GRANDS SEMINAIRES PARISIENS: MAURICE LAMBERT

[Achache]

Bonjour,

Dans le cadre de mes recherches sur mon grand oncle poète, déjà évoqué, entre autres, ici:

pages1418/annonces-pages-bibliophile/ri ... .htm#t6067

je sais qu'il était séminariste (catholique), à Paris, en 1914 au moment de la mobilisition. Mais j'ignore dans quel séminaire il était inscrit, comme j'ignore du reste quels étaient exactement les séminaires qui existaient à l'époque: celui de St Sulpice, celui des Carmes, peut être un aussi à Issy les Moulineaux, d'autres encore ?
Avec mes escuses pour ses bases plutôt vagues de cette requête, je la lance quand même:
si donc vous répérez ce nom de Maurice LAMBERT
caporal au 76e RI
tué à Bouchasvesnes le 25 Septembre 1916
sur une plaque commémorative, un Livre d'Or ou autre mémorial semblable d'une de ces institutions parisiennes, je vous serais très reconnaissant de m'en faire part.

Bien à vous,

[:achache:1]

[FAB1]

Bonjour Achache
Message de recherche bien reçu, sans garantie de résultat. Savez vous s'il faisait partie d'une confrérie type Bénédictins, Franciscains etc... et quand vous dites poète, avait il publié quelque chose en dehors du poème Vauquois ?
En attendant quelques précisions sur Issy les M. C'est dans l'ancienne demeure de Marguerite de Valois qu' a été installée la maison de repos de la Cie de Saint Sulpice, puis en 1996 l'Ecole Supérieur de Théologie et la maison de retraite des prètres.
Cordialement
FABRICE

[Achache]

re bonjour,

Merci Fabrice pour votre réponse.
Mon oncle n'était pas religieux d'une congrégation quelconque, mais simplement séminariste du clergé "ordinaire" diocèsain.
Poète, il avait écrit le poème de Vauquois, le seul que je connaissais jusque récemment, mais comme je l'ai noté ici:
pages1418/annonces-pages-bibliophile/ri ... .htm#t6292

j'ai découvert il y a peu de temps qu'il avait publié d'autres pooèmes dans le Rigolboche, sous le nom de Maurice Boigey; et je prépare l'édition de ces poèmes en complément de l'article que je lui ai déjà consacré sur le site "Ils ont vécu Vauqois"; c'est donc à cette occasion que je cherche, aussi, à compléter sa biographie..

Bien à vous,

[:achache:1]

[JeanMiche]

Bonjour Achache,

J'ai bien compris que ce n'était pas ce genre de plaque commémorative que vous recherchiez, néanmoins j'ai inspecté les plaques de la chapelle de la NN. de Rancourt qui sont apposées sur ses murs. Je n'y ai pas trouvé son nom. Sous réserves, bien sûr, il faut une excellente vision, ce qui commence à me faire défaut d'autant que les clichés ne sont pas excellents.

Amitiés Jean Michel

[Achache]

Bonsoir,

Merci Jean Michel pour cette info; je n'avais en effet pas connaisance qu'il y eût une plaque à la mémoire de mon grand oncle Maurice Lambert dans la chapelle de la NN de Rancourt; en revanche j'ai pu faire déjà photographier sa tombe, assez proche de cete chapelle, et elle figure dans la page que je lui ai consacrée, ici:

http://pagesperso-orange.fr/vauquois.sn ... ambert.htm

Bien à vous,

[:achache:1]

[FAB1]

Bonjour Achache,
Le mystère s'épaissit, Lambert n'est pas dans la liste des prètres et séminaristes du diocèse de Paris morts en 14 18.
Cordialement
FABRICE

[armand]

Bonjour Achache

Je pensais au séminaire des Carmes comme pour notre compatriote Gonzague Menneson.

En 1845, c’est la nouvelle « École des hautes études ecclésiastiques » qui prend possession de l’ancien couvent. Celui-ci devient donc un séminaire, lieu de formation des futurs prêtres que l’on souhaite envoyer étudier à la Sorbonne. En 1875, lorsque que la Troisième République libéralise l’enseignement supérieur, l’Institut catholique de Paris est installé autour du couvent. « L’École » est érigée en séminaire à la fin de la Première Guerre Mondiale, alors que l’arrivée des séminaristes venant des zones occupées multiplie le nombre de ses étudiants. Depuis lors, le « Séminaire des Carmes » propose aux séminaristes qui y sont envoyés une formation universitaire poussée. (Site du séminaire des Carmes)

mais peut-etre aussi le Séminaire Saint-Sulpice d’Issy-les-Moulineaux ou le Séminaire des Missions Étrangères rue du Bac (comme Mgr Verineux)
MEP :Un changement important intervient en 1840. Jusqu’alors les candidats missionnaires étaient tous prêtres. Désormais on acceptera des séminaristes, qui seront incardinés dans la Société. Après la promulgation et l’entrée en vigueur du nouveau droit canonique, en 1917, la Société des Missions Etrangères perd son caractère d’association de prêtres diocésains

Pour Fabrice : il devait relever du Diocése de Reims et non de Paris

Amities
Armand

[Achache]

Bonjour,

Merci à tous de vos réponses, qui confirment... le flou de mes renseignement sur ce que faisait mon oncle Maurice LAMBERT avant la guerre, la tradition familiale se limitant à dire "il était au séminaire", sans préciser s'il y était encore lors de la mobilisation, ou s'il y été passé quelques années plus tôt... Quoi qu'il en soit, j'attends le relevé de sa fiche matricule qui m'éclairera peut être...

Armand: Pour Fabrice : il devait relever du Diocése de Reims et non de Paris
excuse moi, mais je ne saisis pas bien de qui tu parles. Si c'est de mon oncle Maurice, il était bien parisien depuis plusieurs années en 1914, et ne relevait donc pas du diocèse de Reims.

Bien à vous,

[:achache:1]

[FAB1]

Bonjour Achache, bonjour Armand,
Je n'ai pas eu beaucoup de temps à moi mais j'ai un peu avancé quand même.
La recherche est d'autant plus ardue que cette époque entre fin 19ème et 1914, est très mouvementée entre les laics et les catholiques. Pour débuter je me suis concentré sur Les Carmes et Saint Sulpice.
Les Carmes, comme l'a dit Armand, n'accueille des séminaristes qu' à partir de 1919, j'ai pu vérifier qu'entre 1912 et 1919 seuls les prêtres étaient présents aux études mais pas "d'élèves séminaristes". Je vais donc pour l'instant laisser de coté les Carmes.
Par contre Saint Sulpice à Issy les M fonctionnait bien en tant que séminaire et possède même à l'intérieur un mémorial aux prêtres et séminaristes morts en 14 18. Je vais aller voir ce monument si l'accès en est libre, et quelque soit le résultat de la démarche j'essayerai de trouver quelqu'un pour m'aider dans cette recherche.
Je ne vous promets rien quant à la date, mais j'irai c'est sûr.
Cordialement
FABRICE

[armand]

il devait relever du Diocése [strike]de Reims et non [/strike]de Paris
excuse moi, mais je ne saisis pas bien de qui tu parles. Si c'est de mon oncle Maurice, il était bien parisien depuis plusieurs années en 1914, et ne relevait donc pas du diocèse de Reims.

re
Dont acte. Milles Excuses, je suis allé trop vite. J'ai sauté sur Warmeriville et pas vu qu'il avait quitté notre bonne Champagne
Dans les familles, on précise parfois "il a porté la soutane" ce qui donne un indication sur le "cours" suivi .(Au grand seminaire on ne dit pas classe mais cours du moins à Reims)
Amities
Armand