Dossiers photographiques et vidéos mis en ligne par l’E.C.P.A.D.

[Rutilius]

Bonsoir à tous,

Une nouvelle vidéo intitulée « Le vin de l’armée, septembre 1917 » a été mise en ligne ce jour par l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (E.C.P.A.D.) (Réf. : 14.18 B 211 ; V. ici —> http://www.ecpad.fr/le-vin-de-larmee-septembre-1917 ). Elle est présentée comme suit :

« Pendant le premier conflit mondial, une grande partie de la production viticole française est destinée aux armées. Dans le département de l’Hérault, et plus précisément dans la région de Béziers, le vin produit au sein des exploitations viticoles est acheminé par train spéciaux vers la zone des armées.
A Béziers, aux docks de l’État, des fûts vides revenant des armées sont déchargés sur le quai maritime. Dans une gare ferroviaire, des ouvriers assurent, à l’aide de pompes mécaniques, les opérations de transvasement du vin dans des wagons foudres à destination du front.
Dans les environs de Servian, des ouvriers agricoles effectuent les vendanges. Le raisin est collecté sur des chariots, puis dirigé vers les pressoirs de l’exploitation pour y être foulé. »

Bien amicalement à vous,
Daniel.

[- Joel Huret -]

Ce sujet a été déplacé de la catégorie Forum Pages d'Histoire vers la categorie La Grande Guerre en photos par - Joel Huret -

[Rutilius]

Bonsoir à tous,

Une nouvelle vidéo intitulée « Pour la défense du sol lorrain » a été mise en ligne, le 21 novembre 2011, par l’ Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (E.C.P.A.D.) (Réf. : 14.18 A 225 ; V. ici —> http://www.ecpad.fr/pour-la-defense-du-sol-lorrain). Les extraits de films qui s’y trouvent regroupés, datés de Novembre 1915, sont présentés comme suit :

« Un régiment d’infanterie traverse " Gerbéviller la martyre " (Meurthe-et-Moselle), ville en ruine qui était " un habituel pèlerinage pour les troupes nouvellement arrivées en Lorraine ".
Autre lieu " tragique " : la ferme de Léomont (Meurthe-et-Moselle), " cinq fois perdue et cinq fois reprise ", qui n’est plus qu’un tas de ruines au sommet d’une croupe couverte de neige. Des marins sont aux commandes d’automitrailleuses et d’une auto-canon et les présentent à la caméra : les mitrailleuses peuvent être mises en position pour le tir contre avions.
Des ballons saucisses font " bonne garde ". L’un d’eux s’envole. L’aérostier équipé d’un parachute transmet ses observations par câble téléphonique. Ayant signalé l’approche d’une bourrasque de neige, le ballon captif est ramené à terre, protégé contre toute attaque aérienne par le déploiement de mitrailleuses sur bât. A la fin du film, on assiste au défilé d’un régiment d’infanterie alpine.

Note : Les ballons saucisses se situeraient sur la grande route de Champenoux à Varangéville (Meurthe-et-Moselle). »

Bien amicalement à vous,
Daniel.

[Charraud Jerome]

Bonsoir
On peut retrouver la liste des films de l'armée française ici:
pages1418/Pages-14-18-l-Art-et-la-Guerr ... 1.htm#t187
avec les liens vers le site de l'ECPAD

pour l'instant, je n'ai pas réussi à retrouver le film sur le vin dans ce catalogue. Dommage! Hips! Désolé!

Cordialement
Jérôme Charraud

[Rutilius]

Bonsoir à tous,

L’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (E.C.P.A.D.) a mis en ligne, le 2 janvier 2012, une nouvelle vidéo intitulée « Les carrières de pierre dans la Grande Guerre » [V. ici —> http://www.ecpad.fr/les-carrieres-de-pi ... e-guerre-2 ]. Cet émouvant document est constitué des trois extraits de films suivants, qui proviennent des archives de la Section cinématographique de l’armée et montrent la vie quotidienne des combattants français dans des carrières des départements de l’Oise et de l’Aisne.

● Extrait n° 1 (Réf. 14.18 A 279) – De la Somme à l’Aisne, 1916.

« Le travail dans les grottes sur les bords de l’Aisne. » Dans la cour de la carrière du Chauffour, sise sur le territoire de la commune de Thiescourt (Oise), des soldats préparent du matériel destiné à fortifier les premières lignes. La vie s’organise dans la carrière, où des soldats s’affairent à leur corvée quotidienne.

● Extrait n° 2 (Réf. 14.18 A 440) – L’artillerie dans les carrières de Bresnesles (Aisne), 1916.

Les carrières de Bresnesles offrent « tout le confort moderne ». Les artilleurs y ont construit leurs baraquements le long des parois ; y sont également abrités les chevaux et les installations collectives, telles les cuisines. Une voie Decauville permet de transporter les munitions qui s’y trouvent stockées. Au-dessus, une pièce de 75 mm entre en action.

● Extrait n° 3 (Réf. 14.18 A 134) – La carrière de Dreslincourt (Oise), 20 mai 1918.

A l’intérieur de la carrière de Drelincourt, dite des Cinq Piliers, des cuisiniers préparent le repas dans des cuisines roulantes installées à l’abri des bombardements.
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Bien amicalement à vous,
Daniel.

[Rutilius]

Bonsoir à tous,

Nouvelle vidéo mise en ligne par l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (E.C.P.A.D.), le 23 janvier 2012 : Le Front des Vosges en hiver (cantonnement), film muet d’une dizaine de minutes composé des séquences suivantes :

— Volontaires américains distribuant du café à des soldats français dans un Foyer du soldat ;

— Hommes du 6e Bataillon de chasseurs alpins défilant sur une route de montagne enneigée lors d’une cérémonie de remise de décorations ;

— Patrouille de soldats s’engageant sur un chemin enneigé, les hommes progressant péniblement sur l’épais manteau neigeux, alourdis par leur paquetage ;

— Soldats déneigeant une route de montagne ;

— Soldats occupant la tranchée enneigée d’un cantonnement de première ligne ;

— Soldat à la barbe givrée posant devant la caméra, revêtu d’une peau de bique ;

— Ravitaillement d’un cantonnement au moyen de traineaux à chiens.


V. ici —> http://www.ecpad.fr/front-des-vosges-hiver-cantonnement

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Bien amicalement à vous,
Daniel.

[Eric Mansuy]

Bonjour et merci pour ce lien.

Ce film - parmi d'autres, bien intéressants, sur les Vosges (peut-être leur mise en ligne viendra-t-elle également ?) - permet en outre de dater et situer les premières images, puisque c'est le 170e RI qui y est présent.

Bien cordialement,
Eric Mansuy

[Rutilius]

Bonjour à tous,

Une nouvelle vidéo d’une vingtaine de minutes intitulée « Paris après trois ans de guerre » (Réf. 14.18 B 369) a été mise en ligne, le 10 avril 2012, par l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (E.C.P.A.D.) [Réf. : 14.18 B 369 ; A voir ici —> http://www.ecpad.fr/paris-apres-trois-ans-de-guerre ].

Les extraits de films qui s’y trouvent regroupés, datés de 1917, sont présentés comme suit :

« Après trois ans d’épreuves, Paris n’a rien perdu de son activité, ni de ses charmes. Le calme matinal souligne la beauté immuable de ses monuments puis la ville se met au travail : péniches, remorqueurs et bateaux-mouches sillonnent la Seine dont les quais sont remplis de marchandises que l’on décharge.

Autour des Halles, l’animation bat son plein et aux carrefours, les tramways, fiacres et taxis se croisent tandis que le métro ne désemplit pas. Dans les secteurs vitaux, la mobilisation des femmes assure une parfaite continuité des activités : conductrices dans les transports, ouvrières dans les usines, employées dans les postes, les casernes et les grands magasins.

Chalands autour des vitrines, flâneurs aux terrasses et ouvriers à l’heure de la sortie animent les rues d’un perpétuel mouvement. Mais Paris reste aussi la capitale des loisirs : le jardin du Luxembourg accueille les écoliers, l’avenue du Bois de Boulogne et le lac offrent aux élégants promeneurs les plaisirs de la marche, de l’équitation ou du canotage, et les réunions sportives, cross ou match de football, remportent un vif succès.

Malgré tout, Paris n’oublie pas la guerre. La gare de l’Est accueille les permissionnaires ; l’Hôtel des Invalides abrite les trophées ennemis. Les jeunes parisiens s’entrainent au maniement des armes et la foule acclame les glorieux bataillons qui défilent dans les rues. Car la victoire est inscrite dans les traditions de Paris : l’Arc de Triomphe le rappelle aux regards et la devise de la ville aux mémoires. »

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Bien amicalement à vous,
Daniel.

[Yv']

Merci Daniel pour ce nouveau voyage dans le passé, très intéressant.

Cordialement.
Yves

[Rutilius]

Bonjour à tous,

L’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (E.C.P.A.D.) a mis en ligne, le 2 mai dernier, quelques clichés provenant du fonds photographique du médecin auxiliaire Jacques Marie Tournadour d’Albay, né à Paris, le 29 juillet 1885 [A voir ici —> http://www.ecpad.fr/jacques-tournadour- ... more-16600 ].

Ce dossier est présenté de la sorte :

« Le dossier thématique du mois de mai fait découvrir un fonds photographique entré par voie de donation en 2010 dans les collections privées de l’E.C.P.A.D. Médecin auxiliaire affecté au 11e Régiment du génie, Jacques Tournadour d’Albay (1885 ~ 1963) a photographié avec un Vest Pocket, appareil alors très en vogue parmi les Poilus, son environnement immédiat. Portraits de camarades, restitutions des paysages dévastés par les bombardements, représentations intérieures et extérieures des cantonnements sont complétés par des photographies plus inattendues. En effet, inventeur ingénieux, Jacques Tournadour d’Albay a ainsi mis au point un transporteur de gravats pour évacuer la terre des galeries par wagonnet, dont le mode d’emploi visuel est relaté en photos.

Les légendes du portfolio s’appuient sur le journal écrit au jour le jour, au cœur des combats, par le photographe entre le 2 décembre 1914 et le 7 décembre 1918.

Etant donné le caractère uniquement photographique du fonds Tournadour d’Albay — les premiers formats de la pellicule film amateur grand public mis sur le marché sont le 9,5 mm en 1922 et le 8 mm en 1932 —, ce dossier n’est pas accompagné d’un montage d’extraits de film. »
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Bien amicalement à vous,
Daniel.