Forum PAGES 14-18

Bonsoir Bernard, bonsoir à tous,

Dans toutes ces photos sur les sites que vous annoncez... il pourrait bien y avoir du Boyau Eugène ??? ..

Ca serait un plus très intéressant ...

à suivre .... Cordialement Nono

Bonsoir Nono
Dans les albums de mon GP Il n'y a aucune référence pour le Boyau Eugène (qui se situe où ??)
Les photos montrent:
Sur le front du chemin des dames:
-Tranchées du plateau de Paissy, Vassogne, Craonelle, Le bois Foulon, le Blanc Sablon, les Creutes, le bois des buttes près de la ville au bois.
Sur le front de Reims:
-Tranchées de la ferme d'Alger, tranchées autour du fort de Pompelle, et peut-être(?) une photo de la tranchée de la butte du mesnil à l'est de Reims
Cordialement
Bernard

Bonsoir,

Bernard , pour le boyau Eugène, c'est là:

pages1418/Sites-et-vestiges-de-la-Grand ... 1419_1.htm

Effectivement, ce n'est pas un des secteurs photographiés par le Lt R. PAQUET... qui est resté plus près de Reims.

Bien à vous,

[:achache:1]

Bonjour Bernard, Bonjour à Tous

Serait-il possible de voir la tranchée de la butte du Mesnil ?

Merci et cordialement.

Jean Pierre

Bonsoir Jean-Pierre
Voici la seule photo légendée "tranchée aux environs de Reims", qui, par son emplacement dans les albums de mon GP, et dans la chronologie de reconstitution de son séjour au front, me fait penser qu'il s'agit peut-être d'une tranchée dans le secteur de la Butte du Mesnil, dernier lieu de présence de mon GP au front en janvier 1916.
Mais bien entendu sous toute reserve ..

Cordialement
bernard

Bonsoir Bernard, bonsoir à tous

Merci pour cette photo de tranchée du secteur de la Butte (?) C'est vrai qu'il semble difficile de l'affirmer, mais c'est tout de même intéressant.

Cordialement.

Jean Pierre

Je retrouve le bataillon rèmois après un an de vadrouille
Et comme à mon habitude je sollicite sa sagacité ... la fièvre de la recherche de documentation sur le premier aérodrome de Betheny 1911 est encore en mémoire.
Cette fois-ci celà concernerait le secteur de Verzenay, en creusant le JMO de la 24e DI, il est fait mention de signaux lumineux envoyés depuis ce secteur en direction des troupes adverses, une enquête a été diligentée (26N309/1 - 27 octobre 1914), mais je n'ai pas trouvé la conclusion de cette histoire. Quelqu'un aurait-il un peu plus de renseignement ? Merci.

Bonsoir,

Signalé par Yves ici :
pages1418/Pagesvecuesrecitstemoignages/ ... .htm#t4015

Ce que j'ai vu de la guerre
Jeanne Rollin
Ed. Constable (London) 1915

Jeanne ROLIN, bonne narratrice lettrée, était la fille du comptable de la Verrerie GIVELET, la fameuse verrerie de Courcy :



Fiche MDH de son frère mort dès Août 14 :
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... =623400780

et un autre en 15 :
http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 3934120294


Ce livre devrait donc intéresser tous les rémois et consorts, ainsi que les amateurs du 1er CA …

Bonne lecture.


Bien à vous,

[:achache:1]

Bonsoir Achache
Bonsoir les Cornichons
Bonsoir à toutes et à tous

Merci pour le signalement. Je me lance dans la lecture. On cite même VilleDo en page 49 !

Situé sur la ligne de feu durant les quatre années de la guerre, Courcy fut repris alternativement plusieurs fois par chacun des deux belligérants. Notamment le 16 avril 1917, c’est la première brigade russe du corps expéditionnaire qui reprend le village.

Entièrement détruit lors des combats, le village faillit même ne pas être reconstruit, comme d’autres dans le département de la Marne. C’est grâce à e monsieur Pierre Givelet (futur maire de Courcy), directeur de la verrerie avant 1914, qui prit l’engagement de reconstruire son usine que le village fut sauvé. La verrerie est reconstruite le long du canal vers 1920. M. Emile Charbonneaux devint le nouveau président du Conseil de surveillance. M. Charles de Grandrut n'ayant pas l'intention de reconstruire la verrerie de Loivre. M. Givelet lui racheta le fonds de commerce et les dommages de guerre afférent. La société pris le nom de « Verreries de Courcy et de Loivre réunis - Givelet et Cie ». La cité ouvrière fut reconstruite en premier. Une nouvelle chapelle est construite en 1923, à l'emplacement de la première usine. En 1929, Jacques Givelet, en devint le cogérant avec son père Pierre. Suite à la crise économique de 1929-1930, l'activité a cessé en 1933. Les machines furent démontés et remontées à la verrerie Charbonnneaux à Reims, qui en avait repris l'actif et le passif;
(Source wikipedia)

amicalement
Armand

Bonjour,

Pour les amateurs de la 52e DI, un petit document: CP d'un artilleur en excursion (?) à Villedo... :




Bien à vous,

[:achache:1]