Bonjour,
j'effectue actuellement des recherches sur mon Grand'Oncle DUPONT Auguste affecté au 120è R.I - 9è BCP en Août 1915, tué à l'ennemi le 23 Octobre 1915 (d'après le JMO de ce bataillon) . je n'arrive pas à trouvé son lieu de sépulture ?
- sur sa fiche est mentionné, "tué à l'ennemi" le 2 Novembre 1915 dans le secteur de Mesnil la courtine ? (il figure aux Monuments aux Morts de la Commune de MAROILLES (Nord), mais son corps n'a pas été rapatrié).
- sur son diplôme de la médaille interallié, il est noté décédé le 2 Octobre 1915 ?
Pourriez-vous m'indiquer quelle date de décès est la plus certaine, existe -t-il des photos de ce 9è BCP à partir d'Août 1915.
Merci d'avance pour votre aide.
recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
Re: recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
Bonjour,
Il semble y avoir des confusions dans les données que vous nous exposez.
Le JMO du 9e BCP mentionne bien un DUPONT mort le 23 Octobre, sans préciser son prénom. D'après la fiche MDH il s'agit d'Auguste Laurent DUPONT, décédé à La Brosse à Dent (Marne).
Le décédé du 120e RI est Auguste DUPONT (sans autre prénom) le 2 Novembre 1915, au secteur de La Courtine, Le Mesnil (-les-Hurlus, Marne aussi).
Lequel des deux vous intéresse ? celui du 120e RI, je suppose. En quel cas il y a probablement une erreur de mois sur le diplôme de la Méd. Interalliés.
Monsieur votre grand oncle ne pouvait être à la fois au 120e RI et au 9e BCP...
Bien à vous,
Achache.
Il semble y avoir des confusions dans les données que vous nous exposez.
Le JMO du 9e BCP mentionne bien un DUPONT mort le 23 Octobre, sans préciser son prénom. D'après la fiche MDH il s'agit d'Auguste Laurent DUPONT, décédé à La Brosse à Dent (Marne).
Le décédé du 120e RI est Auguste DUPONT (sans autre prénom) le 2 Novembre 1915, au secteur de La Courtine, Le Mesnil (-les-Hurlus, Marne aussi).
Lequel des deux vous intéresse ? celui du 120e RI, je suppose. En quel cas il y a probablement une erreur de mois sur le diplôme de la Méd. Interalliés.
Monsieur votre grand oncle ne pouvait être à la fois au 120e RI et au 9e BCP...
Bien à vous,
Achache.
Achache
Émouvante forêt, qu'avons-nous fait de toi ?
Un funèbre charnier, hanté par des fantômes.
M. BOIGEY/LAMBERT, La Forêt d'Argonne, 1915
Émouvante forêt, qu'avons-nous fait de toi ?
Un funèbre charnier, hanté par des fantômes.
M. BOIGEY/LAMBERT, La Forêt d'Argonne, 1915
Re: recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
Bonsoir Bernard,
Tout d'abord, je vous souhaite la bienvenue sur ce forum.
Ce que je vais vous dire est à prendre avec toutes les réserves qu'il convient de prendre. Je ne possède pas toutes les données que que vous avez déjà accumulées sur votre grand-oncle.
D'emblée quelque chose me gêne : cette double appartenance au 120e d'Infanterie et au 9e B.C.P. Sur quoi vous basez-vous ? Sa fiche matriculaire indique-telle un passage de votre ancêtre de la première à la deuxième unité au cours de l'année 1914 ou 15 ? Il est vrai que le JMO du 9e B.C.P. mentionne le 23 octobre 1915 un Dupont dans l'état de ses pertes ce jour-là. Mais le patronyme est tellement usité que ce peut être un autre Dupont.
Pour ce qui concerne la date du 2 octobre 1915 sur son diplome je penche pour une erreur de date. Tant le 120e RI que le 9e BCP qui appartiennent tous deux à la 87e Brigade sont alors aux Eparges secteur qu'ils quittent ce jour-là pour celui de Champagne.
Courtine est un lieu situé proche de Mesnil-les-Hurlus.
L'historique du 120e RI précise pour les derniers jours d'octobre 1915 :
" Dans la nuit du 24 au 25 octobre, le Régiment, mis à la disposition du Général commandant la 21e division, quitte Perthes et vient bivouaquer près de Mesnil-les-Hurlus.
Le 25, le 2e bataillon, sous les ordres du Commandant LECOMTE, monte aux tranchées dans la soirée et, avec le 64e d'infanterie, participe aussitôt à une attaque sur la côte 196. Cette attaque ne réussit pas, bien que le bataillon se soit lancé furieusement à l'assaut dans un élan admirable. L'ennemi contre-attaque immédiatement, et, malgré l'emploi de flammenwerfers et de grenades incendiaires, n'aboutit pas davantage. Les pertes des deux côtés sont lourdes: le 2e bataillon a près de 200 hommes hors de combat (les Sous-Lieutenants THUlLLIER. et POINTURIER sont tués). Le 26 au soir, le 1er bataillon entre à son tour en ligne pour aller occuper les tranchées à 3 kilomètres au nord de Mesnil-les-Hurlus. Sa mise en place est difficile : il perd 20 tués, dont le Sous-Lieutenant NORMANDIN; 166 blessés, dont les Sous-Lieutenants SARRAZIN et THUlLLIER.
Le 27, à 3 heures du malin, les Allemands, en force, attaquent le 2e bataillon (7e et 8e compagnies). Attaques cinq fois renouvelées par le 21e bavarois, cinq fois repoussées. Nos pertes sont presque nulles ; celles de l'adversaire, qui laisse beaucoup des siens devant notre front, sévères.
Le 28, les 3e et 1er bataillon viennent tenir le secteur Courtine-Cobourg; le 2e bataillon demeurant à notre droite avec le 64e d'infanterie.
Le poste occupé par le Colonel FORLOT se trouve être le même que tenait, en avril 1915, le Colonel GIRARD ; ce secteur est donc bien connu des éléments anciens du Régiment.
Le 29, après une courte préparation d'artillerie, une attaque, effectuée par les 1ère , 2e et 12e compagnies, sous les ordres du Commandant RlCHARD, se déclenche vers midi.
Elle a pour objectif la Courtine. Attaque vigoureuse qui réussit parfaitement : deux lignes successives de tranchées allemandes sont prises; nous faisons 290 prisonniers, dont 3 officiers, un gros matériel de guerre aussi, dont 2 minenwerfers de 18 centimètres et 1 de 10 centimètres; 4 mitrailleuses, de nombreux fusils.
En améliorant, dans la soirée, le terrain conquis, nos pionniers découvrent l'entrée de deux puits de mine. dont les rameaux. situés respectivement à 10 et 15 mètres de profondeur et d'un développement de 150 mètres environ, venaient aboutir : l'un sous un de nos postes d'écoute, l'autre sous notre ancienne tranchée de première ligne.
Les explosifs (4.000 kilos de cheddite) étaient déjà en place, notre attaque soudaine a mis l'ennemi dans l'impossibilité de réaliser ses intentions.
A 20 h. 30, puis, à 21 h. 30, l'ennemi, avec de forts effectifs, tente contre nos positions de furieuses contre-attaques, mais il est chaque fois repoussé par nos grenadiers, qui font devant notre tranchée de première ligne un barrage infranchissable, appuyé d'ailleurs vigoureusement par le tir de noire artillerie.
Le 30, nouvelles attaques ennemies; de 3 heures à 5 heures, attaques effectuées par six compagnies bavaroises : elles échouent.
A 10 heures, contre-attaque ennemie, toujours contre notre 2e bataillon.
Puis, enfin, de 18 h. 30 à 20 heures, trois attaques contre le 1er bataillon : tout cela constitue autant d'échecs pour l'adversaire, qui laisse de nombreux morts sur le terrain.
Du 31 octobre au 3 novembre, un peu d'accalmie : nous en profitons pour organiser le terrain conquis."
Ainsi l'historique parle d'une accalmie autour du 2 novembre. Il n'empêche que des pertes sont enregistrées même si elles sont jugées "légères" :
1er novembre : 2 tués, 3 blessés ; 2 novembre : 3 blessés ; 3 novembre : 3 tués, 4 blessés.
On note que le 3/11 il n'y a que des blessés mais le narrateur a d'abord mentionné 3 tués et 4 blessés avant de raturer. Y a-t-il eu confusion de dates ???
D'autre part, je note que l'acte de décès a été transcrit le 3 juin 1920 à Maroilles, sans qu'il y ait eu jugement. Donc le corps a bien été ramassé sur le champ de bataille et a été enterré dans un premier temps. Où ?? A-t-il disparu par la suite au cours de la prolongation de la bataille ? A-t-il été rendu à la famille ?
Avez-vous vérifié les dates de décès entre la fiche de Mémoire des Hommes : 2 novembre 1915 et celle inscrite sur la transcription de décès dans l'état civil de Maroilles ?
Tenez nous au courant de l'évolution de vos recherches.
Cordialement
Eric
PS : Achache est allé plus vite que moi désolé pour ce double emploi de ma part. Qu'il m'en excuse !!
Tout d'abord, je vous souhaite la bienvenue sur ce forum.
Ce que je vais vous dire est à prendre avec toutes les réserves qu'il convient de prendre. Je ne possède pas toutes les données que que vous avez déjà accumulées sur votre grand-oncle.
D'emblée quelque chose me gêne : cette double appartenance au 120e d'Infanterie et au 9e B.C.P. Sur quoi vous basez-vous ? Sa fiche matriculaire indique-telle un passage de votre ancêtre de la première à la deuxième unité au cours de l'année 1914 ou 15 ? Il est vrai que le JMO du 9e B.C.P. mentionne le 23 octobre 1915 un Dupont dans l'état de ses pertes ce jour-là. Mais le patronyme est tellement usité que ce peut être un autre Dupont.
Pour ce qui concerne la date du 2 octobre 1915 sur son diplome je penche pour une erreur de date. Tant le 120e RI que le 9e BCP qui appartiennent tous deux à la 87e Brigade sont alors aux Eparges secteur qu'ils quittent ce jour-là pour celui de Champagne.
Courtine est un lieu situé proche de Mesnil-les-Hurlus.
L'historique du 120e RI précise pour les derniers jours d'octobre 1915 :
" Dans la nuit du 24 au 25 octobre, le Régiment, mis à la disposition du Général commandant la 21e division, quitte Perthes et vient bivouaquer près de Mesnil-les-Hurlus.
Le 25, le 2e bataillon, sous les ordres du Commandant LECOMTE, monte aux tranchées dans la soirée et, avec le 64e d'infanterie, participe aussitôt à une attaque sur la côte 196. Cette attaque ne réussit pas, bien que le bataillon se soit lancé furieusement à l'assaut dans un élan admirable. L'ennemi contre-attaque immédiatement, et, malgré l'emploi de flammenwerfers et de grenades incendiaires, n'aboutit pas davantage. Les pertes des deux côtés sont lourdes: le 2e bataillon a près de 200 hommes hors de combat (les Sous-Lieutenants THUlLLIER. et POINTURIER sont tués). Le 26 au soir, le 1er bataillon entre à son tour en ligne pour aller occuper les tranchées à 3 kilomètres au nord de Mesnil-les-Hurlus. Sa mise en place est difficile : il perd 20 tués, dont le Sous-Lieutenant NORMANDIN; 166 blessés, dont les Sous-Lieutenants SARRAZIN et THUlLLIER.
Le 27, à 3 heures du malin, les Allemands, en force, attaquent le 2e bataillon (7e et 8e compagnies). Attaques cinq fois renouvelées par le 21e bavarois, cinq fois repoussées. Nos pertes sont presque nulles ; celles de l'adversaire, qui laisse beaucoup des siens devant notre front, sévères.
Le 28, les 3e et 1er bataillon viennent tenir le secteur Courtine-Cobourg; le 2e bataillon demeurant à notre droite avec le 64e d'infanterie.
Le poste occupé par le Colonel FORLOT se trouve être le même que tenait, en avril 1915, le Colonel GIRARD ; ce secteur est donc bien connu des éléments anciens du Régiment.
Le 29, après une courte préparation d'artillerie, une attaque, effectuée par les 1ère , 2e et 12e compagnies, sous les ordres du Commandant RlCHARD, se déclenche vers midi.
Elle a pour objectif la Courtine. Attaque vigoureuse qui réussit parfaitement : deux lignes successives de tranchées allemandes sont prises; nous faisons 290 prisonniers, dont 3 officiers, un gros matériel de guerre aussi, dont 2 minenwerfers de 18 centimètres et 1 de 10 centimètres; 4 mitrailleuses, de nombreux fusils.
En améliorant, dans la soirée, le terrain conquis, nos pionniers découvrent l'entrée de deux puits de mine. dont les rameaux. situés respectivement à 10 et 15 mètres de profondeur et d'un développement de 150 mètres environ, venaient aboutir : l'un sous un de nos postes d'écoute, l'autre sous notre ancienne tranchée de première ligne.
Les explosifs (4.000 kilos de cheddite) étaient déjà en place, notre attaque soudaine a mis l'ennemi dans l'impossibilité de réaliser ses intentions.
A 20 h. 30, puis, à 21 h. 30, l'ennemi, avec de forts effectifs, tente contre nos positions de furieuses contre-attaques, mais il est chaque fois repoussé par nos grenadiers, qui font devant notre tranchée de première ligne un barrage infranchissable, appuyé d'ailleurs vigoureusement par le tir de noire artillerie.
Le 30, nouvelles attaques ennemies; de 3 heures à 5 heures, attaques effectuées par six compagnies bavaroises : elles échouent.
A 10 heures, contre-attaque ennemie, toujours contre notre 2e bataillon.
Puis, enfin, de 18 h. 30 à 20 heures, trois attaques contre le 1er bataillon : tout cela constitue autant d'échecs pour l'adversaire, qui laisse de nombreux morts sur le terrain.
Du 31 octobre au 3 novembre, un peu d'accalmie : nous en profitons pour organiser le terrain conquis."
Ainsi l'historique parle d'une accalmie autour du 2 novembre. Il n'empêche que des pertes sont enregistrées même si elles sont jugées "légères" :
1er novembre : 2 tués, 3 blessés ; 2 novembre : 3 blessés ; 3 novembre : 3 tués, 4 blessés.
On note que le 3/11 il n'y a que des blessés mais le narrateur a d'abord mentionné 3 tués et 4 blessés avant de raturer. Y a-t-il eu confusion de dates ???
D'autre part, je note que l'acte de décès a été transcrit le 3 juin 1920 à Maroilles, sans qu'il y ait eu jugement. Donc le corps a bien été ramassé sur le champ de bataille et a été enterré dans un premier temps. Où ?? A-t-il disparu par la suite au cours de la prolongation de la bataille ? A-t-il été rendu à la famille ?
Avez-vous vérifié les dates de décès entre la fiche de Mémoire des Hommes : 2 novembre 1915 et celle inscrite sur la transcription de décès dans l'état civil de Maroilles ?
Tenez nous au courant de l'évolution de vos recherches.
Cordialement
Eric
PS : Achache est allé plus vite que moi désolé pour ce double emploi de ma part. Qu'il m'en excuse !!
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
Merci à vous deux pour vos réponses, je vais auprès des services de l'état-civil de la commune de Maroilles, pour vérifier la date de décès inscrite en marge de son acte de naissance, je ne manquerai pas de vous tenir informé. Pour ce qui est des photos du 120è RI en existent-il pour la période d'août 1915 à Novembre 1915 ? - je suis sur les traces d'une photo de famille avec mon grand'oncle en tenue de militaire.
Merci encore.
Bernard.
Merci encore.
Bernard.
bernard
Re: recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
P.S : Je viens de regarder sur le diplôme de médaille, il est indiqué DUPONT Auguste , 9ème B.C.P. !!!!!!
bernard
Re: recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
Bonsoir,
Pas de problème, Eric (ae80): votre développement ne fait pas double emploi avec mes notes rapides mais les explicite bien à propos.
Bernard (berdjet) je crois que pour y voir plus clair le mieux est décidément de consulter tout d'abord la fiche matricule de monsieur votre grand oncle, si ce n'est pas encore fait. Faute des données qu'elle fournira sur le corps d'affectation dudit grand oncle, on ne peut que se perdre en conjectures et hypothèses... Une fois cette affectation établie, on verra où est l'erreur... A bientôt donc.
Bien à vous,
Achache.
Pas de problème, Eric (ae80): votre développement ne fait pas double emploi avec mes notes rapides mais les explicite bien à propos.
Bernard (berdjet) je crois que pour y voir plus clair le mieux est décidément de consulter tout d'abord la fiche matricule de monsieur votre grand oncle, si ce n'est pas encore fait. Faute des données qu'elle fournira sur le corps d'affectation dudit grand oncle, on ne peut que se perdre en conjectures et hypothèses... Une fois cette affectation établie, on verra où est l'erreur... A bientôt donc.
Bien à vous,
Achache.
Achache
Émouvante forêt, qu'avons-nous fait de toi ?
Un funèbre charnier, hanté par des fantômes.
M. BOIGEY/LAMBERT, La Forêt d'Argonne, 1915
Émouvante forêt, qu'avons-nous fait de toi ?
Un funèbre charnier, hanté par des fantômes.
M. BOIGEY/LAMBERT, La Forêt d'Argonne, 1915
Re: recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
Bonjour,
Suivant vos conseils, j'ai demandé et obtenu des Archives Départementales du Nord (réponse par email très rapide en moins d'une semaine), la fiche matricule de mon grand 'oncle, il y est noté : arrivé à la compagnie de matrailleurs de la 87è brigade le 15 Août 1915 (Ad...120è Régt d'Infanterie) n° rép 11363,
Décédé le 2 Novembre 1915. Tué à l'ennemi au secteur de Mesnil la Courtine - Rayé des contrôles le 3/11/15- Avis du Corps du 7Décembre 1915.
-Il y aurait donc une erreur d'affectation (9è BCP) et de date ( Octobre 1915) sur son diplôme de médaille intéralliée.
- Comment retrouver son lieu d'inhumation ?
- Existe-t-il des photos de ce 120è RI pour la période 8/1915 à 11/1915.
Merci d'avance pour votre aide.
Bernard.
Suivant vos conseils, j'ai demandé et obtenu des Archives Départementales du Nord (réponse par email très rapide en moins d'une semaine), la fiche matricule de mon grand 'oncle, il y est noté : arrivé à la compagnie de matrailleurs de la 87è brigade le 15 Août 1915 (Ad...120è Régt d'Infanterie) n° rép 11363,
Décédé le 2 Novembre 1915. Tué à l'ennemi au secteur de Mesnil la Courtine - Rayé des contrôles le 3/11/15- Avis du Corps du 7Décembre 1915.
-Il y aurait donc une erreur d'affectation (9è BCP) et de date ( Octobre 1915) sur son diplôme de médaille intéralliée.
- Comment retrouver son lieu d'inhumation ?
- Existe-t-il des photos de ce 120è RI pour la période 8/1915 à 11/1915.
Merci d'avance pour votre aide.
Bernard.
bernard
Re: recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
P.S. au message de ce jour, en regardant ledit document à la LOUPE, on peu lire un texte très pale mis au tampon "incorporé au 9è bataillon de chasseur à compter du 8 octobre 1913 - Arrivé au grade de soldat de 2ème classe ledit jour", cela expliquerait-il l'indication sur le diplôme de médaille intéralliée ?
bernard
Re: recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
P.S. au message de ce jour, en regardant ledit document à la LOUPE, on peu lire un texte très pale mis au tampon "incorporé au 9è bataillon de chasseur à compter du 8 octobre 1913 - Arrivé au grade de soldat de 2ème classe ledit jour", cela expliquerait-il l'indication sur le diplôme de médaille intéralliée ?
bernard
-
christophe lagrange
- Messages : 2636
- Inscription : dim. mai 08, 2005 2:00 am
- Contact :
Re: recherche sur soldat du 9èBCP décédé en Octobre 1915
Bonsoir Bernard,
Votre Grand oncle a donc accompli son service militaire au 9è BCP, puis a été affecté au 120è peut-être en raison de sa spécialité de mitrailleur.
Qu'indique la colonne de droite de al fiche matricule sur les affectations successives : active, réserve, territoriale....Cela complète parfois les informations centrales.
Cordialement,
Christophe
Votre Grand oncle a donc accompli son service militaire au 9è BCP, puis a été affecté au 120è peut-être en raison de sa spécialité de mitrailleur.
Qu'indique la colonne de droite de al fiche matricule sur les affectations successives : active, réserve, territoriale....Cela complète parfois les informations centrales.
Cordialement,
Christophe