MADEIRA - Cargo - armateur inconnu

Rutilius
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Re: MADEIRA - Cargo - armateur inconnu

Message par Rutilius »


Bonjour à tous,


■ Marin de l’État disparu le 7 octobre 1918 avec le cargo mixte Madeira.


― GUERRITO Joseph Eugène, né le 19 mars 1898 à Marseille (Bouches-du-Rhône) et y domicilié, Matelot de 2e classe canonnier, Front de mer de Marseille, Matricule n° 8472 – Marseille (Jug. Trib. Marseille, 16 févr. 1921, transcrit à Marseille, le 16 mars 1921).

Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 7 mars 1922 (art. 2 ; J.O., 15 mars 1922, p. 2.952), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :

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(p. 2.957)
Bien amicalement à vous,
Daniel.
recherchemadeira
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Re: MADEIRA - Cargo - armateur inconnu

Message par recherchemadeira »

nous avons retrouvé un carnet de notes de mon père présent sur le Madeira lorsqu'il a été torpillé, dont voici le contenu (il manque des pages) j'ai rechercher la liste de l'équipage, mais ne l'ai pas trouvé.
Carnet de Marc Arzur (1901-1956) le jour des événements mon père avait 16 ans et 2 mois à bord du Madeira.
(La page 1 a disparu)
…………la quatrième fois qu’ils étaient torpillés et ils gardaient jour et nuit leurs gilets de sauvetage .On se moquait d’eux. ….Nous sommes arrivés à Salonique où nous sommes restés une dizaine de jours. Pour le retour, nous sommes partis à l’est pour Syra une île grecque .Là, il y avait un homme qui venait souvent et qui se disait italien mais, pour moi, c’était un espion…Nous sommes partis pour Milo prendre un chargement de minerais pour Marseille. De là nous sommes partis pour Bizerte. De Bizerte, on devait retourner à Marseille. Nous étions en convoi Le Saint Barnabé et nous puis quatre chalutiers. Nous étions chef de convoi, nous sommes partis vers midi de Bizerte. Nous avons stoppé quatre ou cinq fois car le Saint Barnabé avait des avaries de barre.
Il y avait un bœuf à bord : ça faisait trois ans qu’il y était. Les Portugais disaient : « si on tue ce bœuf Le Madeira sera torpillé. »
Vers sept heures du soir, Le Saint Barnabé reçoit une torpille. On marchait très doucement pour l’attendre : on ne savait pas qu’il était touché. Un chalutier s’approche du Saint Barnabé et voit qu’il s’enfonçait tout doucement : il avait reçu la torpille sur l’avant .Il vient dans notre direction et nous dit de marcher le plus vite possible dans la direction de Marseille avec tant de gestes on nous crie :
« Alerte Le Saint Barnabé est torpillé »
Toutes les lampes se sont éteintes : le garçon qui était dans la même chambre que moi était couché malade : il ne pouvait qu’à grand peine marcher dans le noir. On a pris notre bouée de sauvetage. On a eu un mal terrible à ouvrir la porte de notre cabine. Mon camarade ne pouvant marché je le porte sur mon dos. Arrivés sur le pont je vois le cambusier qui nous dit :
« Venez sur l’arrière ».
Nous allons sur l’arrière. Nous avions de la troupe : des Marocains (devaient être des tunisiens suivant le dossier) qui étaient dans les cales et qui montaient sur le pont en nous demandant :
« Qu’est-ce qu’il y avait ? »
On leur répond :
« Rien camarades. »
Il y en a quelques uns d’entre eux qui redescendent dans les cales rassurés car on ne pouvait aller sur l’arrière; ils étaient tous groupés.
Moi mon poste de sauvetage, c’était le canot de bâbord (qui a été torpillé vers 9h).
Le soir, vers 6 heures, un officier de l’armée de terre me demande si les sous marins torpillaient la nuit, je lui réponds en rigolant « que non ! »
Nous étions un petit groupe de l’équipage sur l’arrière : on se regardait tous en tremblant se demandant si notre tour n’allait pas arriver….
Tout d’ un coup on sent une forte secousse : quelques uns d’entre nous sont tombés ; nous recevons une gerbe d’eau qui nous envoie contre les rambardes. .On se relève tant bien que mal .Le cambusier alla couper le filin qui retenait un radeau qui se trouvait sur l’arrière. Son couteau tombe à l’eau et le Madeira s’enfonçait de plus en plus. Quelqu’un lui passe un autre couteau : il coupe tous les bouts qui retenaient le radeau. Le radeau tombe à l’eau. Un canonnier saute : il se défonce le crâne sur le radeau. Moi, je me suis repris à plusieurs fois pour enjamber la lisse ; je ne savais plus ce que je faisais, je recevais des coups de tous les bords. Je suis resté accroché par les jambes à la lisse : j’avais la tête qui touchait l’eau. Je ne sais pas comment j’ai réussi à tomber à la mer ; J’entends encore ces cris atroces qui criaient : « sauvez-moi ! »
Quand je suis revenu de mes émotions, Le Madeira avait coulé à pic .En cinq minutes, ce n’était que du feu sur la mer et bruits sourds des grenades que les chalutiers lançaient.
Tout d’un coup, j’aperçois une masse noire devant moi : c’était un radeau. J’ai nagé de toutes mes forces mais avec ma ceinture de sauvetage que j’avais trop serrée je ne pouvais plus respirer. Arrivé tant bien que mal au bord du radeau j’ai crié à ceux qui s’y trouvaient déjà : « coupe !coupe ! » Je rejetais le sang .Un matelot me coupe le lacet de ma ceinture : ça allait beaucoup mieux.
Nous nous sommes trouvés à sept hommes sur ce radeau .On voyait les chalutiers qui faisaient des ronds dans l’eau : on a crié d’ici pendant longtemps mais la chance n’était pas pour nous .Nous avions le vent contre nous et les chalutiers ne nous entendaient pas. Vers minuit, aucun de nous ne pouvait plus causer. Nous avons vu une autre torpille lancée au Saint Bernaber qui a coulé cette fois. Puis tout a retourné dans le calme, nous étions balancés au gré des flots .La brise s’est levée : la mer grossissait à vue d’œil. Tout à coup, on s’aperçoit que notre radeau avait un tube de percé et qu’il coulait lentement. Un grand frisson nous a passé, nous nous sommes mis à pleurer et, disant qu’on était fichu, nous nous sommes mis à l’eau avec les coudes appuyés sur les rebords du radeau. Après avoir chaviré plusieurs fois, on se disait :
« Si à huit heures demain matin nous ne voyons rien, nous allons laisser notre bouée et se laisser couler. »
On grelottait de froid, on se tenait serrés les uns contre les autres pour tacher de se réchauffer. On ne voyait pas de terres, le moral était très bas : on attendait la mort d’un moment à l’autre. On se demandait si le sous marin n’allait pas monter à la surface pour nous tirer dessus .Après cette nuit affreuse où les secondes semblaient des heures, un cri de joie s’élève on aperçoit deux chalutiers qui venaient vers nous puis tout d’un coup on les voit qui reprenaient le large. Ils ont fait plusieurs fois ce manège. Enfin, on casse une planche du radeau, l’un de nous avait un mouchoir que l’on met au bout de la planche et monte sur le radeau. Le chalutier nous avait aperçus : j’entends encore ce cri de joie qui avait fait chavirer le radeau .On a bu une bonne tasse ! Le chalutier nous lance un bout : toutes les mains se levèrent pour prendre le bout .Moi je réussis à tenir le bout et je le tenais si ferme un peu plus j’allais dans le remous de l’hélice car le chalutier marchait de peur d’être torpillé. Les camarades qui avaient été sauvés et qui étaient à bord nous lançaient des cris de joie. On m’a retiré; à bord, je ne pouvais me tenir sur les jambes .On nous a mis dans la chaufferie pour nous réchauffer car je n’avais sur moi qu un pantalon et un petit tricot de coton nu tête nu pieds. Le chalutier qui nous a sauvés s’appelle Le Gabriella. Je vois encore l’infirmier panser les blessés dont l’un avait le front ouvert et était blanc comme un mort. Sur les quatre chalutiers il y en avait deux qui étaient restés .Les deux autres commandés par un quartier maître s’étaient sauvés comme des lâches sans sauver personne.
Les chalutiers, après avoir compté les rescapés se sont dirigés vers Bizerte. De retour nous étions tous dans un petit poste à l’arrière quand on entend un cri puis le bateau stoppe. On croyait qu’on était torpillé, on se battait pour savoir lequel sortirait le premier car la porte était

(le bas de la page 15est disparu)
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
(fin de la page 16)
…..par Le Doukkala. Cette fameuse date est restée gravée dans ma mémoire je n’ai jamais ….vu la mort …………7octobre 1918 À dix heures du soir ; sauvé à huit heures du matin.
Signé : Marc Arzur
naumachos
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Re: MADEIRA - Cargo - armateur inconnu

Message par naumachos »

Un salut au Forum, je suis un nouveau membre de Gênes (Italie) je fais des recherches pour l'identification de l'épave de Madère.

Je pas pu trouver grand-chose, sauf ce que vous lisez dans ce 3D.

Je voudrais savoire d'où il vient l'emplacement approximatif du naufrage (8 mg de Sant 'Antioco?) et avoir aussi des photos de Madeira ancien Petropolis.

En 2014 aussi j'ai essayé les Balkans en Corse mais semble malheureusement avoir coulé trop profond pour être visité; Si quelqu'un a des informations à ce sujet je serait intéressant de parler.

Merci à vous tous. Je vais poster un lien d'une de me découvertes en 2015.

https://www.youtube.com/watch?v=xKfo96bMCcg
Rutilius
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Re: MADEIRA - Cargo - armateur inconnu

Message par Rutilius »

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Bonsoir à tous,


Récompenses consécutives au torpillage des cargos Saint-Barnabé et Madeira


Journal officiel du 24 décembre 1918, p. 11.086.


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Bien amicalement à vous,
Daniel.
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geryonesime
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Re: MADEIRA - Cargo - armateur inconnu

Message par geryonesime »

Bonjour,

Le brigadier Étienne Flagel du 5e GACA, né le 6 septembre 1874 à Marcenat (Cantal) disparu le 7 octobre 1918.
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 2bdb0925ef

À bientôt
Jean-Marc
Rutilius
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Re: MADEIRA - Cargo - armateur inconnu

Message par Rutilius »

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Bonsoir à tous,


Madeira ― ex-Petropolis ― Cargo mixte armé par l'État portugais


Passagers militaires disparus le 7 octobre 1918 avec le Madeira

(Liste non exhaustive : 47 noms) (*)

Avertissement : Orthographe de certains toponymes d’origine arabe ou berbère incertaine


■ 5e Groupe d’artillerie de campagne d’Afrique.


— ABDALLAH ben Brahim ben Abdallah, présumé né en 1897 à Amor-Ganrouda (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 17.076 au corps, classe 1917, recrutement de Tunis (Jug. Trib. Marseille, 30 juin 1920, transcrit à Marseille, le 21 août 1920).

― ABDELLATIF ben Etoumi ben Tahar ben Jaballa, présumé né en 1898 à Th... (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 39.405 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

— ABID ben Ali ben Salem el Abidi, présumé né en 1898 à Maleh (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 2.204 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

— ABID ben Saad ben Abid, présumé né en 1898 à Chebickha (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.506 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― ALEYA ben Khémis El Karoui, présumé né en 1898 à Kelâat-Es-Sraghna (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 1.925 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― ALI ben Ahmed Er Rahmouni, présumé né en 1896 à Dar-El-Bey, Tunis (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 897 au corps, classe 1917, recrutement de Tunis (– d° –).

― ALI ben El Hadj M'Hamed bou Labiar, présumé né en 1898 à Soliman (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.549 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

— AMMAR ben Abdallah ben Brahim, présumé né en 1898 à Fedda (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 2.809 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― AMOR ben M'Brouk ben Mefta, présumé né en 1894 à Beni-Ksar (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 1.314 au corps, classe 1914, recrutement de Tunis (– d° –).

― AMOR ben Salah Chalzham El Djemlli, présumé né en 1898 à Féjiji (Caïdat de Djelass, Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.395 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― BELGACEM ben Achour El Hamdi, présumé né en 1898 à Ouled-Lamir (Tunisie), 2e canonnier, Matricule n° 2.065 au corps, classe 1918, n° 43 au recrutement de Tunis (– d° –).

— BRAHIM ben Salah ben Yahia Laouadi, présumé né en 1898 à Sidi-Métri (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 1.962 au corps, classe 1918, n° 2.901 au recrutement de Tunis (– d° –).

― EL DJILANI ben Ali ben Ramdhan, présumé né en 1898 à Gabès (Tunisie) et domicilié à Grombalia (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.568 au corps, classe 1918, n° 96 au recrutement de Tunis (– d° –).

― EL MABROUK ben Mohamed ben Béchir, présumé né en 1897 à Ghannouche (Caïdat de l’Aradh, Tunisie) et y domicilié, 2e canonnier, Matricule n° 1.440 au corps, classe 1917, n° 13 au recrutement de Tunis (– d° –).

― EL MANOUBI ben El Abed ben Khalfa, présumé né en 1898 à El-Fahs (Tunisie) et y domicilié, 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.143 au corps, classe 1918, n° 123 au recrutement de Tunis (– d° –).

― EL OUCIF ben Mohamed ben Assida El Djaoudi, présumé né en 1898 à Enfidaville – aujourd’hui Enfida – (Tunisie), 2e canonnier, Matricule n° 3.397 au corps, classe 1918, n° 39 au recrutement de Tunis (– d° –).

― EN NAÏB ben Ali ben Zamitra, présumé né en 1898 à Djerissa (Tunisie) et domicilié à Cherareda (Tunisie), 2e canonnier, Matricule n° 3.424 au corps, classe 1918, n° 101 au recrutement de Tunis (– d° –).

― FARHAT ben Salah Lassoued, présumé né en 1898 à Djebel-Oueslet (Caïdat de Djellas, Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.479 au corps, classe 1918, n° 65 au recrutement de Tunis (– d° –).

— FLAGEL Étienne, né le 6 septembre 1874 à Marcenat (Cantal), Brigadier, Matricule n° 000.418 au corps, classe 1894, n° 1.408 au recrutement de Limoges (– d° –).

― KAMEL ben Mohamed ben Labidi ben Rahal, présumé né en 1898 à Fouchana (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 4.123 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― LAZEHAR ben Mohamed ben Harrats, présumé né en 1898 à Foussana (Tunisie) et y domicilié, 2e canonnier, Matricule n° 3.977 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MABROUK ben Ali ben Ahmed ben Afita, présumé né en 1898 à Chouamek (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.334 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MABROUK ben Amor ben Ali, présumé né en 1897 à Kasserine (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 1.764 au corps, classe 1917, recrutement de Tunis (– d° –).

― MALENFANT Jean Baptiste Marie, né le 24 décembre 1876 à Guérande (Loire-Inférieure – aujourd’hui Loire-Atlantique –), Brigadier, Matricule n° 000.630 au corps, classe 1896, n° 3.387 au recrutement de Nantes (– d° –).

— M'HAMED Bou Derbala Bou Salem, présumé né en 1898 à Djéradou (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.531 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

— MAHMOUD ben Bou Rognaâ, présumé né en 1898 à Métlaoui (Tunisie), 2e canonnier, Matricule n° 3.860 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

— MESSAOUD ben Ali ben Mohammed, présumé né en 1898 à Ouled-Sidi, Khélif (Tunisie), 2e canonnier, Matricule n° 3.442 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Aleya ben Hassen ben Abdel Moumen, présumé né en 1898 à Ouled- Farjallah (Tunisie) et y domicilié, 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.335 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Ali ben Othman, présumé né en 1898 à Oued-El-Hadj (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.975 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Ammar ben Belgacem, présumé né en 1897 à Ouled-Ouezzaz (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 1.771 au corps, classe 1917, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Amor ben Rebbah, présumé né en 1898 à Dhouibat (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.323 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben El Falah ben Salem Djelloul, présumé né en 1898 à Féjiji (Caïdat de Djelass, Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.426 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED Ez Zine ben Hadj Châabane ben Drakim Ed Dachraoui, présumé né en 1898 à Nebeur (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 2.416 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Hadj Mohamed Zaâbar, présumé né en 1898 à Hergla (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.211 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Hasnaoui ben Ali Es Sid, présumé né en 1898 à Sidi-Metir (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 2.914 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Hassen ben Ahmed ben Cheikh, présumé né en 1897 à Sayada (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 1.028 au corps, classe 1917, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Khélifa ben Achour, présumé né en 1896 à Djebel-Chaouaf (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 918 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Mabrouck ben Salah ben Ammara, présumé né en 1898 à Menzel-Dar-Bel-Onar (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.532 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Mohamed ben Hadj Mansour, présumé né en 1898 à El-Aouabed (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 2.776 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED ben Saïd ben Hadj Hamouda Damek, présumé né en 1898 à El-Ksar (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 2.776 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― MOHAMED LAKHDAR ben Messaoud ben Djemad, présumé né en 1898 à Aïne-Ould-Salah (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 2.712 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― NACER ben Hadj Farhat Khéchiche, présumé né en 1898 à Hergla (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.199 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― PIVETEAU Charles Joseph, né le 16 janvier 1874 à Saint-André-Goule-d'Oie (Vendée), Maréchal des logis, Matricule n° 000.419 au corps, classe 1894, n° 110/1.080 au recrutement de La Roche-sur-Yon [Jug. Trib. Seine, 11 juin 1920, transcrit à Paris (XVIe Arr.), le 21 août 1920].

― SADOK ben Salem Abid, présumé né en 1898 à El-Haçar (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.250 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (Jug. Trib. Marseille, 30 juin 1920, transcrit à Marseille, le 21 août 1920).

― TAÏEB Bel Arroussi ben El Bédonia, présumé né en 1898 à Tozeur (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.823 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― TIDJANI ben Khélifa ben Mansour Metdassi, présumé né en 1898 à Sfax (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.595 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

― TOUMI ben El Hadj Ahmed ben El Aronj El Agribi, présumé né en 1898 à Soliman (Tunisie), 2e canonnier conducteur, Matricule n° 3.559 au corps, classe 1918, recrutement de Tunis (– d° –).

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(*) Dernière adjonction : FLAGEL Étienne. Merci Jean-Marc.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
olivier 12
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Re: MADEIRA - Cargo - armateur inconnu

Message par olivier 12 »

Bonjour à tous,

Deux CP du PETROPOLIS

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et du même rebaptisé MADEIRA

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Cdlt
olivier
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