Bonjour Pierreth,
Effectivement Hitler a bien dit ça et à plusieurs reprises dans Mein Kampf .
Effectivement Mein Kampf .... C'est pas des plus guai à lire ... et il y a pas grand chose à y trouver .
Pour ma part,je l'ai lu deux fois ... à "petites doses"....
Et à la deuxième lecture une évidence c'est faite : ce n'est pas le même qui a écrit les 100 premières pages et les autres .
Effectivement ... Les 100 premières pages ont été entièrement refaites dans sa prison après le Coup d'Etat de la Brasserie ,par (je crois) Rudolph Hess .
Quand on repasse sur le texte,(pas en le lisant une seule fois) effectivement ce n'est pas le même style . C'est comme le dernier livre de la Guerre des gaules: c'est la même chose tout en ne l'étant pas .
Ceci dit,je ne vois pas pourquoi on interdit ce livre qui est plus soporifique qu'une boite de Temesta ...
Je suis officier ... qu'est ce que je raconte à mes hommes ?
- Gardiendelombre
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Re: Je suis officier ... qu'est ce que je raconte à mes hommes ?

Re: Je suis officier ... qu'est ce que je raconte à mes hommes ?
Bonjour,
oui revenons au sujet. Ce que j'aurais dit ?
Avec TOUTE la prudence nécessaire, puisque "c'est au pied du mur qu'on voit le maçon", dans le même contexte, le
même enjeu, eh bien la même chose qu' aujourd'hui, Les gars ont ne se laisse pas faire, on s'accroche, nous n'allons
pas nous laisser bouffer par ces gens là. Cordialement.
oui revenons au sujet. Ce que j'aurais dit ?
Avec TOUTE la prudence nécessaire, puisque "c'est au pied du mur qu'on voit le maçon", dans le même contexte, le
même enjeu, eh bien la même chose qu' aujourd'hui, Les gars ont ne se laisse pas faire, on s'accroche, nous n'allons
pas nous laisser bouffer par ces gens là. Cordialement.
Re: Je suis officier ... qu'est ce que je raconte à mes hommes ?
Bonjour Berry,
A l'époque, il ne s'agissait pas de faire face mais de sortir la tête ( et le reste) au milieu du champ de tir. Et au début tout du moins, avec un beau pantalon garance !
Je pense qu'il a fallu beaucoup d'alcool, de formatage et les tribunaux d'exception pour faire sortir les gars.
Et ça ne devait pas être plus simple pour l'officier qui sortait le premier en sachant être une cible facilement identifiable et recherchée.
Il ne s'agissait pas d'une bagarre les yeux dans les yeux mais vraiment de tir aux pigeons.
La défaillance des politiques et l'incapacité de l'état major ont été payées au prix fort par les français.
Et partant de l'idée que l'Histoire se répète ... 1914 - 2014 ....
Que voyez vous Madame Irma dans votre boule ?
Cdt.
A l'époque, il ne s'agissait pas de faire face mais de sortir la tête ( et le reste) au milieu du champ de tir. Et au début tout du moins, avec un beau pantalon garance !
Je pense qu'il a fallu beaucoup d'alcool, de formatage et les tribunaux d'exception pour faire sortir les gars.
Et ça ne devait pas être plus simple pour l'officier qui sortait le premier en sachant être une cible facilement identifiable et recherchée.
Il ne s'agissait pas d'une bagarre les yeux dans les yeux mais vraiment de tir aux pigeons.
La défaillance des politiques et l'incapacité de l'état major ont été payées au prix fort par les français.
Et partant de l'idée que l'Histoire se répète ... 1914 - 2014 ....
Que voyez vous Madame Irma dans votre boule ?
Cdt.
- Gardiendelombre
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Re: Je suis officier ... qu'est ce que je raconte à mes hommes ?
Bonjour à tous,
Un détail qu'on oublie souvent,c'est que "en 14",pour la première fois,vu que les fronts à l'ouest ne bougeaient pratiquement pas,
c'est que les soldats avaient tout à loisir l'occasion de voir l'évolution des morts : des "frais" jusqu'aux ossements,en passant par les "en morceaux" ...
Je crois que Genevoix en parle dans "ceux de 14",à moins que ce ne soit Gabriel Chevalier dans "La Peur" .
Toujours est-il que cette cohabitation,ne doit pas fort augmenter l'envie de sortir des tranchées .
D'ailleurs (dit-on) les officiers français essayaient de s’arranger pour que les abris soient "inconfortables" (en particulier de faibles hauteurs de plafond) pour que les soldats ne s'y "incrustent pas" ...
Un détail qu'on oublie souvent,c'est que "en 14",pour la première fois,vu que les fronts à l'ouest ne bougeaient pratiquement pas,
c'est que les soldats avaient tout à loisir l'occasion de voir l'évolution des morts : des "frais" jusqu'aux ossements,en passant par les "en morceaux" ...
Je crois que Genevoix en parle dans "ceux de 14",à moins que ce ne soit Gabriel Chevalier dans "La Peur" .
Toujours est-il que cette cohabitation,ne doit pas fort augmenter l'envie de sortir des tranchées .
D'ailleurs (dit-on) les officiers français essayaient de s’arranger pour que les abris soient "inconfortables" (en particulier de faibles hauteurs de plafond) pour que les soldats ne s'y "incrustent pas" ...