Avis. Les croix de guerre.

[Achache]

Bonsoir,,
et merci Daniel pour la transmission de ces lignes.

Bien à vous,

[:achache:1]

[amalric]

bonsoir Daniel,

Merci pour ce partage intéressant de l'histoire du 44e RIC.

bien amicalement Alain

[Rutilius]

Bonsoir Bernard,
Bonsoir à tous,

Transcription de ce qui se rapporte au 29e Régiment d’infanterie dans l'ouvrage de R. CHRISTIAN-FROGÉ : « Les croix de guerre » [Paris, Librairie de France, 110, boulevard Saint-Germain (VIe Arr.), 1936, 261 p.].


● CHAPITRE II ― Vers la première victoire (p. 3) :

« [...] Le 8e Corps, bousculant les unités bavaroises, a franchi la frontière avec enthousiasme. Dès le 14 août [1914], il a mené une lutte intrépide qui lui a livré Domèvre et Blamont. [...] Et le bataillon du commandant de Bellenet, au 29e R.I., se précipite à la baïonnette sur les tranchées bavaroises que leurs occupants évacuent en hâte. Ici, le soldat Madenon ne veut pas rester derrière ses camarades ; atteint d’une balle à la cuisse, il prend son couteau, extirpe le projectile et court rejoindre la ligne de feu. [...]

20 août : la tragédie commence. [...] Le soldat Chêne, au 29e R.I., voyant son capitaine étendu, grièvement atteint, le charge sur son dos, et, narguant la fusillade, va parcourir deux kilomètres jusqu’à l’ambulance, puis reviendra prendre son poste au combat. [...] » (passim, p. 7 et 9)

● CHAPITRE XIV ― En remuant les cendres... (p. 235) :

« Comme ils accourent, les souvenirs ! Des phrases me reviennent en mémoire, dont la justesse m’avait frappé à l’heure où je les lisais, en janvier 1916 : " Le meilleur chef ici est celui qui dort moins que celui de ses hommes dormant le moins, qui est plus mal vêtu que celui qui a le plus froid, plus mal nourri que celui qui a le plus faim. Il doit pouvoir répondre à celui qui se plaint de sa souffrance : Et Moi ? "
L’auteur de ces lignes, Lucien Lobbé (1), était à la déclaration de guerre instituteur adjoint à l’école communale de Suresnes. Il avait rejoint à Autun le dépôt du 29e R.I. et, après un stage rapide au cours des élèves officiers de Bourges, il avait retrouvé ses camarades du front en qualité de sergent chef de section. Les fatigues d’un pénible hiver et d’un secteur sans cesse en alerte avaient sérieusement altéré sa santé. Le 21 avril 1915, ses chefs lui conseillaient de descendre à l’ambulance. Lobbé refusa, car il savait qu’une attaque se déclencherait le soir même. Vers 19 heures, il enlevait, à la tête de sa troupe, la tranchée adverse. Il se préparait à bondir vers la seconde ligne quand un éclat d’obus l’atteignit au visage : il retomba foudroyé. Le chef de la section voisine, témoin de sa vaillance, écrivit aux siens : " Votre fils fut atteint au moment où, calme et résolu, il plaçait ses hommes qui allaient le suivre avec confiance ; pour mieux voir le but, il relevait crânement la tête, à la française."
Je sais des centaines et des centaines d’instituteurs qui ― tel Lucien Lobbé ― accomplirent dignement leur devoir ; j’en sais des centaines qui moururent en héros. [...] » (p. 242)
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(1) ― LOBBÉ Lucien Ernest Léon, né le 24 juilet 1894 à Jouet-sur-l’Aubois (Cher), mort le 22 avril 1915 « au Bois d’Ailly (Meuse) », Sergent, Matricule n° 6.154, classe 1914, n° 882 au recrutement de Cosne-sur-Loire [Acte transcrit à Marseilles-les-Aubigny (Cher), le 24 déc. 1915].

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Sauf éventuelles erreurs ou omissions :

● 329e Régiment d’infanterie : Non évoqué dans l’ouvrage.

● 420e Régiment d’infanterie : Non évoqué dans l’ouvrage.
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Bien amicalement à vous,
Daniel.

[chalou]

Bonsoir à tous, bonsoir Daniel,

Merci pour la recherche sur les 11e et 15e RI.
Pas de nom commun à ma liste mais celle ci est encore incomplète. Seulement une centaine de soldats identifiés sur le MAM sur 280.
Je garde la liste sous le coude.

bien cordialement.
Chantal

[Rutilius]

Bonjour Claude,
Bonjour à tous,

Seuls porteurs du patronyme « Leroux » mentionnés dans l’ouvrage :

― Soldat LEROUX – 162e Régiment d’infanterie (p. 37) ;

― Lieutenant LEROUX – 2e Régiment de tirailleurs (p. 195) ;

― Ernest LEROUX – 275e Régiment d’infanterie (p. 236) ;

― Marius LEROUX, instituteur – 411e Régiment d’infanterie (p. 236) ;

― Victor Félix LEROUX – 317e Régiment d’infanterie (p. 236) – blessé à Vauquois en 1915 et tombé le 2 juin 1916 à Massiges (Marne).
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Bien amicalement à vous,
Daniel.

[bernard larquetou]

Bonjour à tous,
Bonjour Daniel,

Merci pour ces passages relatifs au 29° RI et à ses hommes.

Bien amicalement

Bernard.

[Pascal Petit]

Bonjour Daniel, bonjour à tous,

Auriez-vous SVP des passages en rapport avec le 417e RI dans cet ouvrage?

Merci d'avance

Bien cordialement

Pascal

[yankee90]

Bonjour à tous

Si vous avez sur le 35 RI de BELFORT ?

BOUDOT Adonis
C'est mon AGP

En vous remerciant d'avance
Cordialement.dominique

[Rutilius]

Bonsoir Yankee 90, Bonsoir Pascal,
Bonsoir à tous,

● 35e Régiment d’infanterie:

Noms très brièvement évoqués dans l’ouvrage.

― Chef de bataillon LEYRAUD (p. 5) ;

― Capitaine LELORRAIN (p. 5) ;

― Colonel ROLAND.

[16 avril 1917] « Les braves du 35e R.I., sous les ordres du colonel Roland, font plus de 400 prisonniers et emportent toutes les mitrailleuses qu’ils rencontrent. » (p. 102)

● 417e Régiment d’infanterie :

Sauf erreur ou omission, non évoqué dans l’ouvrage.

Bien amicalement à vous,
Daniel.

[Pascal Petit]

Bonjour Daniel, bonjour à tous,

Merci pour vos recherches sur le 417e.

Bien amicalement

Pascal