Carrignon Louis Charles Cba chef 3ème Bat tué à l'ennemi lors d’une attaque de nuit le 08.10.1914 à Hulluch
Bénifontaine (62) né le 05.09.1873 à Tours (37) citation OA, promotion St Cyr « Siam », marié,
inhumé carré militaire à Bully les Mines (62) tombe 75
Challie Maurice Arsène Cba mort de blessures le 12.10.1915 à l’ambulance 1/70 hameau des 4 vents commune
d'Estrée Cauchy (62) né le 31.07.1870 à Bordeaux (33)
Janin Pierre Charles Marie Cdt en retraite rappelé sur sa demande pour la durée de la guerre dans les cadres de
l’armée territoriale mort d’infection urinaire le 11.05.1918 à l’hopital 225 à Paris 6 né le 28.05.1852 à
Anthelupt (54) Légion d’Honneur, marié, inhumé carré militaire à Paris 15
recherchez vous aussi les medecins ayant rang d officiers superieur
cordialement
pascal
Merci de votre réponse au sujet des abréviations et la rectification pour le colonel Walwein Taylor.
J'ai retrouvé dans votre tableau les 4 chefs de bataillons MPLF du 19e RI:
Joseph De Laage De Meux (le lieu de décès est Maissin en Belgique)
Édouard Eugène Marie L'Helgoualch SM promo du Haut Nil.
Calixte Louis Lucien Roussel SC promo Madagascar.
Ernest Paul Wolf SM promo Tananarive.
mesimages/2229/carrignon louis.jpg
Carrignon Louis Charles Cba chef 3ème Bat tué à l'ennemi lors d’une attaque de nuit le 08.10.1914 à Hulluch
Bénifontaine (62) né le 05.09.1873 à Tours (37) citation OA, promotion St Cyr « Siam », marié,
inhumé carré militaire à Bully les Mines (62) tombe 75
mesimages/2229/challie.jpg
Challie Maurice Arsène Cba mort de blessures le 12.10.1915 à l’ambulance 1/70 hameau des 4 vents commune
d'Estrée Cauchy (62) né le 31.07.1870 à Bordeaux (33)
Janin Pierre Charles Marie Cdt en retraite rappelé sur sa demande pour la durée de la guerre dans les cadres de
l’armée territoriale mort d’infection urinaire le 11.05.1918 à l’hopital 225 à Paris 6 né le 28.05.1852 à
Anthelupt (54) Légion d’Honneur, marié, inhumé carré militaire à Paris 15
Merci Pasacal. Il manquait les trois.
Bonne soirée
Bien cordialement
Gérard
recherchez vous aussi les medecins ayant rang d officiers superieur
cordialement
pascal
Pascal,
Houps! un petit cafouillage dans le message
Je n'ai pas pris en compte les médecins pour l'instant mais vous me donnez des idées....OK je suis preneur.
Gérard
Vincent Ferdinand Alfred Antoine Médecin Major de 1ère Classe chef de service mort de plaie pénétrante du
crane le 06.04.1916 à l'ambulance 4/54 de Landrecourt (55) né le 17.05.1875 à Romans (26) Légion
d’Honneur, inhumé NN Landrecourt Lempire (55)
je serai l un des acheteur de votre livre a sa parution
cordialement
pascal
Quelques éléments concernant les officiers ci-dessous que mes recherches sur les stagiaires de l'Ecole supérieure de guerre m'ont permis de rencontrer :
VIARD, Marie-Louis-Jules-Frédéric, infanterie.
Né le 14 février 1864 à Blois (Loir-et-Cher).
Commandant de bataillon au 307e régiment d’infanterie, il est tué à l’ennemi le 26 août 1914 à Moislains (Somme).
SIMON, Paul, artillerie.
Né le 14 novembre 1863 à Champagney (Haute-Saône).
Adjoint au colonel commandant de l’artillerie de la 66e division, le lieutenant-colonel Simon est tué à l’ennemi le 26 mars 1915 à Thann (Alsace).
MALEVERGNE DE FRESSINIAT, Félix-Marie-Frédéric, artillerie.
Né le 30 mars 1856 à Saint-Priest-Taurion (Vienne).
Mobilisé en 1914 au 34e régiment d’artillerie, le chef d’escadron Malevergne de Fressiniat est tué à l’ennemi le 28 août 1914 à Moislains-Rocquigny (Somme).
HÉRY, Louis, infanterie.
Né le 9 janvier 1853 à Ancenis (Loire-Inférieure).
Admis à la retraite en 1906, il est mobilisé le 2 août 1914 au 84e régiment d’infanterie territoriale.
Le chef de bataillon Héry est tué à l’ennemi le 29 septembre 1914, à Beaucourt (Pas-de-Calais). Il est cité ainsi à titre posthume : « S’est mis, le 29 septembre 1914, à la tête des ses troupes pour prendre d’assaut un pont occupé par l’ennemi, en disant : « Il n’y a pas de prussiens qui tiennent, il faut passer ». A été tué dans cet acte d’héroïsme. »
Concernant MONTONGON, il s'agirait plutôt de DE MONTANGON, Marie-Henri-Louis, cavalerie.
Né le 2 février 1846 à Ormoy-sur-Aube (Haute-Marne).
En aout 1914, il est mis à la tête de la 105e brigade de réserve, poste qu'il occupe jusqu'au 19 septembre 1914.
Le général de Montangon est décédé d’une maladie contractée en service le 29 septembre 1919.
Concernant COUDIN, il s'agirait plutôt de COUDEIN, Jean-Daniel-Paul, infanterie.
Né le 11 mars 1860 à Rochefort (Charente-Inférieure).
Colonel en 1915, il reçoit le commandement du 31e régiment d’infanterie. C’est à la tête de ce régiment qu’il est blessé par une balle au cou le 17 février 1915 à Vauquois.
Le colonel Coudein est décédé des suites de cette blessure le 4 mars 1915 à l’hôpital complémentaire de Bar-le-Duc (Meuse).
Quelques éléments concernant les officiers ci-dessous que mes recherches sur les stagiaires de l'Ecole supérieure de guerre m'ont permis de rencontrer :
VIARD, Marie-Louis-Jules-Frédéric, infanterie.
Né le 14 février 1864 à Blois (Loir-et-Cher).
Commandant de bataillon au 307e régiment d’infanterie, il est tué à l’ennemi le 26 août 1914 à Moislains (Somme).
SIMON, Paul, artillerie.
Né le 14 novembre 1863 à Champagney (Haute-Saône).
Adjoint au colonel commandant de l’artillerie de la 66e division, le lieutenant-colonel Simon est tué à l’ennemi le 26 mars 1915 à Thann (Alsace).
MALEVERGNE DE FRESSINIAT, Félix-Marie-Frédéric, artillerie.
Né le 30 mars 1856 à Saint-Priest-Taurion (Vienne).
Mobilisé en 1914 au 34e régiment d’artillerie, le chef d’escadron Malevergne de Fressiniat est tué à l’ennemi le 28 août 1914 à Moislains-Rocquigny (Somme).
HÉRY, Louis, infanterie.
Né le 9 janvier 1853 à Ancenis (Loire-Inférieure).
Admis à la retraite en 1906, il est mobilisé le 2 août 1914 au 84e régiment d’infanterie territoriale.
Le chef de bataillon Héry est tué à l’ennemi le 29 septembre 1914, à Beaucourt (Pas-de-Calais). Il est cité ainsi à titre posthume : « S’est mis, le 29 septembre 1914, à la tête des ses troupes pour prendre d’assaut un pont occupé par l’ennemi, en disant : « Il n’y a pas de prussiens qui tiennent, il faut passer ». A été tué dans cet acte d’héroïsme. »
Concernant MONTONGON, il s'agirait plutôt de DE MONTANGON, Marie-Henri-Louis, cavalerie.
Né le 2 février 1846 à Ormoy-sur-Aube (Haute-Marne).
En aout 1914, il est mis à la tête de la 105e brigade de réserve, poste qu'il occupe jusqu'au 19 septembre 1914.
Le général de Montangon est décédé d’une maladie contractée en service le 29 septembre 1919.
Concernant COUDIN, il s'agirait plutôt de COUDEIN, Jean-Daniel-Paul, infanterie.
Né le 11 mars 1860 à Rochefort (Charente-Inférieure).
Colonel en 1915, il reçoit le commandement du 31e régiment d’infanterie. C’est à la tête de ce régiment qu’il est blessé par une balle au cou le 17 février 1915 à Vauquois.
Le colonel Coudein est décédé des suites de cette blessure le 4 mars 1915 à l’hôpital complémentaire de Bar-le-Duc (Meuse).
Je reste à votre disposition.
Cordialement.
Bonsoir et merci François
Je vérifie et corrige pour Montangon. Erreur de frappe
Bonne soirée
Bien cordialement
Gérard
Bonjour Gérard,
Chapeau pour ce formidable boulot. Une première petite participation concernant les Lt Cnels du 232 MPLF :
WATIN Charles
Issu de l' Ecole Spéciale Militaire ( engagé le 26/10/1882)
BAUDOIN André
Officier issu du rang, engagé volontaire le 23/10/1889 à Paris
Je recherche les chefs de Bataillons.
Amicalement,
Jef
"Désormais je sais enfin que tous ces morts, ces Français et ces Allemands, étaient des frères, que je suis leur frère" Ernst Toller
Le blog du 232e RI http://232emeri.canalblog.com/
Re: Officiers supérieurs morts pendant le conflit
