En travaillant au SHAT sur le JMO du 106è RIT, j'ai trouvé qu'au mois de janvier 16 (sans précision du jour), le soldat BOTTARLINI Gustave a été trouvé pendu. Sa fiche SGA porte" mort pour la France" le 16 janvier 1916 à Béthainville, mais après rature il appartiendrait au 49è RIT. Mystère ou volonté de masquer la vérité. De toute façon, ils en avaient tellement vu....
Cordialement. Daniel
soldats tués
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Re: soldats tués
Pourriez-vous m'expliquer les recherches que vous avez effectuées pour découvrir qu'Alphonse Babonneau figure sur une fiche avec cette précision; d'autre part, le cimetière que vous évoquez est-il celui de Kruth?Bonjour à tous,
A voir également la fiche du lieutenant Alphonse Babonneau, du 11e RAP : "suicide assimilé à un événement de guerre" le 16 juin 1915.
Situation doublement étrange : sur sa pierre tombale, au fond d'un cimetière communal alsacien, son nom est tronqué !
Bien cordialement
Eric Mansuy
Je vous serais très reconnaissante de me répondre sur ces deux points.
- Eric Mansuy
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Re: soldats tués
Bonjour (madame ?),
C'est du cimetière de Kruth qu'est partie ma recherche, alors que j'y cherchais la tombe d'un officier de chasseurs alpins. Celle de cet artilleur m'a été indiquée au fond du cimetière par la mairie. Afin de compléter la photo que j'avais prise, j'ai consulté MDH et ai découvert ces éléments.
Henri Martin évoque ce suicide en des termes très durs, à la date du 19 juin 1915, dans son Journal de guerre.
Meilleures salutations,
Eric Mansuy
C'est du cimetière de Kruth qu'est partie ma recherche, alors que j'y cherchais la tombe d'un officier de chasseurs alpins. Celle de cet artilleur m'a été indiquée au fond du cimetière par la mairie. Afin de compléter la photo que j'avais prise, j'ai consulté MDH et ai découvert ces éléments.
Henri Martin évoque ce suicide en des termes très durs, à la date du 19 juin 1915, dans son Journal de guerre.
Meilleures salutations,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.