Les activités du Port de Fécamp durant la Grande guerre.
Publié : jeu. déc. 06, 2012 12:07 pm
Bonjour à tous,
Voiliers fécampois coulés durant la Grande guerre.
Dernière adjonction à l’index et à la liste.
Dernière adjonction à l’index et à la liste.
LA LIBERTÉ — Trois-mâts goélette terre-neuvier — 302 tx jb – Armement Boniface & Cie, Sotteville-lès-Rouen, Fécamp. — Coulé le 8 juin 1915.
—> pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... 3657_1.htm
Subsiste néanmoins un doute sérieux quant à la « jauge brute » de ce trois-mâts goélette. La majorité des sources indiquent en effet soit « 302 t », soit « 302 t jb ». Or, selon la « Liste, de 1900 à 1977, des chalutiers à la grande pêche armés à Fécamp », qui figure à l’Annexe IV de l’ouvrage de Jean Recher intitulé : « Le grand métier. Journal d’un capitaine de pêche de Fécamp » (Librairie Plon, 1977), cette jauge brute ne serait que de 241,03 t. (op. cit., p. 430)
Et l’on retrouve cette même divergence à propos d’autres bâtiments. Ainsi la jauge brute du trois-mâts goélette France-et-Russie, de l’armement Veuve Jérôme Malandain & Fils, est donnée pour 274,60 t par Recher. Pourtant, les différentes valeurs de jauge de ce voilier étaient très exactement les suivantes (L’Ouest-Éclair – éd. de Caen –, n° 6.252, Dimanche 25 juin 1916, p. 3, en rubrique « Nouvelles maritimes ») :
— Jauge totale : 331,60 tx ;
— Jauge brute : 329,42 tx ;
— Jauge nette : 274,60 tx.
Conclusion : les valeurs très précises de jauge données par Recher sont exprimées en « jauge nette » et non point en « jauge brute », comme il est par erreur indiqué (op. cit., p. 429).
—> pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... 3657_1.htm
Subsiste néanmoins un doute sérieux quant à la « jauge brute » de ce trois-mâts goélette. La majorité des sources indiquent en effet soit « 302 t », soit « 302 t jb ». Or, selon la « Liste, de 1900 à 1977, des chalutiers à la grande pêche armés à Fécamp », qui figure à l’Annexe IV de l’ouvrage de Jean Recher intitulé : « Le grand métier. Journal d’un capitaine de pêche de Fécamp » (Librairie Plon, 1977), cette jauge brute ne serait que de 241,03 t. (op. cit., p. 430)
Et l’on retrouve cette même divergence à propos d’autres bâtiments. Ainsi la jauge brute du trois-mâts goélette France-et-Russie, de l’armement Veuve Jérôme Malandain & Fils, est donnée pour 274,60 t par Recher. Pourtant, les différentes valeurs de jauge de ce voilier étaient très exactement les suivantes (L’Ouest-Éclair – éd. de Caen –, n° 6.252, Dimanche 25 juin 1916, p. 3, en rubrique « Nouvelles maritimes ») :
— Jauge totale : 331,60 tx ;
— Jauge brute : 329,42 tx ;
— Jauge nette : 274,60 tx.
Conclusion : les valeurs très précises de jauge données par Recher sont exprimées en « jauge nette » et non point en « jauge brute », comme il est par erreur indiqué (op. cit., p. 429).
