Quelques nouvelles cartes-postales du"SAINT LOUIS":
Cordialement.
Georges.
SAINT LOUIS - Cuirassé
-
colphotmil
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- Inscription : mar. mai 08, 2007 2:00 am
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonsoir Mesdames et Messieurs!
Quelques nouvelles cartes-postales du"SAINT LOUIS":
Cordialement.
Georges.
Quelques nouvelles cartes-postales du"SAINT LOUIS":
Cordialement.
Georges.
Collectionne les photos Militaires originales(pas de copies!)tous formats,France et Etranger,1870-1939 voire 45.
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonsoir Franck,
Bonsoir à tous,
02.03.1917 : en réserve spéciale, désarmé à Bizerte.
Fin Juin 1917, le capitaine de vaisseau PROUHET fut nommé au commandement du cuirassé d'escadre Saint-Louis (Ouest-Eclair - éd. de Caen -, n° 6439, 23 juin 1917, p. 4).
Dès lors, doit-on considérer que le Saint-Louis fut réarmé à la même époque ?
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonjour Daniel,
Bonjour à tous,
Dès lors, doit-on considérer que le Saint-Louis fut réarmé à la même époque ?
La mise en réserve spéciale s'applique aux bâtiments qui ne peuvent être armés rapidement et dont la condamnation est envisagée dans la plupart des cas, ou de bâtiments anciens dont les réparations sont différées ; mais en temps de guerre, toutes les options restent possibles. Après un carénage à Bizerte et sa mise en réserve spéciale, le Saint Louis quitte Bizerte le 5 janvier 1919 pour Toulon pour y être désarmé définitivement. Il est condamné le 20 juin 1920.
Il n'a donc pas été opérationnel après mars 1917, ce qui ne l'empêche pas d'avoir un équipage, même réduit. On peut également penser que le CV Prouhet, en plus du Saint Louis, a reçu le commandement d'un groupe de bâtiments dans le même cas (en réserve et/ou en attente de condamnation), comme c'était l'usage.
Bien cordialement,
Franck
Bonjour à tous,
Dès lors, doit-on considérer que le Saint-Louis fut réarmé à la même époque ?
La mise en réserve spéciale s'applique aux bâtiments qui ne peuvent être armés rapidement et dont la condamnation est envisagée dans la plupart des cas, ou de bâtiments anciens dont les réparations sont différées ; mais en temps de guerre, toutes les options restent possibles. Après un carénage à Bizerte et sa mise en réserve spéciale, le Saint Louis quitte Bizerte le 5 janvier 1919 pour Toulon pour y être désarmé définitivement. Il est condamné le 20 juin 1920.
Il n'a donc pas été opérationnel après mars 1917, ce qui ne l'empêche pas d'avoir un équipage, même réduit. On peut également penser que le CV Prouhet, en plus du Saint Louis, a reçu le commandement d'un groupe de bâtiments dans le même cas (en réserve et/ou en attente de condamnation), comme c'était l'usage.
Bien cordialement,
Franck
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonjour Franck,
Bonjour à tous,
Merci de cette explication qui, comme d'ordinaire, est parfaitement claire et exhaustive... Bref, lorsqu'un bâtiment était placé " en réserve spéciale ", son commandant avait avant tout qualité de syndic-liquidateur, chargé, avec un équipage restreint, d'expédier les affaires courantes du bord !
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonjour Daniel, bonjour Franck, bonjour à tous...
Il en allait pour les bâtiments en réserve comme pour les bâtiments en construction. Dès le début des travaux de construction, un Officier (CV, CF, LV, selon l'importance du navire) était en charge de la surveillance du déroulement desdits travaux. Il était toujours assisté d'un Officier Mécanicien, et selon l'importance du navire, d'un Officier en Second, d'Officiers (pour leurs compétences, ex breveté Torpilleur ou Canonnier), parfois d'un Commissaire, d'un Médecin... Idem pendant les essais... Il en allait de même pour les bâtiments en réserve normale ou spéciale. J'ai pu remarquer que pour ces dernières catégories, la plupart des commandants, voire Mécaniciens étaient des hommes d'expériences en fin de carrière, qui avaient beaucoup "donné", et prêts à passer dans le cadre de réserve... Une sorte de repos à terre mérité...
Ainsi le Capitaine de vaisseau Jules Félix PROUHET, 53 ans, né le 13 juillet 1864 à BREST (Finistère), était entré dans la Marine en 1880, comptant donc de nombreuses années de service à la mer. Il avait été nommé CV le 20 juin 1914. Officier de la Légion d'Honneur. Officier d'Académie.
Bonne journée...
Il en allait pour les bâtiments en réserve comme pour les bâtiments en construction. Dès le début des travaux de construction, un Officier (CV, CF, LV, selon l'importance du navire) était en charge de la surveillance du déroulement desdits travaux. Il était toujours assisté d'un Officier Mécanicien, et selon l'importance du navire, d'un Officier en Second, d'Officiers (pour leurs compétences, ex breveté Torpilleur ou Canonnier), parfois d'un Commissaire, d'un Médecin... Idem pendant les essais... Il en allait de même pour les bâtiments en réserve normale ou spéciale. J'ai pu remarquer que pour ces dernières catégories, la plupart des commandants, voire Mécaniciens étaient des hommes d'expériences en fin de carrière, qui avaient beaucoup "donné", et prêts à passer dans le cadre de réserve... Une sorte de repos à terre mérité...
Ainsi le Capitaine de vaisseau Jules Félix PROUHET, 53 ans, né le 13 juillet 1864 à BREST (Finistère), était entré dans la Marine en 1880, comptant donc de nombreuses années de service à la mer. Il avait été nommé CV le 20 juin 1914. Officier de la Légion d'Honneur. Officier d'Académie.
Bonne journée...
Cordialement. Malou
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonjour Malou,
Bonjour à tous,
Merci de ce complément d'information. Voilà mon éducation d' homme des bois faite !
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonjour à tous,
09.05.1915 : Dardanelles.
Fin septembre 1915, le cuirassé Saint-Louis, de retour des Dardanelles, se trouvait à Lorient. En atteste la relation de ce tragique accident, alors survenu à son bord (Ouest-Eclair – éd. de Caen –, n° 5993, 9 nov. 1915, p. 4 ) :
« NOUVELLES MARITIMES. - [...]
ACCIDENT MORTEL. - Le maître canonnier Ballan, embarqué sur le croiseur-cuirassé Saint-Louis, actuellement à Lorient, retour des Dardanelles, est mort accidentellement en procédant à la vérification des pièces de sa tourelle. Serré entre le canon et la paroi de la tourelle, il a eu le thorax comprimé si fortement, que lorsqu'on réussit à le retirer, l'asphyxie avait fait son oeuvre. »
― BALAN François Marie, né le 14 janvier 1893 à Moélan (Finistère) et y domicilié, décédé « le 20 septembre 1915 à bord », consécutivement à une « asphyxie par écrasement du thorax par une pièce de canon au cours d'une visite de matériel à bord (mort en service commandé) », Maître canonnier, Matricule n° 8081-Concarneau (Acte transcrit à Moélan, le 15 oct. 1915).
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonsoir à toutes et à tous
Quelques marins du SAINT LOUIS :
Décédés de maladies :
CRIOU Clet Henri né le 05/02/1893 à Plogoff (Finistère), Matelot de 2ème Classe Fusilier, décédé le 29/01/1915 (21 Ans) à Moudros en Grèce de maladie
HENRY Ernest Alexandre né le 23/05/1889 à Quiberon (Morbihan), Matelot de 3ème Classe Cuisinier, décédé le 13/07/1916 (27 Ans) à Salonique (Grèce) de Grippe
LE BOT Jean Claude né le 10/06/1892 à Plougastel-Daoulas (Finistère), Quartier Maître Canonnier, décédé le 22/8/1915 (23 Ans) à bord du navire-hôpital DJURJURA
DAGUENET Robert Louis René Desiré né le 19/12/1894 à Etampes (Essonne (Seine-et-oise en 1914)), Matelot de 1ère Classe Electricien T.S.F., décédé le 30/08/1918 (23 Ans) à l’hôpital de Djidjelli (Département de Constantine en 1914) (Aujourd'hui Jijel - Algérie) de Grippe
GUYOT Louis Théodore né le 18/10/1892 à Auray (Morbihan), Quartier Maître Electricien, décédé le 30/09/1918 (25 Ans) à l’hôpital de Djidjelli (Département de Constantine en 1914) (Aujourd'hui Jijel - Algérie) de Grippe
Décédés sur le GALLIA et le SUFFREN :
COMBOT André Marie né le 17/05/1884 à Plourin (Finistère), Second Maître Manœuvrier, décédé le 04/10/1916 (32 Ans) - Passager sur le GALLIA - Disparu en mer à Bord du GALLIA
MAINGARD Armand né le 09/01/1896 à Saint-Sulpice-des-Landes (Ille-et-Vilaine), Matelot de 2ème classe Sans Spécialité, décédé le 04/10/1916 (20 Ans) - Passager sur le GALLIA - Disparu en mer à Bord du GALLIA
MOREAU Marcel Célestin né le 16/11/1893 à Montargis (Loiret), Matelot de 2ème classe Musicien, décédé le 04/10/1916 (22 Ans) - Passager sur le GALLIA - Disparu en mer à Bord du GALLIA
MINGAM Ernest né le 07/08/1897 à Saint-Renan (Finistère), Matelot de 2ème Classe Timonier, décédé le 24/11/1916 (19 Ans) - Passager sur le SUFFREN pour rentrer en permission - Disparu en mer à Bord du SUFFREN – (Avait embarqué sur le croiseur Anglais EXMOUTH pour rejoindre le SUFFREN)
Cordialement
Dominique
Quelques marins du SAINT LOUIS :
Décédés de maladies :
CRIOU Clet Henri né le 05/02/1893 à Plogoff (Finistère), Matelot de 2ème Classe Fusilier, décédé le 29/01/1915 (21 Ans) à Moudros en Grèce de maladie
HENRY Ernest Alexandre né le 23/05/1889 à Quiberon (Morbihan), Matelot de 3ème Classe Cuisinier, décédé le 13/07/1916 (27 Ans) à Salonique (Grèce) de Grippe
LE BOT Jean Claude né le 10/06/1892 à Plougastel-Daoulas (Finistère), Quartier Maître Canonnier, décédé le 22/8/1915 (23 Ans) à bord du navire-hôpital DJURJURA
DAGUENET Robert Louis René Desiré né le 19/12/1894 à Etampes (Essonne (Seine-et-oise en 1914)), Matelot de 1ère Classe Electricien T.S.F., décédé le 30/08/1918 (23 Ans) à l’hôpital de Djidjelli (Département de Constantine en 1914) (Aujourd'hui Jijel - Algérie) de Grippe
GUYOT Louis Théodore né le 18/10/1892 à Auray (Morbihan), Quartier Maître Electricien, décédé le 30/09/1918 (25 Ans) à l’hôpital de Djidjelli (Département de Constantine en 1914) (Aujourd'hui Jijel - Algérie) de Grippe
Décédés sur le GALLIA et le SUFFREN :
COMBOT André Marie né le 17/05/1884 à Plourin (Finistère), Second Maître Manœuvrier, décédé le 04/10/1916 (32 Ans) - Passager sur le GALLIA - Disparu en mer à Bord du GALLIA
MAINGARD Armand né le 09/01/1896 à Saint-Sulpice-des-Landes (Ille-et-Vilaine), Matelot de 2ème classe Sans Spécialité, décédé le 04/10/1916 (20 Ans) - Passager sur le GALLIA - Disparu en mer à Bord du GALLIA
MOREAU Marcel Célestin né le 16/11/1893 à Montargis (Loiret), Matelot de 2ème classe Musicien, décédé le 04/10/1916 (22 Ans) - Passager sur le GALLIA - Disparu en mer à Bord du GALLIA
MINGAM Ernest né le 07/08/1897 à Saint-Renan (Finistère), Matelot de 2ème Classe Timonier, décédé le 24/11/1916 (19 Ans) - Passager sur le SUFFREN pour rentrer en permission - Disparu en mer à Bord du SUFFREN – (Avait embarqué sur le croiseur Anglais EXMOUTH pour rejoindre le SUFFREN)
Cordialement
Dominique
Avec les Allemands, nous nous sommes tellement battus que nos sangs ne font plus qu'un [ Ferdinand Gilson, France, Figaro Magazine n°19053 du 05 nov. 2005 ]
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonsoir à toutes et à tous,
Article du Nouvelliste du Morbihan N°25 du 30 janvier 1916 - Rubrique Chroniques Maritimes :
Monsieur le capitaine de vaisseau Du Merle [Marie Hippolyte Louis voir sa bio dans la rubrique Officier parmi tant d'autres page 47] est nommé au commandement du cuirassé Saint-Louis
Cordialement
Dominique
Article du Nouvelliste du Morbihan N°25 du 30 janvier 1916 - Rubrique Chroniques Maritimes :
Monsieur le capitaine de vaisseau Du Merle [Marie Hippolyte Louis voir sa bio dans la rubrique Officier parmi tant d'autres page 47] est nommé au commandement du cuirassé Saint-Louis
Cordialement
Dominique
Avec les Allemands, nous nous sommes tellement battus que nos sangs ne font plus qu'un [ Ferdinand Gilson, France, Figaro Magazine n°19053 du 05 nov. 2005 ]
Re: SAINT LOUIS - Cuirassé
Bonjour Dominique, bonjour à tous...,
Du MERLE Marie Hippolyte Louis
Né le 19 avril 1864 à ROUEN (Seine-Maritime) - Décédé.
Entre dans la Marine en 1880, Aspirant le 2 octobre 1883, Enseigne de vaisseau le 2 octobre 1885; port ROCHEFORT. Au 1er janvier 1886, sur le croiseur "SANÉ", Division navale du Levant (Cdt Pierre JUGE). Lieutenant de vaisseau le 26 février 1891. Au 1er janvier 1892, port CHERBOURG. Au 1er janvier 1894, Second sur le croiseur-torpilleur "FAUCON", Escadre de Méditerranée (Cdt Jean PICARD). Officier breveté Torpilleur. Le 20 janvier 1896, Commandant un groupe de torpilleurs de la Défense mobile de CHERBOURG. Chevalier de la Légion d'Honneur. Le 12 janvier 1897, Commandant un torpilleur de la Défense mobile de DUNKERQUE. Au 1er janvier 1899, sur le cuirassé "FORMIDABLE", Escadre du Nord (Cdt Paul HOUETTE). Aux 1er janvier 1901, 1902, port CHERBOURG. Au 1er janvier 1903, sur le cuirassé "DÉVASTATION", en essais à BREST (Cdt Émile SIMON). Au 1er janvier 1904, port CHERBOURG. Au 1er janvier 1906, Commandant l' "ADOUR", la Station locale de l'ANNAM et du TONKIN et les Ateliers d'HAÏPHONG. Capitaine de frégate le 5 novembre 1907. Aux 1er janvier 1908, 1909, port CHERBOURG. Le 1er janvier 1911, Commandant les sous-marins du 1er arrondissement maritime à CHERBOURG, et le contre-torpilleur "BÉLIER". Idem au 1er janvier 1912. Officier de la Légion d'Honneur. Aux 1er janvier 1914, 1915, port CHERBOURG. Capitaine de vaisseau le 19 juin 1915. En janvier 1916, cet Officier aurait été nommé Commandant du cuirassé "SAINT-LOUIS" (Cf Dbu55 - pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... _481_1.htm). Au 1er janvier 1917, port CHERBOURG. Au 1er janvier 1918, Chef du Service de la T.S.F. à BIZERTE. --- Commandeur de la Légion d'Honneur. Versé dans le cadre de réserve le 19 avril 1920, port CHERBOURG.
[:geneamar:8]
Du MERLE Marie Hippolyte Louis
Né le 19 avril 1864 à ROUEN (Seine-Maritime) - Décédé.
Entre dans la Marine en 1880, Aspirant le 2 octobre 1883, Enseigne de vaisseau le 2 octobre 1885; port ROCHEFORT. Au 1er janvier 1886, sur le croiseur "SANÉ", Division navale du Levant (Cdt Pierre JUGE). Lieutenant de vaisseau le 26 février 1891. Au 1er janvier 1892, port CHERBOURG. Au 1er janvier 1894, Second sur le croiseur-torpilleur "FAUCON", Escadre de Méditerranée (Cdt Jean PICARD). Officier breveté Torpilleur. Le 20 janvier 1896, Commandant un groupe de torpilleurs de la Défense mobile de CHERBOURG. Chevalier de la Légion d'Honneur. Le 12 janvier 1897, Commandant un torpilleur de la Défense mobile de DUNKERQUE. Au 1er janvier 1899, sur le cuirassé "FORMIDABLE", Escadre du Nord (Cdt Paul HOUETTE). Aux 1er janvier 1901, 1902, port CHERBOURG. Au 1er janvier 1903, sur le cuirassé "DÉVASTATION", en essais à BREST (Cdt Émile SIMON). Au 1er janvier 1904, port CHERBOURG. Au 1er janvier 1906, Commandant l' "ADOUR", la Station locale de l'ANNAM et du TONKIN et les Ateliers d'HAÏPHONG. Capitaine de frégate le 5 novembre 1907. Aux 1er janvier 1908, 1909, port CHERBOURG. Le 1er janvier 1911, Commandant les sous-marins du 1er arrondissement maritime à CHERBOURG, et le contre-torpilleur "BÉLIER". Idem au 1er janvier 1912. Officier de la Légion d'Honneur. Aux 1er janvier 1914, 1915, port CHERBOURG. Capitaine de vaisseau le 19 juin 1915. En janvier 1916, cet Officier aurait été nommé Commandant du cuirassé "SAINT-LOUIS" (Cf Dbu55 - pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... _481_1.htm). Au 1er janvier 1917, port CHERBOURG. Au 1er janvier 1918, Chef du Service de la T.S.F. à BIZERTE. --- Commandeur de la Légion d'Honneur. Versé dans le cadre de réserve le 19 avril 1920, port CHERBOURG.
[:geneamar:8]
Cordialement. Malou