Bonjour,
J'ai trouvé votre site par hasard, en faisant des recherches sur plusieurs régiments (où se trouvaient trois membres de ma famille, tous "tués à l'ennemi").
Je l'ai trouvé très intéressant, mais il n'y a pas les régiments qui m'intéressent, à savoir :
-le 69e régiment d'infanterie : HORELLOU Jean René, 2e classe, recrutement de Quimper (Finistère), classe 1906 ; Matricule 01499 au corps ; N° 1816 ; né à Edern (29) le 26/02/1886 ; mort pour la France le 06/08/1916 à Vaux Chapity (Bois ? illisible sur la fiche Mémoire des hommes), dans la Meuse, à l'age de 30 ans, marié et père de famille.
-le 9e régiment de zouaves : HORELLOU Yves Hervé, 2e classe, recrutement de Quimper, classe 1916 ; Matricule 21790 au corps ; N° 43 ; né à Saint-Yvi (29) le 05/05/1896 ; mort pour la France le 21/04/1917, dans l'Aisne (nom du lieu illisible sur fiche MDH), à l'âge de 21 ans. A été porté disparu, il y a eu un jugement du tribunal de Quimper.
-le 264e régiment d'infanterie : LANCIEN René Yves Jean, caporal, recrutement de Quimper, classe 1916 ; Matricule 12031 au corps ; N° 2561 ; 17e compagnie ; né à Saint-Yvi (29) le 20/07/1896 ; mort pour la France le 10/11/1918 à Mézières dans les Ardennes (et non pas le 10/10/1918 porté par erreur sur fiche MDH ; 2 erreurs sur fiche MDH, date de naissance notée 20/07/1886), à l'âge de 22 ans.
Je ne connais pas du tout l'est de la France.
J'aimerais savoir s'il y a des témoignages, des photos sur ces régiments, des carnets de guerre, des documents, etc.
Merci d'avance pour les infos que vous pourrez m'apporter éventuellement.
Cordialement,
N. Horellou
Recherche trois régiments
-
HORELLOU Nicole
- Messages : 11
- Inscription : mar. sept. 09, 2008 2:00 am
Re: Recherche trois régiments
Bonsoir,
Avez vous essayer de parcourir le site du Chtimiste? Il comprend normalement de nombreux témoignages et photos sur pas mal de régiments, peut être que ceux qui vous interessent y figure.
Sinon, avec le moteur de recherche du forum, vous pouvez peut être trouvé votre bonheur. Voici les deux seuls posts dont je me souvienne et qui concernent un de vos régiments:
pages1418/forum-pages-histoire/liste-tu ... 5232_1.htm
pages1418/forum-pages-histoire/69-ri-sujet_5157_1.htm
Bonne soirée à vous.
Cordialement JuLien.
Avez vous essayer de parcourir le site du Chtimiste? Il comprend normalement de nombreux témoignages et photos sur pas mal de régiments, peut être que ceux qui vous interessent y figure.
Sinon, avec le moteur de recherche du forum, vous pouvez peut être trouvé votre bonheur. Voici les deux seuls posts dont je me souvienne et qui concernent un de vos régiments:
pages1418/forum-pages-histoire/liste-tu ... 5232_1.htm
pages1418/forum-pages-histoire/69-ri-sujet_5157_1.htm
Bonne soirée à vous.
Cordialement JuLien.
Re: Recherche trois régiments
Bonjour Nicole
Pour le 69e R.I je suis votre homme
Il n'y a pas eu de combat dans lequel le 69 ait été engagé le 06.08.1916 du moins pas à ma connaissance
Il s'agit du ""bois des Riez""
Voici ce que j'ai pour les jours precedents :
L’attaque de MAUREPAS.
Le secteur d’attaque de la 21eme Brigade va de Maurepas au bois des Riez. Il s’agit d’enlever toute la deuxième position allemande jalonnée par les tranchées des Araignées, des Cloportes et des Crabes, dont les noms resteront inoubliables pour les artisans de cette rude tache.
30 juillet 1916,
A 5h45, l’attaque se déclenche :
Un brouillard intense couvre le terrain, sécurité pour nous, certes, mais circonstance favorable aussi pour la résistance ; les unités ne tardent pas à s’en rendre compte.
Les 2e et 3e bataillons sont en première ligne, le 1er en soutien. Immédiatement de nombreuses mitrailleuses cachées dans de simples trous d’obus se révèlent.
Le 3e bataillon commandant Vétillart, bataillon de gauche, dans un élan superbe, gagne néanmoins ses objectifs, faisant 92 prisonniers et s’emparant de deux mitrailleuses dans la tranchée des Cloportes.
Mais à gauche, une compagnie seulement du 26e parvient à ses objectifs, en liaison avec le 69e, le reste est arrêté dès le début par de violents feux de mitrailleuses qui lui causent de grosses pertes. Le 2e bataillon commandant Garnier peut déboucher à droite ; mais si la 5e compagnie ainsi que la 2e, chargées d’assurer la liaison entre le 2e bataillon et le 8e corps d’armée, parviennent à atteindre un chemin creux situé à quelques centaines de mètres des tranchées de départ, (le ravin du Tortillard) ils ne peuvent en sortir, pris, de toute part par les mitrailleuses ennemies.
Les pertes augmentent rapidement dès que l’on cherche à progresser et l’appui d’un nouveau barrage est indispensable.
A 8h, les allemands déclenchent une forte contre-attaque sur les compagnies du 26e et du 69e qui ont atteint leurs objectifs. Ces compagnies sont obligées de se replier de quelques mètres et d’abandonner la tranchée des Cloportes ; la contre-attaque est arrêtée. Mais le 3e bataillon, isolé, menace d’être enveloppé, il reçoit l’ordre par téléphone de rentrer dans les tranchées de départ, tandis que les 2e et 5e compagnies, sous les ordres des lieutenants Berlot et Walter, qui n’étaient pas touchés par cet ordre, pouvaient se maintenir au prix de lourds sacrifices sur la position conquise.
C’est au cour de ce replis que le médecin auxiliaire Roger Weiss tombe mortellement frappé à coté d’un de ses brancardiers, son inséparable camarade de combat qui, lui même, est blessé : le père Caro. C’est une des belles figures du régiment que Roger Weiss, légendaire par sa bravoure, d’un dévouement inlassable et d’une grande bonté ; c’est l’ami de tous, officiers comme simple soldats ; au repos, il pensait encore aux autres en organisant des séances récréatives afin de divertir les hommes.
Pendant les attaques, toujours avec les vagues d’assaut, accompagné du père Caro, il se dépensait sans compter, courant d’un blessé à l’autre, et depuis quelques jours on voyait briller sur sa poitrine à coté de la Croix de guerre, la Médaille militaire qu’il avait gagné le 1er juillet, ainsi que le père Caro, pour sa belle attitude au feu.
En fin d’attaque, le régiment réoccupe ses anciennes tranchées, sauf à droite, ou il conserve un léger gain de terrain ; il a subit de lourdes pertes. Le 3e bataillon reçoit une citation à l’ordre du 20e corps d’armée et le régiment les félicitations de général de division.
1er au 2 août 1916,
Dans la nuit, le 69e R.I et le 26e R.I sont relevés par la 22eme Brigade.
Le régiment vient bivouaquer dans les bois à l’ouest de Suzanne.
9 août 1916,
Le régiment vient cantonner à Fouilloy et Aubigny.
On était installé depuis quelques jours, lorsque la rumeur commence à courir que le régiment allait aller au repos à Dieppe.
On parle d’Amiens, de la Lorraine de Dieppe ; ceux qui connaissent cette dernière ville et sa plage si agréable à cette époque de l’année ne peuvent croire à une station balnéaire dans cette région riante et calme, tandis que le canon gronde derrière eux.
C’est un “ canard ”, pensait-on ; mais il fallut se rendre à l’évidence…
14 août 1916,
Le régiment embarque à Conty et débarque à Arques-la-Bataille, pour aller cantonner dans les environs immédiats de Dieppe.
Cordialement
Wagram
Pour le 69e R.I je suis votre homme
Il n'y a pas eu de combat dans lequel le 69 ait été engagé le 06.08.1916 du moins pas à ma connaissance
Il s'agit du ""bois des Riez""
Voici ce que j'ai pour les jours precedents :
L’attaque de MAUREPAS.
Le secteur d’attaque de la 21eme Brigade va de Maurepas au bois des Riez. Il s’agit d’enlever toute la deuxième position allemande jalonnée par les tranchées des Araignées, des Cloportes et des Crabes, dont les noms resteront inoubliables pour les artisans de cette rude tache.
30 juillet 1916,
A 5h45, l’attaque se déclenche :
Un brouillard intense couvre le terrain, sécurité pour nous, certes, mais circonstance favorable aussi pour la résistance ; les unités ne tardent pas à s’en rendre compte.
Les 2e et 3e bataillons sont en première ligne, le 1er en soutien. Immédiatement de nombreuses mitrailleuses cachées dans de simples trous d’obus se révèlent.
Le 3e bataillon commandant Vétillart, bataillon de gauche, dans un élan superbe, gagne néanmoins ses objectifs, faisant 92 prisonniers et s’emparant de deux mitrailleuses dans la tranchée des Cloportes.
Mais à gauche, une compagnie seulement du 26e parvient à ses objectifs, en liaison avec le 69e, le reste est arrêté dès le début par de violents feux de mitrailleuses qui lui causent de grosses pertes. Le 2e bataillon commandant Garnier peut déboucher à droite ; mais si la 5e compagnie ainsi que la 2e, chargées d’assurer la liaison entre le 2e bataillon et le 8e corps d’armée, parviennent à atteindre un chemin creux situé à quelques centaines de mètres des tranchées de départ, (le ravin du Tortillard) ils ne peuvent en sortir, pris, de toute part par les mitrailleuses ennemies.
Les pertes augmentent rapidement dès que l’on cherche à progresser et l’appui d’un nouveau barrage est indispensable.
A 8h, les allemands déclenchent une forte contre-attaque sur les compagnies du 26e et du 69e qui ont atteint leurs objectifs. Ces compagnies sont obligées de se replier de quelques mètres et d’abandonner la tranchée des Cloportes ; la contre-attaque est arrêtée. Mais le 3e bataillon, isolé, menace d’être enveloppé, il reçoit l’ordre par téléphone de rentrer dans les tranchées de départ, tandis que les 2e et 5e compagnies, sous les ordres des lieutenants Berlot et Walter, qui n’étaient pas touchés par cet ordre, pouvaient se maintenir au prix de lourds sacrifices sur la position conquise.
C’est au cour de ce replis que le médecin auxiliaire Roger Weiss tombe mortellement frappé à coté d’un de ses brancardiers, son inséparable camarade de combat qui, lui même, est blessé : le père Caro. C’est une des belles figures du régiment que Roger Weiss, légendaire par sa bravoure, d’un dévouement inlassable et d’une grande bonté ; c’est l’ami de tous, officiers comme simple soldats ; au repos, il pensait encore aux autres en organisant des séances récréatives afin de divertir les hommes.
Pendant les attaques, toujours avec les vagues d’assaut, accompagné du père Caro, il se dépensait sans compter, courant d’un blessé à l’autre, et depuis quelques jours on voyait briller sur sa poitrine à coté de la Croix de guerre, la Médaille militaire qu’il avait gagné le 1er juillet, ainsi que le père Caro, pour sa belle attitude au feu.
En fin d’attaque, le régiment réoccupe ses anciennes tranchées, sauf à droite, ou il conserve un léger gain de terrain ; il a subit de lourdes pertes. Le 3e bataillon reçoit une citation à l’ordre du 20e corps d’armée et le régiment les félicitations de général de division.
1er au 2 août 1916,
Dans la nuit, le 69e R.I et le 26e R.I sont relevés par la 22eme Brigade.
Le régiment vient bivouaquer dans les bois à l’ouest de Suzanne.
9 août 1916,
Le régiment vient cantonner à Fouilloy et Aubigny.
On était installé depuis quelques jours, lorsque la rumeur commence à courir que le régiment allait aller au repos à Dieppe.
On parle d’Amiens, de la Lorraine de Dieppe ; ceux qui connaissent cette dernière ville et sa plage si agréable à cette époque de l’année ne peuvent croire à une station balnéaire dans cette région riante et calme, tandis que le canon gronde derrière eux.
C’est un “ canard ”, pensait-on ; mais il fallut se rendre à l’évidence…
14 août 1916,
Le régiment embarque à Conty et débarque à Arques-la-Bataille, pour aller cantonner dans les environs immédiats de Dieppe.
Cordialement
Wagram
TOUT POUR LE 69e REGIMENT D INFANTERIE
-
Daniel Ruis
- Messages : 886
- Inscription : lun. oct. 18, 2004 2:00 am
Re: Recherche trois régiments
Bonsoir Nicole,
Concernant HORELLOU Jean René, ce n'est pas Vaux Chapity mais Vaux Chapitre et quant au bois , il s'agit du bois Fumin.
Et pour HORELLOU Yves Hervé ( qui m'intéresse plus particulièrement ) il faut lire Courteçon.
Ce quand dit l'historique du 9ème RMZ (clic) :
OFFENSIVE DE L'AISNE 1917 :
Nous retrouvons le 9ème plein d'ardeur en avril 1917, pour participer aux attaques sur le Chemin des Dames, dans le secteur de Vendresse, ravin du Paradis.
Le 16 avril, le régiment est en réserve de Division et marche derrière les tirailleurs marocains.
Le 17, il relevait en ligne les T.M. et se trouvait en contact avec l'ennemi.
Le 18, les 1er et 3ème bataillon attaquent : la progression est lente ; les jours suivants sont occupés à la réfection et à la consolidation des premières lignes.
Le 23, le régiment est envoyé à l'arrière, repos de courte durée car le 07 mai, de nouveau, les zouaves étaient dans le secteur du Chemin des Dames, ravin de Chily.
Le 14 mai, une attaque allemande, préparée par un très violent bombardement d'artillerie lourde et de torpilles se déclenche vers 17 heures sur les tranchées du 2ème bataillon, mais les zouaves guettent. Les vagues sortant des tranchées allemandes doivent se terrer ou se replier sous le feu des mitrailleuses et les barrages d'artillerie française.
Le régiment reste en secteur jusqu'au 06 juin : il a subi encore une fois de nombreuses pertes : 5 officiers tués, 8 blessés, 164 zouaves tués et 544 blessés.
.............
Par ailleurs, pour HORELLOU Jean René je lis 65ème RI
Passage de l'historique du 65ème RI (clic) :
Vaux-Chapitre. — Alertés, le 3 août, alors qu'ils se disposaient à occuper un secteur des Hauts-de-Meuse, les bataillons Ripault (1er) et Couverset (2e) vont prendre position, le 5 au soir, dans le bois Fumin, à l'est du ravin des Fontaines. C'est l'époque des offensives sur Souville et l'ennemi, qui a échoué le 5, reprend dès le 6, au petit jour, son formidable bombardement. Pendant dix heures, il écrase sans arrêt, du feu de ses canons lourds, la ligne de trous d'obus où se terre notre infanterie. A 15 h. 30, l'attaque se déclenche. Mais tous ceux des nôtres qui sont, par miracle, encore vivants se dressent, toutes les mitrailleuses qui ne sont pas ensevelies ouvrent le feu et les vagues d'assaut sont fauchées par deux fois. Une autre tentative faite dans la soirée, après un nouveau bombardement, a le même sort, et l'ennemi renonce, cette fois encore, à prendre Souville. Pendant neuf jours, le régiment, décimé, résistera, sous un feu écrasant, à toute poussée de l'adversaire, et cela dans des trous d'obus, sans abri, sous un soleil de plomb, presque sans ravitaillement et sans eau. Ceux qui descendirent le 14 avaient des faces de cadavres. Le 65ème laissait à Vaux-Chapitre la moitié de son effectif.
.............
J'essaie de me procurer le plus de documents possible sur les gars du 9ème RMZ. Si vous possédez quel que soit le document sur votre aïeul, SVP ne m'oubliez pas ! le bonheur serait une photo
Cordialement [:daniel ruis:1]
Daniel
Concernant HORELLOU Jean René, ce n'est pas Vaux Chapity mais Vaux Chapitre et quant au bois , il s'agit du bois Fumin.
Et pour HORELLOU Yves Hervé ( qui m'intéresse plus particulièrement ) il faut lire Courteçon.
Ce quand dit l'historique du 9ème RMZ (clic) :
OFFENSIVE DE L'AISNE 1917 :
Nous retrouvons le 9ème plein d'ardeur en avril 1917, pour participer aux attaques sur le Chemin des Dames, dans le secteur de Vendresse, ravin du Paradis.
Le 16 avril, le régiment est en réserve de Division et marche derrière les tirailleurs marocains.
Le 17, il relevait en ligne les T.M. et se trouvait en contact avec l'ennemi.
Le 18, les 1er et 3ème bataillon attaquent : la progression est lente ; les jours suivants sont occupés à la réfection et à la consolidation des premières lignes.
Le 23, le régiment est envoyé à l'arrière, repos de courte durée car le 07 mai, de nouveau, les zouaves étaient dans le secteur du Chemin des Dames, ravin de Chily.
Le 14 mai, une attaque allemande, préparée par un très violent bombardement d'artillerie lourde et de torpilles se déclenche vers 17 heures sur les tranchées du 2ème bataillon, mais les zouaves guettent. Les vagues sortant des tranchées allemandes doivent se terrer ou se replier sous le feu des mitrailleuses et les barrages d'artillerie française.
Le régiment reste en secteur jusqu'au 06 juin : il a subi encore une fois de nombreuses pertes : 5 officiers tués, 8 blessés, 164 zouaves tués et 544 blessés.
.............
Par ailleurs, pour HORELLOU Jean René je lis 65ème RI
Passage de l'historique du 65ème RI (clic) :
Vaux-Chapitre. — Alertés, le 3 août, alors qu'ils se disposaient à occuper un secteur des Hauts-de-Meuse, les bataillons Ripault (1er) et Couverset (2e) vont prendre position, le 5 au soir, dans le bois Fumin, à l'est du ravin des Fontaines. C'est l'époque des offensives sur Souville et l'ennemi, qui a échoué le 5, reprend dès le 6, au petit jour, son formidable bombardement. Pendant dix heures, il écrase sans arrêt, du feu de ses canons lourds, la ligne de trous d'obus où se terre notre infanterie. A 15 h. 30, l'attaque se déclenche. Mais tous ceux des nôtres qui sont, par miracle, encore vivants se dressent, toutes les mitrailleuses qui ne sont pas ensevelies ouvrent le feu et les vagues d'assaut sont fauchées par deux fois. Une autre tentative faite dans la soirée, après un nouveau bombardement, a le même sort, et l'ennemi renonce, cette fois encore, à prendre Souville. Pendant neuf jours, le régiment, décimé, résistera, sous un feu écrasant, à toute poussée de l'adversaire, et cela dans des trous d'obus, sans abri, sous un soleil de plomb, presque sans ravitaillement et sans eau. Ceux qui descendirent le 14 avaient des faces de cadavres. Le 65ème laissait à Vaux-Chapitre la moitié de son effectif.
.............
J'essaie de me procurer le plus de documents possible sur les gars du 9ème RMZ. Si vous possédez quel que soit le document sur votre aïeul, SVP ne m'oubliez pas ! le bonheur serait une photo
Cordialement [:daniel ruis:1]
Daniel
Mes recherches (clic)
-
HORELLOU Nicole
- Messages : 11
- Inscription : mar. sept. 09, 2008 2:00 am
Re: Recherche trois régiments
Bonsoir à tous
Merci à humanbonb, Wagram et Daniel Ruis pour vos réponses.
D'après ce que je crois relire, je pense qu'il s'agit du bois Fumin. Pour le moment je n'ai pas de documents car je commence mes recherches sur eux, mais j'ai l'intention d'aller aux AD de Quimper prochainement, et je vous enverrai des PN de ce que j'aurai trouvé.
Cordialement
N. Horellou
Merci à humanbonb, Wagram et Daniel Ruis pour vos réponses.
D'après ce que je crois relire, je pense qu'il s'agit du bois Fumin. Pour le moment je n'ai pas de documents car je commence mes recherches sur eux, mais j'ai l'intention d'aller aux AD de Quimper prochainement, et je vous enverrai des PN de ce que j'aurai trouvé.
Cordialement
N. Horellou
Re: Recherche trois régiments
Bonsoir à tous, bonsoir Nicole
Concernant HORELLOU Jean René, sur sa fiche MDH, je lis 67ème RI.
Je n'ai pas trouvé l'historique du 67ème RI sur le net, mais le site du chtimiste indique que le 67ème était au bois Fumin en juin 16.
Il donne le régiment de garde au grand état major à Chantilly au mois d'août.
Peu être que le corps n'a été retrouvé que le 06/08/16 alors que le régiment n'était plus dans ce secteur.
Cordialement
Concernant HORELLOU Jean René, sur sa fiche MDH, je lis 67ème RI.
Je n'ai pas trouvé l'historique du 67ème RI sur le net, mais le site du chtimiste indique que le 67ème était au bois Fumin en juin 16.
Il donne le régiment de garde au grand état major à Chantilly au mois d'août.
Peu être que le corps n'a été retrouvé que le 06/08/16 alors que le régiment n'était plus dans ce secteur.
Cordialement
-
HORELLOU Nicole
- Messages : 11
- Inscription : mar. sept. 09, 2008 2:00 am
Re: Recherche trois régiments
Bonsoir à tous, bonsoir Clery,
Merci pour votre info concernant le 67e, il est vrai que l'écriture prête à confusion. Je vais aller sur le site du chtimiste que je ne connaissais pas.
Bonne soirée à tous,
Cordialement
Nicole
Merci pour votre info concernant le 67e, il est vrai que l'écriture prête à confusion. Je vais aller sur le site du chtimiste que je ne connaissais pas.
Bonne soirée à tous,
Cordialement
Nicole