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Re: SAPHIR - Cie inconnue

Publié : mar. févr. 05, 2008 7:58 pm
par Ar Brav
Bonsoir à tous,

SAPHIR Navire auxiliaire (1917 – 1918)

Chantier :

N.C.
Commencé : N.C.
Mis à flot : N.C.
Terminé : N.C.
En service : 30.11.1917
Retiré : 14.12.1918
Caractéristiques : N.C.
Armement : N.C.

Principales dates et évènements :

Navire charbonnier
30.11.1917-14.12.1918 : réquisitionné à Beaulieu.

Cordialement,
Franck

Re: SAPHIR - Cie inconnue

Publié : jeu. mars 17, 2022 11:50 pm
par markab
Bonsoir
Connaissez vous un autre port dénommé BEAULIEU (hormis celui de BEAULIEU SUR MER dans les Alpes Maritimes) ?

Re: SAPHIR - Cie inconnue

Publié : ven. mars 18, 2022 12:33 am
par Folc
markab a écrit : jeu. mars 17, 2022 11:50 pm Bonsoir
Connaissez vous un autre port dénommé BEAULIEU (hormis celui de BEAULIEU SUR MER dans les Alpes Maritimes) ?
Bonsoir,
Moi je n'en vois pas d'autre. Port de pêche à l'époque.
Cordialement
Alain V.

Re: SAPHIR - Cie inconnue

Publié : ven. mars 18, 2022 9:14 am
par capu rossu
Bonjour,

Je n'ai pas grand chose sur le Saphir :
Canot à moteur. Requis du 30/11/1917 au 14/12/1918 - lieu de réquisition : Beaulieu.
J'ai bien trois autres Beaulieu, sur Loire, sur Dordogne, sur Layon mais tous très à l'intérieur des terres. Donc c'est vraisemblablement Beaulieu sur Mer.

@+
Alain

Re: SAPHIR - Cie inconnue

Publié : dim. mars 20, 2022 11:09 pm
par markab
Bonjour,
J'ai trouvé la trace d'un SAPHIR dans le journal "Le Sémaphore de Marseille" en date du 1er avril 1916 (pour une arrivée au port le 31 mars) :

SAPHIR
SAPHIR
SAPHIR 1916-04-01.jpg (20.63 Kio) Consulté 503 fois

Vos avis sur cette hypothèse sont les bienvenus !

Re: SAPHIR - Cie inconnue

Publié : lun. mars 21, 2022 9:36 am
par capu rossu
Bonjour,

Avant la Première Guerre Mondiale et même entre les deux guerres, il y avait un fort trafic de cabotage assuré entre Marseille et les petits ports du Languedoc, des côtes provençales et de la Côte d'Azur par des "chalands de mer".
Ceux-ci avaient un port en lourd pouvant atteindre les 200 voire 500 tonnes et disposaient d'un équipage composé d'un patron et de deux ou trois matelots. Ils été équipés d'un mât supportant une corne de charge avec un treuil à main et d'un petit poste d'équipage. Ils étaient non-automoteurs.
Lors des traversées, l'équipage veillait à ce que le chaland reste dans les eaux du remorqueur à l'aide d'une barre franche et surveillait les entrées d'eau éventuelles. Celles-ci étaient combattues par une pompe à main et surtout par la pompe à vapeur du remorqueur qui venait se mettre à couple.

Dans le cas qui nous intéresse, on a deux bâtiments différents : un canot automobile et un chaland de mer.

@+
Alain