Bonsoir à tous,
Le fait est tellement rare qu'il faut le signaler.
Un cyrard chez les artilleurs et comme commandant de batterie. Du rarement vu.....
http://www.culture.gouv.fr/Wave/savimag ... 10v002.htm
http://www.culture.gouv.fr/Wave/savimag ... 10v002.htm
Bien cordialement
Gérard
Un Saint Cyrien chez les artiflos
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Re: Un Saint Cyrien chez les artiflos
Bonjour,
Le passage dans l'Artillerie d'un officier d'Infanterie est assez courant dans les années 1908 à 1914 à une époque où les effectifs de l'infanterie n'augmentent pas beaucoup alors que ceux de l'artillerie connaissent un essor remarquable puisque les régiments d'artillerie de campagne augmentent de près de 50% avec la création des R.A.C de Corps d'Armée.
Il y a donc un formidable "appel d'air" pour l'avancement dans l'artillerie dès l'avant-guerre, ce qui attire un nombre important d'officiers venus d'autres armes.
Cordialement,
GuyFrançois.
Le passage dans l'Artillerie d'un officier d'Infanterie est assez courant dans les années 1908 à 1914 à une époque où les effectifs de l'infanterie n'augmentent pas beaucoup alors que ceux de l'artillerie connaissent un essor remarquable puisque les régiments d'artillerie de campagne augmentent de près de 50% avec la création des R.A.C de Corps d'Armée.
Il y a donc un formidable "appel d'air" pour l'avancement dans l'artillerie dès l'avant-guerre, ce qui attire un nombre important d'officiers venus d'autres armes.
Cordialement,
GuyFrançois.
Re: Un Saint Cyrien chez les artiflos
Bonsoir,
Un autre exemple assez connu de Saint-Cyrien passé dans l'artillerie, le Capitaine Philippe de Mazenod, lieutenant au 150ème R.I de Saint-Mihiel et qui passe dans l'artillerie au 44ème R.A.C.
De Mazenod est le lieutenant de Paul Lintier (l'auteur de "Ma Pièce" et de "Le Tube 1233") avant la guerre puis son capitaine quand Lintier revient au front en 1915 au sein du Groupe de Renforcement du 44ème R.A.C qui deviendra en 1917 partie intégrante du 231ème R.A.C.
Philippe de Mazenod a écrit lui aussi deux beaux livres "Dans les champs de Meuse" et "Les étapes du sacrifice".
Les lieutenants d'infanterie mutés à leur demande dans l'artillerie passaient par une école pratique de formation, celle de Saint-Mihiel a formé aux subtilités de l'artillerie de nombreux fantassins venus des Corps d'Armée de l'Est de la France au moment de la création des R.A.C de Corps d'Armée.
Cordialement,
Guy François.
Un autre exemple assez connu de Saint-Cyrien passé dans l'artillerie, le Capitaine Philippe de Mazenod, lieutenant au 150ème R.I de Saint-Mihiel et qui passe dans l'artillerie au 44ème R.A.C.
De Mazenod est le lieutenant de Paul Lintier (l'auteur de "Ma Pièce" et de "Le Tube 1233") avant la guerre puis son capitaine quand Lintier revient au front en 1915 au sein du Groupe de Renforcement du 44ème R.A.C qui deviendra en 1917 partie intégrante du 231ème R.A.C.
Philippe de Mazenod a écrit lui aussi deux beaux livres "Dans les champs de Meuse" et "Les étapes du sacrifice".
Les lieutenants d'infanterie mutés à leur demande dans l'artillerie passaient par une école pratique de formation, celle de Saint-Mihiel a formé aux subtilités de l'artillerie de nombreux fantassins venus des Corps d'Armée de l'Est de la France au moment de la création des R.A.C de Corps d'Armée.
Cordialement,
Guy François.
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Re: Un Saint Cyrien chez les artiflos
Bonjour Guy François,
Merci pour ces précisions. Il manque dans ma culture la lecture de ces deux livres de Paul LINTIER.
Dans cette fiche il n'est pas mentionné le passage dans cette école de Saint Mihiel. Nous trouvons dans l'artillerie (arme savante) principalement des X.
Encore merci
Bien cordialement
Gérard
Merci pour ces précisions. Il manque dans ma culture la lecture de ces deux livres de Paul LINTIER.
Dans cette fiche il n'est pas mentionné le passage dans cette école de Saint Mihiel. Nous trouvons dans l'artillerie (arme savante) principalement des X.
Encore merci
Bien cordialement
Gérard
Re: Un Saint Cyrien chez les artiflos
Bonjour,
Le passage dans l'artillerie des officiers d'infanterie s'effectuait après une formation spécialisée.
Il existe depuis les années postérieures à 1870 dans chaque Corps d'Armée une "école d'artillerie" qui en fait est plus un centre d'instruction spécialisée.
Lors de l'arrivée abondante de lieutenants d'infanterie dans l'artillerie (années 1908 à 1910 essentiellement), ces officiers appartiennent d'abord à des batteries spécialisées dans l'instruction et le perfectionnement.Ainsi, le 40ème R.A.C de Saint-Mihiel forme beaucoup d'officiers venus de l'infanterie, en 1909, ce régiment comptera jusqu'à 20 batteries d'où sortiront beaucoup de nouveaux lieutenants d'artillerie provenant de l'infanterie (ces officiers gardent leur ancienneté de grade).
Les R.A.C numérotés de 40 à 60 sont formés officiellement en 1910, leur organisation a commencé en 1909, ainsi le lieutenant de Mazenod passera du 40ème R.A.C de Saint-Mihiel, où il a été formé dans l'artillerie, au 44ème R.A.C du Mans, nouvellement créé.Les R.A.C sont donc passés du chiffre de 40 régiments existants à celui de 60 en un temps très court, un effort d'organisation rarement développé dans les études sur l'Armée française d'avant 1914.Cette organisation nouvelle n'est pas seulement administrative, elle comporte surtout une évolution dans l'emploi de l'artillerie.
Si Polytechnique a fourni la majorité des officiers d'artillerie au 19ème siècle, l'examen des "origines" en 1914 montre que, chez les officiers subalternes, plus de 50% d'entre-eux proviennent des sous-officiers d'artillerie (formés à l'Ecole Militaire de l'Artillerie de Fontainebleau) ou des recrutements complémentaires (comme ces officiers d'infanterie passés dans l'artillerie).
Bien entendu, tout change, dès le niveau des capitaines, commandants de batterie et surtout au niveau des officiers supérieurs où les "X" sont en majorité écrasante.Chez les généraux issus de l'artillerie, je ne sais pas s'il y a même un exemple d'officier général "non X" en 1914.
Je suis sûr que Gérard a la réponse à cette question!
Cordialement,
Guy François.
Le passage dans l'artillerie des officiers d'infanterie s'effectuait après une formation spécialisée.
Il existe depuis les années postérieures à 1870 dans chaque Corps d'Armée une "école d'artillerie" qui en fait est plus un centre d'instruction spécialisée.
Lors de l'arrivée abondante de lieutenants d'infanterie dans l'artillerie (années 1908 à 1910 essentiellement), ces officiers appartiennent d'abord à des batteries spécialisées dans l'instruction et le perfectionnement.Ainsi, le 40ème R.A.C de Saint-Mihiel forme beaucoup d'officiers venus de l'infanterie, en 1909, ce régiment comptera jusqu'à 20 batteries d'où sortiront beaucoup de nouveaux lieutenants d'artillerie provenant de l'infanterie (ces officiers gardent leur ancienneté de grade).
Les R.A.C numérotés de 40 à 60 sont formés officiellement en 1910, leur organisation a commencé en 1909, ainsi le lieutenant de Mazenod passera du 40ème R.A.C de Saint-Mihiel, où il a été formé dans l'artillerie, au 44ème R.A.C du Mans, nouvellement créé.Les R.A.C sont donc passés du chiffre de 40 régiments existants à celui de 60 en un temps très court, un effort d'organisation rarement développé dans les études sur l'Armée française d'avant 1914.Cette organisation nouvelle n'est pas seulement administrative, elle comporte surtout une évolution dans l'emploi de l'artillerie.
Si Polytechnique a fourni la majorité des officiers d'artillerie au 19ème siècle, l'examen des "origines" en 1914 montre que, chez les officiers subalternes, plus de 50% d'entre-eux proviennent des sous-officiers d'artillerie (formés à l'Ecole Militaire de l'Artillerie de Fontainebleau) ou des recrutements complémentaires (comme ces officiers d'infanterie passés dans l'artillerie).
Bien entendu, tout change, dès le niveau des capitaines, commandants de batterie et surtout au niveau des officiers supérieurs où les "X" sont en majorité écrasante.Chez les généraux issus de l'artillerie, je ne sais pas s'il y a même un exemple d'officier général "non X" en 1914.
Je suis sûr que Gérard a la réponse à cette question!
Cordialement,
Guy François.
- martinez renaud
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Re: Un Saint Cyrien chez les artiflos
Bonjour à tous,
Si la majeure partie des officiers d'artillerie étaient issus de X (ceux du génie également), de nombreux autres venaient de Sy Cyr.
En effet, l'Ecole Spéciale Militaire ne formait pas que des fantassins, mais les officiers TTA (de toutes armes)
Il n'est donc pas étonnant dans trouver dans l'artillerie
Amicalement
Renaud
Si la majeure partie des officiers d'artillerie étaient issus de X (ceux du génie également), de nombreux autres venaient de Sy Cyr.
En effet, l'Ecole Spéciale Militaire ne formait pas que des fantassins, mais les officiers TTA (de toutes armes)
Il n'est donc pas étonnant dans trouver dans l'artillerie
Amicalement
Renaud
Gloire aux 53ème et 253ème RI
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Re: Un Saint Cyrien chez les artiflos
Bonjour Renaud
Bonjour à tous,
J'ai épluché un certain nombre de fiches d'officiers supérieurs MPLF et c'est le premier que je trouvais d'où ma réflexion.
Si j'en rencontre d'autres, je vous le signalerai.
Merci pour vos informations
Bien cordialement
Gérard
Bonjour à tous,
J'ai épluché un certain nombre de fiches d'officiers supérieurs MPLF et c'est le premier que je trouvais d'où ma réflexion.
Si j'en rencontre d'autres, je vous le signalerai.
Merci pour vos informations
Bien cordialement
Gérard
Re: Un Saint Cyrien chez les artiflos
Bonjour,
Concernant les officiers d'artillerie avant 1914, je ne peux pas suivre Renaud sur l'existence avant 1914 "de nombreux autres venant de Saint-Cyr".
La provenance habituelle des officiers d'artillerie ne comprend alors que deux "origines":
-les élèves de Polytechnique admis à l'Ecole de Fontainebleau après deux ans passées à Polytechnique puis après 1903 après un passage obligatoire "dans le rang" d'un an en régiment d'artillerie.
-les élèves officiers d'active issus des sous-officiers d'artillerie admis à l'Ecole Militaire de l'Artillerie et du Génie de Versailles, transférée en 1912 à Fontainebleau.
A cette époque, la vocation inter armes de l'Ecole de Saint-Cyr ne s'étend ni à l'Artillerie ni au Génie.
C'est à titre exceptionnel que des lieutenants d'Infanterie issus de Saint-Cyr ou de Saint-Maixent sont autorisés à passer dans l'artillerie en 1909 et 1910 essentiellement pour faire face aux besoins très importants d'encadrement des nouveaux régiments créés (40ème à 60ème R.A.C et ultérieurement 61ème et 62ème R.A.C).De même, en 1913, c'est à titre exceptionnel que des élèves de l'Ecole Centrale seront admis comme officiers d'active à l'Ecole de Fontainebleau.
Tout changera pendant la guerre avec la formation de 20525 officiers d'artillerie alors que seulement 6525 avaient été formés de 1872 à 1914!
Un certain nombre d'officiers d'active blessés (dont beaucoup issus de Saint-Cyr) passe dans l'Artillerie Lourde et l'Artillerie Lourde à Grande Puissance pendant la guerre et d'autres encore dans l'Artillerie de Tranchée et l'Artillerie Spéciale.
Après 1919, après l'activation de nombreux officiers de réserve issus des formations intensives du temps de guerre, on reviendra au recrutement "traditionnel" de l'artillerie: Polytechnique et anciens sous-officiers d'artillerie.
En 1923-24, des élèves de Saint-Cyr seront de nouveau autorisés à titre exceptionnel à intégrer l'Artillerie car le recrutement des Polytechniciens a baissé notablement.Ensuite, on assiste à un retour aux "errements habituels".
Il faudra attendre les années de la seconde guerre mondiale (Ecole de Cherchell) pour revoir des exceptions et c'est en 1946 seulement que le recrutement provenant de Saint-Cyr, école devenue véritablement et définitivement "inter armes", permettra l'intégration annuelle d'officiers à l'Ecole d'Artillerie désormais implantée à Idar Oberstein (Rhénanie).
Cette situation ancienne explique mieux les "querelles de boutons" fréquentes chez les "Grand Chefs" de l'époque et le manque de liaison entre fantassins et artilleurs malgré toutes les études théoriques prônant la "liaison"!
La rareté des situations décrites par Gérard est donc tout à fait logique, je pense qu'il doit être rare de trouver des Saint-Cyriens artilleurs dans la période d'avant guerre en dehors du recrutement exceptionnel de 1908-1910, même si des exceptions doivent pouvoir se trouver, notamment pour le "Service" de l'Artillerie, subdivision de l'artillerie traitant des usines, arsenaux, poudreries, parcs et établissements divers de l'Arme de l'Artillerie.
Une référence bibliographique incontournable: Général Aublet "Artilleurs, mes chers frères-La grande et la petite histoire des Ecoles de l'Artillerie"-EFM-1991.
Cordialement,
Guy François.
Concernant les officiers d'artillerie avant 1914, je ne peux pas suivre Renaud sur l'existence avant 1914 "de nombreux autres venant de Saint-Cyr".
La provenance habituelle des officiers d'artillerie ne comprend alors que deux "origines":
-les élèves de Polytechnique admis à l'Ecole de Fontainebleau après deux ans passées à Polytechnique puis après 1903 après un passage obligatoire "dans le rang" d'un an en régiment d'artillerie.
-les élèves officiers d'active issus des sous-officiers d'artillerie admis à l'Ecole Militaire de l'Artillerie et du Génie de Versailles, transférée en 1912 à Fontainebleau.
A cette époque, la vocation inter armes de l'Ecole de Saint-Cyr ne s'étend ni à l'Artillerie ni au Génie.
C'est à titre exceptionnel que des lieutenants d'Infanterie issus de Saint-Cyr ou de Saint-Maixent sont autorisés à passer dans l'artillerie en 1909 et 1910 essentiellement pour faire face aux besoins très importants d'encadrement des nouveaux régiments créés (40ème à 60ème R.A.C et ultérieurement 61ème et 62ème R.A.C).De même, en 1913, c'est à titre exceptionnel que des élèves de l'Ecole Centrale seront admis comme officiers d'active à l'Ecole de Fontainebleau.
Tout changera pendant la guerre avec la formation de 20525 officiers d'artillerie alors que seulement 6525 avaient été formés de 1872 à 1914!
Un certain nombre d'officiers d'active blessés (dont beaucoup issus de Saint-Cyr) passe dans l'Artillerie Lourde et l'Artillerie Lourde à Grande Puissance pendant la guerre et d'autres encore dans l'Artillerie de Tranchée et l'Artillerie Spéciale.
Après 1919, après l'activation de nombreux officiers de réserve issus des formations intensives du temps de guerre, on reviendra au recrutement "traditionnel" de l'artillerie: Polytechnique et anciens sous-officiers d'artillerie.
En 1923-24, des élèves de Saint-Cyr seront de nouveau autorisés à titre exceptionnel à intégrer l'Artillerie car le recrutement des Polytechniciens a baissé notablement.Ensuite, on assiste à un retour aux "errements habituels".
Il faudra attendre les années de la seconde guerre mondiale (Ecole de Cherchell) pour revoir des exceptions et c'est en 1946 seulement que le recrutement provenant de Saint-Cyr, école devenue véritablement et définitivement "inter armes", permettra l'intégration annuelle d'officiers à l'Ecole d'Artillerie désormais implantée à Idar Oberstein (Rhénanie).
Cette situation ancienne explique mieux les "querelles de boutons" fréquentes chez les "Grand Chefs" de l'époque et le manque de liaison entre fantassins et artilleurs malgré toutes les études théoriques prônant la "liaison"!
La rareté des situations décrites par Gérard est donc tout à fait logique, je pense qu'il doit être rare de trouver des Saint-Cyriens artilleurs dans la période d'avant guerre en dehors du recrutement exceptionnel de 1908-1910, même si des exceptions doivent pouvoir se trouver, notamment pour le "Service" de l'Artillerie, subdivision de l'artillerie traitant des usines, arsenaux, poudreries, parcs et établissements divers de l'Arme de l'Artillerie.
Une référence bibliographique incontournable: Général Aublet "Artilleurs, mes chers frères-La grande et la petite histoire des Ecoles de l'Artillerie"-EFM-1991.
Cordialement,
Guy François.
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Re: Un Saint Cyrien chez les artiflos
Rebonjour,
Je confirme donc bien les propos de Guy François.
Jusqu'à présent je n'ai trouvé que le cas du chef d'escadron MPLF COMOY (Saint Cyrien)
OK j'ai ma réponse et je ne voudrai pas déclarer la troisième guerre mondiale......
Bien cordialement à vous deux et merci
Gérard
Je confirme donc bien les propos de Guy François.
Jusqu'à présent je n'ai trouvé que le cas du chef d'escadron MPLF COMOY (Saint Cyrien)
OK j'ai ma réponse et je ne voudrai pas déclarer la troisième guerre mondiale......
Bien cordialement à vous deux et merci
Gérard
- martinez renaud
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- Inscription : lun. mai 16, 2005 2:00 am
Re: Un Saint Cyrien chez les artiflos
Rerebonjour,
Là, je baisse mon chapeau devant tant de savoir sur les artilleurs. L'intervention de Guy François est sans appel. J'étais pourtant persuadé que les officiers étaient formés à l'ESM.
Skiouzmi Gérard de t'avoir mené par des chemins trompeurs.
Cela me porte à poser une question : à partir de quelle date les officiers passent-ils tous à St Cyr, ou presque, comme c'est le cas aujourd'hui ?
Merci d'avance pour vos réponses
Amicalement
Renaud
Là, je baisse mon chapeau devant tant de savoir sur les artilleurs. L'intervention de Guy François est sans appel. J'étais pourtant persuadé que les officiers étaient formés à l'ESM.
Skiouzmi Gérard de t'avoir mené par des chemins trompeurs.
Cela me porte à poser une question : à partir de quelle date les officiers passent-ils tous à St Cyr, ou presque, comme c'est le cas aujourd'hui ?
Merci d'avance pour vos réponses
Amicalement
Renaud
Gloire aux 53ème et 253ème RI