Officiers du cadre de santé ayant servi à bord
du navire-hôpital Bretagne-II
du navire-hôpital Bretagne-II
Médecins
[Par ordre d’ancienneté]
— MARTENOT Auguste Baptiste, né le 9 juin 1862 à Brest (Finistère) (Registre des actes de naissance de la ville de Brest, Année 1862, Vol. II., f° 15, acte n° 775), décédé le 14 octobre 1930 à l’Hôpital maritime de Brest (Registre des actes de décès de la ville de Brest, Vol. III., f° 6, acte n° 907). Médecin en chef de 2e classe de la Marine [Promu à ce grade à compter du 26 nov. 1916 par un décret du 18 nov. 1916 (J.O. 21 nov. 1916, p. 10.079)], port de Brest. [Entré au service en 1884 en qualité d’aide-médecin (D. 3 nov. 1884 : J.O. 4 nov. 1884, p. 5.786)]
• Fils naturel d’Anne Victoire MARTENOT, née vers 1825 à Brest et y décédée, le 1er avril 1895, lingère.
• Époux d’Emma Sophie Pauline VERGUEUR, née le 1er juin 1873 à Brest (Registre des actes de naissance de la ville de Brest, Année 1873, Vol. I., f° 155, acte n° 604) et y décédée, le 6 avril 1917, sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage à Brest, le 19 janvier 1899 (Registre des actes de mariage de la ville de Brest, Année 1899, Vol. I., f° 14, acte n° 26).
Fille de Charles Amateur VERGUEUR, contremaître dessinateur au port, et d’Émilia Victorine LE GRAND, sans profession ; époux ayant contracté mariage à Brest, le 20 juillet 1872.
• Fils naturel d’Anne Victoire MARTENOT, née vers 1825 à Brest et y décédée, le 1er avril 1895, lingère.
• Époux d’Emma Sophie Pauline VERGUEUR, née le 1er juin 1873 à Brest (Registre des actes de naissance de la ville de Brest, Année 1873, Vol. I., f° 155, acte n° 604) et y décédée, le 6 avril 1917, sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage à Brest, le 19 janvier 1899 (Registre des actes de mariage de la ville de Brest, Année 1899, Vol. I., f° 14, acte n° 26).
Fille de Charles Amateur VERGUEUR, contremaître dessinateur au port, et d’Émilia Victorine LE GRAND, sans profession ; époux ayant contracté mariage à Brest, le 20 juillet 1872.
Distinctions honorifiques
□ Par décret du Président de la République en date du 10 juillet 1901 (J.O. 11 juill. 1911, p. 4.260 et 4.261), nommé au grade de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur.
□ Par décision ministérielle du 7 janvier 1917 (J.O. 10 janv. 1917, p. 367), objet d’un témoignage officiel de satisfaction avec inscription au calepin.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 11 juillet 1918 (J.O. 13 juill. 1918, p. 6.060 et 6.061), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier.
— DARGEIN Jean Gabriel, né le 22 décembre 1871 à Rochefort-sur-Mer (Charente-Inférieure — aujourd’hui Charente-Maritime) (Registre des actes de naissance de la ville de Rochefort-sur-Mer, Année 1871, f° 155, acte n° 616), décédé le ... à ... (...). Médecin de 1re classe de la Marine [Promu à ce grade à compter du 24 mai 1914 par un décret du 10 mai 1904 (J.O. 12 mai 1904, p. 2.887)], port de Rochefort ; classe 1895, n° 2.227 au recrutement de Brest. [École du service de santé de la Marine, promotion 1891. Entré au service en 1894.]
• Fils de Jean Valentin DARGEIN, né le 26 juin 1826 à Taurignan-Vieux (Ariège), journalier, et de Jeanne Marie CASSIÉROU-PALU, née le 6 novembre 1840 à Pardies (Basses-Pyrénées — aujourd’hui Pyrénées-Atlantiques), sans profession ; époux ayant contracté mariage à Rochefort-sur-Mer, le 15 juillet 1861 (Registre des actes de mariage de la ville de Rochefort-sur-Mer, Année 1861, f° 67, acte n° 131).
• Époux de Jeanne Louise BOUÉ, née le ... à ... (...), avec laquelle il avait contracté mariage à Bordeaux (Gironde), le 8 août 1901.
□ Par décision ministérielle du 7 janvier 1917 (J.O. 10 janv. 1917, p. 367), objet d’un témoignage officiel de satisfaction avec inscription au calepin.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 11 juillet 1918 (J.O. 13 juill. 1918, p. 6.060 et 6.061), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier.
— DARGEIN Jean Gabriel, né le 22 décembre 1871 à Rochefort-sur-Mer (Charente-Inférieure — aujourd’hui Charente-Maritime) (Registre des actes de naissance de la ville de Rochefort-sur-Mer, Année 1871, f° 155, acte n° 616), décédé le ... à ... (...). Médecin de 1re classe de la Marine [Promu à ce grade à compter du 24 mai 1914 par un décret du 10 mai 1904 (J.O. 12 mai 1904, p. 2.887)], port de Rochefort ; classe 1895, n° 2.227 au recrutement de Brest. [École du service de santé de la Marine, promotion 1891. Entré au service en 1894.]
• Fils de Jean Valentin DARGEIN, né le 26 juin 1826 à Taurignan-Vieux (Ariège), journalier, et de Jeanne Marie CASSIÉROU-PALU, née le 6 novembre 1840 à Pardies (Basses-Pyrénées — aujourd’hui Pyrénées-Atlantiques), sans profession ; époux ayant contracté mariage à Rochefort-sur-Mer, le 15 juillet 1861 (Registre des actes de mariage de la ville de Rochefort-sur-Mer, Année 1861, f° 67, acte n° 131).
• Époux de Jeanne Louise BOUÉ, née le ... à ... (...), avec laquelle il avait contracté mariage à Bordeaux (Gironde), le 8 août 1901.
Distinctions honorifiques
□ Par décret du Président de la République en date du 29 décembre 1910 (J.O. 1er janv. 1911, p. 31 et 32), nommé au grade de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur dans les termes suivants : « Dargein (Jean-Gabriel), médecin de 1re classe ; 20 ans 1 mois de services, dont 6 ans 5 mois à la mer ou aux colonies. Tonkin 1895 et 1898. »
□ Par décision ministérielle du 15 janvier 1916 (J.O. 18 janv. 1916, p. 484), objet d’une proposition extraordinaire pour le grade d’officier dans l’Ordre de la Légion d’honneur rédigée en ces termes : « Dargein (Jean-Gabriel) : haute valeur professionnelle ; services exceptionnels rendus sur la Bretagne dans l’évacuation des blessés et malades de la région du Nord, et dans ses fonctions actuelles à Moudros. Atteint d’une maladie grave contractée en service, est parti pour le corps expéditionnaire d’Orient aussitôt que ses forces le lui ont permis. »
□ Par décision ministérielle du 10 janvier 1917 (J.O. 15 mars 1917, p. 2.069), lui fut décernée la Médaille de vermeil des épidémies.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 10 juillet 1917 (J.O. 11 juill. 1917, p. 5.317), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier.
□ Par décret du Président de la République en date du 24 décembre 1931 (J.O. 27 déc. 1931, p. 13.233 et 13.234), promu au grade de commandeur dans l’Ordre de la Légion d’honneur dans les termes suivants : « Services : 41 ans 1 mois, dont 10 ans 11 mois à la mer en paix ; 8 campagnes de guerre. Officier du 10 juillet 1917. »
[Ayant été promu médecin principal à compter du 25 février 1916, il fut nommé la même année à la direction du lazaret de Mikra, à Salonique.]
— GUYOT Charles Eugène Camille, né le 22 août 1875 par 26° 8’ S. et 167° 46’ E. à bord du transport à hélice Var (Capitaine de frégate Luc Charles Fernand TESTU de BALINCOURT, commandant), bâtiment de l’État alors affecté à la « transportation de forçats à la Nouvelle-Calédonie », à bord duquel avaient pris passage ses parents (Registre des actes de naissance de la ville de Brest, Année 1876, Vol. I., f° 27, acte n° 87) ; décédé le 27 mars 1918 à l’Hôpital Sainte-Anne de Toulon (Maladie non imputable au ser-vice). Médecin de 1re classe de la Marine [Promu à ce grade par un décret du 14 novembre 1904 (J.O. 16 nov. 1904, p. 6.788)], port de Brest ; classe 1895, n° 2.227 au recrutement de Brest. [École du service de santé de la Marine, promotion 1893]. Entré au service en 1896.] [Non déclaré « Mort pour la France »]
• Fils de Francisque Eugène Étienne GUYOT, né le 20 mai 1849 à Brest (Finistère) et y décédé, le 2 juin 1928, médecin de la Marine — en service à Tahiti en 1876 —, et de Marie Mélite Gabrielle NELLY, née le 9 janvier 1856 à Brest, sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage dans cette ville, le 14 oc-tobre 1874 (Registre des actes de mariage de la ville de Brest, Année 1874, f° 149, acte n° 295) ; union dissoute par un jugement prononcé le 5 août 1908 par le Tribunal civil de 1re instance de Brest (Ibid.).
□ Par décision ministérielle du 15 janvier 1916 (J.O. 18 janv. 1916, p. 484), objet d’une proposition extraordinaire pour le grade d’officier dans l’Ordre de la Légion d’honneur rédigée en ces termes : « Dargein (Jean-Gabriel) : haute valeur professionnelle ; services exceptionnels rendus sur la Bretagne dans l’évacuation des blessés et malades de la région du Nord, et dans ses fonctions actuelles à Moudros. Atteint d’une maladie grave contractée en service, est parti pour le corps expéditionnaire d’Orient aussitôt que ses forces le lui ont permis. »
□ Par décision ministérielle du 10 janvier 1917 (J.O. 15 mars 1917, p. 2.069), lui fut décernée la Médaille de vermeil des épidémies.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 10 juillet 1917 (J.O. 11 juill. 1917, p. 5.317), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier.
□ Par décret du Président de la République en date du 24 décembre 1931 (J.O. 27 déc. 1931, p. 13.233 et 13.234), promu au grade de commandeur dans l’Ordre de la Légion d’honneur dans les termes suivants : « Services : 41 ans 1 mois, dont 10 ans 11 mois à la mer en paix ; 8 campagnes de guerre. Officier du 10 juillet 1917. »
[Ayant été promu médecin principal à compter du 25 février 1916, il fut nommé la même année à la direction du lazaret de Mikra, à Salonique.]
— GUYOT Charles Eugène Camille, né le 22 août 1875 par 26° 8’ S. et 167° 46’ E. à bord du transport à hélice Var (Capitaine de frégate Luc Charles Fernand TESTU de BALINCOURT, commandant), bâtiment de l’État alors affecté à la « transportation de forçats à la Nouvelle-Calédonie », à bord duquel avaient pris passage ses parents (Registre des actes de naissance de la ville de Brest, Année 1876, Vol. I., f° 27, acte n° 87) ; décédé le 27 mars 1918 à l’Hôpital Sainte-Anne de Toulon (Maladie non imputable au ser-vice). Médecin de 1re classe de la Marine [Promu à ce grade par un décret du 14 novembre 1904 (J.O. 16 nov. 1904, p. 6.788)], port de Brest ; classe 1895, n° 2.227 au recrutement de Brest. [École du service de santé de la Marine, promotion 1893]. Entré au service en 1896.] [Non déclaré « Mort pour la France »]
• Fils de Francisque Eugène Étienne GUYOT, né le 20 mai 1849 à Brest (Finistère) et y décédé, le 2 juin 1928, médecin de la Marine — en service à Tahiti en 1876 —, et de Marie Mélite Gabrielle NELLY, née le 9 janvier 1856 à Brest, sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage dans cette ville, le 14 oc-tobre 1874 (Registre des actes de mariage de la ville de Brest, Année 1874, f° 149, acte n° 295) ; union dissoute par un jugement prononcé le 5 août 1908 par le Tribunal civil de 1re instance de Brest (Ibid.).
Distinction honorifique
□ Par décision ministérielle du 7 janvier 1917 (J.O. 10 janv. 1917, p. 367 et 368), félicité pour s’être parti-culièrement distingué par ses capacités professionnelles, son zèle et son dévouement dans les soins donnés aux blessés et aux malades contagieux à bord du navire-hôpital Bretagne-II au cours de l’année 1916.
[Par décret du 21 décembre 1917 (J.O. 22 déc. 1917, p. 10.476), promu au grade de médecin principal à compter du 12 décembre 1917.]
— BERTAUD du CHAZAUD Jean Xavier Bertrand Étienne, né le 4 novembre 1878 à Faux (Dordogne), décédé le 6 mai 1972 à Condom (Gers) (Registre des actes de naissance de la commune de Faux, Année 1878, f° 12, acte n° 20). Médecin de 1re classe de la Marine [Promu à ce grade à compter du 1er février 1909 par un décret du 3 février 1909 (J.O. 5 févr. 1909, p. 1.256)], port de Toulon. [École du service de santé de la Marine, promotion 1899. Entré au service en 1902.]
• Fils de Jean Joseph Alexandre BERTAUD du CHAZAUD, né le 9 mars 1845 à La Tour Blanche (Dordogne), sans profession, et de Marie Thérèse de La CHAPPELLE, née le 16 novembre 1848 à Faux, sans profession ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 4 décembre 1876 (Registre des actes de mariage de la commune de Faux, Année 1876, f° 7, acte n° 7).
• Époux de Marie Catherine Simonne Jeanne du VIGNAU, née le 25 décembre 1889 à Comdom, avec laquelle il avait contracté mariage dans cette commune, le 24 septembre 1912 (Registre des actes de mariage de la commune de Condom, Année 1912, f° 4, acte n° 4).
[Par décret du 21 décembre 1917 (J.O. 22 déc. 1917, p. 10.476), promu au grade de médecin principal à compter du 12 décembre 1917.]
— BERTAUD du CHAZAUD Jean Xavier Bertrand Étienne, né le 4 novembre 1878 à Faux (Dordogne), décédé le 6 mai 1972 à Condom (Gers) (Registre des actes de naissance de la commune de Faux, Année 1878, f° 12, acte n° 20). Médecin de 1re classe de la Marine [Promu à ce grade à compter du 1er février 1909 par un décret du 3 février 1909 (J.O. 5 févr. 1909, p. 1.256)], port de Toulon. [École du service de santé de la Marine, promotion 1899. Entré au service en 1902.]
• Fils de Jean Joseph Alexandre BERTAUD du CHAZAUD, né le 9 mars 1845 à La Tour Blanche (Dordogne), sans profession, et de Marie Thérèse de La CHAPPELLE, née le 16 novembre 1848 à Faux, sans profession ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 4 décembre 1876 (Registre des actes de mariage de la commune de Faux, Année 1876, f° 7, acte n° 7).
• Époux de Marie Catherine Simonne Jeanne du VIGNAU, née le 25 décembre 1889 à Comdom, avec laquelle il avait contracté mariage dans cette commune, le 24 septembre 1912 (Registre des actes de mariage de la commune de Condom, Année 1912, f° 4, acte n° 4).
Distinctions honorifiques
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 11 octobre 1915 (J.O. 13 oct. 1915, p. 7.354 et 7.355), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade de chevalier.
□ Par décision ministérielle du 7 janvier 1917 (J.O. 10 janv. 1917, p. 367 et 368), félicité pour s’être particulièrement distingué par ses capacités professionnelles, son zèle et son dévouement dans les soins donnés aux blessés et aux malades contagieux à bord du navire-hôpital Bretagne-II au cours de l’année 1916.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 28 juillet 1921 (J.O. 10 août 1921, p. 9.408), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier.
[Par décret du 15 janvier 1920 (J.O. 18 janv. 1920, p. 980), promu au grade de médecin principal.
Par décision ministérielle du 26 novembre 1924 (J.O. 28 nov. 1924, p. 10.484), admis à faire valoir ses droits à la retraite, à titre d'ancienneté de services et sur sa demande, à compter du 1er décembre 1924 ; rayé des contrôles de l’activité à la même date.]
― KERVERN Mathieu Louis Marie, né le 25 août 1877 à Lambézellec (Finistère), au lieu-dit « Le Moulin à poudre » (Registre des actes de naissance de la commune de Lambézellec, Année 1877, f° 71, acte n° 278), décédé le 22 décembre 1914 à l’Hôpital temporaire n° ... de Saint-Nazaire (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique) (Maladie contractée en service : myocardite infectieuse d’origine typhique). Médecin de 1re classe de la Marine [Promu à ce grade par un décret du 23 décembre 1910 (J.O. 25 déc. 1910, p. 10.510)], port de Brest ; classe 1897, n° 695 au recrutement de Brest. [École du service de santé de la Marine, promotion 1900. Entré au service en 1903.]
• Fils d’Émile Marie KERVERN, né le 29 mars 1848 à Lambézellec et y décédé, le 13 janvier 1896, « caporal d’armes à la Division de Brest » (en 1877), et de Marguerite CORELLOU, née le 10 juin 1856 à Lambézellec et y décédée, le 25 janvier 1923, tripière (en 1874) ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 18 janvier 1874 (Registre des actes de mariage de la commune de Lambézellec, Année 1874, f° 5, acte n° 8).
• Époux en premières noces de Marie LE BOUVIER, née le 7 février 1882 à Brest (Finistère) (Registre des actes de naissance de la ville de Brest, Année 1882, Vol. I., f° 43, acte n° 150), décédée le 3 avril 1904 à Toulon (Var) (Registre des actes de décès de la ville de Brest, Année 1904, acte n° 579), sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage dans cette commune, le 7 janvier 1904 (Registre des actes de mariage de la commune de Lambézellec, Année 1904, f° 3, acte n° 3).
Époux en secondes noces de Jeanne Émilie ROUSSAIN [ou ROUSSIN], née le 31 août 1883 à Lambézellec, décédée le 14 mai 1954 à Donzenac (Corrèze) (Registre des actes de naissance de la commune de Lambézellec, Année 1883, f° 89, acte n° 350), sans profession ; époux ayant contracté mariage à Lambézellec, le 15 juillet 1907 (Registre des actes de mariage de la commune de Lambézellec, Année 1907, f° 46, acte n° 88).
□ Par décision ministérielle du 7 janvier 1917 (J.O. 10 janv. 1917, p. 367 et 368), félicité pour s’être particulièrement distingué par ses capacités professionnelles, son zèle et son dévouement dans les soins donnés aux blessés et aux malades contagieux à bord du navire-hôpital Bretagne-II au cours de l’année 1916.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 28 juillet 1921 (J.O. 10 août 1921, p. 9.408), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier.
[Par décret du 15 janvier 1920 (J.O. 18 janv. 1920, p. 980), promu au grade de médecin principal.
Par décision ministérielle du 26 novembre 1924 (J.O. 28 nov. 1924, p. 10.484), admis à faire valoir ses droits à la retraite, à titre d'ancienneté de services et sur sa demande, à compter du 1er décembre 1924 ; rayé des contrôles de l’activité à la même date.]
― KERVERN Mathieu Louis Marie, né le 25 août 1877 à Lambézellec (Finistère), au lieu-dit « Le Moulin à poudre » (Registre des actes de naissance de la commune de Lambézellec, Année 1877, f° 71, acte n° 278), décédé le 22 décembre 1914 à l’Hôpital temporaire n° ... de Saint-Nazaire (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique) (Maladie contractée en service : myocardite infectieuse d’origine typhique). Médecin de 1re classe de la Marine [Promu à ce grade par un décret du 23 décembre 1910 (J.O. 25 déc. 1910, p. 10.510)], port de Brest ; classe 1897, n° 695 au recrutement de Brest. [École du service de santé de la Marine, promotion 1900. Entré au service en 1903.]
• Fils d’Émile Marie KERVERN, né le 29 mars 1848 à Lambézellec et y décédé, le 13 janvier 1896, « caporal d’armes à la Division de Brest » (en 1877), et de Marguerite CORELLOU, née le 10 juin 1856 à Lambézellec et y décédée, le 25 janvier 1923, tripière (en 1874) ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 18 janvier 1874 (Registre des actes de mariage de la commune de Lambézellec, Année 1874, f° 5, acte n° 8).
• Époux en premières noces de Marie LE BOUVIER, née le 7 février 1882 à Brest (Finistère) (Registre des actes de naissance de la ville de Brest, Année 1882, Vol. I., f° 43, acte n° 150), décédée le 3 avril 1904 à Toulon (Var) (Registre des actes de décès de la ville de Brest, Année 1904, acte n° 579), sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage dans cette commune, le 7 janvier 1904 (Registre des actes de mariage de la commune de Lambézellec, Année 1904, f° 3, acte n° 3).
Époux en secondes noces de Jeanne Émilie ROUSSAIN [ou ROUSSIN], née le 31 août 1883 à Lambézellec, décédée le 14 mai 1954 à Donzenac (Corrèze) (Registre des actes de naissance de la commune de Lambézellec, Année 1883, f° 89, acte n° 350), sans profession ; époux ayant contracté mariage à Lambézellec, le 15 juillet 1907 (Registre des actes de mariage de la commune de Lambézellec, Année 1907, f° 46, acte n° 88).
Pharmacien
— BOUIC Marc Pierre Fernand, né le 22 novembre 1882 à Moutiers-les-Mauxfaits (Vendée) (Registre des actes de naissance de la commune de Moutiers-les-Mauxfaits, Année 1882, f° 6, acte n° 18), décédé le 2 février 1930 à Cérilly (Allier). Pharmacien de 1re classe de la Marine [Promu à ce grade par un décret du 11 juin 1915 (J.O. 14 juin 1915, p. 3.887)], port de Lorient ; classe 1902, n° 292 au recrutement de Fontenay- le-Comte. [École du service de santé de la Marine, promotion 1905]. Entré au service en 1909.]
• Fils de Marc BOUIC, né vers 1851, commis à l’administration des contributions indirectes, et d’Esther SEGUIN, née vers 1858, sans profession, son épouse.
• Époux d’Andrée Louise Félicia SANNEJEAN, née le 23 janvier 1888 aux Sables-d’Olonne (Vendée), avec laquelle il avait contracté mariage dans cette commune, le 27 septembre 1911 (Registre des actes de naissance de la commune des Sables-d’Olonne, Année 1888, f° ..., acte n° 19).
• Fils de Marc BOUIC, né vers 1851, commis à l’administration des contributions indirectes, et d’Esther SEGUIN, née vers 1858, sans profession, son épouse.
• Époux d’Andrée Louise Félicia SANNEJEAN, née le 23 janvier 1888 aux Sables-d’Olonne (Vendée), avec laquelle il avait contracté mariage dans cette commune, le 27 septembre 1911 (Registre des actes de naissance de la commune des Sables-d’Olonne, Année 1888, f° ..., acte n° 19).
Distinction honorifique
□ Par décision ministérielle du 7 janvier 1917 (J.O. 10 janv. 1917, p. 367 et 368), félicité pour s’être particulièrement distingué par ses capacités professionnelles, son zèle et son dévouement dans les soins donnés aux blessés et aux malades contagieux à bord du navire-hôpital Bretagne-II au cours de l’année 1916.
[Avait embarqué sur le navire-hôpital Bretagne-II le 22 mars 1915. Démissionnaire de son grade le 14 octobre 1919.]
[Avait embarqué sur le navire-hôpital Bretagne-II le 22 mars 1915. Démissionnaire de son grade le 14 octobre 1919.]