Question sur les funiculaires

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Eric Mansuy
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Re: Question sur les funiculaires

Message par Eric Mansuy »

Et voilà :

Composition du GV 6 à la date du 15 septembre 1915 (commandant du Groupe : colonel Gallard, à Fraize) :

Infanterie : 4e bataillon du 54e R.I.T., 25e compagnie du 43e R.I.T., 27e compagnie bis du 43e R.I.T.

Artillerie : 9e batterie territoriale du 6e Régiment d’Artillerie à Pied ; détachement d’Auxiliaires de Place Forte

Génie : section de la Compagnie 21/1 T

Gare de ravitaillement : Fraize (vivres et matériel)

Source : 19N1308

Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
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armand
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Re: Question sur les funiculaires

Message par armand »

re
Merci. La 21/1 T du 11eme RG - Epinal - compagnie de forteresse ?

Cdt
Armand
Sur les traces du 132ème RI " Un contre Huit " et du 294ème RI (le "29-4")
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le begue
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Re: Question sur les funiculaires

Message par le begue »

Bonjour à tous,
bonjour Eric,

Je ne connais pas les auxiliaires de forteresse, mais, je connais les auxiliaires du Génie.
Avec les gardes du Génie, ils ont à charge l'entretien de points remarquable tels les écluses, les barrages, les ponts mobiles, les accès aux forts etc.
En effet, en temps de paix, un fort est "désarmé", comprendre sans équipage, ce dernier ne rejoignant qu'à la mobilisation.
Ensuite, un fort s'appuie sur un réseau d'obstacle qui n'est réalisé qu'au dernier moment, mais dont le plan est établi en même temps que le fort.
Les gardes et sous leurs ordres, les auxiliaires du génie, avaient en charge l'entretien courant du fort et de ses abords, si vous me passez cette expression...
Ces personnels servent dans le Génie, mais sont des fonctionnaires. Ils ne sont pas militaires, malgré une hiérarchie et un tableau d'avancement. Ce statut, créé dès la fin du XVIII° siècle, ne disparaîtra que dans les années 1930.

Parle t-on des mêmes ? je le pense, l'appellation auxiliaire de forteresse pouvant être une interprétation erronée d'auxiliaire du génie.

Pour Armand,
De mémoire, les Pépères de la 21/1T ne restent pas longtemps à l'ombre des remparts et sont endivisionnés très vite (de mémoire).

Amicalement,
Louis.
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Eric Mansuy
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Re: Question sur les funiculaires

Message par Eric Mansuy »

Bonjour à tous,

Armand, Louis, je m'en suis tenu à ce qui était noté dans le JMO du GV 6 et dans le document tiré de la cote SHD 19N1308. Je ne saurais donc vous en dire plus côté terminologie.
J'ai jeté un oeil sur le JMO de la compagnie 21/1 T hier au soir, et en effet, cette compagnie quitte assez rapidement la Place d'Epinal. Hélas, de ce que j'ai vu en septembre 1915, c'est surtout le GV 7 (opérant au Nord du GV 6) qui est cité. Il faut, je pense, l'explorer plus en détail, avec un peu de temps...

Bien sincèrement,
Eric
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Eric Mansuy
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Re: Question sur les funiculaires

Message par Eric Mansuy »

Bonjour à tous,

De nouveaux éléments concernant notre sujet :

Composition du Groupe Vosgien n°6 fin août 1915 :
- 4e bataillon du 54e R.I.T. : 17e compagnie (164 hommes), 18e compagnie (165 hommes), 19e compagnie (199 hommes), 20e compagnie (195 hommes) ;
- Travailleurs fournis par la 47e D.I. : 224 hommes ;
- 25e compagnie de dépôt du 43e R.I.T. : 225 hommes ;
- Détachement du 43e R.I.T. (maçons, charpentiers, bûcherons) provenant du GV 7 : 72 hommes ;
- Détachement fourni par le dépôt du 43e R.I.T. : 100 hommes ;
- Détachement fourni par le dépôt du 170e R.I. : 40 hommes ;
- 9e batterie territoriale du 6e d’Artillerie : 311 hommes ;
- Auxiliaires de Place Forte : 218 hommes ;
- 2e section de la Compagnie 21/1 T du Génie : 103 hommes.

Pour l’artillerie, le GV 6 disposait de 8 pièces de 95 (batteries M1 – M4), 8 pièces de 120 Long (batteries M2 – M3), 6 pièces de 90 (batteries F1, F2, F3 – F3 bis).

Source : 24N1650

Bien sincèrement,
Eric
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
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