Bonsoir à tous , bonsoir Eric ,
S'agissant du Ban-de-Sapt et Denipaire , du col des Raids de Robache, d'un chasseur alpin de l'Allier ( mon département ) et petit-fils d'un chasseur alpin grièvement blessé le 26/8 au col , il me parait que les renseignements d'Eric ( qui m'a beaucoup aidé )sont très probants .
Les 51ème ( Annecy ) , 53ème ( Chambéry ) et 62ème (Albertville ) BCA sont dirigés sur les entrées Nord , Nord-Est et Est de Saint-Dié pour tenter, après la retraite préciptée des 58 ème et 28 ème DI, d’arrêter ou ralentir l'avancée d'importantes forces wurtembergeoises.
A partir du 25/8, jusqu'aux combats dans Saint-Dié , très très nombreux seront les chasseurs alpins comme Jacques Naffetas qui tombèrent .Au 53 ème BCA de mon gp, après les combats de St Dié , il ne restait que 420 chasseurs sur les 1100 du bataillon . au 51 ème BCA il ne restait plus que l'équivalent d'une compagnie - 250 chasseurs -qui fut rattachée au 11 ème BCA et commandée par un capitaine célèbre : F.Belmont .
Bien cordialement ,
Alexandre
Un chasseur au 62ème bataillon;
- lignard2
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Re: Un chasseur au 62ème bataillon;
Bien le bonjour Eric et Alexandre
Merci pour ces compléments d'informations concernant le soldat Naffetas.
après la retraite précipitée des 58 ème et 28 ème DI, d’arrêter ou ralentir l'avancée d'importantes forces wurtembergeoises. dites-vous.
Connaissez-vous le numéro des régiments directement impliqués face au 62ème. il y aurait peut-être moyen de trouver l'historique de ce régiment et de là....pallier l'absence du JMO du 62ème bca.
Cordialement
Christian
Merci pour ces compléments d'informations concernant le soldat Naffetas.
après la retraite précipitée des 58 ème et 28 ème DI, d’arrêter ou ralentir l'avancée d'importantes forces wurtembergeoises. dites-vous.
Connaissez-vous le numéro des régiments directement impliqués face au 62ème. il y aurait peut-être moyen de trouver l'historique de ce régiment et de là....pallier l'absence du JMO du 62ème bca.
Cordialement
Christian
« Il portait ainsi en lui le nom de quelques camarades, laissés dans les petits cimetières de Champagne ou de l’Aisne, ou bien entre les lignes, sur la terre à personne, » Roland Dorgelès
- Eric Mansuy
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Re: Un chasseur au 62ème bataillon;
Bonsoir Christian,
Bonsoir à tous,
"Connaissez-vous le numéro des régiments directement impliqués face au 62ème" : a priori, je dirais le RIR 120.
Quelques extraits de l'ouvrage de Raoul Allier, "Les Allemands à Saint-Dié (27 août - 10 septembre 1914)" : "Le 62e bataillon, après une nuit (du 24 au 25) passée à Nayemont-les-Fosses, a reçu l'ordre de se porter sur Saint-Jean-d'Ormont par les Raids de Robache. Il a pris position d'abord à Launois, puis entre ce village et le hameau de la Vercoste ; il est seulement canonné." ; "Depuis les premières heures de ce mercredi 26 août, la position que le 62e occupe à Launois est soumise à la canonnade ennemie : le bataillon se porte vers le col de Robache, puis il fait un nouvel effort pour revenir sur le point qui lui a été assigné et pour s'y maintenir. En débouchant du bois, il est pris sous un tel feu d'artillerie, d'infanterie et de mitrailleuses qu'il perd, en quelques minutes, plus de la moitié de son effectif. Le capitaine Moufflet rallie les survivants ; avec eux et avec un bataillon du 99e régiment d'infanterie en retraite, il occupe la crête qui va des Raids de Robache au col du Bon Dieu. Il s'y accroche obstinément, s'efforçant de fermer la route aux Allemands qui veulent, à tout prix, progresser. Dans la soirée du 26, il n'aura pas moins de huit attaques successives à repousser. La pression ennemie s'annonce formidable."
Et de "La Chasse à l'homme - Lettres de guerre et carnet journalier d'Antoine Martin (1914-1915)" :
"Mercredi 26 août 1914. A l'aube, nous nous replions à la lisière d'un bois où nous sommes bientôt repérés par deux batteries d'obusiers allemands. Alors, nous fuyons en arrière avec les mulets de la mitrailleuse jusqu'à St-Jean-d'Ormont. Nous nous cachons derrière une haie, protégés en avant par le 30e de ligne qui recule de suite car nous recevons bientôt de nouveaux obus. Alors, quatre chasseurs, parmi lesquels je suis, partent en arrière et perdent les mulets qui ont pris une autre route. En arrivant vers Denipaire, les Boches nous canardent sur la route et nous sommes obligés de nous défiler dans les marais. Arrivés à Denipaire, le commandant nous fait suivre une compagnie qui grimpait par un bois à l'assaut de deux batteries. A la lisière, nous sommes canardés à bout portant par une mitrailleuse, et là je vois tomber les premières victimes du 62e. Bientôt, c'est la débandade et un sauve-qui-peut général. Nous nous cachons derrière tous les buissons pour nous sauver et les obus allemands nous accompagnent jusqu'à l'entrée d'un bois où passe la route qui nous mène au col. C'est avec toutes les peines du monde que je garde mon sac alors que beaucoup de camarades l'abandonnent pour courir plus vite. Nous rattrapons des blessés et, ne pouvant les emmener avec nous, nous leur faisons un pansement sommaire et nous continuons notre route. Au col, nous retrouvons le commandant de bataillon qui rassemble les fuyards qu'il rencontre. Puis nous continuons notre route jusqu'à la sortie du bois. Aux premières maisons, nous faisons grand-halte et mangeons une boîte de 320 grammes de boeuf de conserve sans pain. Bientôt, de gros nuages arrivent et la pluie se met à tomber. Nous remontons garder la lisière du bois, et à la nuit nous venons nous mettre à l'abri dans les maisons. Nous sommes à peine étendus qu'un ordre arrive : il faut repartir en petits postes à la lisière du bois. De toute la journée, nous n'avons mangé que la boîte de conserve, et le ravitaillement n'arrive pas encore. C'est encore le lendemain sans nourriture. Chaque fois que l'on s'arrête, tout le monde se couche sur le talus de la route et, malgré la pluie, on s'endort.
Jeudi 27 août 1914. Il ne reste que la moitié du bataillon [...]."
Bien cordialement,
Eric Mansuy
Bonsoir à tous,
"Connaissez-vous le numéro des régiments directement impliqués face au 62ème" : a priori, je dirais le RIR 120.
Quelques extraits de l'ouvrage de Raoul Allier, "Les Allemands à Saint-Dié (27 août - 10 septembre 1914)" : "Le 62e bataillon, après une nuit (du 24 au 25) passée à Nayemont-les-Fosses, a reçu l'ordre de se porter sur Saint-Jean-d'Ormont par les Raids de Robache. Il a pris position d'abord à Launois, puis entre ce village et le hameau de la Vercoste ; il est seulement canonné." ; "Depuis les premières heures de ce mercredi 26 août, la position que le 62e occupe à Launois est soumise à la canonnade ennemie : le bataillon se porte vers le col de Robache, puis il fait un nouvel effort pour revenir sur le point qui lui a été assigné et pour s'y maintenir. En débouchant du bois, il est pris sous un tel feu d'artillerie, d'infanterie et de mitrailleuses qu'il perd, en quelques minutes, plus de la moitié de son effectif. Le capitaine Moufflet rallie les survivants ; avec eux et avec un bataillon du 99e régiment d'infanterie en retraite, il occupe la crête qui va des Raids de Robache au col du Bon Dieu. Il s'y accroche obstinément, s'efforçant de fermer la route aux Allemands qui veulent, à tout prix, progresser. Dans la soirée du 26, il n'aura pas moins de huit attaques successives à repousser. La pression ennemie s'annonce formidable."
Et de "La Chasse à l'homme - Lettres de guerre et carnet journalier d'Antoine Martin (1914-1915)" :
"Mercredi 26 août 1914. A l'aube, nous nous replions à la lisière d'un bois où nous sommes bientôt repérés par deux batteries d'obusiers allemands. Alors, nous fuyons en arrière avec les mulets de la mitrailleuse jusqu'à St-Jean-d'Ormont. Nous nous cachons derrière une haie, protégés en avant par le 30e de ligne qui recule de suite car nous recevons bientôt de nouveaux obus. Alors, quatre chasseurs, parmi lesquels je suis, partent en arrière et perdent les mulets qui ont pris une autre route. En arrivant vers Denipaire, les Boches nous canardent sur la route et nous sommes obligés de nous défiler dans les marais. Arrivés à Denipaire, le commandant nous fait suivre une compagnie qui grimpait par un bois à l'assaut de deux batteries. A la lisière, nous sommes canardés à bout portant par une mitrailleuse, et là je vois tomber les premières victimes du 62e. Bientôt, c'est la débandade et un sauve-qui-peut général. Nous nous cachons derrière tous les buissons pour nous sauver et les obus allemands nous accompagnent jusqu'à l'entrée d'un bois où passe la route qui nous mène au col. C'est avec toutes les peines du monde que je garde mon sac alors que beaucoup de camarades l'abandonnent pour courir plus vite. Nous rattrapons des blessés et, ne pouvant les emmener avec nous, nous leur faisons un pansement sommaire et nous continuons notre route. Au col, nous retrouvons le commandant de bataillon qui rassemble les fuyards qu'il rencontre. Puis nous continuons notre route jusqu'à la sortie du bois. Aux premières maisons, nous faisons grand-halte et mangeons une boîte de 320 grammes de boeuf de conserve sans pain. Bientôt, de gros nuages arrivent et la pluie se met à tomber. Nous remontons garder la lisière du bois, et à la nuit nous venons nous mettre à l'abri dans les maisons. Nous sommes à peine étendus qu'un ordre arrive : il faut repartir en petits postes à la lisière du bois. De toute la journée, nous n'avons mangé que la boîte de conserve, et le ravitaillement n'arrive pas encore. C'est encore le lendemain sans nourriture. Chaque fois que l'on s'arrête, tout le monde se couche sur le talus de la route et, malgré la pluie, on s'endort.
Jeudi 27 août 1914. Il ne reste que la moitié du bataillon [...]."
Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
Re: Un chasseur au 62ème bataillon;
Bonjour à tous ,
Il s'agit de la 26ème division de réserve wurtembergeoise commandée par le général comte Franz von Soden .Un bulletin de la Société Philomatique Vosgienne de 1995 mentionne les RIR 119/120/121/180 et 99.
Bien cordialement,
Alexandre
Il s'agit de la 26ème division de réserve wurtembergeoise commandée par le général comte Franz von Soden .Un bulletin de la Société Philomatique Vosgienne de 1995 mentionne les RIR 119/120/121/180 et 99.
Bien cordialement,
Alexandre
Re: Un chasseur au 62ème bataillon;
Re ,
Il y a aussi cette photo ancienne de von Soden et son état-major dont le capitaine von Bulow , fils de l'ancien chancelier .

Bien cordialement,
Alexandre
Il y a aussi cette photo ancienne de von Soden et son état-major dont le capitaine von Bulow , fils de l'ancien chancelier .

Bien cordialement,
Alexandre
Re: Un chasseur au 62ème bataillon;
Bjr
LIRE: http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... e4ba5a9188
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 7d5ba234b5
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... c1a5bab78d
RAJOUT :
des cartes sur MdH
Cartes de situation le 26 août 1914 à 6 heures.
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 25a974c6b1
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 34b1458442
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 222d550c4c
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... D_AFGG_ead
et Les armées françaises dans la Grande guerre
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... -sapt.zoom
mais vous connaissez peut-être déjà tout cela
LIRE: http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... e4ba5a9188
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 7d5ba234b5
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... c1a5bab78d
RAJOUT :
des cartes sur MdH
Cartes de situation le 26 août 1914 à 6 heures.
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 25a974c6b1
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 34b1458442
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 222d550c4c
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... D_AFGG_ead
et Les armées françaises dans la Grande guerre
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6 ... -sapt.zoom
mais vous connaissez peut-être déjà tout cela
Re: Un chasseur au 62ème bataillon;
Re ,
Merci pour ces liens que je connaissais.
D'où une certaine frustration particulièrement en ce qui concerne mes recherches sur mon gp , sur son chef de bataillon le capitaine Duverney. Comme vous voyez les éléments sont fragmentaires . Il n'est pas possible d'avoir la continuité et le détail d'un JMO .
Cdlt,
Alexandre
Merci pour ces liens que je connaissais.
D'où une certaine frustration particulièrement en ce qui concerne mes recherches sur mon gp , sur son chef de bataillon le capitaine Duverney. Comme vous voyez les éléments sont fragmentaires . Il n'est pas possible d'avoir la continuité et le détail d'un JMO .
Cdlt,
Alexandre
- lignard2
- Messages : 1512
- Inscription : mer. déc. 07, 2011 1:00 am
- Localisation : Entre Sambre-et-Meuse
Re: Un chasseur au 62ème bataillon;
Bonjour à tous,
Merci de vos réponses qui apportent à chaque fois des informations.
La Chasse à l'homme - Lettres de guerre et carnet journalier d'Antoine Martin (1914-1915)" : Je viens de l'acheter sur Amazon. Sa lecture peut être fructueuse et puis, je l'offrirai à mes amis.
Pour l'autre, "Les Allemands à Saint-Dié (27 août - 10 septembre 1914)" il est sur Gallica donc facilement consultable
Comme le souligne Alexandre, c'est frustrant de ne pas avoir comme pour les autres bataillons, un JMO complet.
Une petite question cependant....
Comment se fait-il qu'un homme âgé de 30 ans (Jacques Neffetas est né en 1884) se soit retrouvé immédiatement en premières lignes. Normalement, ce sont les régiments de jeunes classes qui étaient à cette position.
Une petite explication?? Ou alors, les bataillons de chasseurs alpins étaient des bataillons de réserves mis par la force des choses en lignes??????
De plus, notre homme avait fait son service dans un régiment d'infanterie d'où question subsidiaire...; comment s'est-il retrouvé dans des unités de chasseurs alpins qui sont quand même des unités spécifiques (montagne)
Je vais essayer d'obtenir les historiques des régiments allemands impliqués dans les combats.
Je vous tien au courant
à vous lire
merci à CD pour tous les liens
Christian
Merci de vos réponses qui apportent à chaque fois des informations.
La Chasse à l'homme - Lettres de guerre et carnet journalier d'Antoine Martin (1914-1915)" : Je viens de l'acheter sur Amazon. Sa lecture peut être fructueuse et puis, je l'offrirai à mes amis.
Pour l'autre, "Les Allemands à Saint-Dié (27 août - 10 septembre 1914)" il est sur Gallica donc facilement consultable
Comme le souligne Alexandre, c'est frustrant de ne pas avoir comme pour les autres bataillons, un JMO complet.
Une petite question cependant....
Comment se fait-il qu'un homme âgé de 30 ans (Jacques Neffetas est né en 1884) se soit retrouvé immédiatement en premières lignes. Normalement, ce sont les régiments de jeunes classes qui étaient à cette position.
Une petite explication?? Ou alors, les bataillons de chasseurs alpins étaient des bataillons de réserves mis par la force des choses en lignes??????
De plus, notre homme avait fait son service dans un régiment d'infanterie d'où question subsidiaire...; comment s'est-il retrouvé dans des unités de chasseurs alpins qui sont quand même des unités spécifiques (montagne)
Je vais essayer d'obtenir les historiques des régiments allemands impliqués dans les combats.
Je vous tien au courant
à vous lire
merci à CD pour tous les liens
Christian
« Il portait ainsi en lui le nom de quelques camarades, laissés dans les petits cimetières de Champagne ou de l’Aisne, ou bien entre les lignes, sur la terre à personne, » Roland Dorgelès
Re: Un chasseur au 62ème bataillon;
Bonjour ,
Pour répondre à vos questions :
-le 62 ème BCA est bien le bataillon de réserve du 22ème BCA( Albertville ), tout comme le 51è ( 11è Annecy) et le 53è (13è Chambéry).
-le département de l'Allier était avant-guerre classé en zone de montagne même si, seule la région sud-est de Vichy a un relief un peu montagneux : la Montagne Bourbonnaise. Nombreux étaient les chasseurs bourbonnais originaires du nord de l'Allier aux 13è et 53è BCA .
Bien cordialement,
Alexandre
Pour répondre à vos questions :
-le 62 ème BCA est bien le bataillon de réserve du 22ème BCA( Albertville ), tout comme le 51è ( 11è Annecy) et le 53è (13è Chambéry).
-le département de l'Allier était avant-guerre classé en zone de montagne même si, seule la région sud-est de Vichy a un relief un peu montagneux : la Montagne Bourbonnaise. Nombreux étaient les chasseurs bourbonnais originaires du nord de l'Allier aux 13è et 53è BCA .
Bien cordialement,
Alexandre
- lignard2
- Messages : 1512
- Inscription : mer. déc. 07, 2011 1:00 am
- Localisation : Entre Sambre-et-Meuse
Re: Un chasseur au 62ème bataillon;
Bonjour,
Et encore merci pour vos réponses.
je viens de recevoir les historiques (pour le mois d'août 14) de certains régiments qui auraient été concernés par les combats contre le 62bca. (merci Michel
, il se reconnaîtra)
Le temps de déchiffrer les passages intéressants et je les poste sur le fil.
En attendant... une carte sur la progression allemande.
Je viens de recevoir le livre "La chasse à l'homme". Si vous voulez des informations contenues dans ce livre... je vais commencer à le "dévorer"
Une carte contenue dans un historique

cordialement
Christian
Et encore merci pour vos réponses.
je viens de recevoir les historiques (pour le mois d'août 14) de certains régiments qui auraient été concernés par les combats contre le 62bca. (merci Michel

Le temps de déchiffrer les passages intéressants et je les poste sur le fil.
En attendant... une carte sur la progression allemande.
Je viens de recevoir le livre "La chasse à l'homme". Si vous voulez des informations contenues dans ce livre... je vais commencer à le "dévorer"
Une carte contenue dans un historique

cordialement
Christian
« Il portait ainsi en lui le nom de quelques camarades, laissés dans les petits cimetières de Champagne ou de l’Aisne, ou bien entre les lignes, sur la terre à personne, » Roland Dorgelès