Il insiste, il m'en veut.......
Commissaire
Neni! 2° pompe à l'ancienneté
... dans la Marine
Sachez môssieur, que la colo n'est pas la Royale!
Parce que nous, les marsouins et les bigors, on sait nager, alors que les matelots ne le savent pas et c'est pourquoi on leur donne des bateaux et pour les reconaître de loin, y zont un pompon sur le bonnet [:patrice pruniaux1:7][:patrice pruniaux1:7]
Bonjour,
depuis sa creation en medaille d'outre mer il existe la version marquee outre mer celle que je possede depuis 81 est conforme au texte.
pour la petite histoire la medaille coloniale voyait attribuer un avantage a son titulaire: le prmis de peche gratuit eh oui, bien entendu lors de la transformation ce "privilege a disparu"par contre je ne comprends pas le terme miniature si il s'agit de la medaille normale rien a dire si il s'agit de la reduction pour spencer entre autre il ne devrait pas y avoir d'agraphe..
cordialement
Bonjour Pierreth.
Excellent le coup du permis de pêche. J'ignorais. Je ne suis pas pêcheur.
Je parle bien de la réduction pour le spencer. Il existe aussi des agraffes miniatures, mais il faut une loupe pour y lire quelque chose.
A bientôt. Henri
Cela va vous paraitre stupide comme question, est-ce que la médaille coloniale est considérée comme une décoration médaille militaire reconnue par la grande Chancellerie ? Si non, puis je la faire valider auprès de la grande Chancellerie de la légion d'honneur.
Cela va vous paraitre stupide comme question, est-ce que la médaille coloniale est considérée comme une décoration médaille militaire reconnue par la grande Chancellerie ? Si non, puis je la faire valider auprès de la grande Chancellerie de la légion d'honneur.
● Loi du 26 juillet 1893 portant fixation du budget général et des dépenses et des recettes de l’exercice 1894, art. 75 (J.O. du 27 juill. 1893 ; Bull. des Lois 1893, n° 1.582, p. 741, Texte n° 27.043).
« Art. 75. – Il est créé une médaille coloniale unique, destinée à récompenser les services militaires dans les colonies résultant de la participation à des opérations de guerre dans une colonie ou un pays de protectorat.
Les actions ou campagnes de guerre donnant droit à la médaille, sans condition de temps de service, seront déterminées, aussi bien pour les opérations antérieures à la promulgation de la présente loi que pour celles qui auraient lieu pour l’avenir, par un décret du Président de la république, sur la proposition du ministre compétent.
Pour chacune de ces campagnes de guerre, une agrafe spéciale sera créée portant le nom de la colonie et la date de la campagne. »
● Loi du 27 mars 1914 relative à la médaille coloniale, sans agrafe, pour les militaires, indigènes exceptés, qui comptent dix ans au moins de services effectifs, pour les hommes de troupe, et quinze ans pour les officiers (J. O. du 28 mars 1914 ; Bull. des Lois 1914, n° 126, p. 747, Texte n° 6.820).
« Article unique. – La médaille coloniale sans agrafe peut être accordée, sur la proposition motivée de leurs chefs hiérarchiques, aux militaires des armées de terre et de mer, indigènes exceptés, qui comptent dix années de services effectifs, pour les hommes de troupes, et quinze ans pour les officiers, et qui, en outre, ont servi en activité et avec distinction pendant six ans au moins dans les territoires du Sud de l'Algérie et de la Tunisie, dans les colonies ou pays de protectorat autres que la Réunion, l'Inde française, Saint-Pierre et Miquelon et les possessions françaises du Pacifique et des Antilles.
Un décret rendu sur la proposition du ministre de la Guerre fixera les conditions dans lesquelles aura lieu la concession de la médaille coloniale aux militaires présents sous les drapeaux à la date ou postérieurement à la date de la promulgation de la présente loi. »
● Ministère des Anciens combattants et Victimes de guerre, Direction des pensions, Bureau des décorations : « Recueil sur les décorations », Paris, Imprimerie nationale, 1947, p. 31.
Médaille coloniale
La « Médaille coloniale » a été instituée par la loi de finances du 26 juillet 1893 (art. 75) pour récompenser les services militaires dans les colonies, résultant de la participation à des opérations de guerre dans une colonie ou dans un pays de protectorat.
La médaille coloniale est en argent et du module de 30 millimètres.
Elle porte d’un côté l’effigie de la République avec les mots « RÉPUBLIQUE FRANÇAISE », de l’autre côté en légende : « MÉDAILLE COLONIALE » et au milieu, un globe terrestre entouré d’attributs militaires.
Cette médaille est suspendue par un ruban à raies blanches et bleues.
Le titulaire reçoit autant d’agrafes qu’il a accompli de campagnes dans des possessions différentes, une agrafe spéciale portant le nom de la colonie et la date de la campagne ayant été créée.
Toutefois la Médaille coloniale sans agrafe est accordée aux militaires des armées de terre et de mer, ayant accompli un nombre d’années de service, déterminé par la loi du 27 mars 1914, complétée par le décret du 5 octobre 1920 et l’instruction ministérielle du 28 mai 1923.
L’ordonnance du 7 janvier 1944 (art. 5) accorde la Médaille coloniale aux militaires ayant participé aux campagnes d’Éthiopie, d’Érythrée, de Libye, de Tripolitaine, de Tunisie et divers autres théâtres d’opérations et combats dans les colonies au cours de la guerre 1939 ~ 1945.
Les titulaires reçoivent cette médaille avec les agrafes « Éthiopie – Kouffra – Libye – Bir-Hakeim – Fezzan – Tripolitaine – (1942 ~ 1943) – Somalie – Afrique française libre – Extrême-Orient ».
Toutes les autres agrafes créées au cours de la Guerre, à l’occasion d’autres campagnes, sont supprimées.
Il n’a pas été apporté de modifications aux règles en vigueur relatives à l’attribution de la Médaille coloniale au titre de l’ancienneté des services effectués à la colonie.