SEPTEMBRE 1916 (suite)
L'artillerie allemande recule ses batteries, à mesure de notre progression, mais maintient un feu violent. Le 16 septembre, le Maréchal des logis GAUTHIER, de la 4e batterie, qui s'était distingué dans tous les services de liaison et spécialement à Verdun, est tué dans la batterie. Le 23, la 9e batterie subit un tir à démolir de 280 ; un obus à retard éclate dans un abri profond où se sont réfugiés 9 servants de la batterie, un téléphoniste du 2e groupe, plus un sous-officier et le sous-lieutenant MILLISCHER qui y sont entrés les derniers. Ces deux-ci peuvent sortir et, bien qu'à moitié asphyxiés par l'oxyde de carbone, ils essaient, mais en vain, de dégager les autres.
Le brancardier CHOQUENET, de la 9e batterie, veut, à son tour, descendre dans l'abri, il ne peut y réussir, il faut l'emporter, sinon il est perdu ; ce n'est que le lendemain qu'on peut dégager les corps des dix tués. En outre, il y avait eu des blessés, un canon et deux casemates démolis.
Extrait de l'Historique du 42e régiment d'artillerie de campagne : du 31 juillet 1914 au 11 novembre 1918 (page 65)Le brancardier CHOQUENET, de la 9e batterie, veut, à son tour, descendre dans l'abri, il ne peut y réussir, il faut l'emporter, sinon il est perdu ; ce n'est que le lendemain qu'on peut dégager les corps des dix tués. En outre, il y avait eu des blessés, un canon et deux casemates démolis.
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42e régiment d'artillerie de campagne
9e batterie : J.M.O.
J.M.O. - 3 juin-31 décembre 1916 - 26 N 979/26
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BERRY Marcel Ernest
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 20 juillet 1894 à Montjavoult (Oise)
2e canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1914 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 591
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Delincourt (Oise) le 29 décembre 1916
Marcel Ernest BERRY, cultivateur, obtient le 16 mai 1914 du général Cdt la sucdivision de Beauvais un sursis prévu par l'article 20 de la loi du 21 mars 1905.
Le jeune homme mesure 1 mètre 79, a les cheveux châtain foncé, les yeux bleu jaune, le front moyen, le nez rectiligne. Il sait lire et écrire.
Il est incorporé à compter du 31 août 1914 au 42e régiment d'artillerie. Il arrive corps le 8 septembre suivant et canonnier servant de 2e classe. Le n° matricule au corps 4719 lui est attribué. Venu du dépôt le 21 avril 1915.
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Belloy-en-Santerre.
Un secours de cent cinquante francs a été accordé le 24 janvier 1918 à M. BERRY (père) demeurant à Delincourt.
Sources : archives départementales de l'Oise - cote RP 1020
BERRY Marcel Ernest né en 1894 - classe 1914 - Bureau de Rt de Beauvais N° matricule 591
CHARY Charles Albert Arthur
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 au combat d'Assevillers (Somme)
Né le 9 septembre 1893 à Liancourt (Oise)
1er canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 1115
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Liancourt (Oise) le 31 décembre 1916
Journal officiel du 6 septembre 1920 page 13057
CHARY (Charles-Albert), matricule 3483, premier canonnier : servant téléphoniste d'un grand courage, tué glorieusement, le 22 septembre 1916, par un obus de gros calibre, en allant réparer une ligne téléphonique devant Assevillers. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Cet ébéniste de formation mesure 1 mètre 65. Il sait lire et écrire. Il a les cheveux châtain noir, les yeux marron foncé, le front moyen, le nez rectiligne.
Il est incorporé à compter du 27 novembre 1913 au 42e régiment d'artillerie et 2e canonnier servant le même jour.. Il y arrive le même jour et se voit attribuer le n° matricule au corps : 3483.
Tué à l'ennemi au combat d'Assevillers (Somme), le 22 septembre 1916.
Un secours de cent cinquante francs a été alloué le 2 décembre 1916 à M. CHARY Léon (père) demeurant 88, rue Pasteur à Liancourt.
Sources : archives départementales de l'Oise - cote RP 1010
CHARY Charles Albert Arthur né en 1893 - classe 1913 - Bureau de Rt de Beauvais - N° mat : 1115
CLOTAS Florencio Luis
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 au combat d'Assevillers (Somme)
Né le 31 janvier 1879 à Paris 2e arrondissement (ex Seine)
2e canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1899 - Bureau de recrutement de la Seine 1er bureau (75) - Matricule au Recrutement : 547
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Taverny (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise) le 9 octobre 1917
En 1911, il demeure à Taverny
Rappelé à l'activité le 4 août 1914 pour répondre à l'ordre présidentiel de mobilisation générale promulgué par le décret du 1er août précédent.
Venant du Groupe territorial du 17e d'Artillerie, il passe au 42e régiment d'artillerie le 6 juin 1916. N° matricule au corps : 3426 (?).
Il est tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 au combat d'Assevillers (Somme).
Un secours immédiat de 150 francs est alloué le 3 novembre 1917 à sa mère.
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
CLOTAS Florence Louis - Matricule au Rt : 547
Journal officiel du 12 février 1920 page 2260
CLOTAS (Florentio-Louis), matricule 3428, deuxième canonnier servant : brave servant. Tué à son poste de combat à Assevillers, le 22 septembre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.
JOSEPH Emile
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 au combat d'Assevillers (Somme)
Né le 13 juin 1893 à Noeux-les-Mines (Pas-de-Calais)
2e canonnier conducteur au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Béthune (Pas-de-Calais) - Matricule au Recrutement : 3586
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Noeux-les-Mines (Pas-de-Calais) le 3 novembre 1916
Le jeune homme mesure 1 mètre 69, a le visage ovale, les cheveux blonds, les yeux bleus. Son degré d'instruction est évalué au niveau 2.
Ouvrier mineur, il est incorporé à compter du 28 novembre 1913 au 42e régiment d'artillerie et 2e canonnier servant. Il reçoit le n° matricule au corps : 3679 le même jour.
Il est tué à l'ennemi à Assevillers (Somme) le 22 septembre 1916.
Un secours de 150 francs a été alloué le 6 novembre 1916 à Mme. JOSEPH, chez M. JACOB à Paris 68, boulevard de Courcelles, veuve du 2e canonnier JOSEPH Emile.
Cité à l'ordre du régiment N° 7718 "CP" du 8 août 1919
"A été tué au cours d'un bombardement à Assevillers en accomplissant vaillamment son devoir *. Croix de guerre avec étoile de bronze."
Médaille militaire posthume - J.O. du 27 décembre 1924
"Brave canonnier. A été tué au cours d'un bombardement à Assevillers en accomplissant vaillamment son devoir, le 22 septembre 1916. A été cité."
Sources ; archives départementales du Pas-de-Calais - cote 1r_8287
Joseph Emile - classe 1913 - Bureau de Rt de Béthune - matricule 3586
* Sans retirer aucune considération au sacrifice de ces soldats, on mesure le fossé entre les termes des nominations où les mots devoir, vaillance, etc. sont employés et la réalité pour des hommes qui naturellement se mettent à l'abri sous un bombardement extrêmement violent. Seule la nomination du canonnier MOUCHE donne la véritable cause des décés : Tué, le 22 septembre 1916 avec dix de ses camarades dans un abri écrasé par un obus de gros calibre.
LEMAN Henri
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 21 décembre 1893 à Neuville-en-Ferrain (Nord)
1er canonnier conducteur au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 3439
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 1er arrondissement (?) (ex Seine) le 6 juillet 1917
Journal officiel du 7 décembre 1920 page 20010
LEMAN (Henri), matricule 3499, premier canonnier : brave conducteur, ayant toujours fait consciencieusement son devoir. Tué à son poste au cours d'un bombardement, le 22 septembre 1916, à Belloy-en-Sanlerre. Croix de guerre avec étoile de bronze.
MOREL Louis Amédée Sylvestre
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 au combat d'Assevillers (Somme)
Né le 31 décembre 1896 à Hangest-en-Santerre (Somme)
2e canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) - Matricule au recrutement : 119
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Hangest-en-Santerre (Somme) le 8 janvier 1917
Journal officiel du 6 septembre 1920 page 13058
MOREL (Louis-Amédée-Sylvestre), matricule 5083, canonnier : bon canonnier téléphoniste, a fait preuve de courage au cours des missions qui lui ont été confiées. A été tué en allant réparer une ligne téléphonique sous un violent bombardement, le 22 septembre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.
MOUCHE Gaston
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 28 juillet 1893 à Boves (Somme)
2e canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1913 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 773
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Aubigny (Somme) le 3 novembre 1916
Journal officiel du 6 septembre 1920 page 13058
MOUCHE (Gaston), matricule 3314, canonnier : bon servant dévoué et brave. Tué, le 22 septembre 1916 avec dix de ses camarades dans un abri écrasé par un obus de gros calibre. Croix de guerre avec étoile de bronze.
NOLF Carlos
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 21 mars 1892 à Tourcoing (Nord)
1er canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 4156
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Tourcoing (Nord) le 16 février 1920
Journal officiel du 7 décembre 1920 page 20010
NOLF (Carlos), matricule 2856, canonnier : soldat modèle, pointeur de premier ordre, ayant fait preuve du plus grand courage dans les circonstances les plus difficiles. Tué à son poste, le 22 septembre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.
PELTIER Eugène Cyrille
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Assevillers (Somme)
Né le 8 juillet 1893 à Bonnières (Oise)
2e canonnier conducteur au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 375
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lormaison (Oise) le 24 décembre 1916
Journal officiel du 6 septembre 1920 page 13058
PELTIER (Eugène-Cyrille), matricule 4800, canonnier : canonnier conducteur courageux et plein d'entrain. Mort pour la France, le 22 septembre 1916, à Assevillers. Croix de guerre avec étoile de bronze.
PETIT Clovis Gustave
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Assevillers (Somme)
Né le 3 avril 1882 à Amiens (Somme)
2e canonnier conducteur au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1902 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement : 724
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme) le 9 mars 1917
Journal officiel du 7 décembre 1920 page 20010
PETIT (Louis-Gustave), matricule 09370, canonnier : brave conducteur, consciencieux et dévoué. Tué au cours d'un ravitaillement, le 22 septembre 1916, à Assevillers. Croix de guerre avec étoile de bronze.
RICHIER Emile Victor
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Assevillers au combat de Belloy-en-Santerre, (Somme)
Né le 12 avril 1891 à Taverny (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise)
2e canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Versailles (Yvelines) - Matricule au Rt : 877
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Leu-la-Forêt (Val-d'Oise (ex Seine-et-Oise) le 16 janvier 1917.
Ce maçon résidant à Saint-Leu commune de Taverny, canton de Montmorency, après avoir entamé sa vie militaire au 51e d'infanterie, passe au 42e régiment d'artillerie par décision du
général Cdt le 2e Corps en date du 30 octobre 1912. Il arrive au corps le 5 novembre suivant, où il reçoit le n° matricule au corps ; 3721.
Blessé le 17 avril 1916 à Froideterre - Croix de guerre
Ordre du régiment n° 159 du 24 avril 1916 :
"Sur le front depuis le début de la campagne, a été blessé au cours de l'exécution d'un tir sous un violent bombardement ennemi d'un éclat d'obus dans le dos."
Il est tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 au combat de Belloy-en-Santerre.
Un secours de 150 francs est payé le 28 octobre 1916 à M. RICHIER, père de l'intéressé.
Sources : archives départementales des Yvelines - cote 1R/RM 446
RICHIER Emile Victor - classe 1911 matricule au recrutement : 857
Journal officiel du 12 février 1920 page 2260
RICHIER (Emile-Victor), matricule 1930, deuxième canonnier servant : brave canonnier, plein d'entrain. Tué à son poste, à Belloy-en-Santerre, le 22 septembre 1916. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.
SEGARD Paul Julien
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 6 avril 1891 à Crèvecœur-sur-l'Escaut (Nord)
2e canonnier conducteur au 42e régiment d'artillerie
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Cambrai (Nord) - Matricule au recrutement : 2548
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Crèvecœur-sur-l'Escaut (Nord) le 31 décembre 1919
Journal officiel du 12 février 1920 page 2260
SEGARD (Paul-Julien), matricule 1770, premier canonnier conducteur : canonnier brave et dévoué et plein d'entrain. Tué à son poste de combat, le 22 septembre 1916 à Belloy-en-Santorre. Une citation antérieure. Croix de guerre avec étoile d'argent.
SPEITEL Henri Emile
Tué à l'ennemi le 22 septembre 1916 à Assevillers (Somme)
Né le 2 mai 1888 à Sains-Richaumont (Aisne)
trompette au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Saint-Quentin (Aisne) - Matricule au Rt : 737
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Chaudun (Aisne) le 22 janvier 1917
Journal officiel du 6 septembre 1920 page 13058
1920/09/06 (A52,N243).Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181
SPEITEL (Henri-Emile), matricule 0361, trompette : trompette employé comme agent de liaison, sur les positions de batterie. À toujours fait preuve de courage dans les différentes missions qui lui ont été confiées. À élé tué glorieusement, le 22 septembre 1916, à Assevillers. Croix de guerre avec étoile de bronze.
BOURRE Edmond
Mort pour la France le 25 septembre 1916 à Cuise-la-Motte (Oise) de maladie contractée en service - tuberculose pulmonaire.
Né le 15 avril 1888 à Berneuil-sur-Aisne (Oise)
brigadier maréchal-ferrant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Compiègne (Oise) - Matricule au recrutement : 1202
Mention : Mort pour la France
CAVENEL René Henri Eugène
Tué à l'ennemi le 26 septembre 1916 au RAVIN de Chuignes (Somme)
Né le 4 mai 1890 à Hangest-en-Santerre (Somme)
2e canonnier conducteur au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) - Matricule au recrutement : 253
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Hangest-en-Santerre (Somme) le 11 mai 1917
CAVENEL René Henri Eugène s'était engagé pour trois ans le 4 décembre 1909 à la mairie de Moreuil (Somme). A l'issue de son engagement il fait retour dans la vie civile le 4 décembre 1912. Le décret portant ordre de mobilisation générale du 1er août 1914 le ramène à l'activité. Il est affecté à la 8e Batterie du 42e régiment d'artillerie de La Fère où il y arrive à cette date du 1er août 1914. Il part aux armées quatre jours plus tard, le 5 août.
Il décéde, tué à l'ennemi, le 26 septembre 1916 au ravin de Chuignes (avis officiel du 9 octobre 1916 n° GW 4899).
Payé par le 42e d'Artillerie àMme CAVENEL, épouse, le 23 octobre 1916, au secours immédiat de 150 francs (circulaire ministérielle du 17 février 1915).
"Mort pour la France"
Cavenel, René Henri Eugène, né le 4 mai 1890 à Hangest-en-Santerre (Somme), classe 1910, matricule n° 253, Bureau de recrutement de Péronne 1R1022 Archives de la Somme
Journal officiel du 12 février 1920 page 2260
CAVENEL (René-Henri-Eugène) matricule 01091, deuxième cononnier conducteur : bon conducteur. Tué au ravin de Chuignes, le 26 septembre 1916, au moment du départ du ravitaillement de la batterie. Croix de guerre avec étoile de bronze.
ROHART Denis Jules
Tué à l'ennemi le 26 septembre 1916 à Assevillers (Somme)
Né le 20 août 1894 à Lille (Nord)
2e canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1914 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 6170
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lille (Nord) le 3 avril 1919
Journal officiel du 7 décembre 1920 page 20009
ROHART (Denis-Jules), matricule 4597, canonnier: téléphoniste très courageux. Tombé glorieusement, le 26 septembre 1916, dans l'accomplissement de sa mission. A été cité.
VERRIER Jules Gustave
Tué à l'ennemi le 26 septembre 1916 à Assevillers (Somme)
Né le 2 mars 1893 à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) (ex Seine et Seine-et-Oise)
2e canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de la Seine 1er bureau (75) - Matricule au Rt : 4512
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) le 16 avril 1917
Journal officiel du 12 février 1920 page 2259
42e régiment d'arlillerie de campagne
VERRIER (Jules-Gustave), matricule 4211, deuxième canonnier servant : téléphoniste très courageux, tombé glorieusement, le 26 septembre 1916, dans l'accomplissement de sa mission à Assevillers (Somme). A été cité.
LAMBERT Arthur
Mort pour la France le 30 septembre 1916 à Bougival (Yvelines) (ex Seine-et-Oise) des suites de blessures de guerre.
Né le 8 mars 1887 à Hersin-Coupigny (Pas-de-Calais)
2e canonnier servant au 42e régiment d'artillerie (42e RA)
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Cambrai (Nord) - Matricule au recrutement : 562
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Falaise (Calvados) le 7 octobre 1916