Re: Le 415e R.I franchit la Meuse le 10 nov. 18
Publié : dim. avr. 23, 2017 1:11 am
Bonsoir,
Il n'y a pas vraiment de "problème" ni de "telles histoires" dans les faits évoqués par l'ancien caporal du 415e R.I puis aumônier militaire.
-d'abord, il y a bien un sergent D'Hoker Marius au 415e R.I, Mort pour la France à Vrigne-Meuse le 10 novembre 1918 et figurant dans les fiches de "Mémoire des Hommes". Tous les morts du 11 novembre sont déclarés morts le 10 novembre comme cela a déjà été expliqué dans un sujet ancien du Forum.
-ensuite, le commandement ne cherchait pas à "avoir une revanche sur le Sedan de 1870" mais le but de Foch était de contraindre les allemands à signer l'armistice au plus vite car ceux-ci réclamaient sans cesse des adoucissements sur certains points des clauses de l'armistice.
C'est le Maréchal Foch qui a imposé au général Boichut, commandant de la 163e DI, hostile à cette opération, le passage de la Meuse.
Il y a déjà des explications dans le livre du lieutenant-colonel Grasset sur le passage de la Meuse de la 163e D.I.
Ce qui reste dans l'ombre, ce sont les paroles exactes échangées dans les conversations téléphoniques entre le Maréchal Foch et le Général Boichut car les ordres écrits existent.
Cordialement,
Guy François.
Il n'y a pas vraiment de "problème" ni de "telles histoires" dans les faits évoqués par l'ancien caporal du 415e R.I puis aumônier militaire.
-d'abord, il y a bien un sergent D'Hoker Marius au 415e R.I, Mort pour la France à Vrigne-Meuse le 10 novembre 1918 et figurant dans les fiches de "Mémoire des Hommes". Tous les morts du 11 novembre sont déclarés morts le 10 novembre comme cela a déjà été expliqué dans un sujet ancien du Forum.
-ensuite, le commandement ne cherchait pas à "avoir une revanche sur le Sedan de 1870" mais le but de Foch était de contraindre les allemands à signer l'armistice au plus vite car ceux-ci réclamaient sans cesse des adoucissements sur certains points des clauses de l'armistice.
C'est le Maréchal Foch qui a imposé au général Boichut, commandant de la 163e DI, hostile à cette opération, le passage de la Meuse.
Il y a déjà des explications dans le livre du lieutenant-colonel Grasset sur le passage de la Meuse de la 163e D.I.
Ce qui reste dans l'ombre, ce sont les paroles exactes échangées dans les conversations téléphoniques entre le Maréchal Foch et le Général Boichut car les ordres écrits existent.
Cordialement,
Guy François.