Marc Bloch ! lieutenant au 72ème RI, écrivain, fusillé en 1944. Peut être au panthéon ?
Laurent.
Poilus Célèbres
Re: Poilus Célèbres
Histoire du soldat François Louchart 72ème RI .
Pages du 72e et 272e RI [https://www.facebook.com/laurentsoyer59[/url].
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martinez renaud
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Re: Poilus Célèbres
bonjour Terrasson, bonjour à tous
il s'agît en effet du nom du célèbre stade
c'est lui qui avait marqué l'essai de la victoire. Il est mort à 20 ans
amicalement
Renaud
il s'agît en effet du nom du célèbre stade
c'est lui qui avait marqué l'essai de la victoire. Il est mort à 20 ans
amicalement
Renaud
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laurent jm
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Re: Poilus Célèbres
Bonjour à toutes et à tous
Bonjour François pas de réaction concernant François FABER
Bonjour grain,
En complément du message du 18/12
« Il y aussi les sportifs;
Comme: Jean BOUIN, un nommé FAVERGE je crois vainqueur d'un tour de France (il y à une plaque en sa mémoire a Lorette) il fut tué a CARENCY. »
Il ne s’agit pas de FAVERGE mais de François FABER vainqueur du Tour de France en 1909, il est disparu dans la région de Berthonval, dans le Pas de Calais, pendant l’attaque des Ouvrages Blancs
Jean Bouin
Jean Bouin fut le premier athlète français à être officiellement recordman du monde en course à pied.
Né à Marseille en 1888, Jean Bouin pratiqua très tôt de nombreux sports (natation, escrime, gymnastique….).
Cette carrière s'est malheureusement prématurément arrêtée par une sombre journée de septembre 1914. Chargé de faire le messager du front, il fut tué suite à une erreur de tir de l'artillerie française. Il n'avait que 26 ans et une belle carrière devant lui.
Son régiment dans les Vosges. Il meurt le 28 septembre, atteint en pleine poitrine par les éclats d'obus d'un canon de 75 français.
Pas de trace sur SGA
François FABER
Sur les murs de la Basilique de Notre Dame de Lorette (Pas de Calais), des plaques rappellent le souvenir de tel soldat, tel régiment, dont celle de François FABER, vainqueur du Tour de France en 1909, mort à Carency en mai 1915 (pilier à gauche du chœur).
Caporal Faber 1887 - 1915 Le champion cycliste luxembourgeois François Faber est né le 26 janvier 1887 à Aulnay sur Iton (eure). Avant la première guerre mondiale, François Faber s’était construit un honorable palmarès de champion cycliste dans un style vigoureux qui lui avait valu d’être surnommé le colosse de Colombes. Il signe alors un engagement à la Légion étrangère pour la durée de la guerre et rejoint en août 1914, le 2ème régiment de marche du 2ème régiment étranger. Il est nommé caporal au front en décembre. Le 9 mai 1915, il est tué dans la région de Berthonval, dans le Pas de Calais, pendant l’attaque des Ouvrages Blancs. Quatre jours avant sa mort, était née sa fille, son unique enfant.
Sur SGA on peu lire né le 17 juillet 1893 Beggen à Wimlzig
Amicalement
Jean Marie LAURENT
« Allons, du courage, voilà les brancardiers. »
Le Dr Duwez Maurice
Alias Max Deauville
Bonjour François pas de réaction concernant François FABER
Bonjour grain,
En complément du message du 18/12
« Il y aussi les sportifs;
Comme: Jean BOUIN, un nommé FAVERGE je crois vainqueur d'un tour de France (il y à une plaque en sa mémoire a Lorette) il fut tué a CARENCY. »
Il ne s’agit pas de FAVERGE mais de François FABER vainqueur du Tour de France en 1909, il est disparu dans la région de Berthonval, dans le Pas de Calais, pendant l’attaque des Ouvrages Blancs
Jean Bouin
Jean Bouin fut le premier athlète français à être officiellement recordman du monde en course à pied.
Né à Marseille en 1888, Jean Bouin pratiqua très tôt de nombreux sports (natation, escrime, gymnastique….).
Cette carrière s'est malheureusement prématurément arrêtée par une sombre journée de septembre 1914. Chargé de faire le messager du front, il fut tué suite à une erreur de tir de l'artillerie française. Il n'avait que 26 ans et une belle carrière devant lui.
Son régiment dans les Vosges. Il meurt le 28 septembre, atteint en pleine poitrine par les éclats d'obus d'un canon de 75 français.
Pas de trace sur SGA
François FABER
Sur les murs de la Basilique de Notre Dame de Lorette (Pas de Calais), des plaques rappellent le souvenir de tel soldat, tel régiment, dont celle de François FABER, vainqueur du Tour de France en 1909, mort à Carency en mai 1915 (pilier à gauche du chœur).
Caporal Faber 1887 - 1915 Le champion cycliste luxembourgeois François Faber est né le 26 janvier 1887 à Aulnay sur Iton (eure). Avant la première guerre mondiale, François Faber s’était construit un honorable palmarès de champion cycliste dans un style vigoureux qui lui avait valu d’être surnommé le colosse de Colombes. Il signe alors un engagement à la Légion étrangère pour la durée de la guerre et rejoint en août 1914, le 2ème régiment de marche du 2ème régiment étranger. Il est nommé caporal au front en décembre. Le 9 mai 1915, il est tué dans la région de Berthonval, dans le Pas de Calais, pendant l’attaque des Ouvrages Blancs. Quatre jours avant sa mort, était née sa fille, son unique enfant.
Sur SGA on peu lire né le 17 juillet 1893 Beggen à Wimlzig
Amicalement
Jean Marie LAURENT
« Allons, du courage, voilà les brancardiers. »
Le Dr Duwez Maurice
Alias Max Deauville
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laurent jm
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Re: Poilus Célèbres
Bonsoir à toutes, Bonsoir à tous,
Je réside au 16 de la rue , je n’est pas résisté.
Roger, Henri, Charles Salengro voit le jour à Lille le 30 mai 1890, au 19 rue Mirabeau (ancienne rue Stien) dans le quartier de Fives.
A la fin de 1912 Roger Salengro effectue son service militaire au 33e Régiment d’Infanterie d’Arras : au cours d’une permission, il participe en tenue militaire, à une manifestation contre la loi des trois ans. Signalé, il est dès lors inscrit sur la liste des suspects à surveiller en cas de guerre : le fameux carnet B. Considéré comme antimilitariste, il se voit constamment harcelé pendant son service militaire, notamment par le commandant du régiment, Philippe Pétain qui veut le prendre en flagrant délit de propagande subversive. Libéré de prison, Roger Salengro se porte volontaire pour le Front : " je pars radieux, sachant pourquoi je me bats et décidé à faire tout mon devoir. C’est pour notre cher parti que nous lutons " écrit-il à son ami Charles Miens en 1915.
Il participe aux combats d’Artois et de Champagne avec une bravoure qui lui vaut d’être nommé " cycliste du chef ", c’est à dire agent de liaison et opère dans la Marne.
Le 7 octobre 1915, il apprend que son ami le sergent Demailly a été tué : pour rester fidèle à une promesse conjointe, il obtient l’autorisation de son supérieur d’aller récupérer les papiers de son ami, tombé dans les lignes ennemies. C’est alors qu’il disparaît aux yeux de ses camarades qui le croient mort.
En fait il est fait prisonnier par les Allemands, interné en Bavière à Grafenwöhr puis à Amberg.
Très vite il s’impose comme meneur d’hommes et renforce par son comportement le moral de ses compagnons, en créant un journal " Baracke ". En avril 1916 il est désigné pour faire partie d’un convoi de 40 prisonniers français pour aller travailler dans une usine de matériel de guerre. Il organise le refus en déclarant : " Je préfère être fusillé que travailler contre mon pays ". Traduit devant un conseil de guerre allemand, il est condamné à deux ans de prison et interné dans le camp disciplinaire de Kottbus. Il y passe 20 mois et subit un régime de détention inhumain. Souffrant d’anémie cérébrale, il reste entre la vie et la mort avant d’être rapatrié en Suisse en avril 1918 dans un convoi de grands blessés. Il rejoint Lille en novembre 1918, pesant 40 kilos.
Source http://www2.ac-lille.fr/houplines/Roger%20Salengro.htm
A suivre
Bon Réveillon et Bonne Année à tous
Amicalement
Jean Marie LAURENT
« Allons, du courage, voilà les brancardiers. »
Le Dr Duwez Maurice
Alias Max Deauville
Je réside au 16 de la rue , je n’est pas résisté.
Roger, Henri, Charles Salengro voit le jour à Lille le 30 mai 1890, au 19 rue Mirabeau (ancienne rue Stien) dans le quartier de Fives.
A la fin de 1912 Roger Salengro effectue son service militaire au 33e Régiment d’Infanterie d’Arras : au cours d’une permission, il participe en tenue militaire, à une manifestation contre la loi des trois ans. Signalé, il est dès lors inscrit sur la liste des suspects à surveiller en cas de guerre : le fameux carnet B. Considéré comme antimilitariste, il se voit constamment harcelé pendant son service militaire, notamment par le commandant du régiment, Philippe Pétain qui veut le prendre en flagrant délit de propagande subversive. Libéré de prison, Roger Salengro se porte volontaire pour le Front : " je pars radieux, sachant pourquoi je me bats et décidé à faire tout mon devoir. C’est pour notre cher parti que nous lutons " écrit-il à son ami Charles Miens en 1915.
Il participe aux combats d’Artois et de Champagne avec une bravoure qui lui vaut d’être nommé " cycliste du chef ", c’est à dire agent de liaison et opère dans la Marne.
Le 7 octobre 1915, il apprend que son ami le sergent Demailly a été tué : pour rester fidèle à une promesse conjointe, il obtient l’autorisation de son supérieur d’aller récupérer les papiers de son ami, tombé dans les lignes ennemies. C’est alors qu’il disparaît aux yeux de ses camarades qui le croient mort.
En fait il est fait prisonnier par les Allemands, interné en Bavière à Grafenwöhr puis à Amberg.
Très vite il s’impose comme meneur d’hommes et renforce par son comportement le moral de ses compagnons, en créant un journal " Baracke ". En avril 1916 il est désigné pour faire partie d’un convoi de 40 prisonniers français pour aller travailler dans une usine de matériel de guerre. Il organise le refus en déclarant : " Je préfère être fusillé que travailler contre mon pays ". Traduit devant un conseil de guerre allemand, il est condamné à deux ans de prison et interné dans le camp disciplinaire de Kottbus. Il y passe 20 mois et subit un régime de détention inhumain. Souffrant d’anémie cérébrale, il reste entre la vie et la mort avant d’être rapatrié en Suisse en avril 1918 dans un convoi de grands blessés. Il rejoint Lille en novembre 1918, pesant 40 kilos.
Source http://www2.ac-lille.fr/houplines/Roger%20Salengro.htm
A suivre
Bon Réveillon et Bonne Année à tous
Amicalement
Jean Marie LAURENT
« Allons, du courage, voilà les brancardiers. »
Le Dr Duwez Maurice
Alias Max Deauville
Re: Poilus Célèbres
Joé Bousquet le poéte.
Né le 19 mars 1897 à Narbonne, En 1914, devança l'appel, et choisit le 156émeRg, où il se montra aussi courageux qu' indiscipliné. Le 27 mai 1918 à Vailly il s'exposa au feu et fut blessé à la colonne vertébrale. Il vivra désormais à Carcassonne dans sa chambre aux volets clos, se consacrant à l'art de l'écriture. Il mourra le 28 septembre 1950.
" Il peuplait à lui seul, parleur immobile sous la lampe pàle, les nuits de Carcassonne." Lavande.
Né le 19 mars 1897 à Narbonne, En 1914, devança l'appel, et choisit le 156émeRg, où il se montra aussi courageux qu' indiscipliné. Le 27 mai 1918 à Vailly il s'exposa au feu et fut blessé à la colonne vertébrale. Il vivra désormais à Carcassonne dans sa chambre aux volets clos, se consacrant à l'art de l'écriture. Il mourra le 28 septembre 1950.
" Il peuplait à lui seul, parleur immobile sous la lampe pàle, les nuits de Carcassonne." Lavande.
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dominique boitel
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- Inscription : ven. nov. 19, 2004 1:00 am
Re: Poilus Célèbres
bonjour
je souhaite assimiler LOUISE DE BETTIGNIES à nos poilus de 14.18 .cette grande dame fut assassinée par ses bourreaux allemands; je vous propose sa citation à l'ordre de l'armée.__mademoiselle LOUISE DE BETTIGNIES s'est volontairement dévouée pendant plusieurs mois , animée uniquement par le sentiment patriotique le plus élevé , pour rendre à son pays un service des plus important pour la défense nationale.
A affronté avec un courage infléxible toutes les difficultés périlleuses de sa tâche patriotique.
A surmonté pendant longtemps ces difficultés grâce à ses capacités et à son dévouement , risquant sa vie en plusieurs occasions , assumant les plus graves responsabilités , déployant en un mot , un héroisme qui a été rarement surpassé.
au grand quartier général , le 20 avril 1916 .
JOFFRES
Maréchal de France
cette citation comporte l'attribution de la CROIX DE GUERRE avec palmes
si ça c'est pas digne d'un poilu , ça !!!
Dominique BOITEL
je souhaite assimiler LOUISE DE BETTIGNIES à nos poilus de 14.18 .cette grande dame fut assassinée par ses bourreaux allemands; je vous propose sa citation à l'ordre de l'armée.__mademoiselle LOUISE DE BETTIGNIES s'est volontairement dévouée pendant plusieurs mois , animée uniquement par le sentiment patriotique le plus élevé , pour rendre à son pays un service des plus important pour la défense nationale.
A affronté avec un courage infléxible toutes les difficultés périlleuses de sa tâche patriotique.
A surmonté pendant longtemps ces difficultés grâce à ses capacités et à son dévouement , risquant sa vie en plusieurs occasions , assumant les plus graves responsabilités , déployant en un mot , un héroisme qui a été rarement surpassé.
au grand quartier général , le 20 avril 1916 .
JOFFRES
Maréchal de France
cette citation comporte l'attribution de la CROIX DE GUERRE avec palmes
si ça c'est pas digne d'un poilu , ça !!!
Dominique BOITEL
Re: Poilus Célèbres
bonsoir,
Moins connu : Henri collignon,1856 1916 conseiller d'etat ancien secretaire de la presidence de la republique chevalier de la legion d'honneur, engage volontaire pour la duree de la guerre, porte drapeau au 46 RI, tue à vauquois.
Il avait ete prefet du finistere et en tant que tel en 1902 participe à l'interdiction de la langue bretonne
il avait aussi contribue a divulguer et faire paraitre les ecrit d'un nomme Waltz plus connu sous le nom de Hansi
Moins connu : Henri collignon,1856 1916 conseiller d'etat ancien secretaire de la presidence de la republique chevalier de la legion d'honneur, engage volontaire pour la duree de la guerre, porte drapeau au 46 RI, tue à vauquois.
Il avait ete prefet du finistere et en tant que tel en 1902 participe à l'interdiction de la langue bretonne
il avait aussi contribue a divulguer et faire paraitre les ecrit d'un nomme Waltz plus connu sous le nom de Hansi
pierre
Re: Poilus Célèbres
Concernant Hansi Jean jacques Waltz 1873-1951, engage volontaire au 152 RI en tant qu'interprete, il s'est rendu celebre par ses caricatures farouchement profrancaise et ses aquarelles representant une alsace idealisee
pierre
Re: Poilus Célèbres
Concenant Charles Péguy, déjà cité, mon grand père était caporal dans sa section de la 19 e cie du 276 RI.
Les hommes ignoraient qui était leur lieutenant. Ce n'est qu'au décès de celui-ci qu'ils ont su qui était Péguy.
A noter que le capitaine de la Compagnie, Guerin a été tué le même jour que Péguy le 05/09/1914 et que son remplaçant fut Claude Casimir-Perrier (ami de Péguy), fils de l'ancien président de la république et dont le secrétaire avant la guerre fut Alain Fournier.
Mon grand père a tenu un cahier de notes pour cette année 1914 et vous pouvez le voir:
[url] http://journaldupoiluhb.free.fr/1914/accueil.htm
De même que les derniers instants de Charles Péguy, extraits du livre de Victor Boudon (ami de mon grand père qui se retrouvaient tous les ans à la Grande tombe de Villeroy), et reproduits avec l'aimable autorisation des Ed Albin Michel (l'excellent livre de V Boudon 'Mon lieutenant Charles Péguy" que l'on trouve seulement sur le marché de l'occasion)
Les hommes ignoraient qui était leur lieutenant. Ce n'est qu'au décès de celui-ci qu'ils ont su qui était Péguy.
A noter que le capitaine de la Compagnie, Guerin a été tué le même jour que Péguy le 05/09/1914 et que son remplaçant fut Claude Casimir-Perrier (ami de Péguy), fils de l'ancien président de la république et dont le secrétaire avant la guerre fut Alain Fournier.
Mon grand père a tenu un cahier de notes pour cette année 1914 et vous pouvez le voir:
[url] http://journaldupoiluhb.free.fr/1914/accueil.htm
De même que les derniers instants de Charles Péguy, extraits du livre de Victor Boudon (ami de mon grand père qui se retrouvaient tous les ans à la Grande tombe de Villeroy), et reproduits avec l'aimable autorisation des Ed Albin Michel (l'excellent livre de V Boudon 'Mon lieutenant Charles Péguy" que l'on trouve seulement sur le marché de l'occasion)
Dapat
Re: Poilus Célèbres
Ce qui est moins connu, Jean RENOIR, qui était dans le 3ème escadron du 1er Dragons sous les ordres du Capitaine Louis Bossut.
Sciemment ou inconsciemment,,il a pris celui-ci comme modèle dans "La grande illusion pour le role du Capitaine Boëldieu, qui est une copie de Louis Bossut;
Egalement du 1er Dragons, un autre metteur en scene de cinéma, Jean de Limur
Louis
Sciemment ou inconsciemment,,il a pris celui-ci comme modèle dans "La grande illusion pour le role du Capitaine Boëldieu, qui est une copie de Louis Bossut;
Egalement du 1er Dragons, un autre metteur en scene de cinéma, Jean de Limur
Louis
Tinou 501