Bonsoir a tous et toutes,
Je sais,ça n'a rien a voir(!) mais voici un souvenir que mon arriere grand mere gardait precieusement
et qui est encore dans la famille...
Pendant la commune de Paris les chiens n'étaient pas des chiens de guerre...
C'était pire...
En tous cas ce sujet est passionnant comme bien d'autres d'ailleurs.
Cordialement
Christine
" Charité bien ordonnée commence toujours par soi-même " puis par la suite en faire profiter un maximum, ma petite contribution en remerciements à Mireille ( il n'y a plus qu'à copier/coller ).
Cordialement, adichats.
Daniel
Larousse Mensuel Illustré 1914-1919
N° 146 avril 1919.
Chiens de guerre
Existe-t-il un article semblable sur les chevaux?
Merci d'avance,
O.O.
Bonjour à tous,
Vous trouverez un article sur les équidés dans la GG à cette adresse :
Bonsoir à tous,
Merci à tous pour ces superbes textes, précisions, photos et poème...
...et je pense qu'en Belgique on a aussi recruté des chiens de charbonnage, qui tiraient les wagons de charbon...
Des chiens tirant des mitrailleuses fingurent sur le Monument aux Morts de l'Infanterie de Bruxelles ( Belgique ) Place Poelaert, devant le Palais de Justice.
Quant aux " Chiens de Guerre " actuels...c'est autre chose !
Notre Ami Forumeur Caballero, que je salue aussi au passage, a aussi initié, sur ce magnifique Forum qui est le nôtre, un fil sur les mulets...et chevaux. ( Oui, j'irai bientôt faire les photos, promis )...
Bonne soirée à tous
Bonsoir à tous et à toutes,
Une historitte écrite il y a quelques années :
RÉCIT D’UN CHEVAL DE GUERRE…
Je suis une jument nommée Coquette. Avec une encolure solide, une bonne chute d’épaules, les canons bien droits, les dents et les pieds parfaits, j’ai belle allure. Mon maître, sa femme et son grand fils sont de modestes paysans qui pratiquent, sur quelques hectares, la polyculture et l’élevage de vaches laitières. Je participe aux travaux des champs, tout en étant une poulinière ; mon fumier améliore la fertilité du sol… C’est dire combien je suis indispensable à la ferme et presque considérée comme faisant partie de la famille !
Au début du mois d’août 1914 en quelques jours, tous les jeunes hommes partent à la guerre (?), sans achever la moisson.
Presque en même temps, mon maître m’emmène rejoindre d’autres chevaux : j’en vois des centaines de toute taille, race et robe.
Réquisitionnée comme les autres, j’appartiens désormais aux armées.
Un soldat habillé de bleu et de rouge me conduit avec des congénères dans une caserne improvisée et distribue la pitance.
De nombreux paysans attristés regardent s’éloigner leur compagnon des bons et mauvais jours. Ils songent sans doute aux difficultés à venir.
La rumeur court que les fils reviendront rapidement, après avoir vaincu l’ennemi avant Noël ; le retour du cheval est sans espoir.
L’angoisse s’installe dans le cœur de Coquette devant l’agitation ambiante. Les maréchaux-ferrants s’activent dans l’odeur de corne brûlée, les gradés hurlent des ordres, on entend le martèlement des sabots et les hennissements.
Je deviens un cheval d’attelage d’un canon de « 75 ».
Habituée à tirer seule la charrue ou la fourragère, je dois apprendre rapidement le travail en équipe.
En effet, chaque pièce est tirée par trois paires de chevaux. Trois conducteurs montent le cheval gauche de chaque paire. Ces trois bêtes sont les porteurs, les trois chevaux non montés s'appellent les sous-verges, placés sous le fouet du conducteur.
Le lendemain matin, le cheptel militaire, choisi et regroupé par six, forme des attelages robustes. Lors du premier harnachement, certains « mobilisés », apeurés, excités, se débattent, distribuent ruades et coups de pieds. Prudente et docile, Coquette considère qu’il vaut mieux attendre et voir.
L’apprentissage du labeur collectif est pénible : l’attelage casse des timons, des chevaux se prennent dans les traits, chutent et se blessent. Il y a aussi les maladresses de nos « cochers » inexpérimentés.
Étant sous-verge, j’ai pour compagnon le porteur de devant, un cheval hongre nommé Hector. C’est un paresseux qui m’oblige à tirer plus fort, et parfois s’emballe, entraînant le groupe et son matériel au fossé…
Il faut alors dételer et remettre tout en place pour repartir, exécuter à nouveau diverses manœuvres, exercices incroyables pour des chevaux de culture.
Après d’innombrables ordres, jurons, coups de fouet, et quelques caresses des conducteurs, nous sommes « bon pour le service ».
Le lendemain, la batterie (quatre canons, une vingtaine de voitures dont six caissons à munitions, environ 165 chevaux, presque autant d’hommes) se dirige vers la gare de chemin de fer pour sa première sortie.
L’embarquement s’avère difficile, poussé par les fesses, afin de loger dans des boîtes en bois affectées au transport de marchandises.
Sur les wagons est inscrit « HOMMES 40, CHEVAUX (EN LONG) 8. »
L’espace accordé est étroit. Deux gardes nous surveillent, assis sur une botte de foin ; il flotte une atmosphère de renfermé, d’urine, de crottin, de cuir neuf des harnais.
Le convoi roule lentement, s’arrête fréquemment ; à chaque tunnel, la nuit et le jour alternent brutalement dans un bruit assourdissant. Ce trajet inconfortable, interminable vers l’inconnu nous rend tous inquiets, hébétés, désorientés.
Enfin le train s’immobilise au petit matin.
Sitôt sur la terre ferme, les soldats nous attellent : la colonne s’ébranle au petit trot.
Une espèce de tonnerre sourd gronde au loin, s’intensifie au fur et à mesure de la progression.
Il fait chaud et sec, nous soulevons un nuage de poussière blanchâtre qui colle au pelage saturé de sueur, constellé de mouches.
En fin de journée, une pause est ordonnée, après avoir parcouru une trentaine de kilomètres.
Les servants placent les canons et tout le matériel afin que les pièces puissent tirer. Par mesure de sécurité, presque tous les chevaux sont ramenés un peu en arrière par les conducteurs. Ces derniers sont des paysans devenus soldats, habitués à nous mener, nous panser avec la brosse, l’étrille, le chiffon. Après la toilette, distribution des rations : foin en vrac et avoine dans la musette mangeoire.
De grands bâtiments de ferme constituent nos écuries, à l’abri des intempéries et suffisamment distantes des bombardements. Un homme veille au calme de notre nuit, pour éviter les coups et blessures, ou donner l’alerte quand l’un de nous s’échappe.
Dans la journée autour du cantonnement, nous profitons d’une promenade quotidienne dans les environs pour faire de l’exercice et ne pas oublier l’air pur des paysages campagnards, quittés il y a peu de temps.
La vie s’écoule monotone sans événement particulier.
Pour l’attelage, la guerre est jusque-là une aventure surprenante avec quelques impromptus bizarres, mais sans motif d’inquiétude.
Cette tranquillité est de courte durée. Le branle-bas du départ sonne : rapidement nous rejoignons la batterie pour une destination nouvelle.
Il pleut sans discontinuer. Les sabots s’enfoncent dans une fange visqueuse, des trous masqués nous font trébucher. L’eau sale mêlée à la transpiration luit sur notre corps, les crinières sont saturées de liquide qui ruisselle sur l’encolure.
Nous avons la tête basse ; les oreilles s’agitent agacées par les gouttes d’eau.
Une côte raide exige un effort pénible, au sommet, nos maîtres accordent
un repos pour souffler, face à la plaine qui s’étend à nos pieds.
La nuit tombante, nous bivouaquons à la belle étoile dans une vaste prairie.
En alerte, nous sommes prêts à partir immédiatement.
Au crépuscule, après une halte trop courte et une ration sommaire, le voyage reprend, les chariots grincent : nos conducteurs sont tendus, silencieux. Que craignent-ils ?
Dans les champs, sur la route, nous apercevons des excavations circulaires réparties irrégulièrement : à quel usage peuvent-elles servir ? Les arbres sont décharnés : seuls demeurent quelques troncs, certains tordus, vrillés ; le feuillage est absent et les branches en chicots. Le paysage semble vide et chaotique, aucun être vivant ne paraît habiter en ces lieux : tout est transformé comme par le caprice d’un mauvais génie. Rongés par l’inquiétude, nos sens restent en éveil.
Un effluve putride envahit mes naseaux : je vois un cheval mort gonflé par des gaz. Il y a d’autres bêtes les jambes raides vers le ciel, les fers luisants au soleil, auréolés d’un essaim d’insectes. Je suffoque, chavire presque de dégoût à ce spectacle. Anxieuse, je demande à Hector si l’équarrisseur ne les a pas oubliés…
Le cheval hongre me répond qu’il ne comprend pas, et croit vivre dans un monde insensé, celui des hommes en uniforme. Ceux-ci ne font rien comme les autres, agissent en bandes, et se caractérisent par la brutalité de leurs actes.
Pourquoi faut-il que la guerre détruise ce qui est bien et beau ?
Participer aux hostilités sous la férule des guerriers, n’est pas dans notre nature.
Plus loin, un poilu immobile, ballonné, tout noir, gît dans l’attitude d’un dormeur ; notre passage bruyant ne le réveille point : il dégage une odeur pestilentielle.
À un carrefour constellé d’entonnoirs et de matériels hors d’usage, faut-il poursuivre notre route ou passer à travers champs ? Nos maîtres hésitent : un rugissement sauvage survient et une explosion. La terre tremble avec des sifflements. Un second obus éclate au-dessus du champ voisin.
Des chevaux effrayés ruent, font des écarts, tirent dans tous les sens, brisent les traits. Un attelage s’engage dans une pâture, les autres suivent, fouaillés et invectivés par leurs conducteurs, pressés de quitter cette zone bombardée.
Heureusement, le feu de salve ennemi est mal ajusté.
Les bêtes ne reçoivent que de petits éclats d’obus causant des blessures superficielles.
Mon maître, un brave garçon, découvrant sur mon dos une plaie, verse le contenu d’un demi-flacon de teinture d’iode, pensant que ce traitement me fera rester au sein de l’attelage… Je me souviens encore de la sensation de brûlure intense, causée par le remède !
Le soir même, un homme avec blouse blanche et bésicles, à l’allure peu militaire, s’approche de moi, examine mes plaies, pendant que deux soldats me maintiennent étendue.
Dans un sursaut, je me relève et prends la fuite, le vétérinaire attrape ma queue et tente de me retenir ; maîtrisée par des bras vigoureux me voilà couchée, contrainte avec des cordes. Je sens un objet trancher, fouiller ma chair, puis une voix satisfaite clame « et de six » (sans doute le nombre de petits morceaux de fonte extraits de mes muscles).
Déclarée indisponible, je me repose à l’infirmerie vétérinaire.
Au bout de quelques jours, je m’ennuie, sans regretter mes compagnons et les mésaventures partagées. Je traîne dans le vaste enclos, rendant une visite de curiosité et de réconfort à ses pensionnaires.
Je ne soupçonnais pas rencontrer de si nombreux camarades souffrant de multiples maux.
Les hommes inventent et emploient des outils pour terrifier ses ennemis, les mutiler, les anéantir. Nous participons, malgré nous, au carnage qui décime notre espèce. Même si nous restons la plus noble conquête des humains…
Lorsque les vétérinaires soignent nos blessures, nos maladies, atténuent nos douleurs, leur objectif est de nous réintégrer comme « travailleur » aux armées.
D’ailleurs si notre guérison s’avère trop longue ou incertaine, nous sommes achevés froidement d’une balle de revolver tirée dans l’oreille.
Ces rencontres et réflexions dépriment Coquette qui se trouve dans un dépôt d’éclopés où l’on traite les affections peu graves, de courte durée.
L’infirmerie fonctionne comme centre de tri où les vétérinaires décident, si untel, suffisamment valide, peut rejoindre en chemin de fer un hôpital capable de traiter un grand nombre de bêtes. Le voyage doit être épuisant pour des organismes déjà affaiblis.
Je pris conscience de ma chance : des blessures légères, l’occasion de se reposer, une nourriture suffisante, une vie calme avec une liberté relative…
Petit à petit mes compagnons guéris rejoignent les armées, sachant que mon tour viendrait.
Ce jour sombre arrive : mon nouvel emploi ne m’enchante guère.
Considérée en bonne forme, je deviens le porteur de devant dans l’attelage d’un canon de campagne. Tout en tirant la pièce, j’ai sur mon dos un conducteur, soit environ 70 kg supplémentaires !
Coquette a pour sous-verge Attila qui ne l’aide guère. Énervée, elle lui décoche un sévère coup de pied : immédiatement le fouet la rappelle à l’ordre.
L’attelage ne tire pas de concert : les efforts manquent de coordination, chacun fatigue de plus en plus.
Au bivouac, j’examine mes compagnons : qu’ils sont maigres ! Leur peau drape des os saillants ; avec le contact du harnachement, le poil s’use, la chair à vif dévoile parfois de vilaines blessures.
Le ravitaillement est souvent insuffisant, pas seulement chez les chevaux d’artillerie. Une grande diversité de végétaux, dans les rations de substitution, fut proposée : leur valeur nutritive n’égale pas celle de l’avoine.
La paille pouilleuse du couchage des hommes remplace parfois le foin !
Les conducteurs attentionnés cherchent de l’herbe après leur journée de travail : ce modeste supplément nous fait du bien au ventre et au cœur.
L’hiver, il n’est pas rare de trouver l’un d’entre nous mort d’avoir passé trop de nuits à grelotter sous la bise et la neige.
Les intempéries, la sous-alimentation, le surmenage, altèrent notre santé.
Nous besognons jusqu’à la limite de nos forces, puis c’est l'immobilité définitive. Aucune puissance ne peut nous mener plus loin.
Les conducteurs détèlent puis déharnachent une ou plusieurs bêtes qu’ils abandonnent, et repartent ; les autres agonisent sur place. Qui d’entre nous n’a pas vécu ce cauchemar ?
La patrie des chevaux reste celle de la mangeoire et du râtelier garnis, plus encore la liberté à l'état sauvage dans les steppes ou les pampas.
Sans équidés, les batailles paraissent impossibles, mais cela est-il certain ?
Nous demeurons indispensables aux hommes, néanmoins les engins sans chevaux se multiplient.
Ces objets se présentent sous la forme d’une boîte posée sur quatre roues, un peu comme les chariots que nous traînons. Le conducteur est assis à l’avant, derrière une matière transparente qui lui permet de se diriger sans l’aide de rênes ni de guides. Pour se déplacer la nuit, deux gros yeux éclairent le chemin.
Le « camion » peut parcourir de plus longues distances que des chevaux, en émettant une forte pétarade accompagnée de fumées noires et bleues. Ce bizarre engin se nourrit en quantité, d’un liquide à odeur de pétrole, utilisé par les vétérinaires pour soigner notre gale !
Une partie du véhicule sert au transport d’hommes et de marchandises ; un gros canon peut être tracté. Tout ce matériel emprunte nos chemins et franchit des fondrières. Le bandage des roues n’est pas en fer, mais remplacé par une substance noire assez molle. Ces machines peuvent rester au même endroit, sans soins particuliers, et repartir plusieurs jours après.
Je rencontre aussi une arme énorme, étrange, aux couleurs bigarrées comme la végétation à l’automne, ses roues avant et arrière sont reliées par un ruban métallique fermé. Le bruit de ferraille accompagnant son déplacement m’inquiète.
Ce monstre ressemble à un réservoir massif, en fer épais. Sans fenêtres visibles, il dispose de canons et mitrailleuses. Sa vitesse est celle d’un cheval au pas, mais il peut franchir des tranchées, des lacs de boue, écraser les ronces artificielles. Plusieurs hommes claquemurés sont sans doute nécessaires pour diriger la machine et faire feu.
Cette rencontre fortuite, au détour d’un bois est unique. C’est peut-être là une des dernières inventions, que les hommes expérimentent pour semer la désolation et la mort chez l’adversaire ?
Depuis trois ans, je mène une existence parfois dangereuse de nomade militaire.
Je regrette la ferme et mes maîtres.
Les chevaux rejoignent les pièces, caissons et voitures. Servants et conducteurs s’affairent, car l’étape va être rude.
Les hommes ont le visage gris d’épuisement, de privations : l’important pour eux, est de survivre, les chevaux ne comptent plus.
Un avion marqué d’une croix noire décrit des cercles au-dessus des artilleurs, lance une fusée verte.
Un court chuintement déchire l’air comme une locomotive lancée à toute vapeur ; dans un éclair jaune orangé jaillit une explosion formidable, un immense geyser de terre, de mitraille.
Un panache de fumées et de gaz monte vers le ciel, au sol un profond cratère béant, vide.
Ainsi Coquette fut volatilisée, réduite à néant par un obus de gros calibre.
On ne retrouva pas une pièce de harnachement, ni même une poignée de crins.
La jument devint un cheval inconnu, comme tous ses semblables, avec les mulets, les ânes, autres victimes innocentes, oubliées des hommes, qui meurent au « champ d’honneur » et reposent dans des nécropoles.
Bien amicalement, Caballero
Bonjour Rolando,
Bonjour à toutes et à tous,
Merci pour ce texte que je trouve très beau parceque chaleureux, sensible, dans lequel on ressent (sans lourdeur aucune) les grandes connaissances que l'auteur possède de ce milieu très particulier.
Je l'ai imprimé et vais l'envoyer à mes petits enfants.
Muchas gracias, Caballero.
Cordialement.
Jean RIOTTE.
Dans la rubrique des chiens de guerre, il ne faut pas oublier l'histoire de Rintintin. Un soldat américain a trouvé en 1918 près de Toul dans un chenil des chiots de race bergers allemands. Il en emmena un en Amérique et qui sera la vedette d'une série qui porta le nom du chien ...Rintintin...un nom importé de France...d'une célèbre poupée.
Bonne nuit à tous,
Merci pour ces beaux poème et texte.
Non, chez nos amis les animaux, la fidélité n'est pas un vain mot ! J'ai longtemps pensé que les chiens couchés aux pieds des gîsants l'étaient par pure décoration ou uniquement par symbole du genre de mort...jusqu'à ce que je constate que notre lévrier est difficile à faire partir du bas de notre lit !
Mais ceci déborde de notre cadre de la I GM et je vais donc...me coucher !
Belle nuit à tous
Merci à tous pour toutes ces précieuses informations.
Elles vont me permettre de renouveler l'approche d'un livre que je fais lire à des 1CAP,
Bleu, chien soleil des tranchées, illustré superbement par l'ami Stephan Agosto.
Cordialement,
Ferns
L'homme en campagne a les mêmes besoins qu'en temps de paix ; ces besoins deviennent même plus impérieux, étant exacerbés par une existence plus active et plus énervante.(Henry Mustière)
Pour infos , je suis réserviste au 132ème Bataillon Cynophile de l'armée de Terre à Suippes.
Une réédition de l'historique de la cynotechnie militaire a été réédité et mis à jour en 2006-2007.
me contacter en mp pour plus de renseignements.
« Les hommes pour la plupart n’étaient pas gais ; ils étaient résolus, ce qui vaut mieux. »
Marc Bloch