Bonsoir,
"
J'en veux pour preuve les utilisations des scènes de "Verdun Vision d'histoire" comme étant des vraies scènes de combat, mais dans la réalité tournées après le conflit".
Tout à fait Jérôme !
Après le conflit je ne sais pas, mais pendant oui ! Des troupes revenues du front, à l'arrière pour instruction ou repos, étaient désignées pour faire du cirque dans des champs, on faisait péter de la poudre enfouie dans la terre pour simuler les éclatements d'obus, il y avait de la fumée, les barbelés, tout, des assauts en règle, bref, du cinéma quoi ! Avec le noir et blanc et la vitesse lente de prises de vues (images accélérées) ça fait presque vrai.
Quand je pense que certains ont fait du cinéma, puis après sont morts pour de vrai en "refaisant la même", ça "interpelle"...
Mais c'était l'époque... Pas encore celle des reporters de guerre, le Nikon en bandoulière ou la caméra sur l'épaule, risquant leur vie tout comme les combattants. Simple question de technologie et uniquement çela.
Franck, super le clin d'oeil à Gainsbarre
Gascony, le regard oui le regard... Bon passons...On n'y voit que ce que l'on veut bien y voir dans le cas qui nous occupe. C'est drôle, je n'ai pas remarqué le regard mais les veines de la main droite, viriles, super contraste et piqué dans la qualité photo, ainsi que les pattes d'oies aux coins de l'oeil droit (je suppose que les mêmes étaient à gauche). Un "terrible taureau" ?
Mais si on retourne le bouquin, ou la page de couverture, est-ce qu'on voit le dos du poilu ?
Cordialement,
Bernard