je pense que je vais pouvoir faire mieux mais en attendant, voici une (petite) photo de Maximilien Münch.

Didier
Bonjour,
je pense que je vais pouvoir faire mieux mais en attendant, voici une (petite) photo de Maximilien Münch.
mesimages/4282/munch.png
Didier
Bonsoir,
voici le texte de la citation qui accompagnait la photographie.
"Très brillant officier, pilote très hardi et des plus expérimentés. Ancien chef pilote des écoles de Pau et d'Avord. A effectué, depuis le début de la campagne, plus de soixante heures de vol au-dessus des lignes ennemies, sous un feu parfois extrêmement violent d'artillerie et d'infanterie. Le 5 novembre notamment, presque dès le début d'une reconnaissance, l'avion qu'il montait fut atteint par les fragments d'un obus ayant éclaté sous la queue de l'appareil. le stabilisateur fut gravement endommagé et une partie fut emportée par un éclat. Malgré le danger à poursuivre son vol avec d'aussi graves avariées, a continué sa reconnaissance et n'est revenu atterrir qu'après avoir achevé sa mission, donnant ainsi une preuve de ses brillantes qualités de pilote en même temps qu'un magnifique exemple de sang-froid, de courage et d'audacieuse résolution".
Compte tenu de son parcours, ce devait donc être le 5 novembre 1914.
Maximilien Münch était de la promotion de Saint-Cyr du "Centenaire d'Austerlitz". Parmi ses camarades de promotion, Jean Mortureux (de Faudouas) qui lui a succédé à la tête de l'école d'aviation de Tours.
Enfin, un article d'un journal de Loir-et-Cher, qui mentionne son passage à Romorantin le 9 janvier 1913, sans doute pour le triangle qui va clore son brevet militaire.
mesimages/4282/130119NOU41munch.jpg
Didier
Bonsoir,
voici le texte de la citation qui accompagnait la photographie.
"Très brillant officier, pilote très hardi et des plus expérimentés. Ancien chef pilote des écoles de Pau et d'Avord. A effectué, depuis le début de la campagne, plus de soixante heures de vol au-dessus des lignes ennemies, sous un feu parfois extrêmement violent d'artillerie et d'infanterie. Le 5 novembre notamment, presque dès le début d'une reconnaissance, l'avion qu'il montait fut atteint par les fragments d'un obus ayant éclaté sous la queue de l'appareil. le stabilisateur fut gravement endommagé et une partie fut emportée par un éclat. Malgré le danger à poursuivre son vol avec d'aussi graves avariées, a continué sa reconnaissance et n'est revenu atterrir qu'après avoir achevé sa mission, donnant ainsi une preuve de ses brillantes qualités de pilote en même temps qu'un magnifique exemple de sang-froid, de courage et d'audacieuse résolution".
Compte tenu de son parcours, ce devait donc être le 5 novembre 1914.
Maximilien Münch était de la promotion de Saint-Cyr du "Centenaire d'Austerlitz". Parmi ses camarades de promotion, Jean Mortureux (de Faudouas) qui lui a succédé à la tête de l'école d'aviation de Tours.
Enfin, un article d'un journal de Loir-et-Cher, qui mentionne son passage à Romorantin le 9 janvier 1913, sans doute pour le triangle qui va clore son brevet militaire.
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Didier