
Légende de cette photo:
Léon Bourjade, as de l'aviation de la grande guerre./ Photo DDM,
Vu ici
http://www.ladepeche.fr/article/2014/08 ... heros.html
Cdlt
Claude
BonjourBonjour,
Très bien mais où sont les simples Poilus, ceux qui souffraient dans les tranchées parmi les obus, les balles, la vermine, la soif ???
Je remarque que chaque fois il s'agit d'un officier, d'un aviateur, je m'étonne de ne pas trouver un simple Poilu...
J.Claude
Bonjour, j'ai effectivement appris la tenue de cette cérémonie, même si je n'ai malheureusement pas pu m'y rendre.Bonjour à tous,
Dans le cadre qui nous intéresse ici et afin de marquer le Centenaire du début de la Grande-Guerre, une célébration sera organisée le 6 septembre 2014 sur la Place FOCH de la ville d'EPINAL (88) à 18h15.
Le drapeau du 170e RI y sera présent et une évocation historique lui sera dédiée ainsi qu'au 149e RI: Le Soldat Louis PELLETIER, premier tué du 170e RI, sera honoré.
"C'est dans la nuit du 31 juillet 1914 que le 149e RI quitte la garnison tandis que le 170e RI reçoit la mission de tenir les forts d'EPINAL. Par la suite, la situation tactique évoluant, ce même régiment rejoindra le front à marche forcée, dès le 10 septembre 14."
Cdlt
Bonjour
Source : http://lemamouth.blogspot.fr/2014/09/co ... heros.html
Comment le CEMA a choisi son héros
De retour ce samedi sur ses anciennes terres de commandant de la 2e BB, le CEMA a honoré à Orléans la mémoire de l'aspirant Germain Foch, dans le cadre de la cérémonie nationale qu'il a lui-même conceptualisée : 100 villes, 100 héros, 100 drapeaux. L'idée-maîtresse est de faire le lien entre les soldats de 1914, et ceux de 2014, même si les adversaires ne sont plus les mêmes.
L'aspirant Germain Foch a été choisi a plus d'un titre, explique-t-on dans l'entourage du CEMA. Ce dernier est un ardent admirateur du maréchal (1) et de ses principes. L'aspirant Foch, officier au 131e RI d'Orléans, était son propre fils (unique), il fut tué dans le premier mois du conflit (le 22 août) à Ville-Houdlemont (54), lors de l'attaque de Baranzy. Cherchant à couvrir une retraite par une charge à la baïonette, il meurt quelques heures avant que le propre gendre du général, le capitaine Paul Bécourt (du 26e BC) ne perde lui aussi la vie non loin de là, à Joppecourt. Les réseaux de l'époque font que le général ne l'aura appris que plus de deux semaines plus tard.
Le cas du fils Foch est aussi emblématique en ce sens qu'il n'était pas officier natif, mais était un ancien sous-officier.
(1) c'est aussi lui qui a dit "un homme sans mémoire est un homme sans vie, un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir".
Cordialement
Jean-Louis
Bonjour,
Très bien mais où sont les simples Poilus, ceux qui souffraient dans les tranchées parmi les obus, les balles, la vermine, la soif ???
Je remarque que chaque fois il s'agit d'un officier, d'un aviateur, je m'étonne de ne pas trouver un simple Poilu...
J.Claude