicilié à Aigré
(Charente), mort le 19 octobre 1914, «
disparu à Dixmude »,
Apprenti-marin, Matricule n° 26.102 – 3 [
Jug. Trib. Ruffec, 24 juin 1920 (Non transcrit)]. Restes déposés dans l'ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
« Panissaud (Émile-Jean), apprenti-marin 26.102-3, mort glorieusement pour la France en faisant courageusement son devoir, le 19 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile bronze. » (p. 2.752).
— SALAÜN Yves Ollivier, né le 1er juillet 1888 à Logonna-Daoulas
(Finistère) et y domicilié, mort le 3 novembre 1914 à Dixmude
(Belgique), « disparu au combat »,
Matelot de 3e classe fusilier auxiliaire, Matricule n° 12.969 – Brest [
Jug. Trib. Brest, 20 sept. 1920, transcrit à Logonna-Daoulas, le 8 oct. 1920]. Restes déposés dans l’ossuaire du carré militaire de Furnes
(Belgique).
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 1er mars 1922
(J.O., 9 mars 1922, p. 2.730), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :
« Salaün (Yves), matelot fusilier, Brest 12.969 : mort glorieusement pour la France en faisant courageusement son devoir, le 10 novembre 1914. A été cité. » (p. 2.754).
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Bien amicalement à vous,
Daniel.