Re: Douille de 65 de montagne
Publié : dim. juil. 30, 2017 9:56 pm
Bonjour à tous.
J'ai acheté récemment le dernier numéro de GBM (121), dans lequel figure un article de M Guy François sur les engins de tranchée de l'infanterie. Article au demeurant toujours aussi remarquable de précision. A la deuxième lecture, une question à laquelle je n'avais jamais pensé m'est venue à l'esprit. L'obusier Cellerier utilise comme projectile une douille de 65 de montagne, or l'on rencontre parfois des douilles de 65 DEM recoupées à 111 mm. Elles ont conservé leur marquage d'origine ( à ce propos, il semble que ARS soit le seul fabricant de ce modèle de douille) , cependant j'ai un exemplaire marqué MORTIER ARS 119 18. J'ai toujours pensé que ces douilles étaient utilisées comme cartouche propulsive. Mais ce pourrait-il que ce fût comme projectile? J'en doute car en 1918 les mortiers Cellerier ne devaient plus être très nombreux au front.
Si quelqu'un a la réponse, propulsive (dans ce cas pour quel mortier?) ou projectile, je serai très heureux de le savoir.
Cordialement,
Dandebur.
J'ai acheté récemment le dernier numéro de GBM (121), dans lequel figure un article de M Guy François sur les engins de tranchée de l'infanterie. Article au demeurant toujours aussi remarquable de précision. A la deuxième lecture, une question à laquelle je n'avais jamais pensé m'est venue à l'esprit. L'obusier Cellerier utilise comme projectile une douille de 65 de montagne, or l'on rencontre parfois des douilles de 65 DEM recoupées à 111 mm. Elles ont conservé leur marquage d'origine ( à ce propos, il semble que ARS soit le seul fabricant de ce modèle de douille) , cependant j'ai un exemplaire marqué MORTIER ARS 119 18. J'ai toujours pensé que ces douilles étaient utilisées comme cartouche propulsive. Mais ce pourrait-il que ce fût comme projectile? J'en doute car en 1918 les mortiers Cellerier ne devaient plus être très nombreux au front.
Si quelqu'un a la réponse, propulsive (dans ce cas pour quel mortier?) ou projectile, je serai très heureux de le savoir.
Cordialement,
Dandebur.