Marins de l’État disparus le 12 mai 1918 avec le cargo Pax
[Jug. Trib. civ. 1re inst. Marseille, 29 janv. 1919, transcrit le 1er mars 1919 à Marseille]
― CHEVALLET Marius Étienne Joseph, né le 3 janvier 1898 au Pin (Isère), hameau de Brandou (Registre des actes de naissance de la commune du Pin, Année 1898, f° 1, acte n° 1), et domicilié à Saint-Ondras (– d° –).
Matelot de 2e classe canonnier, Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B.C.) de Marseille, matricule n° 65.998 – 5 ; classe 1918, n° 891 au recrutement de Bourgoin.
• Fils de Joseph Antoine CHEVALLET, né le 30 juin 1866 à Saint-Ondras (Registre des actes de nais-sance de la commune de Saint-Ondras, Année 1866, f° 4, acte n° 10), cultivateur, et de Marie SEIGLE-FERRANT, née le 23 septembre 1866 à Saint-Pierre-de-Paladru (Isère), « ménagère » ; époux ayant contracté mariage à Paladru (– d° –), le 29 mai 1891 (Registre des actes de mariage de la commune de Paladru, Année 1891, f° 4, acte n° 4). Célibataire. Était cultivateur lors des opérations de recrutement de sa classe.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 7 mars 1922 (art. 2 ; J.O. 15 mars 1922, p. 2.952 et 2.955), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « Chevalet (Marius-Étienne), matelot canonnier, 65.998 – 5 : mort pour la France, ayant disparu en mer avec le vapeur Pax, torpillé par l’ennemi, le 12 mai 1918. Croix de guerre avec étoile de vermeil. »
[Incorporé à compter du 1er mai 1917 au 5e Dépôt des équipages de la flotte, à Toulon. Arrivé au corps et matelot de 2e classe le 2, matricule n° 65.998 – 5.]
― GARAT Pierre, né le 12 décembre 1897 à Saint-Martin-de-Hinx (Landes), au lieu-dit « Laborde de Nas-suts », et domicilié dans ladite commune.
Matelot de 3e classe sans spécialité, Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M. B.C.) de Marseille, matricule n° 64.965 – 5 ; classe 1917, n° 47 au recrutement de Mont-de-Marsan.
• Fils d’Étienne GARAT, né le 17 mars 1868 à Saint-Martin-de-Hinx, cultivateur, et de Marie CASSAGNE, née le 18 octobre 1871 à Saint-Lon-les-Mines (Landes), « ménagère » [Cultivatrice en 1895] ; époux ayant contracté mariage à Saint-Martin-de-Hinx, le 17 février 1895 (Registre des actes de mariage de la commune de Saint-Martin-de-Hinx, Année 1895, f° 4, acte n° 4 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Saint-Martin-de-Hinx, Année 1897, f° 8, acte n° 26).
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 7 mars 1922 (art. 2 ; J.O. 15 mars 1922, p. 2.952 et 2.955), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « Garat (Pierre), matelot sans spécialité, 64.965 – 5 : mort pour la France, ayant disparu en mer avec le vapeur Pax, torpillé par l’ennemi, le 12 mai 1918. Croix de guerre avec étoile de vermeil. »
[Engagé volontaire pour 4 ans à la mairie de Bayonne au titre du 5e Dépôt des équipages de la flotte, à Toulon. Arrivé au corps et matelot de 3e classe sans spécialité le 28, matricule n° 64.965 – 5.]
― LARGER Albert Joseph, né le 15 décembre 1897 à An Chau (Province de Quang Yên, Tonkin — aujour-d’hui Viet-nam) et domicilié en dernier lieu à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), au 29, boulevard de la République.
Apprenti marin, opérateur radiotélégraphiste, Centre d’armement militaire des bâtiments de com-merce (A.M.B.C.) de Marseille, matricule n° 71.869 – 5 ; classe 1917, n° 117 au recrutement de Marseille ~ Digne.
• Fils de Joseph LARGER, né le 17 avril 1860 à Felleringen — aujourd’hui Fellering — (Haut-Rhin), garde principal de 1re classe de la Garde indigène, et d’Hô-Thi-KÎEN, née vers 1874 à Minh Caîn (Province de Quang Binh, Annam — aujourd’hui Viet-nam), sans profession. Reconnu par ses parent le 22 avril 1899 à la Résidence de France de la Province de Bac Ninh (Registre des actes d’état civil de la province de Bac Ninh, Année 1899, f° 1, acte n° 2). Époux ayant contracté mariage le 13 avril 1903 à la Résidence de France de Fai Fo (Annam — aujourd’hui Viet-nam) (Registre des actes d’état civil de la Résidence de France à Fai Fo, Année 1903, f° 1). Était élève de l’École de télégraphie sans fil lors des opérations de recrutement de sa classe.
[Affecté au 5e Dépôt des équipages de la flotte, à Toulon, par une décision ministérielle du 30 avril 1918. Dirigé sur ledit corps le 2 mai 1918 et y arrivé le 3.]
― REYBAUD Émile Clément, né le 12 septembre 1900 à Pertuis (Vaucluse) et y domicilié.
Matelot de 3e classe sans spécialité, Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B. C.) de Marseille, matricule n° 1.436 – 5 G. ; classe 1920, n° 1.047 au recrutement de Digne-les-Bains.
• Fils d’Ange Hippolyte REYBAUD, né le 15 octobre 1874 à Lersches-en-Diois (Drôme), cultivateur, et de Thérèse Baptistine Marie FIGHIERA, née le 9 août 1876 à Èze (Alpes-Maritimes), sans profession (Registre des actes de naissance de la commune de Pertuis, Année 1900, f° x, acte n° 72) ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 26 août 1899. Exerçait la profession de mécanicien lors des opérations de recrutement de sa classe.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 7 mars 1922 (art. 2 ; J.O. 15 mars 1922, p. 2.952 et 2.955), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « Raybaud (Émile-Clément), apprenti marin, 1.456 – 5 G. : mort pour la France, ayant disparu en mer avec le vapeur Pax, torpillé par l’ennemi, le 12 mai 1918. Croix de guerre avec étoile de vermeil. »
[Engagé volontaire pour la durée de la guerre le 22 février 1918 à la mairie de Nice au titre du 5e dépôt des équipages de la flotte, à Toulon. Arrivé au corps et matelot de 3e classe sans spécialité le 24. Affecté au Cen-tre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B.C.) de Toulon du 15 au 30 avril 1918. Affecté au Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B.C.) de Marseille du 30 avril au 12 mai 1918, jour de son décès.]
― THOREL Arsène Julien, né le 1er août 1898 à Villerville (Calvados) et domicilié à Honfleur (– d° –).
Matelot de 3e classe canonnier, Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B.C.) de Toulon, inscrit le 8 août 1916 au quartier de Honfleur, n° 971 ; classe 1918, n° 932 au recrutement de Lisieux. Était marin lors des opérations de recrutement de sa classe.
• Fils de Louis THOREL, né le 13 mars 1867 à Villerville, marin-pêcheur, et de Marie Augustine CAUSSE, née le 29 septembre 1867 à Villerville, décédée le 26 septembre 1910 au Havre (Seine-Infé-rieure — aujourd’hui Seine-Maritime), « occupée au ménage » ; époux ayant contracté mariage à Viller-ville, le 4 mars 1891 (Registre des actes de mariage de la commune de Villerville, Année 1891, f° 3, acte n° 2 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Villerville, Année 1898, f° 9 , acte n° 18).
• Époux de Renée Ernestine Gabrielle GIFFARD, née le 18 mars 1895 au Havre, sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage à Honfleur, le 24 août 1917 (Registre des actes de mariage de la commune de Honfleur, Année 1917, f° 31, acte n° 48).
Matelot de 2e classe canonnier, Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B.C.) de Marseille, matricule n° 65.998 – 5 ; classe 1918, n° 891 au recrutement de Bourgoin.
• Fils de Joseph Antoine CHEVALLET, né le 30 juin 1866 à Saint-Ondras (Registre des actes de nais-sance de la commune de Saint-Ondras, Année 1866, f° 4, acte n° 10), cultivateur, et de Marie SEIGLE-FERRANT, née le 23 septembre 1866 à Saint-Pierre-de-Paladru (Isère), « ménagère » ; époux ayant contracté mariage à Paladru (– d° –), le 29 mai 1891 (Registre des actes de mariage de la commune de Paladru, Année 1891, f° 4, acte n° 4). Célibataire. Était cultivateur lors des opérations de recrutement de sa classe.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 7 mars 1922 (art. 2 ; J.O. 15 mars 1922, p. 2.952 et 2.955), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « Chevalet (Marius-Étienne), matelot canonnier, 65.998 – 5 : mort pour la France, ayant disparu en mer avec le vapeur Pax, torpillé par l’ennemi, le 12 mai 1918. Croix de guerre avec étoile de vermeil. »
[Incorporé à compter du 1er mai 1917 au 5e Dépôt des équipages de la flotte, à Toulon. Arrivé au corps et matelot de 2e classe le 2, matricule n° 65.998 – 5.]
― GARAT Pierre, né le 12 décembre 1897 à Saint-Martin-de-Hinx (Landes), au lieu-dit « Laborde de Nas-suts », et domicilié dans ladite commune.
Matelot de 3e classe sans spécialité, Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M. B.C.) de Marseille, matricule n° 64.965 – 5 ; classe 1917, n° 47 au recrutement de Mont-de-Marsan.
• Fils d’Étienne GARAT, né le 17 mars 1868 à Saint-Martin-de-Hinx, cultivateur, et de Marie CASSAGNE, née le 18 octobre 1871 à Saint-Lon-les-Mines (Landes), « ménagère » [Cultivatrice en 1895] ; époux ayant contracté mariage à Saint-Martin-de-Hinx, le 17 février 1895 (Registre des actes de mariage de la commune de Saint-Martin-de-Hinx, Année 1895, f° 4, acte n° 4 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Saint-Martin-de-Hinx, Année 1897, f° 8, acte n° 26).
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 7 mars 1922 (art. 2 ; J.O. 15 mars 1922, p. 2.952 et 2.955), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « Garat (Pierre), matelot sans spécialité, 64.965 – 5 : mort pour la France, ayant disparu en mer avec le vapeur Pax, torpillé par l’ennemi, le 12 mai 1918. Croix de guerre avec étoile de vermeil. »
[Engagé volontaire pour 4 ans à la mairie de Bayonne au titre du 5e Dépôt des équipages de la flotte, à Toulon. Arrivé au corps et matelot de 3e classe sans spécialité le 28, matricule n° 64.965 – 5.]
― LARGER Albert Joseph, né le 15 décembre 1897 à An Chau (Province de Quang Yên, Tonkin — aujour-d’hui Viet-nam) et domicilié en dernier lieu à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), au 29, boulevard de la République.
Apprenti marin, opérateur radiotélégraphiste, Centre d’armement militaire des bâtiments de com-merce (A.M.B.C.) de Marseille, matricule n° 71.869 – 5 ; classe 1917, n° 117 au recrutement de Marseille ~ Digne.
• Fils de Joseph LARGER, né le 17 avril 1860 à Felleringen — aujourd’hui Fellering — (Haut-Rhin), garde principal de 1re classe de la Garde indigène, et d’Hô-Thi-KÎEN, née vers 1874 à Minh Caîn (Province de Quang Binh, Annam — aujourd’hui Viet-nam), sans profession. Reconnu par ses parent le 22 avril 1899 à la Résidence de France de la Province de Bac Ninh (Registre des actes d’état civil de la province de Bac Ninh, Année 1899, f° 1, acte n° 2). Époux ayant contracté mariage le 13 avril 1903 à la Résidence de France de Fai Fo (Annam — aujourd’hui Viet-nam) (Registre des actes d’état civil de la Résidence de France à Fai Fo, Année 1903, f° 1). Était élève de l’École de télégraphie sans fil lors des opérations de recrutement de sa classe.
[Affecté au 5e Dépôt des équipages de la flotte, à Toulon, par une décision ministérielle du 30 avril 1918. Dirigé sur ledit corps le 2 mai 1918 et y arrivé le 3.]
― REYBAUD Émile Clément, né le 12 septembre 1900 à Pertuis (Vaucluse) et y domicilié.
Matelot de 3e classe sans spécialité, Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B. C.) de Marseille, matricule n° 1.436 – 5 G. ; classe 1920, n° 1.047 au recrutement de Digne-les-Bains.
• Fils d’Ange Hippolyte REYBAUD, né le 15 octobre 1874 à Lersches-en-Diois (Drôme), cultivateur, et de Thérèse Baptistine Marie FIGHIERA, née le 9 août 1876 à Èze (Alpes-Maritimes), sans profession (Registre des actes de naissance de la commune de Pertuis, Année 1900, f° x, acte n° 72) ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 26 août 1899. Exerçait la profession de mécanicien lors des opérations de recrutement de sa classe.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 7 mars 1922 (art. 2 ; J.O. 15 mars 1922, p. 2.952 et 2.955), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « Raybaud (Émile-Clément), apprenti marin, 1.456 – 5 G. : mort pour la France, ayant disparu en mer avec le vapeur Pax, torpillé par l’ennemi, le 12 mai 1918. Croix de guerre avec étoile de vermeil. »
[Engagé volontaire pour la durée de la guerre le 22 février 1918 à la mairie de Nice au titre du 5e dépôt des équipages de la flotte, à Toulon. Arrivé au corps et matelot de 3e classe sans spécialité le 24. Affecté au Cen-tre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B.C.) de Toulon du 15 au 30 avril 1918. Affecté au Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B.C.) de Marseille du 30 avril au 12 mai 1918, jour de son décès.]
― THOREL Arsène Julien, né le 1er août 1898 à Villerville (Calvados) et domicilié à Honfleur (– d° –).
Matelot de 3e classe canonnier, Centre d’armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B.C.) de Toulon, inscrit le 8 août 1916 au quartier de Honfleur, n° 971 ; classe 1918, n° 932 au recrutement de Lisieux. Était marin lors des opérations de recrutement de sa classe.
• Fils de Louis THOREL, né le 13 mars 1867 à Villerville, marin-pêcheur, et de Marie Augustine CAUSSE, née le 29 septembre 1867 à Villerville, décédée le 26 septembre 1910 au Havre (Seine-Infé-rieure — aujourd’hui Seine-Maritime), « occupée au ménage » ; époux ayant contracté mariage à Viller-ville, le 4 mars 1891 (Registre des actes de mariage de la commune de Villerville, Année 1891, f° 3, acte n° 2 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Villerville, Année 1898, f° 9 , acte n° 18).
• Époux de Renée Ernestine Gabrielle GIFFARD, née le 18 mars 1895 au Havre, sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage à Honfleur, le 24 août 1917 (Registre des actes de mariage de la commune de Honfleur, Année 1917, f° 31, acte n° 48).
Dont :
— Louise Augustine Henriette THOREL, née le 13 mai 1918 à Honfleur (Registre des actes de naissance de la commune de Honfleur, Année 1918, f° 19, acte n° 72). Adoptée par la Nation par jugement du Tribunal civil de 1re instance du Havre en date du 30 juin 1922 (Ibid.).
• Frère de Louis Arsène Henri THOREL, né le 1er octobre 1892 à Villerville (Registre des actes de nais-sance de la commune de Villerville, Année 1892, f° 11, acte n° 21) et domicilié à Honfleur, décédé le 16 août 1916 à l’Annexe B. de l’Hôpital Sainte-Anne de Toulon (Var) (Maladie contractée en service : dy-senterie). Matelot de 2e classe canonnier breveté (1er avril 1916), inscrit au quartier de Honfleur, n° 834 ; matricule n° 706 – 1 au corps ; classe 1912, n° 752 au recrutement de Lisieux. Cuirassé d’escadre Justice.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 7 mars 1922 (art. 2 ; J.O. 15 mars 1922, p. 2.952 et 2.955), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « Thorel (Arsène-Julien), matelot canonnier, Honfleur 971 : mort pour la France, ayant disparu en mer avec le vapeur Pax, torpillé par l’ennemi, le 12 mai 1918. A été cité. »
• Frère de Louis Arsène Henri THOREL, né le 1er octobre 1892 à Villerville (Registre des actes de nais-sance de la commune de Villerville, Année 1892, f° 11, acte n° 21) et domicilié à Honfleur, décédé le 16 août 1916 à l’Annexe B. de l’Hôpital Sainte-Anne de Toulon (Var) (Maladie contractée en service : dy-senterie). Matelot de 2e classe canonnier breveté (1er avril 1916), inscrit au quartier de Honfleur, n° 834 ; matricule n° 706 – 1 au corps ; classe 1912, n° 752 au recrutement de Lisieux. Cuirassé d’escadre Justice.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 7 mars 1922 (art. 2 ; J.O. 15 mars 1922, p. 2.952 et 2.955), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « Thorel (Arsène-Julien), matelot canonnier, Honfleur 971 : mort pour la France, ayant disparu en mer avec le vapeur Pax, torpillé par l’ennemi, le 12 mai 1918. A été cité. »