102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 1er janvier 1917 page 15
Le ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1914.
Arrête : Article unique. — Sont inscrits au tableau spécial de la Légion d'honneur, à compter du 25 décembre 1916, les militaires dont les noms suivent :
...
pour officier
MARTY (Henri-Eugène), lieutenant-colonel à titre temporaire (active) au 102e régiment d'artillerie lourde : a rendu des services signalés dans le commandement d un important groupement d'artilierie lourde au cours des combats, du 21 février au 12 mars 1916.
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Journal officiel du 27 août 1916 page 7766
Citation à l'ordre de l'armée
(ordre du 3 juillet 1916)
DEVALS (Eugène-Raphaël-Raymond), chef d'escadron, commandant le 7e groupe de 155 court du 102e régiment d'artillerie lourde : officier supérieur d'une grande valeur, d'une bravoure exemplaire, ayant un sentiment élevé du devoir. Dans un secteur des plus actifs de X., depuis plus de trois mois sans interruption a, par l'entraînement et le dévouement de son groupe, obtenu des résultats qui ont été remarqués par les divisions d'infanterie.
102e régiment d'artillerie lourde
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
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Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 8 septembre 1917 page 7084
DENIS (Jean-Pierre-François-Jules), matricule 3675, maître-pointeur (active) à la 24e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : excellent maître-pointeur ayant toujours donné satisfaction à ses chefs. Très grièvement blessé, à son poste de combat, le 20 juin 1917, (Pour prendre rang du 21 juin 1917.)
La nomination ci-dessus comporte, en outre, l'attribution de la Croix de guerre avec palme.
Paris, 6 septembre 1917
PAINLEVÉ
=======================================================
DAMOIS Paul Etienne
Né le 11 novembre 1892 à Belloy, canton de Luzarches (Seine-et-Oise)
Il occupe les professions d'ouvrier agricole et de cantonnier dans son village d'origine. Lors de son passage devant le conseil de révision, il est décrit comme ayant les cheveux châtain foncé, les yeux gris, le front moyen, les lèvres minces, la bouche moyenne, le nez cave, le menton à fossette et le visage rond, marques particulières - cicatrice au nez. Le jeune homme mesure 1 mètre 77. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Le N° matricule 5787 lui est attribué au recrutement.
Reconnu apte au service armé, Il est incorporé à compter du 8 octobre 1913 au 2e escadron du train. Il y arrive le même jour avec comme n° matricule au corps : 1419. Sous les drapeaux lors de la mobilisation générale, début août 1914, il part aux armées avec son unité dès le 9 août suivant. Rentré au dépôt le 10 janvier 1916, il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 16 janvier suivant (décision ministérielle n° 13878 3/3 du 12 août 1915).
Il y porte le n° matricule au corps : 016414 B
Il part aux armées le 28 janvier 1916. Près de dix-huit mois plus tard, il est évacué blessé le 15 juillet 1917. Ce jour-là, il est blessé par éclat d'obus au Lin Belge (?)
Il sera proposé pour la réforme par la commission de réforme de Saint-Lô le 25 décembre 1917. Invalidité de 20 à 30 %
Il se retire à Belloy, canton de Luzarches le 25 décembre 1917.
CITATIONS
cité à l'% du régiment n° 83 le 30 novembre 1916
"Une pièce entière venant d'être ensevelie sous les ruines de ses abris, s'est acharné volontairement pendant près de trois heures malgré la continuation d'un bombardement de 210 précis et intense, jusqu'à ce qu'il est dégagé le dernier blessé, faisant preuve de courage et d'énergie."
cité à % de l'armée du 5 août 1917
Voir ci-dessous
Journal officiel du 2 octobre 1917 page 7819
Attribution de la Médaille militaire
DAMOIS (Paul-Etienne), canonnier conducteur (réserve) à la 30e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde, (matricule 335) : canonnier conducteur, remarquable par son sang-froid et l'énelgie dont il n'a cessé de faire preuve dans les circonstances les plus périlleuses. Le 15 juillet 1917, n'a pas hésité à traverser une zone violemment battue par l'artillerie, pour assurer plus rapidement le ravitaillement de sa batterie en munitions. A été grièvement blessé. Déjà cité à l'ordre.
La nomination ci-dessus comporte, en outre, l'attribution de la Croix de guerre avec palme.
Décorations : Médaille militaire et Croix de guerre
Campagne contre l'Allemagne
CS du 2 août 1914 au 8 août 1914
Aux armées CD du 9 août 1914 au 14 juillet 1917
Blessures de guerre CD du 15 juillet 1917 au 14 juillet 1918
Intérieur CS du 15 07 1917 au 25 12 1917
Sources : archives départementales des Yvelines cote 1R/RM 474
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Journal officiel du 8 septembre 1917 page 7084
DENIS (Jean-Pierre-François-Jules), matricule 3675, maître-pointeur (active) à la 24e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : excellent maître-pointeur ayant toujours donné satisfaction à ses chefs. Très grièvement blessé, à son poste de combat, le 20 juin 1917, (Pour prendre rang du 21 juin 1917.)
La nomination ci-dessus comporte, en outre, l'attribution de la Croix de guerre avec palme.
Paris, 6 septembre 1917
PAINLEVÉ
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DAMOIS Paul Etienne
Né le 11 novembre 1892 à Belloy, canton de Luzarches (Seine-et-Oise)
Il occupe les professions d'ouvrier agricole et de cantonnier dans son village d'origine. Lors de son passage devant le conseil de révision, il est décrit comme ayant les cheveux châtain foncé, les yeux gris, le front moyen, les lèvres minces, la bouche moyenne, le nez cave, le menton à fossette et le visage rond, marques particulières - cicatrice au nez. Le jeune homme mesure 1 mètre 77. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Le N° matricule 5787 lui est attribué au recrutement.
Reconnu apte au service armé, Il est incorporé à compter du 8 octobre 1913 au 2e escadron du train. Il y arrive le même jour avec comme n° matricule au corps : 1419. Sous les drapeaux lors de la mobilisation générale, début août 1914, il part aux armées avec son unité dès le 9 août suivant. Rentré au dépôt le 10 janvier 1916, il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 16 janvier suivant (décision ministérielle n° 13878 3/3 du 12 août 1915).
Il y porte le n° matricule au corps : 016414 B
Il part aux armées le 28 janvier 1916. Près de dix-huit mois plus tard, il est évacué blessé le 15 juillet 1917. Ce jour-là, il est blessé par éclat d'obus au Lin Belge (?)
Il sera proposé pour la réforme par la commission de réforme de Saint-Lô le 25 décembre 1917. Invalidité de 20 à 30 %
Il se retire à Belloy, canton de Luzarches le 25 décembre 1917.
CITATIONS
cité à l'% du régiment n° 83 le 30 novembre 1916
"Une pièce entière venant d'être ensevelie sous les ruines de ses abris, s'est acharné volontairement pendant près de trois heures malgré la continuation d'un bombardement de 210 précis et intense, jusqu'à ce qu'il est dégagé le dernier blessé, faisant preuve de courage et d'énergie."
cité à % de l'armée du 5 août 1917
Voir ci-dessous
Journal officiel du 2 octobre 1917 page 7819
Attribution de la Médaille militaire
DAMOIS (Paul-Etienne), canonnier conducteur (réserve) à la 30e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde, (matricule 335) : canonnier conducteur, remarquable par son sang-froid et l'énelgie dont il n'a cessé de faire preuve dans les circonstances les plus périlleuses. Le 15 juillet 1917, n'a pas hésité à traverser une zone violemment battue par l'artillerie, pour assurer plus rapidement le ravitaillement de sa batterie en munitions. A été grièvement blessé. Déjà cité à l'ordre.
La nomination ci-dessus comporte, en outre, l'attribution de la Croix de guerre avec palme.
Décorations : Médaille militaire et Croix de guerre
Campagne contre l'Allemagne
CS du 2 août 1914 au 8 août 1914
Aux armées CD du 9 août 1914 au 14 juillet 1917
Blessures de guerre CD du 15 juillet 1917 au 14 juillet 1918
Intérieur CS du 15 07 1917 au 25 12 1917
Sources : archives départementales des Yvelines cote 1R/RM 474
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 9 mai 1917 page 3688
Attribution de la Médaille miltaire
SPAILLIER (Adrien), matricule 3003, canonnier téléphoniste (active) au 102e régiment d'artillerie tourde : canonnier très brave et très consciencieux, qui s'est toujours vaillamment conduit au feu. Grièvement blessé, le 12 décembre 1916, tandis qu'il réparait une ligne téléphonique. Enucléation de l'œil droit.
La nomination ci-dessus comporte, en outre, l'attribution de la Croix de guerre avec palme.
SPAILLIER Adrien N° matricule au recrutement : 4115
né le 6 janvier 1894 à Nogent-les-Vierges, canton de Criel (Oise)
Il exerce la profession électricien et réside à Romainville, canton de Noisy-le-Sec (Seine)
Il mesure 1 mètre 79, a les cheveux châtains, les yeux bruns, le front haut, le nez ordinaire et le visage ovale. Son degré d'instruction est de niveau 3.
Fils de Belge, il est incorporé à compter du 11 janvier 1916. Il arrive au corps (102e régiment d'artillerie lourde) le lendemain 12, comme canonnier de 2e classe. - N° matricule au corps : 3008.
Campagne contre l'Allemagne
Intérieur du 11 janvier 1916 au 3 décembre 1916
Armées du 4 au 12 décembre 1916
Intérieur du 12 décembre 1916 au 29 mars 1917
reliquat de blessure de guerre du 30 mars 1917 au 11 décembre 1917
Il se retire à Romainville
Blessé le 12 décembre 1916 à Berny (Somme) - séton de la face par éclat d'obus
Médaille militaire par décret du 7 mai 1917 pour prendre rang le 31 mars 1917
Promu chevalier de la Légion d'honneur pour prendre rang du 16 octobre 1954 (décret du 17 août 1955 - extrait du J.O. des 22 et 23 août 1955 page 8445
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine cote D4R1 1963
SPAILLIER Adrien - N° matricule au recrutement : 4115 - Classe 1917
========================================================
J.O. du 20 août 1916 page 7596
Le ministre de la guerre
Vu le décret du 13 août 1914
Arrête :
Article unique. - Sont inscrits au tableau spécial de la Médaille militaire, à compter du 5 août 1916, les militaires de réserve et de l'armée territoriale dont les noms suivent :
...
ROCHET (Joseph), adjudant de réserve au 102e régiment d'artillerie lourde : excellent adjudant, exemplaire dans toutes les situations qu'il a occupées, quelque difficiles qu'elles fussent.
Journal officiel du 9 mai 1917 page 3688
Attribution de la Médaille miltaire
SPAILLIER (Adrien), matricule 3003, canonnier téléphoniste (active) au 102e régiment d'artillerie tourde : canonnier très brave et très consciencieux, qui s'est toujours vaillamment conduit au feu. Grièvement blessé, le 12 décembre 1916, tandis qu'il réparait une ligne téléphonique. Enucléation de l'œil droit.
La nomination ci-dessus comporte, en outre, l'attribution de la Croix de guerre avec palme.
SPAILLIER Adrien N° matricule au recrutement : 4115
né le 6 janvier 1894 à Nogent-les-Vierges, canton de Criel (Oise)
Il exerce la profession électricien et réside à Romainville, canton de Noisy-le-Sec (Seine)
Il mesure 1 mètre 79, a les cheveux châtains, les yeux bruns, le front haut, le nez ordinaire et le visage ovale. Son degré d'instruction est de niveau 3.
Fils de Belge, il est incorporé à compter du 11 janvier 1916. Il arrive au corps (102e régiment d'artillerie lourde) le lendemain 12, comme canonnier de 2e classe. - N° matricule au corps : 3008.
Campagne contre l'Allemagne
Intérieur du 11 janvier 1916 au 3 décembre 1916
Armées du 4 au 12 décembre 1916
Intérieur du 12 décembre 1916 au 29 mars 1917
reliquat de blessure de guerre du 30 mars 1917 au 11 décembre 1917
Il se retire à Romainville
Blessé le 12 décembre 1916 à Berny (Somme) - séton de la face par éclat d'obus
Médaille militaire par décret du 7 mai 1917 pour prendre rang le 31 mars 1917
Promu chevalier de la Légion d'honneur pour prendre rang du 16 octobre 1954 (décret du 17 août 1955 - extrait du J.O. des 22 et 23 août 1955 page 8445
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine cote D4R1 1963
SPAILLIER Adrien - N° matricule au recrutement : 4115 - Classe 1917
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J.O. du 20 août 1916 page 7596
Le ministre de la guerre
Vu le décret du 13 août 1914
Arrête :
Article unique. - Sont inscrits au tableau spécial de la Médaille militaire, à compter du 5 août 1916, les militaires de réserve et de l'armée territoriale dont les noms suivent :
...
ROCHET (Joseph), adjudant de réserve au 102e régiment d'artillerie lourde : excellent adjudant, exemplaire dans toutes les situations qu'il a occupées, quelque difficiles qu'elles fussent.
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Eric ABADIE
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Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
Les Maréchaux-ferrants
Ils sont une charnière indispensable dans un régiment d'artillerie. ils veillent à conserver la bonne disponibilité des chevaux et assurent leur ferrage au quotidien. Pourtant ils sont un peu les oubliés des documents historiques.
======================================================
J.O. du 19 août 1916 page 7852
Le ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1914, Arrête : Article unique.- Sont inscrits au tableau spécial de la médaille militaire à compter du 1er août 1916, les militaires dont les noms suivent :
GOTTIER (Gustave-Charles), adjudant, premier maître maréchal ferrant au 102e régiment d'artillerie.
======================================================
Félix Alfred Joseph VANWARREGHEM
Mort pour la France le 10 juin 1916 à Dugny-sur-Meuse - ambulance 3/18, (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 7 janvier 1888 à Saint-Omer (Pas-de-Calais)
28 ans, 5 mois et 3 jours
aide maréchal-ferrant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Béthune (Pas-de-Calais) - Matricule au Rt : 2813
Lieu de transcription du décès : Saint-Omer (Pas-de-Calais) le 16 avril 1917
Journal officiel du 29 juin 1922 page 2576
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
VAN WARREGHEM ( Félix-Alfred-Joseph ) matricule 09863, canonnier: brave canonnier. Mort pour la France, le 10 juin 1916, des suites de glorieuses blessures reçues devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Ce maréchal-Ferrant bien que résidant à Valenciennes, dans le département du Nord, prend un engagement volontaire pour trois ans à la Mairie d'Arras, le 20 janvier 1908.
Le jeune homme mesure 1 mètre 78. Il possède un degré d'instruction de niveau tois. Il a les cheveux et sourcils châtains, les yeux gris, un nez assez gros, un menton rond et un visage ovale.
En 1914, lors de mobilisation générale, il est rappelé à l'activité au 147e R.I. Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 11 décembre 1915 (note du conseil d'administration du 102e Rgt Art. lourde). N° matricule au corps : 09863
Décédé le 10 juin 1916 - Blessures de champ de bataille, à Dugny - Ambulance 3/18 (Meuse) - avis du ministère de la guerre GD 1143 du 30 juin 1916.
Sources : archives départementales du Pas-de-Calais - cote 1r_7158
Vanwarreghem Félix Alfred Joseph - Classe 1908 - Bureau de recrutement de Saint-Pol-sur-Ternoise - n° matricule au recrutement : 2813
==============================================================
Voir : http://www.chtimiste.com/regiments/Comp ... stquoi.htm
La batterie de combat
==============================================================
LECOMTE (Louis), 2e C.C.à la 8e Batterie du 102e RAL, + le 17 avril 1917
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Attribution de la Médaille militaire à titre posthume
LECONTE (Louis), matricule 5402, canonnier : très bon canonnier, ayant toujours vaillamment fait son devoir. Mort des suites de blessures reçues à l'ennemi, le 17 avril 1917. A été cité.
Louis Paul LECOMTE
Mort pour la France le 17 avril 1917 à Cutry - Ambulance 2/10, (Aisne) des suites de blessures de guerre.
Né le 29 mai 1897 à Saulchoy (Le) (Oise)
Louis Paul LECOMTE, est maréchal-ferrant dans le civil à Crillon, canton de Songeons
N° matricule au recrutement de Beauvais : 1319
Présent le 9 janvier 1916 au 17e régiment d'artillerie comme canonnier conducteur.
Nommé Aide Maréchal-Ferrant le 10 septembre 1916.
Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 8 mars 1917. Évacué blessé le 17 avril 1917 pour intoxication par gaz asphyxiants, il décède des suites de celle-ci dans la journée.
Sources : archives départementales de l'Oise - cote RP 1051
Un article sur ce canonnier aide-maréchal ferrant est à retrouver à la page 7 de ce sujet.
==============================================================
==============================================================
Je voudrais rendre hommage à l'un d'eux.
Rien sur lui (ni citation, ni de fiche matricule absente aux archives départementales de la Somme), pourtant, mobilisé, il est resté aux armées pendant cinq longues années et a participé à la Grande Guerre sur plusieurs champs de bataille.
Médille THOQUENNE est né le 4 février 1887 à Liancourt-Fosse, dans le canton de Roye dans la Somme. Il a appris son métier de maréchal-ferrant auprès de différents maréchaux-ferrants, notamment Henri LHOMME à Villers-Bretonneux ou Edmond COTTÉ, maréchal, route de Flandres à Liancourt-Fosse. De la classe 1907, il est appelé devant le conseil de révision de Roye dans sa vingtième année. Le matricule n° 12 lui est attribué au recrutement. Il est incorporé en octobre 1908 au 29e régiment d'artillerie de La Fère dans sa spécialité. Il porte le n° matricule 015640 au corps. Le jeune homme mesure un mètre soixante-et-onze centimètres. Il a les cheveux châtains, le nez aquilin et les yeux bleu foncé.
Le 1er août 1914, le facteur lui apporte son ordre de rappel sous les drapeaux, envoyé la veille depuis Péronne. Ce courrier lui signifie de rejoindre immédiatement et sans délai le Quartier Drouot de La Fère (casernement du 42e régiment d'artillerie). Le régiment appartient à la 4e D.I., elle-même rattachée au 2e Corps d'armée. Le 42e se battra dans la Marne, en Woëvre puis en Champagne en 1915. L'année 1916 verra sa participation aux deux grandes batailles, Verdun puis la Somme. A une date qui nous est inconnue, il passe au 102e régiment d'artillerie lourde également dépendant du 2e C.A. Il y sera employé en tant que brigadier-maréchal à la 15e batterie appartenant au 3e Groupe ou au 5e Groupe (secteur 118). Il sera démobilisé le 8 juillet 1919, se mariera et s'installera à Gruny pour y exercer sa profession. Il décédera dans ce village en mai 1945.
Les Maréchaux-ferrants
Ils sont une charnière indispensable dans un régiment d'artillerie. ils veillent à conserver la bonne disponibilité des chevaux et assurent leur ferrage au quotidien. Pourtant ils sont un peu les oubliés des documents historiques.
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J.O. du 19 août 1916 page 7852
Le ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1914, Arrête : Article unique.- Sont inscrits au tableau spécial de la médaille militaire à compter du 1er août 1916, les militaires dont les noms suivent :
GOTTIER (Gustave-Charles), adjudant, premier maître maréchal ferrant au 102e régiment d'artillerie.
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Félix Alfred Joseph VANWARREGHEM
Mort pour la France le 10 juin 1916 à Dugny-sur-Meuse - ambulance 3/18, (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 7 janvier 1888 à Saint-Omer (Pas-de-Calais)
28 ans, 5 mois et 3 jours
aide maréchal-ferrant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Béthune (Pas-de-Calais) - Matricule au Rt : 2813
Lieu de transcription du décès : Saint-Omer (Pas-de-Calais) le 16 avril 1917
Journal officiel du 29 juin 1922 page 2576
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
VAN WARREGHEM ( Félix-Alfred-Joseph ) matricule 09863, canonnier: brave canonnier. Mort pour la France, le 10 juin 1916, des suites de glorieuses blessures reçues devant Verdun. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Ce maréchal-Ferrant bien que résidant à Valenciennes, dans le département du Nord, prend un engagement volontaire pour trois ans à la Mairie d'Arras, le 20 janvier 1908.
Le jeune homme mesure 1 mètre 78. Il possède un degré d'instruction de niveau tois. Il a les cheveux et sourcils châtains, les yeux gris, un nez assez gros, un menton rond et un visage ovale.
En 1914, lors de mobilisation générale, il est rappelé à l'activité au 147e R.I. Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 11 décembre 1915 (note du conseil d'administration du 102e Rgt Art. lourde). N° matricule au corps : 09863
Décédé le 10 juin 1916 - Blessures de champ de bataille, à Dugny - Ambulance 3/18 (Meuse) - avis du ministère de la guerre GD 1143 du 30 juin 1916.
Sources : archives départementales du Pas-de-Calais - cote 1r_7158
Vanwarreghem Félix Alfred Joseph - Classe 1908 - Bureau de recrutement de Saint-Pol-sur-Ternoise - n° matricule au recrutement : 2813
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Voir : http://www.chtimiste.com/regiments/Comp ... stquoi.htm
La batterie de combat
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LECOMTE (Louis), 2e C.C.à la 8e Batterie du 102e RAL, + le 17 avril 1917
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Attribution de la Médaille militaire à titre posthume
LECONTE (Louis), matricule 5402, canonnier : très bon canonnier, ayant toujours vaillamment fait son devoir. Mort des suites de blessures reçues à l'ennemi, le 17 avril 1917. A été cité.
Louis Paul LECOMTE
Mort pour la France le 17 avril 1917 à Cutry - Ambulance 2/10, (Aisne) des suites de blessures de guerre.
Né le 29 mai 1897 à Saulchoy (Le) (Oise)
Louis Paul LECOMTE, est maréchal-ferrant dans le civil à Crillon, canton de Songeons
N° matricule au recrutement de Beauvais : 1319
Présent le 9 janvier 1916 au 17e régiment d'artillerie comme canonnier conducteur.
Nommé Aide Maréchal-Ferrant le 10 septembre 1916.
Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 8 mars 1917. Évacué blessé le 17 avril 1917 pour intoxication par gaz asphyxiants, il décède des suites de celle-ci dans la journée.
Sources : archives départementales de l'Oise - cote RP 1051
Un article sur ce canonnier aide-maréchal ferrant est à retrouver à la page 7 de ce sujet.
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Je voudrais rendre hommage à l'un d'eux.
Rien sur lui (ni citation, ni de fiche matricule absente aux archives départementales de la Somme), pourtant, mobilisé, il est resté aux armées pendant cinq longues années et a participé à la Grande Guerre sur plusieurs champs de bataille.
Médille THOQUENNE est né le 4 février 1887 à Liancourt-Fosse, dans le canton de Roye dans la Somme. Il a appris son métier de maréchal-ferrant auprès de différents maréchaux-ferrants, notamment Henri LHOMME à Villers-Bretonneux ou Edmond COTTÉ, maréchal, route de Flandres à Liancourt-Fosse. De la classe 1907, il est appelé devant le conseil de révision de Roye dans sa vingtième année. Le matricule n° 12 lui est attribué au recrutement. Il est incorporé en octobre 1908 au 29e régiment d'artillerie de La Fère dans sa spécialité. Il porte le n° matricule 015640 au corps. Le jeune homme mesure un mètre soixante-et-onze centimètres. Il a les cheveux châtains, le nez aquilin et les yeux bleu foncé.
Le 1er août 1914, le facteur lui apporte son ordre de rappel sous les drapeaux, envoyé la veille depuis Péronne. Ce courrier lui signifie de rejoindre immédiatement et sans délai le Quartier Drouot de La Fère (casernement du 42e régiment d'artillerie). Le régiment appartient à la 4e D.I., elle-même rattachée au 2e Corps d'armée. Le 42e se battra dans la Marne, en Woëvre puis en Champagne en 1915. L'année 1916 verra sa participation aux deux grandes batailles, Verdun puis la Somme. A une date qui nous est inconnue, il passe au 102e régiment d'artillerie lourde également dépendant du 2e C.A. Il y sera employé en tant que brigadier-maréchal à la 15e batterie appartenant au 3e Groupe ou au 5e Groupe (secteur 118). Il sera démobilisé le 8 juillet 1919, se mariera et s'installera à Gruny pour y exercer sa profession. Il décédera dans ce village en mai 1945.
Dernière modification par ae80 le mar. avr. 22, 2025 3:21 pm, modifié 11 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
1917
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7059
Attribution de la Médaille militaire
BRUNIN (Edmond), matricule B 09864, canonnier conducteur (réserve) à la 14e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : conducteur dévoué, sérieux et travailleur, mortellement blessé par une explosion le 23 mars 1917, exhortait ses camaradest qui lui donnaient des soins à panser auparavant les autres blessés. A été cité.
Auguste Louis VOLLE
Mort pour la France le 7 mai 1917 à Romain - ambulance 4/9, (Marne) de blessures de guerre.
Né le 1er juin 1889 à Burzet (Ardèche)
27 ans, 11 mois et 6 jours
2e canonnier servant au
102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Pont-Saint-Esprit (Gard) - Matricule au Rt : 1159
Lieu de transcription du décès : Lalevade-d'Ardèche (Ardèche) le 25 décembre 1917.
Journal officiel du 29 juin 1922 page 2576
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
VOLLE (Auguste-Louis), mle 06701, canonnier: canonnier courageux et dévoué. Mort glorieusement pour la France, le 7 mai 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.
1916
Journal officiel du 29 juin 1922 page 2576
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
BAUDRY (Edmond-Marcel), matricule 2226, canonnier: choisi comme téléphoniste suppléant à cause de son zèle et de son courage, a été mortellement blessé en réparant une ligne la veille d'une journée d'attaque. A été cité.
Edmond Marcel Henri BAUDRY
Mort pour la France le 5 septembre 1916 à Estrées-Saint-Denis (Oise) des suites de blessures de guerre.
Né le 26 juillet 1896 à Paris 2e arrondissement
20 ans, 1 mois et 10 jours
2e canonnier conducteur au
102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement Seine 2e bureau (75) - Matricule au recrutement : 2229
Lieu de transcription du décès : Paris 16e arrondissement le 30 décembre 1916
Auguste SBURLATI
Mort pour la France le 26 février 1916 à Lombert - Rombut - Fromeréville-les-Vallons (Meuse) - Mort accidentellement en service commandé.
Né le 27 octobre 1897 à Marseille (Bouches-du-Rhône)
18 ans, 3 mois et 30 jours
2e canonnier servant au
102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1915 - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du-Rhône) - Matricule au recrutement : 2775
Lieu de transcription du décès : Marseille (Bouches-du-Rhône) le 30 août 1916
Journal officiel du 29 juin 1922 page 2576
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
SBURLATI (Auguste), matricule 3092, canonnier : plein d'allant et d'entrain était malgré sa jeunesse un des meilleurs servants de sa batterie. Blessé grièvement, le 26 février 1916, est mort des suites de ses blessures. A été cité.
=================================================
10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7057
MÉDAILLE MILITAIRE
CHANTREUX (Léon-Jules-Edmond), matricule 4218, canonnier servant (active) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : téléphoniste remarquable par son sang-froid et son courage. A été tué le 3 avril 1916 au moment ou, sans souci du danger, il réparait une ligne téléphonique sous un très violent bombardement (combats devant Verdun). A été cité.
Léon Jules Edmond CHANTREUX
Mort pour la France le 3 avril 1916 à Verdun (Meuse) - Tué à l'ennemi
Né le 13 mai 1893 à Anguilcourt-le-Sart (Aisne)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
N° matricule au corps : 4218
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Laon (Aisne) - Matricule au Rt : 988
Mention : Mort pour la France
Acte transcrit le 25 septembre 1919 à la Fère (Aisne)
=================================================
L'appartenance de ce canonnier est mal défini :
Auguste Joseph FONTAINE
Mort pour la France le 31 mai 1916 à Villeurbanne - Hospice de Villeurbanne, (Rhône)
Né le 8 juin 1885 à Saint-Quentin (Aisne)
30 ans, 11 mois et 23 jours
maître pointeur au 1er régiment d'artillerie lourde (1er RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt ; 1173
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Quentin (Aisne)
Suite à des vérifications, certaines données indiquées dans la fiche originale étaient erronées et ont été corrigées.
Données corrigées le 9 août 2023 :
Unité : 1er régiment d'artillerie lourde (1er RAL)
La fiche originale indique : 102e régiment d'artillerie lourde
Voir :
https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vt ... 9e/dao/0/1
https://www.geneanet.org/registres/view ... ter=385448
Auguste Joseph FONTAINE
Mort pour la France le 31 mai 1916 à Villeurbanne, 'Rhône)
Né le 8 juin 1885 à Saint-Quentin (Aisne)
30 ans, 11 mois et 23 jours
maître pointeur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt : 1173
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture : Villeurbanne (Rhône)
Nom du site de sépulture : nécropole nationale de "La Doua"
Type de sépulture : tombe individuelle
Carré de la sépulture B
Rang de la sépulture 2
Numéro de la sépulture : 88
1917
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7059
Attribution de la Médaille militaire
BRUNIN (Edmond), matricule B 09864, canonnier conducteur (réserve) à la 14e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : conducteur dévoué, sérieux et travailleur, mortellement blessé par une explosion le 23 mars 1917, exhortait ses camaradest qui lui donnaient des soins à panser auparavant les autres blessés. A été cité.
Auguste Louis VOLLE
Mort pour la France le 7 mai 1917 à Romain - ambulance 4/9, (Marne) de blessures de guerre.
Né le 1er juin 1889 à Burzet (Ardèche)
27 ans, 11 mois et 6 jours
2e canonnier servant au
102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Pont-Saint-Esprit (Gard) - Matricule au Rt : 1159
Lieu de transcription du décès : Lalevade-d'Ardèche (Ardèche) le 25 décembre 1917.
Journal officiel du 29 juin 1922 page 2576
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
VOLLE (Auguste-Louis), mle 06701, canonnier: canonnier courageux et dévoué. Mort glorieusement pour la France, le 7 mai 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze.
1916
Journal officiel du 29 juin 1922 page 2576
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
BAUDRY (Edmond-Marcel), matricule 2226, canonnier: choisi comme téléphoniste suppléant à cause de son zèle et de son courage, a été mortellement blessé en réparant une ligne la veille d'une journée d'attaque. A été cité.
Edmond Marcel Henri BAUDRY
Mort pour la France le 5 septembre 1916 à Estrées-Saint-Denis (Oise) des suites de blessures de guerre.
Né le 26 juillet 1896 à Paris 2e arrondissement
20 ans, 1 mois et 10 jours
2e canonnier conducteur au
102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement Seine 2e bureau (75) - Matricule au recrutement : 2229
Lieu de transcription du décès : Paris 16e arrondissement le 30 décembre 1916
Auguste SBURLATI
Mort pour la France le 26 février 1916 à Lombert - Rombut - Fromeréville-les-Vallons (Meuse) - Mort accidentellement en service commandé.
Né le 27 octobre 1897 à Marseille (Bouches-du-Rhône)
18 ans, 3 mois et 30 jours
2e canonnier servant au
102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1915 - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du-Rhône) - Matricule au recrutement : 2775
Lieu de transcription du décès : Marseille (Bouches-du-Rhône) le 30 août 1916
Journal officiel du 29 juin 1922 page 2576
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
SBURLATI (Auguste), matricule 3092, canonnier : plein d'allant et d'entrain était malgré sa jeunesse un des meilleurs servants de sa batterie. Blessé grièvement, le 26 février 1916, est mort des suites de ses blessures. A été cité.
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10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7057
MÉDAILLE MILITAIRE
CHANTREUX (Léon-Jules-Edmond), matricule 4218, canonnier servant (active) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : téléphoniste remarquable par son sang-froid et son courage. A été tué le 3 avril 1916 au moment ou, sans souci du danger, il réparait une ligne téléphonique sous un très violent bombardement (combats devant Verdun). A été cité.
Léon Jules Edmond CHANTREUX
Mort pour la France le 3 avril 1916 à Verdun (Meuse) - Tué à l'ennemi
Né le 13 mai 1893 à Anguilcourt-le-Sart (Aisne)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
N° matricule au corps : 4218
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Laon (Aisne) - Matricule au Rt : 988
Mention : Mort pour la France
Acte transcrit le 25 septembre 1919 à la Fère (Aisne)
=================================================
L'appartenance de ce canonnier est mal défini :
Auguste Joseph FONTAINE
Mort pour la France le 31 mai 1916 à Villeurbanne - Hospice de Villeurbanne, (Rhône)
Né le 8 juin 1885 à Saint-Quentin (Aisne)
30 ans, 11 mois et 23 jours
maître pointeur au 1er régiment d'artillerie lourde (1er RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt ; 1173
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Quentin (Aisne)
Suite à des vérifications, certaines données indiquées dans la fiche originale étaient erronées et ont été corrigées.
Données corrigées le 9 août 2023 :
Unité : 1er régiment d'artillerie lourde (1er RAL)
La fiche originale indique : 102e régiment d'artillerie lourde
Voir :
https://archives.aisne.fr/ark:/63271/vt ... 9e/dao/0/1
https://www.geneanet.org/registres/view ... ter=385448
Auguste Joseph FONTAINE
Mort pour la France le 31 mai 1916 à Villeurbanne, 'Rhône)
Né le 8 juin 1885 à Saint-Quentin (Aisne)
30 ans, 11 mois et 23 jours
maître pointeur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt : 1173
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture : Villeurbanne (Rhône)
Nom du site de sépulture : nécropole nationale de "La Doua"
Type de sépulture : tombe individuelle
Carré de la sépulture B
Rang de la sépulture 2
Numéro de la sépulture : 88
Dernière modification par ae80 le lun. mars 24, 2025 4:47 pm, modifié 18 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
Extrait de l'Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
(pages 6 à 8)
II. — DÉFENSE DE VERDUN
(Février-juin 1916)
L'état-major de l'artillerie lourde du 2e corps (1er groupement du 102e) est constitué le 16 février 1916. Le commandement en est confié au lieutenant-colonel MARIN. Son poste de commandement est installé au quartier général du 2e corps à Dieue, au sud de Verdun. Le corps d'armée tient tout le secteur des Hauts de Meuse depuis le fort du Rozelier jusqu'au fort de Troyon. Le lieutenant-colonel MARIN va cumuler le commandement du 1er groupement du 102e R. A. L. avec le commandement tactique de toute l'artillerie lourde du corps d'armée. Les positions de batterie sont cachées dans les forêts des Hauts de Meuse. L'ennemi est dans la plaine de Woëvre, complètement dominé par les nombreux observatoires de la défense fixe ou des groupes mobiles. Dès le mois de mars, l'ennemi s'abstiendra de toute attaque importante dans ce secteur ; quelques coups de main seulement ont lieu du côté des Éparges. La mission de l'artillerie lourde est principalement de faire la contre-batterie sur toutes les batteries allemandes, vues en action par les différents services de renseignements et les observatoires terrestres.
Cette mission de tirs à longue portée sur les batteries allemandes, le 102e la remplira pendant toute la durée de la guerre, à quelques exceptions près. A cette époque, l'artillerie lourde du 2e corps d'armée ne comprend que le 2e groupe du 102e ; le 1er groupe n'est pas encore aux armées ; il est en formation au dépôt du 102e à Ploërmel. Il comprend alors, sous les ordres du commandant DOIGNEAU, la 1ère batterie (capitaine BRION) et la 2e batterie (lieutenant PARAGE), armées de canons de 105 long Schneider, modèle 1913. Le 8 avril 1916, ce groupe est mis en route sur Vannes par voie de terre avec étape à Elven. Embarqué à Vannes, le 10, il débarque à Longeville près de Bar-le-Duc, le 12. Le 14, le groupe met en batterie à la Tranchée de Calonne et commence de suite sa mission de contre-batterie. L'artillerie ennemie est extrêmement active. Certains points sont particulièrement battus systématiquement, tel le carrefour des Trois-Jurés où avant même de mettre en batterie, la 2e batterie a deux hommes (les canonniers SUPERNANT et PLOURABOUÉ) et quatre chevaux tués ; elle va s'installer au Bois-Haut.
La 1ère batterie est au sud-ouest du carrefour de Bernatand et le poste de commandement du chef d'escadron est dans son voisinage. Le commandant DOIGNEAU remplit sa mission en liaison constante avec le chef d'escadron MELAT, commandant un sous-groupement de batteries à pied. Au cours de la période avril-mai-juin 1916, le 1er groupe occupe sur les Hauts de Meuse différentes positions aux environs du fort du Rozelier qu'il ne quitte que le 8 juin. Il fournit pendant ces trois mois un effort soutenu et a fréquemment à subir de sévères bombardements, qui lui causent des pertes sensibles en personnel et en matériel : à la 1ère batterie, un tué, le maréchal des logis DUBOIS et un blessé, le canonnier PHILIPPE ; à la 2e batterie, dont la position du Bois-Haut est fréquemment et violemment prise à partie par l'artillerie ennemie, plusieurs blessés : les canonniers LASERNE, VIÉVILLE et GORBIER. Les pièces sont détruites par le tir ennemi ou mises hors d'usage, et lorsque, le 8 juin, le groupe quitte Sommedieue pour Ranzières, il ne peut plus mettre en batterie près de ce dernier village qu'un seul canon (1ère batterie).
Plusieurs citations récompensent la bravoure et l'entrain du personnel : notons entre autres celle du maréchal des logis DUBOIS, de la 1ère batterie, mort au champ d'honneur, et du téléphoniste LACOMBE, de la 2e batterie. Le 20 juin, le 2e C. A. étant entièrement relevé par le 3e C. A., les 1er et 2e groupes du 102e qui constituent l'artillerie lourde du 2e C. A. font mouvement et vont s'embarquer : le 1er groupe à Nançois-Tronville, le 2e groupe à Ligny-en-Barrois.
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... texteImage
Morts pour la France du 102e R.A.L. pendant cette période
Maurice Germain RENAUD
Mort pour la France le 23 février 1916 à l'hôpital d'évacuation (H.O.E.) N° 6 de Baleicourt (sic) lire : Baleycourt (Meuse des suites de blessures de guerre.
Né le 17 avril 1895 à Les Riceys (Aube)
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1914/15 - Bureau de Recrutement de Troyes (Aube) - Matricule au Rt : 4454
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Les Riceys (Aube) le 17 juillet 1916
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7058
102e rég. d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
RENAUD (Maurice), matricule 3091, canonnier : excellent soldat, avant toujours fait bravement son devoir. Blessé mortellement à son poste de combat, le 23 février 1916. A été cité.
J.O. du 4 décembre 1919 page 13919
GOUGE (Edouard), matricule B 04167, canonnier servant : bon canonnier, ayant fait bravement son devoir. Tué à l'ennemi, le 24 février 1916. A été cité.
J.O. du 4 décembre 1919 page 13919
POIX (Edouard-Alfred), matricule B 013259, canonnier servant : très bon canonnier, ayant toujours fait bravement son devoir. Tué à l'ennemi pendant la bataille de Verdun, le 24 février 1916. A été cité.
Georges Armand LETELLIER
Mort pour la France le 10 mars 1916 à l'hôpital temporaire n° 12 de Vadelaincourt (Meuse) des suites de blessures de guerre
Né le 10 juin 1888 à Méru (Oise)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 431
Mention : Mort pour la France
Transcription de décès adressé par l'hôpital à son domicile à Méru.
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
102e régiment d'artillerie lourde (appartenance non mentionnée dans le JO)
Médaille militaire à titre posthume
LETELLIER (Georges), matricule 02197, canonnier : excellent et courageux soldat, ayant toujours fait bravement son devoir. Mort pour la France, le 10 mars 1916. A été cité.
==============================================================
10e Batterie du 102e RAL
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7058
Attribution de la Médaille militaire
LAGUERRE (Constant), matricule 3218, brigadier (active) à la 10e compagnie (sic) * du 102e régiment d'artillerie lourde : brigadier rernarquable par son énergie et son courage. S'était distingué particulièrement du 21 au 25 février 1916, en continuant le tir de sa pièce malgré les plus violents bombardements. A été tué à son poste le 18 mars 1916 (combats devant Verdun). A été cité.
* Lire : 10e Batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Constant Charles LAGUERRE
Mort pour la France le 18 mars 1916 à Gincrey - Bois de Tillat, (Meuse) de blessures de guerre.
Né le 10 décembre 1893 à Nanterre (Hauts-de-Seine) (ex Seine et Seine-et-Oise)
22 ans, 3 mois et 8 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1913 : Bureau de recrutement de la Seine 1er bureau (75) - Matricule au Rt : 456
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 10e arrondissement le 1er juillet 1916
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7058
Attribution de la Médaille militaire
GILLARD (Désiré), matricule 4213, canonnier sergent (active) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : très bon pointeur, exécutant toujours son service avec le plus grand calme sous les plus violents bombardements, tué à son poste, le 3 avril 1916 (combats devant Verdun). A été cité.
==============================================================
30e Batterie du 102e R.A.L.
PRADE (François), 2e C. S. à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + le 8 mars 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
François PRADE
Mort pour la France le 8 mars 1916 à Génicourt-sur-Meuse (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 13 octobre 1886 à Calvisson (Gard)
1er canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1906 - Bureau de recrutement de Nîmes (Gard) - Matricule au recrutement : 239
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Calvisson (Gard) le 15 mai 1916
MISTRAL (Marius), Brigadier à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + 14 mars 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Marius Antonin MISTRAL
Mort pour la France le 14 mars 1916 à Rambluzin-et-Benoite-Vaux - ambulance 11/6, (Meuse)
Né le 28 mars 1887 à Marseille (Bouches-du-Rhône)
28 ans, 11 mois et 17 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du-Rhône) - Matricule au recrutement : 2265
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Marseille (Bouches-du-Rhône)
LEFEBVRE (Charles) Brigadier à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + 12 mars 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Charles Gaston Médéric LEFEBVRE
Mort pour la France le 12 mars 1916 à Saint-Remy-la-Calonne - Tranchée de Calonne (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 janvier 1890 à Blargies (Oise)
26 ans, 2 mois et 6 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie (102e RA)
Classe : 1910 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) -Matricule au recrutement : 315
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bouvresse (Oise) le 11 août 1916
Henri Auguste Léon DIEVAL
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Vaux-lès-Palameix - TRANCHEE DE CALONNE, (Meuse)
Né le 13 mars 1885 à Aizecourt-le-Haut (Meuse) (sic)
Le village d'Aizecourt-le-Haut se trouve dans le département de la Somme - arrondissement de Péronne.
31 ans et 19 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) : Matricule au recrutement : 23
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Moislains (Somme)
DIEVAL (Henri), 2e C.C. à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + le 1er avril 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
J.O. du 21 novembre 1919 page 13159
102e régiment d'artillerie lourde
DIEVAL (Henri), matricule B 7251, canonnier conducteur : très bon canonnier, ayant toujours fait bravement son devoir. A trouvé une mort glorieuse, le 1er avril 1915. A été cité.
Paul DUPLESSY, 2e canonnier conducteur à la 30 Batterie, + le 1er avril 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Paul Henri DUPLESSY
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Verdun - Tranchée de la Calonne, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 10 janvier 1885 à Auvers-sur-Oise (Yvelines) (ex Seine-et-Oise)
31 ans, 2 mois et 22 jours
soldat de 2e classe 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Versailles (Yvelines) - Matricule au Rt : 832
Mention : Mort pour la France
Trancription de décès : à Mériel (Seine-et-Oise) le 3 septembre 1916
DUPLESSY (Paul), 2e C.C. à la 30e Batterie du 102e RAL, + le 1er avril 1916
J.O. du 20 novembre 1919 page 13079
102e rég. d'artillerie lourde
DUPLESSY (Paul), matricule 012791, canonnier conducteur : bon soldat courageux et dévoué, d'une belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste de combat le 1er avril 1916. A été cité.
Gustave Désiré dit Gaston LARZILLIÈRE
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Saint-Remy-la-Calonne - Tranchée de la Calonne (La), (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 29 septembre 1886 à Sourd (Le) (Aisne)
29 ans, 6 mois et 2 jours
canonnier de 2e classe au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL) et non pas 102e RI comme indiqué sur la fiche ("Mémoire des hommes")
Classe 1906 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt : 146
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Sourd (Le) (Aisne) le 30 décembre 1919.
LAZZILLIÈRE (sic) (Gustave), 2e C.C. à la 30e Batterie du 102e RAL, + le 1er avril 1916
J.O. du 20 novembre 1919 page 13078
102e rég. d'artillerie lourde
LARZILLIÈRE (Gustave-Désiré), matricule 02359, canonnier : excellent soldat, ayant toujours fait bravement son devoir. Tombé glorieusement, le 1er avril 1916. A été cité.
LEMIRE (Émile) 1er C. C. à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + le 1er avril 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Emile Eugène Henri LEMIRE
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Saint-Remy-la-Calonne (Meuse) - Tué à l'ennemi à la Tranchée de Calonne, près de Verdun.
Né le 8 mai 1883 à Grugies (Aisne)
32 ans, 10 mois et 24 jours
1er canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie (102e RA)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt : 1509
Mention : : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Martin-aux-Bois (Oise) le 29 mai 1916
Eugène Lucien François ROGER
Mort pour la France le 1er avril 1916 à la tranchée de Calonne (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 31 janvier 1894 à Paris 20e arrondissement (ex Seine)
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1914 - Bureau de Rt de la Seine 1er Bureau (75) - Matricule au Rt : 3199
Mention : Mort pour la France
Trancription de décès : Pontivy (Morbihan) le 10 août 1916
ROGER Eugène), 2e C.C. à la 30e Batterie du 102e RAL, + le 1er avril 1916
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7058
102e rég. d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
ROGER (Eugène), matricule 3027, canonnier : excellent canonnier, énergique. Ayant toujours fait vaillamment son devoir. Tué le 1er avril 1916 à Calonne. A été cité.
Clément Alfred TIESSE
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Verdun - A la tranchée de Calonne , (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 22 novembre 1883 à Bonnières (Oise)
32 ans, 4 mois et 9 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 812
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bonnières (Oise) le 3 juillet 1916
Clément TIESSE, 2e canonnier conducteur à la 30e Batterie, + le 1er avril 1916
J.O. du 20 novembre 1919 page 13078
102e rég. d'artillerie lourde.
TIESSE (Clément-Albert), matricule 010321, canonnier conducteur : excellent conducteur ayant toujours fait bravement son devoir. Mort pour la France, le 1er avril 1916, à Calonne. A été cité.
TRICOT (Octave), Brigadier à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + 1er avril 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Octave Maximilien TRICOT
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Dieue-sur-Meuse (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 6 juin 1890 à Thivencelle (Nord)
25 ans, 9 mois et 25 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe : 1910 - Bureau de recrutement de Valenciennes (Nord) - Matricule au Rt : 1843
Mention : Mort pour la France
Acte transcrit le 24 janvier 1917 à Paris (1er arr.) - domicilié à Thivencelle (Nord). ???
J.O. du 9 décembre 1919 page 14236
TRICOT (Octave-Maximilien), matricule 04085, brigadier : excellent brigadier ayant toujours fait courageusement son devoir. Mort pour la France, le 1er avril 1916, à Calonne. A été cité.
Célestin Jean EPERVIER
Mort pour la France le 12 mai 1916 à Vadelaincourt - hôpital temporaire n° 12, (Meuse) de blessures de guerre.
Né le 24 mars 1876 à Port-Saint-Père (Loire-Atlantique) (ex Loire-Inférieure)
40 ans, 1 mois et 19 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1896 - Bureau de recrutement de Nantes (Loire-Atlantique) - Matricule au recrutement : 1804
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Rouans (Loire-Atlantique) le 21 août 1916
Journal officiel du 16 mai 1922 page 2369
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire pour les militaires suivants :
EPERVIER (Célestin-Jean), matricule 3046, maréchal des logis : brave sous-officier, zélé et consciencieux. Mort pour la France, le 12 mai 1916, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.
EPERVIER (Célestin) maréchal des logis à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + le 12 mai 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
EPERVIER Célestin Jean
cultivateur à Rouans en 1904
L'homme a les cheveux et sourcils châtains, les yeux marron, le visage rond et mesure 1 mètre 61. Son degré d'instruction est de niveau 3.
Nommé maréchal des logis le 7 novembre 1903.
Appartenant à la territoriale, il est rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale mais renvoyé provisoirement dans ses foyers. A partir de novembre 1914 il rejoint différentes unités d'artillerie, 3e R.A à pied puis 4e R.A. à Lorient mai 1915. le 1er octobre 1915 il est affecté au 111e régiment d'artillerie lourde (dépêche ministérielle n°15344 3/3 du 26 août 1915.
Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 19 janvier 1916 et décède quatre mois plus tard, le 12 mai 1916, à l'hôpital 12 de Vadlaincourt (sic) - avis du ministère de la guerre F.O. 5715 du 22 mai 1916.
Un secours de 200 francs a été accordé à la veuve de l'intéressé (avis du 102e d'artillerie lourde du 24 septembre 1916.
Sources : archives départementales de Loire-Atlantique
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Jean PLOURABOUÉ
Mort pour la France le 15 avril 1916 à l'Ambulance 8/2 à la Belle-Hélène, commune de Sommedieue (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 30 novembre 1878 à (Saint-Armou) - Morlaas (Pyrénées-Atlantiques) (ex Basses-Pyrénées)
2e canonnier au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1898 Bureau de recrutement de Pau (Pyrénées-Atlantiques) - Matricule au recrutement : 36
Trancription de décès à Pau (Pyrénées-Atlantiques) le 3 juin 1916
PLOURABOUÉ Jean
garçon d'écurie dans le civil. Il demeure à Bordeaux, rue des douves depuis au moins 1903.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914.
Venant du 111e régiment d'artillerie lourde, il était passé au 102e régiment d'artillerie lourde le 30 mars 1916. Décédé le 15 avril 1916 des suites de blessures de guerre à l'ambulance 8/2 commune de Sommedieue (Meuse).
Avis ministériel F.G. 8125 du 9 mai 1916.
Un secours immédiat de 150 francs a été payé le 27 octobre 1916 à Mme PLOURABOUÉ, mère du décédé.
Sources : archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
https://earchives.le64.fr/archives-en-l ... ire::87402
Gaston Jules SUPERNANT
Mort pour la France le 15 avril 1916 à Sommedieue (Meuse) de ses blessures de guerre.
Né le 28 mai 1881 à Vervins (Aisne)
34 ans, 10 mois et 18 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1899 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt : 69
Lieu de transcription du décès - le 8 juin 1918 à Paris 1er Arrondissement (Seine)Vervins (Aisne) - Domicile à Vervins (Aisne).
J.O. du 5 novembre 1916 page 9587
1916/11/05 (A48,N301).Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181
Par décret du 2 novembre 1916, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après, dont les maris sont décédés des suites de blessures reçues à l'ennemi ou d'événements de guerre :
ROSELET (Gabrielle-Zénaïde), veuve SUPERNANT. — Jouissance du 16 avril 1916... 563 francs
SUPERNANT Gaston Jules
Engagé volontaire au 29e d'artillerie à Laon le 15 novembre 1899 pour trois ans. Incorporé au 17e d'artillerie à compter du 21 mars 1900 comme venant des 2e servants du 29e régiment d'artillerie % du général Cdt l'artillerie du 2e Corps d'armée en date du 18 mars 1900.
2e canonnier servant le 21 mars 1900 - soldat musicien le 6 octobre 1900.
Passé dans la réserve le 15 novembre 1902, certificat de bonne conduite accordé.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914.
Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 8 avril 1916 (% du Cdt les D.A. de la 11e Région. affecté à la 2e Batterie du 102e régiment d'artillerie lourde - n° matricule au corps : 6196.
Il est tué à l'ennemi le 15 avril 1916 à Sommedieue (Meuse) - avis de décès du 8 mai 1916.
Sources : archives départementales de l'Aisne
1R2_0504 - Supernant Gaston Jules - 1901
Contenu : Matricule n° 69
Dates : 1901, 1881
Lieu : Saint-Quentin (Aisne)
Supernant / Gaston Jules
Activité : Employé de commerce
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Modeste Louis Oscar MAGNIER
Mort pour la France le 23 avril 1916 à Gincrey - AU BOIS DU TILLAT AU NORD DE GINCREY, (Meuse) de blessures de guerre.
Né le 29 novembre 1885 à Nurlu (Somme)
30 ans, 4 mois et 24 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) - Matricule au recrutement : 491
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Nurlu (Somme) le 30 janvier 1920
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
102e régiment d'artillerie lourde (appartenance non mentionnée dans le JO)
Médaille militaire à titre posthume
MAGNIER (Modeste), matricule 012753, canonnier : très bon soldat, ayant toujours fait son devoir. Tué à l'ennemi le 23 avril 1916. A été cité.
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HERMEL (Henri). M. d. log. (maréchal des logis) à la 11e Batterie du 102e RAL, + le 19 mai 1916.
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
appartenance inappropriée mentionnée dans le J.O.
Médaille militaire à titre posthume
HERMEL (Henri), matricule 3491, maréchal des logis : excellent sous-officier, énergique, plein d'allant et de sang-îroid. A toujours montré un bel exemple de courage et de dévouement. Mort au champ d'honneur le 19 mai 1916. Croix de guerre avec étoile d'argent.
Henri Charles Louis HERMEL
Mort pour la France le 19 mai 1916 à Verdun (Meuse)
Né le 20 septembre 1891 à Paris 17e arrondissement (ex Seine)
24 ans, 7 mois et 29 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de la Seine 1er bureau (75) - Matricule au Rt : 2654
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 20e arrondissement
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ROUILLARD (Aristide). 2e C. C. à la 5e Batterie du 102e RAL, + le 23 juin 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Aristide Camille Jules ROUILLARD
Mort pour la France le 23 juin 1916 au Bois du TILLAT (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 18 juillet 1885 à Estrées-Deniécourt (Somme)
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) - Matricule au recrutement : 355
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Estrées-Deniécourt (Somme) le 30 mars 1920
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
appartenance inappropriée mentionnée dans le J.O.
Médaille militaire à titre posthume
ROUILLARD (Aristide), matricule 012369, canonnier : très bon soldat, brave et courageux. Déjà cité une fois. Tombé mortellement, le 23 juin 1916, au bois de Rillat (sic) *. Croix de guerre avec étoile d'argent.
* LIRE : Bois du TILLAT
Extrait de l'Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
(pages 6 à 8)
II. — DÉFENSE DE VERDUN
(Février-juin 1916)
L'état-major de l'artillerie lourde du 2e corps (1er groupement du 102e) est constitué le 16 février 1916. Le commandement en est confié au lieutenant-colonel MARIN. Son poste de commandement est installé au quartier général du 2e corps à Dieue, au sud de Verdun. Le corps d'armée tient tout le secteur des Hauts de Meuse depuis le fort du Rozelier jusqu'au fort de Troyon. Le lieutenant-colonel MARIN va cumuler le commandement du 1er groupement du 102e R. A. L. avec le commandement tactique de toute l'artillerie lourde du corps d'armée. Les positions de batterie sont cachées dans les forêts des Hauts de Meuse. L'ennemi est dans la plaine de Woëvre, complètement dominé par les nombreux observatoires de la défense fixe ou des groupes mobiles. Dès le mois de mars, l'ennemi s'abstiendra de toute attaque importante dans ce secteur ; quelques coups de main seulement ont lieu du côté des Éparges. La mission de l'artillerie lourde est principalement de faire la contre-batterie sur toutes les batteries allemandes, vues en action par les différents services de renseignements et les observatoires terrestres.
Cette mission de tirs à longue portée sur les batteries allemandes, le 102e la remplira pendant toute la durée de la guerre, à quelques exceptions près. A cette époque, l'artillerie lourde du 2e corps d'armée ne comprend que le 2e groupe du 102e ; le 1er groupe n'est pas encore aux armées ; il est en formation au dépôt du 102e à Ploërmel. Il comprend alors, sous les ordres du commandant DOIGNEAU, la 1ère batterie (capitaine BRION) et la 2e batterie (lieutenant PARAGE), armées de canons de 105 long Schneider, modèle 1913. Le 8 avril 1916, ce groupe est mis en route sur Vannes par voie de terre avec étape à Elven. Embarqué à Vannes, le 10, il débarque à Longeville près de Bar-le-Duc, le 12. Le 14, le groupe met en batterie à la Tranchée de Calonne et commence de suite sa mission de contre-batterie. L'artillerie ennemie est extrêmement active. Certains points sont particulièrement battus systématiquement, tel le carrefour des Trois-Jurés où avant même de mettre en batterie, la 2e batterie a deux hommes (les canonniers SUPERNANT et PLOURABOUÉ) et quatre chevaux tués ; elle va s'installer au Bois-Haut.
La 1ère batterie est au sud-ouest du carrefour de Bernatand et le poste de commandement du chef d'escadron est dans son voisinage. Le commandant DOIGNEAU remplit sa mission en liaison constante avec le chef d'escadron MELAT, commandant un sous-groupement de batteries à pied. Au cours de la période avril-mai-juin 1916, le 1er groupe occupe sur les Hauts de Meuse différentes positions aux environs du fort du Rozelier qu'il ne quitte que le 8 juin. Il fournit pendant ces trois mois un effort soutenu et a fréquemment à subir de sévères bombardements, qui lui causent des pertes sensibles en personnel et en matériel : à la 1ère batterie, un tué, le maréchal des logis DUBOIS et un blessé, le canonnier PHILIPPE ; à la 2e batterie, dont la position du Bois-Haut est fréquemment et violemment prise à partie par l'artillerie ennemie, plusieurs blessés : les canonniers LASERNE, VIÉVILLE et GORBIER. Les pièces sont détruites par le tir ennemi ou mises hors d'usage, et lorsque, le 8 juin, le groupe quitte Sommedieue pour Ranzières, il ne peut plus mettre en batterie près de ce dernier village qu'un seul canon (1ère batterie).
Plusieurs citations récompensent la bravoure et l'entrain du personnel : notons entre autres celle du maréchal des logis DUBOIS, de la 1ère batterie, mort au champ d'honneur, et du téléphoniste LACOMBE, de la 2e batterie. Le 20 juin, le 2e C. A. étant entièrement relevé par le 3e C. A., les 1er et 2e groupes du 102e qui constituent l'artillerie lourde du 2e C. A. font mouvement et vont s'embarquer : le 1er groupe à Nançois-Tronville, le 2e groupe à Ligny-en-Barrois.
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... texteImage
Morts pour la France du 102e R.A.L. pendant cette période
Maurice Germain RENAUD
Mort pour la France le 23 février 1916 à l'hôpital d'évacuation (H.O.E.) N° 6 de Baleicourt (sic) lire : Baleycourt (Meuse des suites de blessures de guerre.
Né le 17 avril 1895 à Les Riceys (Aube)
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1914/15 - Bureau de Recrutement de Troyes (Aube) - Matricule au Rt : 4454
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Les Riceys (Aube) le 17 juillet 1916
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7058
102e rég. d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
RENAUD (Maurice), matricule 3091, canonnier : excellent soldat, avant toujours fait bravement son devoir. Blessé mortellement à son poste de combat, le 23 février 1916. A été cité.
J.O. du 4 décembre 1919 page 13919
GOUGE (Edouard), matricule B 04167, canonnier servant : bon canonnier, ayant fait bravement son devoir. Tué à l'ennemi, le 24 février 1916. A été cité.
J.O. du 4 décembre 1919 page 13919
POIX (Edouard-Alfred), matricule B 013259, canonnier servant : très bon canonnier, ayant toujours fait bravement son devoir. Tué à l'ennemi pendant la bataille de Verdun, le 24 février 1916. A été cité.
Georges Armand LETELLIER
Mort pour la France le 10 mars 1916 à l'hôpital temporaire n° 12 de Vadelaincourt (Meuse) des suites de blessures de guerre
Né le 10 juin 1888 à Méru (Oise)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 431
Mention : Mort pour la France
Transcription de décès adressé par l'hôpital à son domicile à Méru.
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
102e régiment d'artillerie lourde (appartenance non mentionnée dans le JO)
Médaille militaire à titre posthume
LETELLIER (Georges), matricule 02197, canonnier : excellent et courageux soldat, ayant toujours fait bravement son devoir. Mort pour la France, le 10 mars 1916. A été cité.
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10e Batterie du 102e RAL
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7058
Attribution de la Médaille militaire
LAGUERRE (Constant), matricule 3218, brigadier (active) à la 10e compagnie (sic) * du 102e régiment d'artillerie lourde : brigadier rernarquable par son énergie et son courage. S'était distingué particulièrement du 21 au 25 février 1916, en continuant le tir de sa pièce malgré les plus violents bombardements. A été tué à son poste le 18 mars 1916 (combats devant Verdun). A été cité.
* Lire : 10e Batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Constant Charles LAGUERRE
Mort pour la France le 18 mars 1916 à Gincrey - Bois de Tillat, (Meuse) de blessures de guerre.
Né le 10 décembre 1893 à Nanterre (Hauts-de-Seine) (ex Seine et Seine-et-Oise)
22 ans, 3 mois et 8 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1913 : Bureau de recrutement de la Seine 1er bureau (75) - Matricule au Rt : 456
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 10e arrondissement le 1er juillet 1916
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7058
Attribution de la Médaille militaire
GILLARD (Désiré), matricule 4213, canonnier sergent (active) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : très bon pointeur, exécutant toujours son service avec le plus grand calme sous les plus violents bombardements, tué à son poste, le 3 avril 1916 (combats devant Verdun). A été cité.
- 102 RAL 10e batterie 1916 LAGUERRE GILLARD.jpg (130.65 Kio) Consulté 138 fois
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30e Batterie du 102e R.A.L.
PRADE (François), 2e C. S. à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + le 8 mars 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
François PRADE
Mort pour la France le 8 mars 1916 à Génicourt-sur-Meuse (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 13 octobre 1886 à Calvisson (Gard)
1er canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1906 - Bureau de recrutement de Nîmes (Gard) - Matricule au recrutement : 239
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Calvisson (Gard) le 15 mai 1916
MISTRAL (Marius), Brigadier à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + 14 mars 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Marius Antonin MISTRAL
Mort pour la France le 14 mars 1916 à Rambluzin-et-Benoite-Vaux - ambulance 11/6, (Meuse)
Né le 28 mars 1887 à Marseille (Bouches-du-Rhône)
28 ans, 11 mois et 17 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du-Rhône) - Matricule au recrutement : 2265
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Marseille (Bouches-du-Rhône)
LEFEBVRE (Charles) Brigadier à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + 12 mars 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Charles Gaston Médéric LEFEBVRE
Mort pour la France le 12 mars 1916 à Saint-Remy-la-Calonne - Tranchée de Calonne (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 janvier 1890 à Blargies (Oise)
26 ans, 2 mois et 6 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie (102e RA)
Classe : 1910 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) -Matricule au recrutement : 315
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bouvresse (Oise) le 11 août 1916
Henri Auguste Léon DIEVAL
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Vaux-lès-Palameix - TRANCHEE DE CALONNE, (Meuse)
Né le 13 mars 1885 à Aizecourt-le-Haut (Meuse) (sic)
Le village d'Aizecourt-le-Haut se trouve dans le département de la Somme - arrondissement de Péronne.
31 ans et 19 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) : Matricule au recrutement : 23
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Moislains (Somme)
DIEVAL (Henri), 2e C.C. à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + le 1er avril 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
J.O. du 21 novembre 1919 page 13159
102e régiment d'artillerie lourde
DIEVAL (Henri), matricule B 7251, canonnier conducteur : très bon canonnier, ayant toujours fait bravement son devoir. A trouvé une mort glorieuse, le 1er avril 1915. A été cité.
Paul DUPLESSY, 2e canonnier conducteur à la 30 Batterie, + le 1er avril 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Paul Henri DUPLESSY
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Verdun - Tranchée de la Calonne, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 10 janvier 1885 à Auvers-sur-Oise (Yvelines) (ex Seine-et-Oise)
31 ans, 2 mois et 22 jours
soldat de 2e classe 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Versailles (Yvelines) - Matricule au Rt : 832
Mention : Mort pour la France
Trancription de décès : à Mériel (Seine-et-Oise) le 3 septembre 1916
DUPLESSY (Paul), 2e C.C. à la 30e Batterie du 102e RAL, + le 1er avril 1916
J.O. du 20 novembre 1919 page 13079
102e rég. d'artillerie lourde
DUPLESSY (Paul), matricule 012791, canonnier conducteur : bon soldat courageux et dévoué, d'une belle attitude au feu. Tombé glorieusement à son poste de combat le 1er avril 1916. A été cité.
Gustave Désiré dit Gaston LARZILLIÈRE
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Saint-Remy-la-Calonne - Tranchée de la Calonne (La), (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 29 septembre 1886 à Sourd (Le) (Aisne)
29 ans, 6 mois et 2 jours
canonnier de 2e classe au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL) et non pas 102e RI comme indiqué sur la fiche ("Mémoire des hommes")
Classe 1906 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt : 146
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Sourd (Le) (Aisne) le 30 décembre 1919.
LAZZILLIÈRE (sic) (Gustave), 2e C.C. à la 30e Batterie du 102e RAL, + le 1er avril 1916
J.O. du 20 novembre 1919 page 13078
102e rég. d'artillerie lourde
LARZILLIÈRE (Gustave-Désiré), matricule 02359, canonnier : excellent soldat, ayant toujours fait bravement son devoir. Tombé glorieusement, le 1er avril 1916. A été cité.
LEMIRE (Émile) 1er C. C. à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + le 1er avril 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Emile Eugène Henri LEMIRE
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Saint-Remy-la-Calonne (Meuse) - Tué à l'ennemi à la Tranchée de Calonne, près de Verdun.
Né le 8 mai 1883 à Grugies (Aisne)
32 ans, 10 mois et 24 jours
1er canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie (102e RA)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt : 1509
Mention : : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Martin-aux-Bois (Oise) le 29 mai 1916
Eugène Lucien François ROGER
Mort pour la France le 1er avril 1916 à la tranchée de Calonne (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 31 janvier 1894 à Paris 20e arrondissement (ex Seine)
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1914 - Bureau de Rt de la Seine 1er Bureau (75) - Matricule au Rt : 3199
Mention : Mort pour la France
Trancription de décès : Pontivy (Morbihan) le 10 août 1916
ROGER Eugène), 2e C.C. à la 30e Batterie du 102e RAL, + le 1er avril 1916
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7058
102e rég. d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire
ROGER (Eugène), matricule 3027, canonnier : excellent canonnier, énergique. Ayant toujours fait vaillamment son devoir. Tué le 1er avril 1916 à Calonne. A été cité.
Clément Alfred TIESSE
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Verdun - A la tranchée de Calonne , (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 22 novembre 1883 à Bonnières (Oise)
32 ans, 4 mois et 9 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 812
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bonnières (Oise) le 3 juillet 1916
Clément TIESSE, 2e canonnier conducteur à la 30e Batterie, + le 1er avril 1916
J.O. du 20 novembre 1919 page 13078
102e rég. d'artillerie lourde.
TIESSE (Clément-Albert), matricule 010321, canonnier conducteur : excellent conducteur ayant toujours fait bravement son devoir. Mort pour la France, le 1er avril 1916, à Calonne. A été cité.
TRICOT (Octave), Brigadier à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + 1er avril 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Octave Maximilien TRICOT
Mort pour la France le 1er avril 1916 à Dieue-sur-Meuse (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 6 juin 1890 à Thivencelle (Nord)
25 ans, 9 mois et 25 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe : 1910 - Bureau de recrutement de Valenciennes (Nord) - Matricule au Rt : 1843
Mention : Mort pour la France
Acte transcrit le 24 janvier 1917 à Paris (1er arr.) - domicilié à Thivencelle (Nord). ???
J.O. du 9 décembre 1919 page 14236
TRICOT (Octave-Maximilien), matricule 04085, brigadier : excellent brigadier ayant toujours fait courageusement son devoir. Mort pour la France, le 1er avril 1916, à Calonne. A été cité.
Célestin Jean EPERVIER
Mort pour la France le 12 mai 1916 à Vadelaincourt - hôpital temporaire n° 12, (Meuse) de blessures de guerre.
Né le 24 mars 1876 à Port-Saint-Père (Loire-Atlantique) (ex Loire-Inférieure)
40 ans, 1 mois et 19 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1896 - Bureau de recrutement de Nantes (Loire-Atlantique) - Matricule au recrutement : 1804
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Rouans (Loire-Atlantique) le 21 août 1916
Journal officiel du 16 mai 1922 page 2369
102e régiment d'artillerie lourde
Attribution de la Médaille militaire pour les militaires suivants :
EPERVIER (Célestin-Jean), matricule 3046, maréchal des logis : brave sous-officier, zélé et consciencieux. Mort pour la France, le 12 mai 1916, des suites de ses blessures. Croix de guerre avec étoile de bronze.
EPERVIER (Célestin) maréchal des logis à la 30e Batterie du 102e R.A.L., + le 12 mai 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
EPERVIER Célestin Jean
cultivateur à Rouans en 1904
L'homme a les cheveux et sourcils châtains, les yeux marron, le visage rond et mesure 1 mètre 61. Son degré d'instruction est de niveau 3.
Nommé maréchal des logis le 7 novembre 1903.
Appartenant à la territoriale, il est rappelé à l'activité lors de la mobilisation générale mais renvoyé provisoirement dans ses foyers. A partir de novembre 1914 il rejoint différentes unités d'artillerie, 3e R.A à pied puis 4e R.A. à Lorient mai 1915. le 1er octobre 1915 il est affecté au 111e régiment d'artillerie lourde (dépêche ministérielle n°15344 3/3 du 26 août 1915.
Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 19 janvier 1916 et décède quatre mois plus tard, le 12 mai 1916, à l'hôpital 12 de Vadlaincourt (sic) - avis du ministère de la guerre F.O. 5715 du 22 mai 1916.
Un secours de 200 francs a été accordé à la veuve de l'intéressé (avis du 102e d'artillerie lourde du 24 septembre 1916.
Sources : archives départementales de Loire-Atlantique
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Jean PLOURABOUÉ
Mort pour la France le 15 avril 1916 à l'Ambulance 8/2 à la Belle-Hélène, commune de Sommedieue (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 30 novembre 1878 à (Saint-Armou) - Morlaas (Pyrénées-Atlantiques) (ex Basses-Pyrénées)
2e canonnier au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1898 Bureau de recrutement de Pau (Pyrénées-Atlantiques) - Matricule au recrutement : 36
Trancription de décès à Pau (Pyrénées-Atlantiques) le 3 juin 1916
PLOURABOUÉ Jean
garçon d'écurie dans le civil. Il demeure à Bordeaux, rue des douves depuis au moins 1903.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914.
Venant du 111e régiment d'artillerie lourde, il était passé au 102e régiment d'artillerie lourde le 30 mars 1916. Décédé le 15 avril 1916 des suites de blessures de guerre à l'ambulance 8/2 commune de Sommedieue (Meuse).
Avis ministériel F.G. 8125 du 9 mai 1916.
Un secours immédiat de 150 francs a été payé le 27 octobre 1916 à Mme PLOURABOUÉ, mère du décédé.
Sources : archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
https://earchives.le64.fr/archives-en-l ... ire::87402
Gaston Jules SUPERNANT
Mort pour la France le 15 avril 1916 à Sommedieue (Meuse) de ses blessures de guerre.
Né le 28 mai 1881 à Vervins (Aisne)
34 ans, 10 mois et 18 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1899 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt : 69
Lieu de transcription du décès - le 8 juin 1918 à Paris 1er Arrondissement (Seine)Vervins (Aisne) - Domicile à Vervins (Aisne).
J.O. du 5 novembre 1916 page 9587
1916/11/05 (A48,N301).Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181
Par décret du 2 novembre 1916, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après, dont les maris sont décédés des suites de blessures reçues à l'ennemi ou d'événements de guerre :
ROSELET (Gabrielle-Zénaïde), veuve SUPERNANT. — Jouissance du 16 avril 1916... 563 francs
SUPERNANT Gaston Jules
Engagé volontaire au 29e d'artillerie à Laon le 15 novembre 1899 pour trois ans. Incorporé au 17e d'artillerie à compter du 21 mars 1900 comme venant des 2e servants du 29e régiment d'artillerie % du général Cdt l'artillerie du 2e Corps d'armée en date du 18 mars 1900.
2e canonnier servant le 21 mars 1900 - soldat musicien le 6 octobre 1900.
Passé dans la réserve le 15 novembre 1902, certificat de bonne conduite accordé.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914.
Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 8 avril 1916 (% du Cdt les D.A. de la 11e Région. affecté à la 2e Batterie du 102e régiment d'artillerie lourde - n° matricule au corps : 6196.
Il est tué à l'ennemi le 15 avril 1916 à Sommedieue (Meuse) - avis de décès du 8 mai 1916.
Sources : archives départementales de l'Aisne
1R2_0504 - Supernant Gaston Jules - 1901
Contenu : Matricule n° 69
Dates : 1901, 1881
Lieu : Saint-Quentin (Aisne)
Supernant / Gaston Jules
Activité : Employé de commerce
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Modeste Louis Oscar MAGNIER
Mort pour la France le 23 avril 1916 à Gincrey - AU BOIS DU TILLAT AU NORD DE GINCREY, (Meuse) de blessures de guerre.
Né le 29 novembre 1885 à Nurlu (Somme)
30 ans, 4 mois et 24 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) - Matricule au recrutement : 491
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Nurlu (Somme) le 30 janvier 1920
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
102e régiment d'artillerie lourde (appartenance non mentionnée dans le JO)
Médaille militaire à titre posthume
MAGNIER (Modeste), matricule 012753, canonnier : très bon soldat, ayant toujours fait son devoir. Tué à l'ennemi le 23 avril 1916. A été cité.
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HERMEL (Henri). M. d. log. (maréchal des logis) à la 11e Batterie du 102e RAL, + le 19 mai 1916.
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
appartenance inappropriée mentionnée dans le J.O.
Médaille militaire à titre posthume
HERMEL (Henri), matricule 3491, maréchal des logis : excellent sous-officier, énergique, plein d'allant et de sang-îroid. A toujours montré un bel exemple de courage et de dévouement. Mort au champ d'honneur le 19 mai 1916. Croix de guerre avec étoile d'argent.
Henri Charles Louis HERMEL
Mort pour la France le 19 mai 1916 à Verdun (Meuse)
Né le 20 septembre 1891 à Paris 17e arrondissement (ex Seine)
24 ans, 7 mois et 29 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de la Seine 1er bureau (75) - Matricule au Rt : 2654
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 20e arrondissement
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ROUILLARD (Aristide). 2e C. C. à la 5e Batterie du 102e RAL, + le 23 juin 1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Aristide Camille Jules ROUILLARD
Mort pour la France le 23 juin 1916 au Bois du TILLAT (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 18 juillet 1885 à Estrées-Deniécourt (Somme)
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) - Matricule au recrutement : 355
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Estrées-Deniécourt (Somme) le 30 mars 1920
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
appartenance inappropriée mentionnée dans le J.O.
Médaille militaire à titre posthume
ROUILLARD (Aristide), matricule 012369, canonnier : très bon soldat, brave et courageux. Déjà cité une fois. Tombé mortellement, le 23 juin 1916, au bois de Rillat (sic) *. Croix de guerre avec étoile d'argent.
* LIRE : Bois du TILLAT
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918, page 54
DUBOIS (Ernest), maréchal des logis, 1ère Batterie, MpF le 29 avril 1916
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire pour les miltaires suivants :
DUBOIS (Ernest-Adolphe), matricule 03431, maréchal des logis (territorial) à la 1ère batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : le 26 avril 1916, un fort grave accident de tir étant survenu à sa pièce, alors qu'il était à sa place de chef de pièce, debout derrière son canon, a eu une très belle attitude en conservant lui-même tout son sang-froid et communiquant son calme a tout son personnel. Le 29 avril 1916, à son poste de combat, a été blessé par l'explosion d'un projectile de gros calibre tombé à proximité de sa pièce. Mort de sa blessure. A été cité.
DUBOIS (Ernest-Adolphe)
Mort pour la France le 29 avril 1916 à l'Ambulance 8/2 de La Belle Hélène, commune de Sommedieue (Meuse) - des suites de blessures de guerre
Né le 5 novembre 1882 à Saint-Just-en-Chaussée (Oise)
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutemen : 484
Lieu de transcription de décès : Saint-Just-en-Chaussée (Oise) le 24 juillet 1916
DUBOIS (Ernest-Adolphe)
Né le 5 novembre 1882 à Saint-Just-en-Chaussée (Oise)
Garçon boucher de profession quand il se présente devant le conseil de révision de Saint-Just-en-Chaussée. Son signalement nous le montre commeun jeune homme mesurant 1 mètre 64. Il a les cheveux et sourcils blonds, les yeux bleus, le front ordinaire, le nez long, la bouche moyenne, le menton rond et le visage ovale. Son degré d'instruction est donné au niveau 3. Il reçoit le n° matricule au recrutement 484.
Bon pour le service, il est incorporé au 17e régiment d'artillerie à compter du 15 novembre 1903 où il arrive le même jour comme 2e canonnier conducteur - n° matricule au corps : 3563. Il est nommé brigadier le 19 septembre 1904 puis brigadier fourrier le 24 février 1905. Il est envoyé dans la disponibilité le 18 septembre 1906 avec un certificat de bonne conduite en poche.
Il est nommé maréchal des logis le 29 avril 1912.
Il est rappelé à l'activité par décret du 1er août 1914 ordonnant la mobilisation générale. Un mois plus tôt, (1er juillet 1914) son passage au 1er régiment d'artillerie lourde est acté par dépêche ministérielle 6091 1/11 du 9 juin 1914. Il arrive au corps à Sissonne le 3 août 1914 - n° matricule 03431.
Il intègre le 102e régiment d'artillerie lourde le 1er octobre 1915. Passé à la 65e Batterie le 29 - 4 - 15 (?) puis à la 1ère Batterie de 105, le 5 avril 1916.
Blessure : blessé par éclat d'obus le 29 avril 1916 (Hauts de Meuse).
Il décède le même jour - (29 avril 1916), des suites de blessures de guerre, à La Belle-Hélène, commune de Sommedieue, Ambulance 8/2 - avis ministériel EP 373 du 11 mai 1916.
Décoration : Médaille militaire % n° 823 DP du GQG le 26 mai 1919
Campagne contre l'Allemagne du 3 août 1914 au 29 avril 1916.
Aux armées du 2 août 1914 au 28 avril 1915
A l'intérieur du 28 avril 1915 au 4 avril 1916
Aux armées du 5 avril au 29 avril 1916
Sources archives départementales de l'Oise - cote 484RP 916
DUBOIS Ernest Adolphe né en 1882 Classe 1902 Bureau de recrutement de Beauvais
1916
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918, page 54
DUBOIS (Ernest), maréchal des logis, 1ère Batterie, MpF le 29 avril 1916
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire pour les miltaires suivants :
DUBOIS (Ernest-Adolphe), matricule 03431, maréchal des logis (territorial) à la 1ère batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : le 26 avril 1916, un fort grave accident de tir étant survenu à sa pièce, alors qu'il était à sa place de chef de pièce, debout derrière son canon, a eu une très belle attitude en conservant lui-même tout son sang-froid et communiquant son calme a tout son personnel. Le 29 avril 1916, à son poste de combat, a été blessé par l'explosion d'un projectile de gros calibre tombé à proximité de sa pièce. Mort de sa blessure. A été cité.
DUBOIS (Ernest-Adolphe)
Mort pour la France le 29 avril 1916 à l'Ambulance 8/2 de La Belle Hélène, commune de Sommedieue (Meuse) - des suites de blessures de guerre
Né le 5 novembre 1882 à Saint-Just-en-Chaussée (Oise)
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutemen : 484
Lieu de transcription de décès : Saint-Just-en-Chaussée (Oise) le 24 juillet 1916
DUBOIS (Ernest-Adolphe)
Né le 5 novembre 1882 à Saint-Just-en-Chaussée (Oise)
Garçon boucher de profession quand il se présente devant le conseil de révision de Saint-Just-en-Chaussée. Son signalement nous le montre commeun jeune homme mesurant 1 mètre 64. Il a les cheveux et sourcils blonds, les yeux bleus, le front ordinaire, le nez long, la bouche moyenne, le menton rond et le visage ovale. Son degré d'instruction est donné au niveau 3. Il reçoit le n° matricule au recrutement 484.
Bon pour le service, il est incorporé au 17e régiment d'artillerie à compter du 15 novembre 1903 où il arrive le même jour comme 2e canonnier conducteur - n° matricule au corps : 3563. Il est nommé brigadier le 19 septembre 1904 puis brigadier fourrier le 24 février 1905. Il est envoyé dans la disponibilité le 18 septembre 1906 avec un certificat de bonne conduite en poche.
Il est nommé maréchal des logis le 29 avril 1912.
Il est rappelé à l'activité par décret du 1er août 1914 ordonnant la mobilisation générale. Un mois plus tôt, (1er juillet 1914) son passage au 1er régiment d'artillerie lourde est acté par dépêche ministérielle 6091 1/11 du 9 juin 1914. Il arrive au corps à Sissonne le 3 août 1914 - n° matricule 03431.
Il intègre le 102e régiment d'artillerie lourde le 1er octobre 1915. Passé à la 65e Batterie le 29 - 4 - 15 (?) puis à la 1ère Batterie de 105, le 5 avril 1916.
Blessure : blessé par éclat d'obus le 29 avril 1916 (Hauts de Meuse).
Il décède le même jour - (29 avril 1916), des suites de blessures de guerre, à La Belle-Hélène, commune de Sommedieue, Ambulance 8/2 - avis ministériel EP 373 du 11 mai 1916.
Décoration : Médaille militaire % n° 823 DP du GQG le 26 mai 1919
Campagne contre l'Allemagne du 3 août 1914 au 29 avril 1916.
Aux armées du 2 août 1914 au 28 avril 1915
A l'intérieur du 28 avril 1915 au 4 avril 1916
Aux armées du 5 avril au 29 avril 1916
Sources archives départementales de l'Oise - cote 484RP 916
DUBOIS Ernest Adolphe né en 1882 Classe 1902 Bureau de recrutement de Beauvais
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 3 juillet 1916 page 5854
CITATIONS A L'ORDRE DE L'ARMÉE
CLÉMENT (Lucien), maître ouvrier à la 7e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde, matricule 15569 : chargé de l'entretien du matériel de la batterie, a fait preuve, le 25 avril 1916, d'un courage et d'un esprit d'initiative remarquables en effectuant, sous un violent bombardement, une réparation délicate ; prélevant la pièce nécessaire sur un débris d'affût resté sur la position, a réussi à faire reprendre le feu à une pièce endommagée avant la fin du tir ennemi.
ROBERT (Auguste), matricule 7159, canonnier servant à la 7e batterie du 102e régiment d'artilleria lourde : chargé de l'entretien du matériel de la batterie, a fait preuve, le 25 avril 1916, d'un courage et d'un esprit d'initiative remarquables, en effectuant, sous un violent bombardement, une réparation délicate ; prélevant la pièce nécessaire sur un débris d'affût resté sur la position, a réussi à faire reprendre le feu à une pièce endommagée, avant la fin du tir ennemi.
LAGARCHE (Marcel), matricule 8437, second canonnier servant à la 7e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : jeune soldat de la classe 1915. En août 1914, a traversé les lignes ennemies pour se mettre à la disposition de l'autorité militaire ; s'est engagé pour la durée de la guerre. Servant dans une batterie quotidiennement bombardée, depuis le 1er mars 1916, a toujours fait l'admiration de ses camarades par son sang-froid et son mépris du danger en assurant le service de sa pièce, avec le plus grand calme, sous le feu intense de l'ennemi.
Journal officiel du 3 juillet 1916 page 5854
CITATIONS A L'ORDRE DE L'ARMÉE
CLÉMENT (Lucien), maître ouvrier à la 7e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde, matricule 15569 : chargé de l'entretien du matériel de la batterie, a fait preuve, le 25 avril 1916, d'un courage et d'un esprit d'initiative remarquables en effectuant, sous un violent bombardement, une réparation délicate ; prélevant la pièce nécessaire sur un débris d'affût resté sur la position, a réussi à faire reprendre le feu à une pièce endommagée avant la fin du tir ennemi.
- 102e RAL CLEMENT Lucien.jpg (83.49 Kio) Consulté 2613 fois
ROBERT (Auguste), matricule 7159, canonnier servant à la 7e batterie du 102e régiment d'artilleria lourde : chargé de l'entretien du matériel de la batterie, a fait preuve, le 25 avril 1916, d'un courage et d'un esprit d'initiative remarquables, en effectuant, sous un violent bombardement, une réparation délicate ; prélevant la pièce nécessaire sur un débris d'affût resté sur la position, a réussi à faire reprendre le feu à une pièce endommagée, avant la fin du tir ennemi.
- 102e RAL ROBERT Auguste.jpg (80.33 Kio) Consulté 2613 fois
LAGARCHE (Marcel), matricule 8437, second canonnier servant à la 7e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : jeune soldat de la classe 1915. En août 1914, a traversé les lignes ennemies pour se mettre à la disposition de l'autorité militaire ; s'est engagé pour la durée de la guerre. Servant dans une batterie quotidiennement bombardée, depuis le 1er mars 1916, a toujours fait l'admiration de ses camarades par son sang-froid et son mépris du danger en assurant le service de sa pièce, avec le plus grand calme, sous le feu intense de l'ennemi.
- 102e RAL LAGARCHE.jpg (92.81 Kio) Consulté 2613 fois
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
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J.O. du 20 janvier 1921 page 1103
MÉDAILLE MILITAIRE
(Pour prendre rang du 14 avril 1916.)
BELGUISE (Abel-Frumonce-Hippolyte), matricule 6149, canonnier (territorial) au 102e régiment d'artillerie lourde : bon canonnier. Très grièvement blessé en service commandé. Enucléation de l'œil droit.
Cette inscription ne comporte pas l'attribution de la Croix de guerre avec palme.
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J.O. du 20 janvier 1921 page 1103
MÉDAILLE MILITAIRE
(Pour prendre rang du 14 avril 1916.)
BELGUISE (Abel-Frumonce-Hippolyte), matricule 6149, canonnier (territorial) au 102e régiment d'artillerie lourde : bon canonnier. Très grièvement blessé en service commandé. Enucléation de l'œil droit.
Cette inscription ne comporte pas l'attribution de la Croix de guerre avec palme.
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7057
MÉDAILLE MILITAIRE
CHANTREUX (Léon-Jules-Edmond), matricule 4218, canonnier servant (active) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Voir sur ce canonnier la page 2 de ce sujet
10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7057
MÉDAILLE MILITAIRE
1917
TARRIER (Firmin), matricule B 04608, canonnier-conducteur à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (réserve) : très bon soldat courageux, énergique et discipliné. A assuré plusieurs fois le ravitaillement en munitions dans les circonstances les plus difficiles. Mortellemeut blessé, le 30 mai 1917, en amenant des munitions à la batterie de tir. A été cité.
Firmin Joseph Alphonse TARRIER
Mort pour la France le 20 mai 1917 à Vassogne (Aisne)
Né le 6 août 1883 à Hébécourt (Somme)
33 ans, 9 mois et 14 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 214
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Hébécourt (Somme) le 5 septembre 1917
N.B. : la date de décès diverge selon les deux sources de 10 jours.
COLLET (Louis), matricule B 03962, maréchal des logis fourrier (réserve) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : sous-officier très énergique et consciencieux. Sur le front depuis le début de la campagne, a fait preuve en toutes circonstances de belles qualités militaires. Chef d'une corvée de ravitaillement, a été blessé mortellement, le 13 juillet 1917, dans l'accomplissement de son devoir. A été cité.
Louis COLLET
Mort pour la France le 13 juillet 1917 à Vleteren (Belgique) - section de Woesten, (Belgique) - Tué à l'ennemi
Né le 27 janvier 1885 à Haudainville (Meuse)
32 ans, 5 mois et 17 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Verdun (Meuse) - Matricule au recrutement : 1495
Mention : Mort pour la France
Jugement rendi le 23 janvier 1920 par le tribunal de Verdun (Meuse)
Lieu de transcription du décès : Étain (Meuse) le 17 février 1920
PINCHART (Emile), matricule 3328, canonnier servant (réserve) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : canonnier courageux et dévoué dans toutes les circonstances. A fait preuve du plus grand sang-froid dans des situations particulièrement difficiles, et d'une ardeur remarquable. Tué au cours d'un bombardement subi par la batterie, le 28 juillet 1917. A été cité.
Emile Paul Louis PINCHART PINGHART
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten (Belgique)
Né le 8 avril 1892 à Fourmies (Nord)
25 ans, 3 mois et 20 jours
soldat de 2e classe au 102e régiment d'artillerie (102e RA)
Classe 1912 - Bureau de recrutement d'Avesnes (Nord) -Matricule au recrutement : 1271
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Fourmies (Nord) le 5 mai 1919
GOBEZ (Léon), matricule 09321, artificier (réserve) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : plein d'allant et d'ardeur A fait preuve de courage et de sang-froid en toutes circonstances. Tué par explosion produite par un bombardement ennemi le 28 juillet 1918 (sic). A été cité.
LIRE : 28 juillet 1917
Léon Armand GOBEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten (Belgique) - Tué par l'explosion d'un dépôt de munitions ; explosin provoquée par un obus ennemi.
Né le 31 décembre 1882 à Boulzicourt (Ardennes)
34 ans, 6 mois et 28 jours
1er canonnier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe : 1902 - Bureau de recrutement de Charleville-Mézières (Ardennes) - Matricule au recrutement : 174
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Boulzicourt (Ardennes) le 26 mai 1919
BERGER (Edmond), matricule 6541, canonnier-servant (active) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde ; canonnier très courageux, zélé et dévoué, ayant toujours donné le meilleur exemple tant dans l'Aisne que dans les Flandres. A été tué au cours d'un violent bombardement de la batterie le 27 août 1917. A été cité.
Edmond BERGER
Mort pour la France le 27 août 1917 (lieu dit "Bois 14" à l'Est du canal de l'Yser, (Belgique) -Tué à l'ennemi par l'éboulement de l'abri où il se trouvait et provoqué par l'explosion d'un obus.
Né le 6 janvier 1898 à Savigné-l'Évêque (Sarthe)
19 ans, 7 mois et 21 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 ou 1917- Bureau de recrutement de Le Mans (Sarthe) - Matricule au Rt : 93
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Savigné-l'Évêque (Sarthe) le 29 décembre 1917
BACQUART (Léon), matricule B 09357, canonnier servant (réserve) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : d'un zèle, d'un courage à toute épreuve, a pris part à toutes les opérations du groupe depuis le début de la campagne, faisant preuve en toutes circonstances du plus grand mépris du danger. Faisant fonction d'artificier à sa pièce, a été très grièvement blessé par éclats d'obus le 7 octobre 1917, au cours d'un tir de la batterie. A donné un bel exemple d'énergie pendant qu'on lui assurait les premiers soins. Décédé des suites de ses blessures. A été cité.
Léon Louis Napoléon Armand BACQUART
Mort pour la France le 7 octobre 1917 à l'ambulance 8/1, (Belgique) des suites de blessures par éclats d'obus au cours d'un tir.
Né le 3 février 1887 à Tourcoing (Nord)
30 ans, 8 mois et 4 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 3433
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Tourcoing (Nord) le 3 mai 1919
10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7057
MÉDAILLE MILITAIRE
CHANTREUX (Léon-Jules-Edmond), matricule 4218, canonnier servant (active) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Voir sur ce canonnier la page 2 de ce sujet
10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 9 juillet 1919 page 7057
MÉDAILLE MILITAIRE
1917
TARRIER (Firmin), matricule B 04608, canonnier-conducteur à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (réserve) : très bon soldat courageux, énergique et discipliné. A assuré plusieurs fois le ravitaillement en munitions dans les circonstances les plus difficiles. Mortellemeut blessé, le 30 mai 1917, en amenant des munitions à la batterie de tir. A été cité.
Firmin Joseph Alphonse TARRIER
Mort pour la France le 20 mai 1917 à Vassogne (Aisne)
Né le 6 août 1883 à Hébécourt (Somme)
33 ans, 9 mois et 14 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 214
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Hébécourt (Somme) le 5 septembre 1917
N.B. : la date de décès diverge selon les deux sources de 10 jours.
COLLET (Louis), matricule B 03962, maréchal des logis fourrier (réserve) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : sous-officier très énergique et consciencieux. Sur le front depuis le début de la campagne, a fait preuve en toutes circonstances de belles qualités militaires. Chef d'une corvée de ravitaillement, a été blessé mortellement, le 13 juillet 1917, dans l'accomplissement de son devoir. A été cité.
Louis COLLET
Mort pour la France le 13 juillet 1917 à Vleteren (Belgique) - section de Woesten, (Belgique) - Tué à l'ennemi
Né le 27 janvier 1885 à Haudainville (Meuse)
32 ans, 5 mois et 17 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Verdun (Meuse) - Matricule au recrutement : 1495
Mention : Mort pour la France
Jugement rendi le 23 janvier 1920 par le tribunal de Verdun (Meuse)
Lieu de transcription du décès : Étain (Meuse) le 17 février 1920
PINCHART (Emile), matricule 3328, canonnier servant (réserve) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : canonnier courageux et dévoué dans toutes les circonstances. A fait preuve du plus grand sang-froid dans des situations particulièrement difficiles, et d'une ardeur remarquable. Tué au cours d'un bombardement subi par la batterie, le 28 juillet 1917. A été cité.
Emile Paul Louis PINCHART PINGHART
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten (Belgique)
Né le 8 avril 1892 à Fourmies (Nord)
25 ans, 3 mois et 20 jours
soldat de 2e classe au 102e régiment d'artillerie (102e RA)
Classe 1912 - Bureau de recrutement d'Avesnes (Nord) -Matricule au recrutement : 1271
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Fourmies (Nord) le 5 mai 1919
GOBEZ (Léon), matricule 09321, artificier (réserve) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : plein d'allant et d'ardeur A fait preuve de courage et de sang-froid en toutes circonstances. Tué par explosion produite par un bombardement ennemi le 28 juillet 1918 (sic). A été cité.
LIRE : 28 juillet 1917
Léon Armand GOBEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten (Belgique) - Tué par l'explosion d'un dépôt de munitions ; explosin provoquée par un obus ennemi.
Né le 31 décembre 1882 à Boulzicourt (Ardennes)
34 ans, 6 mois et 28 jours
1er canonnier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe : 1902 - Bureau de recrutement de Charleville-Mézières (Ardennes) - Matricule au recrutement : 174
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Boulzicourt (Ardennes) le 26 mai 1919
BERGER (Edmond), matricule 6541, canonnier-servant (active) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde ; canonnier très courageux, zélé et dévoué, ayant toujours donné le meilleur exemple tant dans l'Aisne que dans les Flandres. A été tué au cours d'un violent bombardement de la batterie le 27 août 1917. A été cité.
Edmond BERGER
Mort pour la France le 27 août 1917 (lieu dit "Bois 14" à l'Est du canal de l'Yser, (Belgique) -Tué à l'ennemi par l'éboulement de l'abri où il se trouvait et provoqué par l'explosion d'un obus.
Né le 6 janvier 1898 à Savigné-l'Évêque (Sarthe)
19 ans, 7 mois et 21 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 ou 1917- Bureau de recrutement de Le Mans (Sarthe) - Matricule au Rt : 93
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Savigné-l'Évêque (Sarthe) le 29 décembre 1917
BACQUART (Léon), matricule B 09357, canonnier servant (réserve) à la 10e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : d'un zèle, d'un courage à toute épreuve, a pris part à toutes les opérations du groupe depuis le début de la campagne, faisant preuve en toutes circonstances du plus grand mépris du danger. Faisant fonction d'artificier à sa pièce, a été très grièvement blessé par éclats d'obus le 7 octobre 1917, au cours d'un tir de la batterie. A donné un bel exemple d'énergie pendant qu'on lui assurait les premiers soins. Décédé des suites de ses blessures. A été cité.
Léon Louis Napoléon Armand BACQUART
Mort pour la France le 7 octobre 1917 à l'ambulance 8/1, (Belgique) des suites de blessures par éclats d'obus au cours d'un tir.
Né le 3 février 1887 à Tourcoing (Nord)
30 ans, 8 mois et 4 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 3433
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Tourcoing (Nord) le 3 mai 1919
Dernière modification par ae80 le lun. mars 24, 2025 3:37 pm, modifié 3 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE