autos-canons

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TURPINITE
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Re: autos-canons

Message par TURPINITE »

Bonsoir à tous, bonsoir 363 RI,
oui la cadence est impressionnante et tu comprends pourquoi ce canon est nommé à tir rapide, pour le 75, sa cadence réglementaire est de 12 coups à la minute, cependant certaines pièces ont dépassées les 15 coups!
Il a rendu de nombreux services et bien après la deuxième guerre mondiale.
Amicalement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
363eme RI
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Re: autos-canons

Message par 363eme RI »

Il a rendu de nombreux services et bien après la deuxième guerre mondiale.
Amicalement
Florian[/quotemsg]

Salut à tous,
ma question va peut être vous sembler stupide, mais pourquoi ne pas l'avoir plus utilisé? Il me semble qu'il était quand même plus facile à déplacer que le traditionel 75 avec ses chevaux et autres caissons, indispensables il est vrai mais qui impliquait une mise en batterie de la pièce longue, fatiguante et dangereuse..
Peut être qu'il n'y avait pas assez de véhicules (chassis) en nombre suffisant?
J'ai lu que l'auto canon était l'ancêtre du char d'assaut, mais ce dernier a été réservé à un "assaut" et non pas à un appui d'artillerie. L'auto canon s'est il cantoné à la défense aérienne? Plus d'infos seraient le bienvenu!
Slts
Cordialement.
François
L'éternité c'est long, surtout vers la fin..
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TURPINITE
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Re: autos-canons

Message par TURPINITE »

Bonsoir,
En 1913 le premier canon de 75 de DCA entre en service: l'auto canon de 75 De Dion Bouton modèle 1913. Ce canon au pointage tous azimuts, novateur pour l'époque, s'avère au cours de la guerre mal adapté pour lutter contre des avions de plus en plus rapides et maniables et volant de plus en plus haut (vitesse de pointage trop lente, munition mal adaptée...). Alors qu'un seul exemplaire existait au début de la guerre, ce sont environ 400 autocanons de 75 qui défendent, comme ils le peuvent, la ligne de front francais en 1918. Rassemblés au sein de groupes d'autocanons dès 1916, ils sont directement placés sous les ordres des corps d'armées et leur utilisation les amènent à être souvent déplacés pour venir soutenir les grandes offensives en préparation. De nouveaux obus, mieux profilés voient le jour.
Amicalement
Florian


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