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DOROTHY — Cargo — Armement John Ness, Sunderland (1903~1917).
DOROTHY — Cargo — Armement John Ness, Sunderland (1903~1917).
Bonjour à tous,
• Patrouilleur auxiliaire Bisson-II — alors commandé par le premier maître de timonerie Félix Jean Marie MARTEL — Journal de navigation n° 8/1917 — 5 janvier ~ 26 février 1917 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 52, p. num. 349 à 351.
Les circonstances de la perte du cargo Dorothy, survenue le 24 février 1917
• Patrouilleur auxiliaire Bisson-II — alors commandé par le premier maître de timonerie Félix Jean Marie MARTEL — Journal de navigation n° 8/1917 — 5 janvier ~ 26 février 1917 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 52, p. num. 349 à 351.
« En mer. D’Argostoli à Bône.
Le Samedi 24 février [1917].
Le Samedi 24 février [1917].
Très beau temps. En route sur le Cap Bon.
A 8 h. 24, lorsque le bâtiment se trouvait par 36° 47’ et 13° 20, nous recevons un allo de 36° 21’ et 12° 55’, c'est-à-dire à 35 milles dans le S. 48 O. de nous. A 9 h. 24, reçu un deuxième allo par 36° 35’ et 12° 35’ à 30 milles dans le S. 85 O. de notre position. Croyant avoir affaire au même sous-marin, nous venons en route à l’Ouest.
A 11 h. 10, aperçu un vapeur à l’horizon — en nous approchant, la bande donnée par ce bâtiment nous fait supposer que c’était le point du Allo ; venu au S. 45 O. —, qui, à environ 5 milles de nous, disparaît exactement à 11 h. 23. Aperçu dans l’Ouest, à 3 milles environ, deux points noirs que nous prenons pour le sous-marin ; en nous rapprochant, nous reconnaissons l’équipage du vapeur grec Presconisa [Lire : Prikonisos], canonné par un sous-marin autrichien à 8 h. 00 le matin ; 20 survivants, 5 disparus, dont le novice, enlevé par le sous-marin.
11 h. 50 — Repris notre route.
14 h. 00 — Lorsque le bâtiment se trouvait par 36° 54’ et 12° 20’, reçu S.O.S. venant du Dorothy par 36° 22’ et 12° 18’. Mis le cap dans cette direction aussitôt.
14 h. 10 — Apercevant une fumée dans le S.-O., venu dessus. Ayant reconnu un torpilleur anglais [le H.M.S. Harrier], repris notre direction au 3 ¼ S.-O. et Sud.
A 15 h. 30, aperçu un voilier et plus loin un vapeur donnant comme celui du matin une forte bande. Le contre-torpilleur anglais se trouve en ce moment dans les environs et lance un allo lui-même.
A 15 h. 40, étant approximativement de lui entre 2,5 et 3 milles, nous apercevons une forte gerbe d’eau provenant d’une grenade que venait de jeter le torpilleur.
A 15 h. 55, le Dorothy disparaît. Nous recevons l’ordre du contre-torpilleur d’avoir à ramasser les naufragés éparpillés sur des radeaux dans toutes les directions. Le Bisson [Lire : Bisson-II] et l’Albatros [Lire : Albatros-II], malgré de grandes difficultés, ont recueilli de 16 h. 22 à 17 h. 50 tous les survivants du Dorothy composés de militaires français.
18 h. 15 — L’Ariel nous donne l’ordre de le suivre à Malte.
A 23 h. 30, l’Ariel nous signale : " Fait route sur Malte. Je viens de recevoir une mission spéciale."
A 8 h. 24, lorsque le bâtiment se trouvait par 36° 47’ et 13° 20, nous recevons un allo de 36° 21’ et 12° 55’, c'est-à-dire à 35 milles dans le S. 48 O. de nous. A 9 h. 24, reçu un deuxième allo par 36° 35’ et 12° 35’ à 30 milles dans le S. 85 O. de notre position. Croyant avoir affaire au même sous-marin, nous venons en route à l’Ouest.
A 11 h. 10, aperçu un vapeur à l’horizon — en nous approchant, la bande donnée par ce bâtiment nous fait supposer que c’était le point du Allo ; venu au S. 45 O. —, qui, à environ 5 milles de nous, disparaît exactement à 11 h. 23. Aperçu dans l’Ouest, à 3 milles environ, deux points noirs que nous prenons pour le sous-marin ; en nous rapprochant, nous reconnaissons l’équipage du vapeur grec Presconisa [Lire : Prikonisos], canonné par un sous-marin autrichien à 8 h. 00 le matin ; 20 survivants, 5 disparus, dont le novice, enlevé par le sous-marin.
11 h. 50 — Repris notre route.
14 h. 00 — Lorsque le bâtiment se trouvait par 36° 54’ et 12° 20’, reçu S.O.S. venant du Dorothy par 36° 22’ et 12° 18’. Mis le cap dans cette direction aussitôt.
14 h. 10 — Apercevant une fumée dans le S.-O., venu dessus. Ayant reconnu un torpilleur anglais [le H.M.S. Harrier], repris notre direction au 3 ¼ S.-O. et Sud.
A 15 h. 30, aperçu un voilier et plus loin un vapeur donnant comme celui du matin une forte bande. Le contre-torpilleur anglais se trouve en ce moment dans les environs et lance un allo lui-même.
A 15 h. 40, étant approximativement de lui entre 2,5 et 3 milles, nous apercevons une forte gerbe d’eau provenant d’une grenade que venait de jeter le torpilleur.
A 15 h. 55, le Dorothy disparaît. Nous recevons l’ordre du contre-torpilleur d’avoir à ramasser les naufragés éparpillés sur des radeaux dans toutes les directions. Le Bisson [Lire : Bisson-II] et l’Albatros [Lire : Albatros-II], malgré de grandes difficultés, ont recueilli de 16 h. 22 à 17 h. 50 tous les survivants du Dorothy composés de militaires français.
18 h. 15 — L’Ariel nous donne l’ordre de le suivre à Malte.
A 23 h. 30, l’Ariel nous signale : " Fait route sur Malte. Je viens de recevoir une mission spéciale."
Le Dimanche 25 février [1917].
En route sur Malte que nous apercevons à 9 h. 20.
14 h. 30 — Entré dans le port. Amarré au quai de Marin... Débarqué les passagers.
Je me rends à bord de l’Atmah pour rendre compte de la cause de ma relâche et prendre les ordres du commandant supérieur.
Service ordinaire au mouillage.
Signé : Félix Martel. »
14 h. 30 — Entré dans le port. Amarré au quai de Marin... Débarqué les passagers.
Je me rends à bord de l’Atmah pour rendre compte de la cause de ma relâche et prendre les ordres du commandant supérieur.
Service ordinaire au mouillage.
Signé : Félix Martel. »
Dernière modification par Rutilius le sam. nov. 18, 2023 10:10 am, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: DOROTHY — Cargo — John Ness, Sunderland (Royaume-Uni).
Le Bonjour à Tous,
Je tiens juste à donner une restification sur :
■ 125e Régiment d’infanterie territoriale.
― FAVRE Aimé Arthur Jean, né le 23 avril 1877 à Aussillon (Tarn), Soldat de 2e classe, Matricule n° 2.226, classe 1897, n° 558 au recrutement de Narbonne (Jug. Trib. Tunis, 24 juin 1918, transcrit au Vice-consulat de France de Bizerte, le 5 sept. 1918).
L'orthographe du nom de mon Arrière Grand Oncle est en réalité FABRE Aimé qui voici 100 ans perdit la vie à bord du Dorothy à l'âge de 40 ans.
Je tiens juste à donner une restification sur :
■ 125e Régiment d’infanterie territoriale.
― FAVRE Aimé Arthur Jean, né le 23 avril 1877 à Aussillon (Tarn), Soldat de 2e classe, Matricule n° 2.226, classe 1897, n° 558 au recrutement de Narbonne (Jug. Trib. Tunis, 24 juin 1918, transcrit au Vice-consulat de France de Bizerte, le 5 sept. 1918).
L'orthographe du nom de mon Arrière Grand Oncle est en réalité FABRE Aimé qui voici 100 ans perdit la vie à bord du Dorothy à l'âge de 40 ans.
Corbieres
DOROTHY — Cargo — Armement John Ness, Sunderland (1903~1917).
Bonjour à tous,
Dorothy — Cargo — Armement John Ness, Sunderland (1903~1917).
Dorothy — Cargo — Armement John Ness, Sunderland (1903~1917).
Cargo en acier riveté à deux ponts lancé le 16 octobre 1902 par le chantier de North Sands (Sunderland, Royaume-Uni) de la société J.-L. Thomson & Sons, Ltd. pour le compte de l’armement John Ness, également établi à Sunderland ; numéro de chantier : 404. Attaché au port de Sunderland ; № officiel : 114.648 ; signal distinctif : T.S.K.R. (1) (2)
Torpillé et coulé le 24 février 1917, à 13 h. 33 (Heure allemande), par le sous-marin allemand U-35 (Ka-pitänleutnant Lothar von ARNAULD de La PERIÈRE), à 25 milles dans le S.-E. x S. ½ S. de l’île de Pantellaria (Italie), par 36° 21’ N. et 12° 46’ E. (3), alors qu’il allait de Tunis à Salonique (Grèce) avec 36 hommes d’équipage et un détachement de militaires français destinés à l’Armée d’Orient. Six hommes d’équipage et au moins 18 passagers militaires français disparus. Lors de sa perte, bâtiment commandé par le captain A. R. SMILES.
Rescapés recueillis par le Torpedo gunboat H.M.S. Harrier (Lieutenant commander James SAULACK PARKER) et par les des patrouilleurs auxiliaires français Bisson-II (Premier maître de timonerie Félix Jean Marie MARTEL, commandant) et Albatros-II (Premier maître de timonerie Mathurin LE GUIL-LOUX, commandant). (4)
Caractéristiques générales. — Jauge : 2.214 tx jb et 1.629 tx jn. Dimensions : 364.9 x 30.5 x 23.3 ft [ m]. Propulsion : Machine à triple expansion comportant trois cylindres et développant 328 nhp cons-truite par la société J. Dickinson & Sons, Ltd. ; une hélice. Vitesse : ... nd.
_________________________________________________________________________________________
(1) Wear Built Ships →
http://sunderlandships.com/view.php?yea ... el=DOROTHY
(2) Lloyd’s Register of Shipping 1914~1915, Steamers, Lettre D., n° 635, p. num. 302.
(3) uboat.net → http://uboat.net/wwi/ships_hit/1698.html
(4) Patrouilleur auxiliaire Bisson-II, Journal de navigation n° 8/1917 — 5 janvier ~ 26 février 1917 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 52, p. num. 349 à 351.
_________________________________________________________________________________________Torpillé et coulé le 24 février 1917, à 13 h. 33 (Heure allemande), par le sous-marin allemand U-35 (Ka-pitänleutnant Lothar von ARNAULD de La PERIÈRE), à 25 milles dans le S.-E. x S. ½ S. de l’île de Pantellaria (Italie), par 36° 21’ N. et 12° 46’ E. (3), alors qu’il allait de Tunis à Salonique (Grèce) avec 36 hommes d’équipage et un détachement de militaires français destinés à l’Armée d’Orient. Six hommes d’équipage et au moins 18 passagers militaires français disparus. Lors de sa perte, bâtiment commandé par le captain A. R. SMILES.
Rescapés recueillis par le Torpedo gunboat H.M.S. Harrier (Lieutenant commander James SAULACK PARKER) et par les des patrouilleurs auxiliaires français Bisson-II (Premier maître de timonerie Félix Jean Marie MARTEL, commandant) et Albatros-II (Premier maître de timonerie Mathurin LE GUIL-LOUX, commandant). (4)
Caractéristiques générales. — Jauge : 2.214 tx jb et 1.629 tx jn. Dimensions : 364.9 x 30.5 x 23.3 ft [ m]. Propulsion : Machine à triple expansion comportant trois cylindres et développant 328 nhp cons-truite par la société J. Dickinson & Sons, Ltd. ; une hélice. Vitesse : ... nd.
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(1) Wear Built Ships →
http://sunderlandships.com/view.php?yea ... el=DOROTHY
(2) Lloyd’s Register of Shipping 1914~1915, Steamers, Lettre D., n° 635, p. num. 302.
(3) uboat.net → http://uboat.net/wwi/ships_hit/1698.html
(4) Patrouilleur auxiliaire Bisson-II, Journal de navigation n° 8/1917 — 5 janvier ~ 26 février 1917 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 52, p. num. 349 à 351.
Le Torpedo gunboat H.M.S. Harrier
Photographie de E. Hopkins, Southsea Photographer
Photographie de E. Hopkins, Southsea Photographer
- H.M.S. HARRIER – Torpedo gunboat – I – .jpg (83.82 Kio) Consulté 111 fois
Imperial War Museums ~ Réf. Q 75444
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
DOROTHY — Cargo — Armement John Ness, Sunderland (1903~1917).
Bonsoir à tous,
Passagers militaires disparus le 24 février 1917
avec le cargo britannique Dorothy
[Jug. Trib. civ. 1re inst. Tunis, 24 juin 1918, transcrit le 5 sept. 1918
au Vice-consulat de France de Bizerte]
(Liste probablement exhaustive : 18 noms)
Avertissement : Orthographe de certains toponymes incertaine
avec le cargo britannique Dorothy
[Jug. Trib. civ. 1re inst. Tunis, 24 juin 1918, transcrit le 5 sept. 1918
au Vice-consulat de France de Bizerte]
(Liste probablement exhaustive : 18 noms)
Avertissement : Orthographe de certains toponymes incertaine
■ 2e Bataillon territorial de zouaves.
― DÉGEILH Michel Jacques, né le 28 avril 1877 à Ménerville — aujourd’hui Thénia — (Département d’Alger, Algérie). Zouave de 2e classe, matricule n° 2.127 au corps, classe 1897, n° 858 au recru-tement d’Alger
• Fils de Jacques DÉGEILH, né le 10 juin 1822 à Seix (Ariège), décédé le 10 février 1894 à Alger (Algérie) (Registre des actes de décès de la ville d’Alger, Année 1894, f° 85, acte n° 336), cultivateur, et de Marie COLMAN, née vers 1847, blanchisseuse, son épouse (Registre des actes d’état civil de la commune de Ménerville, Année 1877, f° 11, acte n° 24). Était employé de commerce lors des opéra-tions de recrutement de sa classe.
• Époux de Marie Marguerite KOCH, née le 22 décembre 1881 à Nancy (Meurthe-et-Moselle) (Registre des actes de naissance de la ville de Nancy, Année 1881, f° 157, acte n° 1.820), avec laquelle il avait contracté mariage à Alger, le 5 mars 1910 (Ibid.).
Fille de Jean Charles KOCH, né vers 1859, tonnelier, et d’Emma Joséphine LAVEILLE, née vers 1861 (Ibid.).
― MÉDINA Pierre, né le 15 mars 1875 à Saoula (Département d’Alger, Algérie). Zouave de 2e classe, matricule n° 1.287 au corps, classe 1895, n° 1.431 au recrutement d’Alger.
• Fils de Pierre MÉDINA, né le 21 janvier 1851 à Birkadem (Département d’Alger, Algérie) (Registre des actes de naissance de la commune de Birkadem, Année 1851, f° 1, acte n° 1), cultivateur [Propriétaire (1900)], et de Maria Teresa MARTINEZ, née le 1er janvier 1855 à Planes (Province d’Alicante, Espagne), décédée le 12 décembre 1877 à Saoula ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 12 février 1874 (Registre des actes de mariage de la commune de Saoula, Année 1874, f° 1, acte n° 1).
• Époux d’Henriette PERREAU, née le 18 avril 1882 à Draria (Département d’Alger, Algérie), sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage dans ladite commune, le 27 janvier 1900 (Registre des actes de mariage de la commune de Draria, Année 1900, f° 1, acte n° 1).
■ 15e Bataillon territorial de zouaves.
― AUBURTIN Édouard, né le 6 novembre 1877 à Servigny-lès-Raville (Moselle). Zouave de 2e classe, matricule n° 005.006 bis au corps, classe 1897, n° 2.579 au recrutement du Puy-en-Velay, n° 2.579, puis versé dans la subdivision de Metz, matricule n° 659, en exécution des prescriptions de la circulaire mi-nistérielle n° 3.522 2/1 du 13 mars 1920 .
• Fils de Philippe AUBURTIN et de Marie AUBURTIN. Était domestique lors de son engagement.
[Engagé volontaire pour la durée de la guerre le 22 janvier 1916 à la Sous-intendance du Puy-en-Velay au titre du 1er Régiment de marche de zouaves. Passé le 15 mai 1916 au 14e Bataillon territorial de zouaves. Passé le 20 janvier 1917 au 15e Bataillon territorial de zouaves. Dirigé le 23 février 1917 sur le 13e Bataillon terri-torial de zouaves.]
― JAHYNY Alexandre Mathurin, né le 16 janvier 1874 au Cellier (Loire-Inférieure — aujour-d’hui Loire-Atlantique). Zouave de 2e classe, 4e Compagnie, matricule n° 3.313 au corps, classe 1894, n° 533 au recrutement d’Ancenis.
• Fils de Mathieu JAHENY [JAHYNY], né le 7 mai 1829 à Mauves (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique), laboureur, et de Jeanne Françoise RABINEAU, née le 16 novembre 1836 au Cellier, femme de ménage [Cultivatrice (1867)] ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 16 juin 1867 (Registre des actes de mariage de la commune du Cellier, Année 1867, f° 4, acte n° 5 ~ Registre des actes de naissance de la commune du Cellier, Année 1874, f° 2, acte n° 4).
• Époux de Louise DANDIN, née le 26 décembre 1880 à Couffé (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique) (Registre des actes de naissance de la commune du Couffé, Année 1880, f° 6, acte n° 35), cultivatrice, avec laquelle il avait contracté mariage au Cellier, le 19 juin 1900 (Registre des actes de mariage de la commune du Cellier, Année 1900, f° 5, acte n° 8). Était laboureur lors des opérations de recrutement de sa classe.
Fille de Jean DAUDIN, né vers 1849, laboureur, et de Marie EMPROU, née vers 1848, cultivatrice (Ibid.).
■ 5e Groupe d’artillerie de campagne d’Afrique.
― FRADJ ben Mohamed ben M’Hamed, né en 1894 à Arkat (Canton de Souassi, Tunisie). 2e canonnier conducteur, matricule n° 681 au corps, classe 1914, n° inconnu au recrutement de l’Administration centrale de l’armée tunisienne.
― TAHAR ben Sadok ben Cherfi Chérif, né en 1896 à Bou-Arada (Caïdat de Medjez el Bab, Tunisie) et y domicilié. 2e canonnier, matricule au corps et classe inconnus, n° 636 au recrutement de l’Adminis-tration centrale de l’armée tunisienne.
■ 4e Régiment de chasseurs d’Afrique.
― CHÊNET Élie Gabriel, né le 24 mai 1895 à Recoubeau — aujourd’hui Recoubeau-Jansac — (Drôme), domicilié à Aouste-sur-Sye (– d° –). Cavalier de 2e classe, matricule n° 5.277 au corps, classe 1915, n° 130 au recrutement de Montélimar.
• Fils d’Auguste CHÊNET, né le 9 janvier 1864 à Saulce (Drôme), décédé le 1er novembre 1899 à Pontaix (– d° –), poseur à la Compagnie des chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée, et de Marie Louise Eugénie LIOTIER, née le 5 juin 1870 à Chamaloc (– d° –) ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 5 septembre 1891 (Registre des actes de mariage de la commune de Chamaloc, Année 1891, f° 1, acte n° 1 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Recoubeau, Année 1895, f° 2, acte n° 3 ).
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 6 septembre 1921 (J.O. — Cahier spécial — 8 juill. 1922, p. 2.461), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « CHÊNET (Élie-Gabriel), mle 5.277, cavalier : bon et brave cavalier. Mort pour la France, le 24 février 1917. Croix de guerre avec étoile d’argent. »
― CIMETIÈRE Denis Victor Hippolyte, né le 27 janvier 1894 à La Celle-Saint-Cloud (Seine-et-Oise — aujourd’hui Yvelines). Cavalier de 2e classe, matricule n° 3.339 au corps, classe 1914, n° 33 au recru-tement de Versailles.
• Fils naturel d’Hortense Victorine Henriette CENDRIER, née le 21 décembre 1857 à Voulton (Seine-et-Marne), sans profession (Registre des actes d’état civil de la commune de La Celle-Saint-Cloud, Année 1894, f° 4, acte n° 7). Légitimé par le mariage de sa mère avec Victor Louis Casimir CIMETIÈRE, né le 21 février 1859 à Rocquencourt (Seine-et-Oise — aujourd’hui Yvelines), maçon, union célébrée le 2 mai 1896 à La Celle-Saint-Cloud (Registre des actes d’état civil de la commune de La Celle-Saint-Cloud, Année 1896, f° 9, acte n° 12). Était typographe lors des opérations de recrutement de sa classe.
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 6 septembre 1921 (J.O. — Cahier spécial — 8 juill. 1922, p. 2.461), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « CIMETIÈRE (Denys-Victor-Hippolyte), mle 3.339, cavalier : bon cavalier. Mort pour la France, le 24 février 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze. »
[Engagé volontaire pour quatre ans le 19 septembre 1914 à la mairie de Versailles au titre du 4e Régiment de chasseurs d’Afrique. Arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 25, matricule n° 3.339.]
― MARTINETTI Joseph, né le 10 mai 1892 à Prunelli-di-Fiumorbo (Corse — aujourd’hui Haute-Corse) et y domicilié. Brigadier (21 juillet 1916), matricule n° 3.385 au corps, classe 1912, n° 1.589 au recrutement d’Ajaccio.
• Fils de Vincent MARTINETTI, né le 9 juillet 1849 à Prunelli-di-Fiumorbo, « propriétaire », et de Marie Letizia ROMANI, née le 15 octobre 1855 à Ghisonaccia (Corse — aujourd’hui Haute-Corse), sans profes-sion ; époux ayant contracté mariage à à Prunelli-di-Fiumorbo, le 26 avril 1875 (Registre des actes de mariage de la commune de Prunelli-di-Fiumorbo, Année 1875, f° 3, acte n° 4 ~ Registre des actes de naissance de la com-mune de Prunelli-di-Fiumorbo, Année 1892, f° 4, acte n° 11 ). Était étudiant lors des opérations de recrutement de sa classe.
― MASSÉRAN Gervais Sébastien, né le 9 février 1894 à Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault), au lieu-dit « Plan de la Borie », domicilié en dernier lieu à Charenton-le-Pont (Seine — aujourd’hui Val-de-Marne). Cavalier de 2e classe, matricule n° 8.069 au corps, classe 1914, n° 5.238 au recrutement de la Seine, 4e Bureau.
• Fils de Guillaume Joseph Gaston MASSÉRAN, né le 6 janvier 1867 à Villeneuve-lès-Maguelone, « propriétaire agriculteur », et de Marie Valentine MASSÉRAN, née le 30 décembre 1870 à Villeneuve-lès-Maguelone, sans profession ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 24 octobre 1890 (Registre des actes de mariage de la commune de Villeneuve-lès-Maguelone, Année 1890, f° 7, acte n° 11 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Villeneuve-lès-Maguelone, Année 1894, f° 2 , acte n° 3).
[Engagé volontaire pour trois ans le 19 mars 1913 à la mairie de Charenton-le-Pont au titre du 7e Régiment de cuirassiers ; arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 26, matricule n° 2.018. Passé le 1er août 1915 au 10e Régiment de cuirassiers, matricule n° 3.198. Passé le 15 septembre 1916 au 4e Régiment de chasseurs d’Afrique.]
― OURNAC Prosper, né le 7 juillet 1891 à Carcassonne (Aude), au 1, place Iéna, et domicilié dans ladite ville. Cavalier de 1re classe, matricule n° 2.042 au corps, classe 1911, n° 565 au recrutement de Carcassonne.
• Fils de Julien OURNAC, né le 14 février 1856 à Carcassonne, « tourneur en chaises », et d’Anne ROUCH, née le 3 octobre 1860 à Carcassonne, sans profession ; époux ayant contracté mariage dans ladite ville, le 13 janvier 1879 (Registre des actes de mariage de la ville de Carcassonne, Année 1879, f° 10, acte n° 8 ~ Registre des actes de naissance de la ville de Carcassonne, Année 1891, f° 90, acte n° 354).
[Incorporé au 4e Régiment de chasseurs d’Afrique à compter du 6 octobre 1912 ; arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 8, matricule n° 2.042. Élevé à la 1re classe de son grade le 4 octobre 1913.]
― ROCHE Martial, né le 25 juillet 1892 à Château-Chervix (Haute-Vienne), au lieu-dit « La Chauvière ». Maréchal des logis chef, matricule n° 4.587 au corps, classe 1912, n° 92 au recrutement de Brive-la-Gaillarde.
• Fils de Martial ROCHE, né le 4 février 1867 à Saint-Priest-Ligoure (Haute-Vienne), village de Viole-zeix, cultivateur, et de Jeanne PRADEAU, née le 16 janvier 1871 à Château-Chervix, village de Rilhac, cultivatrice ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 22 juin 1889 (Registre des actes de mariage de la commune de Château-Chervix, Année 1889, f° 7, acte n° 12 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Château-Chervix, Année 1892, f° 12, acte n° 42). Était cultivateur lors des opérations de recrutement de sa classe.
[Engagé volontaire pour trois ans le 28 mars 1913 à la mairie de Saint-Germain-les-Belles (Haute-Vienne) au titre du 1er Régiment de chasseurs d’Afrique, à Blida (Algérie) ; arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 7 avril 1913. Passé le 13 avril 1913 au 5e Régiment de chasseurs d’Afrique, matricule n° 2.443. Passé le 14 novembre 1913 au 1er Régiment de chasseurs d’Afrique, matricule n° 2.923. Passé le 31 juillet 1916 au 4e Ré-giment de chasseurs d’Afrique, matricule n° 4.587.
Promu brigadier le 6 juin 1915, maréchal des logis le 25 octobre 1915 et maréchal des logis chef le 11 février 1916.]
□ Médaille coloniale avec agrafe « Maroc ».
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 6 septembre 1921 (J.O. — Cahier spécial — 8 juill. 1922, p. 2.461), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « ROCHE (Martial), mle 4.587, maréchal des logis : bon et brave sous-officier. Mort pour la France, le 24 février 1917. Croix de guerre avec étoile de vermeil. »
― ROUJOLS Marcel, né le 10 février 1895 à Lauzerte (Tarn-et-Garonne), faubourg d’Auriac. Chasseur de 2e classe, matricule n° 5.276 au corps, classe 1915, n° 701 au recrutement de Montauban.
• Fils de Pierre ROUJOLS, né le 14 mai 1861 à Molières (Tarn-et-Garonne), ouvrier menuisier, et de Catherine Antoinette POUMARÈDE, née le 6 août 1865 à Lauzerte, faubourg d’Au-riac ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 23 avril 1887 (Registre des actes de mariage de la commune de Lauzerte, Année 1887, f° 7, acte n° 9 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Lauzerte, Année 1895, f° 3, acte n° 7). Était cultivateur lors des opérations de recrutement de sa classe.
[Engagé volontaire pour trois ans le 3 novembre 1913 à la mairie de Montauban au titre du 1er Régiment de chasseurs d’Afrique ; arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 18 novembre 1913, matricule n° 2.946. Passé le 22 novembre 1916 au 4e Régiment de chasseurs d’Afrique, matricule n° 5.276.]
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 6 septembre 1921 (J.O. — Cahier spécial — 8 juill. 1922, p. 2.461), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « ROUJOLS (Marcel), mle 5.276, cavalier : bon et brave cavalier. Mort pour la France, le 24 février 1917. Croix de guerre avec étoile d’argent. »
■ 2e Régiment de marche d’Afrique.
― BRÉCHET Fleurant Raoul, né le 27 décembre 1891 à Paris (Ve Arr.), au 7, rue Censier, domicilié en dernier lieu à Saint-Benin-des-Bois (Nièvre). Soldat de 1re classe, matricule n° 10.902 au corps, classe 1911, n° 1.289 au recrutement de Nevers.
• Fils de Frédéric BRÉCHET, né le 16 mars 1855 à Sainte-Sévère (Charente), domestique, et de Caro-line Amalie Élise LANGLOTZ, née le 6 avril 1854 à Cobourg (Duché de Saxe-Cobourg-Gotha — aujour-d’hui Land de Bavière, Allemagne), sans profession [Domestique (1884)] ; époux ayant contracté ma-riage à Paris (Ve Arr.), le 26 août 1884 (Registre des actes de mariage du Ve arrondissement de la ville de Paris, Année 1884, f° 63, acte n° 664 ~ Registre des actes de naissance du Ve arrondissement de la ville de Paris, Année 1891, f° 98, acte n° 2.990).
Ressortissante allemande. Fille de Georges Antoine LANGLOTZ et de Marguerite Élisabeth WÖHNER.
[Incorporé à compter du 1er octobre 1912 au 10e Régiment d’infanterie ; arrivé au corps et soldat de 2e classe ledit jour, matricule n° 3.311. Passé le 23 septembre 1913 au 3e Régiment de marche de zouaves ; arrivé au corps et zouave de 2e classe le 27 septembre 1913, matricule n° 10.902. Blessé par arme à feu les 24 septembre 1914 et 26 janvier 1915.]
□ Cité le 2 juillet 1915 à l’ordre du régiment dans les termes suivants (Ordre n° 172) : « Depuis le début de la campagne, s’est bien comporté. Déjà blessé deux fois, s’est fait remarquer à l’assaut des tranchées enne-mies, le 22 juin, et seul a été en avant, assez loin de notre ligne pendant la nuit, enlever les cadavres des nôtres et de l’ennemi tombés au cours des combats précédents. »
□ Cité le 27 octobre 1915 à l’ordre du régiment dans les termes suivants (Ordre n° 222) : « A combattu à coups de grenades avec un sang-froid remarquable, dans une partie de tranchée dont les allemands voulaient s’emparer à tout prix, et a réussi à garder cette position le 6 octobre. »
― LAURENT André Clément, né le 7 août 1884 à Blad-Touaria (Département d’Oran, Algérie). Soldat de 2e classe, matricule n° 017.380 au corps, classe 1904, n° 1.601 au recrutement d’Oran.
• Fils de Raymond LAURENT, né le 2 juillet 1844 au Bosc (Ariège), cultivateur, et de Marie Louise GEOFFROY, née le 3 décembre 1862 à Bou-Tlélis, section de commune de Misserghin (Département d’Oran, Algérie) (Registre des actes de naissance de la section de commune de Bou-Tlélis, Année 1862, f° 6, acte n° 12), domestique ; époux ayant contracté mariage à Oran, le 12 avril 1882 (Registre des actes de mariage de la ville d’Oran, Année 1882, f° x, acte n° 93).
■ 2e bis Régiment de marche de zouaves « Orient ».
― DRAGACCI Théodore, né le 31 octobre 1884 à Sidi-Mérouan — aujourd’hui Sidi-Mérouane — (Départe-ment de Constantine, Algérie). Sergent fourrier (5 juillet 1915), matricule n° 016.300 au corps, classe 1904, n° 1.116 au recrutement de Constantine.
• Fils d’Étienne DRAGACCI, né le 27 janvier 1857 à Cargèse (Corse — aujourd’hui Corse-du-Sud), fac-teur rural, et d’Anne ALESSANDRI, née le 12 février 1857 à Piana (– d° –), sans profession ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 22 septembre 1881 (Registre des actes de mariage de la commune de Piana, Année 1881, f° 8, acte n° 6 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Sidi-Mérouan, Année 1884, f° 4, acte n° 20). Était employé des Postes & Télégraphes lors des opéra-tions de recrutement de sa classe.
■ 125e Régiment d’infanterie territoriale.
― FABRE Aimé Arthur Jean, né le 23 avril 1877 à Aussillon (Tarn). Soldat de 2e classe, matricule n° 2.226 au corps, classe 1897, n° 558 au recrutement de Narbonne.
• Fils d’Alphonse Étienne FABRE, né le 11 décembre 1835 à Aussillon, « tailleur d’habits », et de Louise Jeanne NÉGRÉ, née le 31 mars 1839 à Aiguefonde (Tarn), tailleuse [Couturière (1864)] ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 20 janvier 1864 (Registre des actes de mariage de la commune d’Aussillon, Année 1864, f° 1, acte n° 1 ~ Registre des actes de naissance de la commune d’Aussillon, Année 1877, f° x, acte n° 15). Était chemisier-tailleur lors des opérations de recrutement de sa classe.
• Époux d’Alice LOURDA, née le ... à ... (...), avec laquelle il avait contracté mariage à ... (Hérault), le 28 novembre 1902.
□ Par décret du Président de la République en date du 10 février 1917 (J.O. 13 févr. 1917, p. 1.169), lui fut acquis le droit à l’obtention de la Médaille coloniale avec agrafe « Tunisie » pour avoir pris part aux opéra-tions et servi entre le 1er septembre 1915 et le 1er août 1916 dans le territoire des cercles, annexes et postes de Medenine, Tartaouine, Dehibat, Ben-Gardane et Zarzis.
[Embarqué sur le cargo Dorothy à destination de Salonique après s’être porté volontaire pour l’Armée d’Orient.]
■ 2e Régiment du génie.
― BRÉVI Christian Joseph, né le 5 mars 1873 à Mustapha, section de la ville d’Alger (Département d’Alger, Algérie). Sapeur, matricule n° 01.922 au corps, classe 1893, n° 662 au recrutement d’Alger.
• Fils de Joseph BRÉVI, né le 22 février 1835 à Westhausen — aujourd’hui Westhouse-Marmoutier — (Bas-Rhin), employé d’une compagnie de chemin de fer, et d’Elisabetha BERLEBACH, née le 14 juillet 1845 à Winkel (Allemagne), « ménagère » ; époux ayant contracté mariage à Mustapha, le 2 avril 1870 (Registre des actes de mariage de la section de Mustapha, Année 1870, f° 14, acte n° 14 ~ Registre des actes de naissance de la section de Mustapha, Année 1873, f° 17, acte n° 61). Était serrurier lors des opérations de recrutement de sa classe.
― DÉGEILH Michel Jacques, né le 28 avril 1877 à Ménerville — aujourd’hui Thénia — (Département d’Alger, Algérie). Zouave de 2e classe, matricule n° 2.127 au corps, classe 1897, n° 858 au recru-tement d’Alger
• Fils de Jacques DÉGEILH, né le 10 juin 1822 à Seix (Ariège), décédé le 10 février 1894 à Alger (Algérie) (Registre des actes de décès de la ville d’Alger, Année 1894, f° 85, acte n° 336), cultivateur, et de Marie COLMAN, née vers 1847, blanchisseuse, son épouse (Registre des actes d’état civil de la commune de Ménerville, Année 1877, f° 11, acte n° 24). Était employé de commerce lors des opéra-tions de recrutement de sa classe.
• Époux de Marie Marguerite KOCH, née le 22 décembre 1881 à Nancy (Meurthe-et-Moselle) (Registre des actes de naissance de la ville de Nancy, Année 1881, f° 157, acte n° 1.820), avec laquelle il avait contracté mariage à Alger, le 5 mars 1910 (Ibid.).
Fille de Jean Charles KOCH, né vers 1859, tonnelier, et d’Emma Joséphine LAVEILLE, née vers 1861 (Ibid.).
― MÉDINA Pierre, né le 15 mars 1875 à Saoula (Département d’Alger, Algérie). Zouave de 2e classe, matricule n° 1.287 au corps, classe 1895, n° 1.431 au recrutement d’Alger.
• Fils de Pierre MÉDINA, né le 21 janvier 1851 à Birkadem (Département d’Alger, Algérie) (Registre des actes de naissance de la commune de Birkadem, Année 1851, f° 1, acte n° 1), cultivateur [Propriétaire (1900)], et de Maria Teresa MARTINEZ, née le 1er janvier 1855 à Planes (Province d’Alicante, Espagne), décédée le 12 décembre 1877 à Saoula ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 12 février 1874 (Registre des actes de mariage de la commune de Saoula, Année 1874, f° 1, acte n° 1).
• Époux d’Henriette PERREAU, née le 18 avril 1882 à Draria (Département d’Alger, Algérie), sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage dans ladite commune, le 27 janvier 1900 (Registre des actes de mariage de la commune de Draria, Année 1900, f° 1, acte n° 1).
■ 15e Bataillon territorial de zouaves.
― AUBURTIN Édouard, né le 6 novembre 1877 à Servigny-lès-Raville (Moselle). Zouave de 2e classe, matricule n° 005.006 bis au corps, classe 1897, n° 2.579 au recrutement du Puy-en-Velay, n° 2.579, puis versé dans la subdivision de Metz, matricule n° 659, en exécution des prescriptions de la circulaire mi-nistérielle n° 3.522 2/1 du 13 mars 1920 .
• Fils de Philippe AUBURTIN et de Marie AUBURTIN. Était domestique lors de son engagement.
[Engagé volontaire pour la durée de la guerre le 22 janvier 1916 à la Sous-intendance du Puy-en-Velay au titre du 1er Régiment de marche de zouaves. Passé le 15 mai 1916 au 14e Bataillon territorial de zouaves. Passé le 20 janvier 1917 au 15e Bataillon territorial de zouaves. Dirigé le 23 février 1917 sur le 13e Bataillon terri-torial de zouaves.]
― JAHYNY Alexandre Mathurin, né le 16 janvier 1874 au Cellier (Loire-Inférieure — aujour-d’hui Loire-Atlantique). Zouave de 2e classe, 4e Compagnie, matricule n° 3.313 au corps, classe 1894, n° 533 au recrutement d’Ancenis.
• Fils de Mathieu JAHENY [JAHYNY], né le 7 mai 1829 à Mauves (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique), laboureur, et de Jeanne Françoise RABINEAU, née le 16 novembre 1836 au Cellier, femme de ménage [Cultivatrice (1867)] ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 16 juin 1867 (Registre des actes de mariage de la commune du Cellier, Année 1867, f° 4, acte n° 5 ~ Registre des actes de naissance de la commune du Cellier, Année 1874, f° 2, acte n° 4).
• Époux de Louise DANDIN, née le 26 décembre 1880 à Couffé (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique) (Registre des actes de naissance de la commune du Couffé, Année 1880, f° 6, acte n° 35), cultivatrice, avec laquelle il avait contracté mariage au Cellier, le 19 juin 1900 (Registre des actes de mariage de la commune du Cellier, Année 1900, f° 5, acte n° 8). Était laboureur lors des opérations de recrutement de sa classe.
Fille de Jean DAUDIN, né vers 1849, laboureur, et de Marie EMPROU, née vers 1848, cultivatrice (Ibid.).
■ 5e Groupe d’artillerie de campagne d’Afrique.
― FRADJ ben Mohamed ben M’Hamed, né en 1894 à Arkat (Canton de Souassi, Tunisie). 2e canonnier conducteur, matricule n° 681 au corps, classe 1914, n° inconnu au recrutement de l’Administration centrale de l’armée tunisienne.
― TAHAR ben Sadok ben Cherfi Chérif, né en 1896 à Bou-Arada (Caïdat de Medjez el Bab, Tunisie) et y domicilié. 2e canonnier, matricule au corps et classe inconnus, n° 636 au recrutement de l’Adminis-tration centrale de l’armée tunisienne.
■ 4e Régiment de chasseurs d’Afrique.
― CHÊNET Élie Gabriel, né le 24 mai 1895 à Recoubeau — aujourd’hui Recoubeau-Jansac — (Drôme), domicilié à Aouste-sur-Sye (– d° –). Cavalier de 2e classe, matricule n° 5.277 au corps, classe 1915, n° 130 au recrutement de Montélimar.
• Fils d’Auguste CHÊNET, né le 9 janvier 1864 à Saulce (Drôme), décédé le 1er novembre 1899 à Pontaix (– d° –), poseur à la Compagnie des chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée, et de Marie Louise Eugénie LIOTIER, née le 5 juin 1870 à Chamaloc (– d° –) ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 5 septembre 1891 (Registre des actes de mariage de la commune de Chamaloc, Année 1891, f° 1, acte n° 1 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Recoubeau, Année 1895, f° 2, acte n° 3 ).
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 6 septembre 1921 (J.O. — Cahier spécial — 8 juill. 1922, p. 2.461), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « CHÊNET (Élie-Gabriel), mle 5.277, cavalier : bon et brave cavalier. Mort pour la France, le 24 février 1917. Croix de guerre avec étoile d’argent. »
― CIMETIÈRE Denis Victor Hippolyte, né le 27 janvier 1894 à La Celle-Saint-Cloud (Seine-et-Oise — aujourd’hui Yvelines). Cavalier de 2e classe, matricule n° 3.339 au corps, classe 1914, n° 33 au recru-tement de Versailles.
• Fils naturel d’Hortense Victorine Henriette CENDRIER, née le 21 décembre 1857 à Voulton (Seine-et-Marne), sans profession (Registre des actes d’état civil de la commune de La Celle-Saint-Cloud, Année 1894, f° 4, acte n° 7). Légitimé par le mariage de sa mère avec Victor Louis Casimir CIMETIÈRE, né le 21 février 1859 à Rocquencourt (Seine-et-Oise — aujourd’hui Yvelines), maçon, union célébrée le 2 mai 1896 à La Celle-Saint-Cloud (Registre des actes d’état civil de la commune de La Celle-Saint-Cloud, Année 1896, f° 9, acte n° 12). Était typographe lors des opérations de recrutement de sa classe.
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 6 septembre 1921 (J.O. — Cahier spécial — 8 juill. 1922, p. 2.461), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « CIMETIÈRE (Denys-Victor-Hippolyte), mle 3.339, cavalier : bon cavalier. Mort pour la France, le 24 février 1917. Croix de guerre avec étoile de bronze. »
[Engagé volontaire pour quatre ans le 19 septembre 1914 à la mairie de Versailles au titre du 4e Régiment de chasseurs d’Afrique. Arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 25, matricule n° 3.339.]
― MARTINETTI Joseph, né le 10 mai 1892 à Prunelli-di-Fiumorbo (Corse — aujourd’hui Haute-Corse) et y domicilié. Brigadier (21 juillet 1916), matricule n° 3.385 au corps, classe 1912, n° 1.589 au recrutement d’Ajaccio.
• Fils de Vincent MARTINETTI, né le 9 juillet 1849 à Prunelli-di-Fiumorbo, « propriétaire », et de Marie Letizia ROMANI, née le 15 octobre 1855 à Ghisonaccia (Corse — aujourd’hui Haute-Corse), sans profes-sion ; époux ayant contracté mariage à à Prunelli-di-Fiumorbo, le 26 avril 1875 (Registre des actes de mariage de la commune de Prunelli-di-Fiumorbo, Année 1875, f° 3, acte n° 4 ~ Registre des actes de naissance de la com-mune de Prunelli-di-Fiumorbo, Année 1892, f° 4, acte n° 11 ). Était étudiant lors des opérations de recrutement de sa classe.
― MASSÉRAN Gervais Sébastien, né le 9 février 1894 à Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault), au lieu-dit « Plan de la Borie », domicilié en dernier lieu à Charenton-le-Pont (Seine — aujourd’hui Val-de-Marne). Cavalier de 2e classe, matricule n° 8.069 au corps, classe 1914, n° 5.238 au recrutement de la Seine, 4e Bureau.
• Fils de Guillaume Joseph Gaston MASSÉRAN, né le 6 janvier 1867 à Villeneuve-lès-Maguelone, « propriétaire agriculteur », et de Marie Valentine MASSÉRAN, née le 30 décembre 1870 à Villeneuve-lès-Maguelone, sans profession ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 24 octobre 1890 (Registre des actes de mariage de la commune de Villeneuve-lès-Maguelone, Année 1890, f° 7, acte n° 11 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Villeneuve-lès-Maguelone, Année 1894, f° 2 , acte n° 3).
[Engagé volontaire pour trois ans le 19 mars 1913 à la mairie de Charenton-le-Pont au titre du 7e Régiment de cuirassiers ; arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 26, matricule n° 2.018. Passé le 1er août 1915 au 10e Régiment de cuirassiers, matricule n° 3.198. Passé le 15 septembre 1916 au 4e Régiment de chasseurs d’Afrique.]
― OURNAC Prosper, né le 7 juillet 1891 à Carcassonne (Aude), au 1, place Iéna, et domicilié dans ladite ville. Cavalier de 1re classe, matricule n° 2.042 au corps, classe 1911, n° 565 au recrutement de Carcassonne.
• Fils de Julien OURNAC, né le 14 février 1856 à Carcassonne, « tourneur en chaises », et d’Anne ROUCH, née le 3 octobre 1860 à Carcassonne, sans profession ; époux ayant contracté mariage dans ladite ville, le 13 janvier 1879 (Registre des actes de mariage de la ville de Carcassonne, Année 1879, f° 10, acte n° 8 ~ Registre des actes de naissance de la ville de Carcassonne, Année 1891, f° 90, acte n° 354).
[Incorporé au 4e Régiment de chasseurs d’Afrique à compter du 6 octobre 1912 ; arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 8, matricule n° 2.042. Élevé à la 1re classe de son grade le 4 octobre 1913.]
― ROCHE Martial, né le 25 juillet 1892 à Château-Chervix (Haute-Vienne), au lieu-dit « La Chauvière ». Maréchal des logis chef, matricule n° 4.587 au corps, classe 1912, n° 92 au recrutement de Brive-la-Gaillarde.
• Fils de Martial ROCHE, né le 4 février 1867 à Saint-Priest-Ligoure (Haute-Vienne), village de Viole-zeix, cultivateur, et de Jeanne PRADEAU, née le 16 janvier 1871 à Château-Chervix, village de Rilhac, cultivatrice ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 22 juin 1889 (Registre des actes de mariage de la commune de Château-Chervix, Année 1889, f° 7, acte n° 12 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Château-Chervix, Année 1892, f° 12, acte n° 42). Était cultivateur lors des opérations de recrutement de sa classe.
[Engagé volontaire pour trois ans le 28 mars 1913 à la mairie de Saint-Germain-les-Belles (Haute-Vienne) au titre du 1er Régiment de chasseurs d’Afrique, à Blida (Algérie) ; arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 7 avril 1913. Passé le 13 avril 1913 au 5e Régiment de chasseurs d’Afrique, matricule n° 2.443. Passé le 14 novembre 1913 au 1er Régiment de chasseurs d’Afrique, matricule n° 2.923. Passé le 31 juillet 1916 au 4e Ré-giment de chasseurs d’Afrique, matricule n° 4.587.
Promu brigadier le 6 juin 1915, maréchal des logis le 25 octobre 1915 et maréchal des logis chef le 11 février 1916.]
□ Médaille coloniale avec agrafe « Maroc ».
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 6 septembre 1921 (J.O. — Cahier spécial — 8 juill. 1922, p. 2.461), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « ROCHE (Martial), mle 4.587, maréchal des logis : bon et brave sous-officier. Mort pour la France, le 24 février 1917. Croix de guerre avec étoile de vermeil. »
― ROUJOLS Marcel, né le 10 février 1895 à Lauzerte (Tarn-et-Garonne), faubourg d’Auriac. Chasseur de 2e classe, matricule n° 5.276 au corps, classe 1915, n° 701 au recrutement de Montauban.
• Fils de Pierre ROUJOLS, né le 14 mai 1861 à Molières (Tarn-et-Garonne), ouvrier menuisier, et de Catherine Antoinette POUMARÈDE, née le 6 août 1865 à Lauzerte, faubourg d’Au-riac ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 23 avril 1887 (Registre des actes de mariage de la commune de Lauzerte, Année 1887, f° 7, acte n° 9 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Lauzerte, Année 1895, f° 3, acte n° 7). Était cultivateur lors des opérations de recrutement de sa classe.
[Engagé volontaire pour trois ans le 3 novembre 1913 à la mairie de Montauban au titre du 1er Régiment de chasseurs d’Afrique ; arrivé au corps et cavalier de 2e classe le 18 novembre 1913, matricule n° 2.946. Passé le 22 novembre 1916 au 4e Régiment de chasseurs d’Afrique, matricule n° 5.276.]
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 6 septembre 1921 (J.O. — Cahier spécial — 8 juill. 1922, p. 2.461), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants : « ROUJOLS (Marcel), mle 5.276, cavalier : bon et brave cavalier. Mort pour la France, le 24 février 1917. Croix de guerre avec étoile d’argent. »
■ 2e Régiment de marche d’Afrique.
― BRÉCHET Fleurant Raoul, né le 27 décembre 1891 à Paris (Ve Arr.), au 7, rue Censier, domicilié en dernier lieu à Saint-Benin-des-Bois (Nièvre). Soldat de 1re classe, matricule n° 10.902 au corps, classe 1911, n° 1.289 au recrutement de Nevers.
• Fils de Frédéric BRÉCHET, né le 16 mars 1855 à Sainte-Sévère (Charente), domestique, et de Caro-line Amalie Élise LANGLOTZ, née le 6 avril 1854 à Cobourg (Duché de Saxe-Cobourg-Gotha — aujour-d’hui Land de Bavière, Allemagne), sans profession [Domestique (1884)] ; époux ayant contracté ma-riage à Paris (Ve Arr.), le 26 août 1884 (Registre des actes de mariage du Ve arrondissement de la ville de Paris, Année 1884, f° 63, acte n° 664 ~ Registre des actes de naissance du Ve arrondissement de la ville de Paris, Année 1891, f° 98, acte n° 2.990).
Ressortissante allemande. Fille de Georges Antoine LANGLOTZ et de Marguerite Élisabeth WÖHNER.
[Incorporé à compter du 1er octobre 1912 au 10e Régiment d’infanterie ; arrivé au corps et soldat de 2e classe ledit jour, matricule n° 3.311. Passé le 23 septembre 1913 au 3e Régiment de marche de zouaves ; arrivé au corps et zouave de 2e classe le 27 septembre 1913, matricule n° 10.902. Blessé par arme à feu les 24 septembre 1914 et 26 janvier 1915.]
□ Cité le 2 juillet 1915 à l’ordre du régiment dans les termes suivants (Ordre n° 172) : « Depuis le début de la campagne, s’est bien comporté. Déjà blessé deux fois, s’est fait remarquer à l’assaut des tranchées enne-mies, le 22 juin, et seul a été en avant, assez loin de notre ligne pendant la nuit, enlever les cadavres des nôtres et de l’ennemi tombés au cours des combats précédents. »
□ Cité le 27 octobre 1915 à l’ordre du régiment dans les termes suivants (Ordre n° 222) : « A combattu à coups de grenades avec un sang-froid remarquable, dans une partie de tranchée dont les allemands voulaient s’emparer à tout prix, et a réussi à garder cette position le 6 octobre. »
― LAURENT André Clément, né le 7 août 1884 à Blad-Touaria (Département d’Oran, Algérie). Soldat de 2e classe, matricule n° 017.380 au corps, classe 1904, n° 1.601 au recrutement d’Oran.
• Fils de Raymond LAURENT, né le 2 juillet 1844 au Bosc (Ariège), cultivateur, et de Marie Louise GEOFFROY, née le 3 décembre 1862 à Bou-Tlélis, section de commune de Misserghin (Département d’Oran, Algérie) (Registre des actes de naissance de la section de commune de Bou-Tlélis, Année 1862, f° 6, acte n° 12), domestique ; époux ayant contracté mariage à Oran, le 12 avril 1882 (Registre des actes de mariage de la ville d’Oran, Année 1882, f° x, acte n° 93).
■ 2e bis Régiment de marche de zouaves « Orient ».
― DRAGACCI Théodore, né le 31 octobre 1884 à Sidi-Mérouan — aujourd’hui Sidi-Mérouane — (Départe-ment de Constantine, Algérie). Sergent fourrier (5 juillet 1915), matricule n° 016.300 au corps, classe 1904, n° 1.116 au recrutement de Constantine.
• Fils d’Étienne DRAGACCI, né le 27 janvier 1857 à Cargèse (Corse — aujourd’hui Corse-du-Sud), fac-teur rural, et d’Anne ALESSANDRI, née le 12 février 1857 à Piana (– d° –), sans profession ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 22 septembre 1881 (Registre des actes de mariage de la commune de Piana, Année 1881, f° 8, acte n° 6 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Sidi-Mérouan, Année 1884, f° 4, acte n° 20). Était employé des Postes & Télégraphes lors des opéra-tions de recrutement de sa classe.
■ 125e Régiment d’infanterie territoriale.
― FABRE Aimé Arthur Jean, né le 23 avril 1877 à Aussillon (Tarn). Soldat de 2e classe, matricule n° 2.226 au corps, classe 1897, n° 558 au recrutement de Narbonne.
• Fils d’Alphonse Étienne FABRE, né le 11 décembre 1835 à Aussillon, « tailleur d’habits », et de Louise Jeanne NÉGRÉ, née le 31 mars 1839 à Aiguefonde (Tarn), tailleuse [Couturière (1864)] ; époux ayant contracté mariage dans ladite commune, le 20 janvier 1864 (Registre des actes de mariage de la commune d’Aussillon, Année 1864, f° 1, acte n° 1 ~ Registre des actes de naissance de la commune d’Aussillon, Année 1877, f° x, acte n° 15). Était chemisier-tailleur lors des opérations de recrutement de sa classe.
• Époux d’Alice LOURDA, née le ... à ... (...), avec laquelle il avait contracté mariage à ... (Hérault), le 28 novembre 1902.
□ Par décret du Président de la République en date du 10 février 1917 (J.O. 13 févr. 1917, p. 1.169), lui fut acquis le droit à l’obtention de la Médaille coloniale avec agrafe « Tunisie » pour avoir pris part aux opéra-tions et servi entre le 1er septembre 1915 et le 1er août 1916 dans le territoire des cercles, annexes et postes de Medenine, Tartaouine, Dehibat, Ben-Gardane et Zarzis.
[Embarqué sur le cargo Dorothy à destination de Salonique après s’être porté volontaire pour l’Armée d’Orient.]
■ 2e Régiment du génie.
― BRÉVI Christian Joseph, né le 5 mars 1873 à Mustapha, section de la ville d’Alger (Département d’Alger, Algérie). Sapeur, matricule n° 01.922 au corps, classe 1893, n° 662 au recrutement d’Alger.
• Fils de Joseph BRÉVI, né le 22 février 1835 à Westhausen — aujourd’hui Westhouse-Marmoutier — (Bas-Rhin), employé d’une compagnie de chemin de fer, et d’Elisabetha BERLEBACH, née le 14 juillet 1845 à Winkel (Allemagne), « ménagère » ; époux ayant contracté mariage à Mustapha, le 2 avril 1870 (Registre des actes de mariage de la section de Mustapha, Année 1870, f° 14, acte n° 14 ~ Registre des actes de naissance de la section de Mustapha, Année 1873, f° 17, acte n° 61). Était serrurier lors des opérations de recrutement de sa classe.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.