Bonjour à toutes et à tous,
Qu'est-ce qu'une grenade Galveaud ? cf. le sujet du torpillage du Châteaurenault...
Merci d'avance Bernard
grenades Galveaud
Re: grenades Galveaud
Bonjour Bernard,
Ne serait-ce pas plutôt une grenade Guiraud ?
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... rk=42918;4
(Évolution de la tactique anti-sous-marine pendant la guerre de 1914-1918 (1921))
Cordialement,
Yves
Ne serait-ce pas plutôt une grenade Guiraud ?
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... rk=42918;4
(Évolution de la tactique anti-sous-marine pendant la guerre de 1914-1918 (1921))
Cordialement,
Yves
Re: grenades Galveaud
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Re: grenades Galveaud
Bonsoir,
Merci Marc, je n'avais pas fait de recherche sur les grenades Guiraud sur le forum.
Je pense que Bernard faisait allusion à cette page :
viewtopic.php?t=43294&start=30
Il serait intéressant de pouvoir voir l'original du compte-rendu écrit par le capitaine de corvette CHAREZIEUX.
Cordialement,
Yves
Merci Marc, je n'avais pas fait de recherche sur les grenades Guiraud sur le forum.
Je pense que Bernard faisait allusion à cette page :
viewtopic.php?t=43294&start=30
Il serait intéressant de pouvoir voir l'original du compte-rendu écrit par le capitaine de corvette CHAREZIEUX.
Cordialement,
Yves
Re: grenades Galveaud
Bonjour et merci pour ces réponses. Mais voici le texte que j’avais trouvé sur ce site et la raison de ma question sur les grenades Galveaud : Site forum.pages14-18.com, sujet transmis par Yves D
Nos torpilleurs parviennent à couler l'assaillant. Mais « malgré la surcharge que leur occasionnent les rescapés, les torpilleurs foncent à l’attaque ; le « Lansquenet » » remonte le sillage de la torpille et jette sept grenades Galveaud, dont deux doubles sur le point d’origine. Coque crevée dès la deuxième grenade, l’UC-38 fait surface mais, canonné par le « Mameluck », il replonge. Le torpilleur lance alors ses grenades », qui aggravent les avaries du sous-marin et le « contraignent, au bout de quinze minutes, à refaire surface pour sauver son équipage. Il coule à 8h 40. »
Je n’arrive pas à retrouver cette page du forum transmise par « Yves D ».
Auriez-vous une piste ? Merci d’avance. Bernard
Nos torpilleurs parviennent à couler l'assaillant. Mais « malgré la surcharge que leur occasionnent les rescapés, les torpilleurs foncent à l’attaque ; le « Lansquenet » » remonte le sillage de la torpille et jette sept grenades Galveaud, dont deux doubles sur le point d’origine. Coque crevée dès la deuxième grenade, l’UC-38 fait surface mais, canonné par le « Mameluck », il replonge. Le torpilleur lance alors ses grenades », qui aggravent les avaries du sous-marin et le « contraignent, au bout de quinze minutes, à refaire surface pour sauver son équipage. Il coule à 8h 40. »
Je n’arrive pas à retrouver cette page du forum transmise par « Yves D ».
Auriez-vous une piste ? Merci d’avance. Bernard
bth
Grenades Galveaud.
Bonjour à tous,
olivier 12 a écrit : ↑mer. juin 24, 2009 12:52 pm
« Voici un petit complément sur le torpillage du Châteaurenault. Il s’agit du résumé du compte rendu écrit par le capitaine de corvette Charézieux, commandant le Lansquenet.
" Le convoi, composé du Châteaurenault, du Rouen et des escorteurs Lansquenet et Mameluck avait quitté Tarente le 13 décembre à 14 h. 00. Au petit jour du 14, il était à environ 20 milles de Dukato. J'ai aussitôt fait route sur le point d'origine de la torpille et lancé 7 grenades Galveaud, dont deux doubles, qui ont toutes explosé. [...] " »
Dernière modification par Rutilius le ven. mars 01, 2024 7:59 pm, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: grenades Galveaud
Bonjour,
Je pense qu'il y a peut être une transcription d'un rapport manuscrit transformant le "gui" en "gal".
Cela reste une hypothèse et je continue les recherches
A bientôt.
Je pense qu'il y a peut être une transcription d'un rapport manuscrit transformant le "gui" en "gal".
Cela reste une hypothèse et je continue les recherches
A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Re: grenades Galveaud
Merci pour vos recherches. Je serais heureux de pouvoir donner le terme exact dans mon article destiné à la Société Historique de Villeneuve d'Ascq "Nos soldats et la mer, 1902-1922"
Très cordialement, Bernard
Très cordialement, Bernard
bth
Grenades Galveaud.
Bonsoir Bernard,
Bonsoir à tous,
Bonsoir à tous,
Les termes « Grenades Galveaud » découlent manifestement d'une erreur de lecture, et donc de trans-cription, d'un document probablement manuscrit. Sans hésitation aucune, il convient de leur substituer ceux de « Grenades Guiraud ». Outre ces dernières, étaient, en effet, uniquement employées par les bâtiments de la Marine des « Grenades C.M. », « C.M. » signifiant « Commission des mines ».
Ainsi, le 30 juillet 1918, le torpilleur d'escadre Pertuisane, alors commandé par le lieutenant de vais-seau Marie Gabriel André Raymond WAYNE, mouilla une mine de ce second type dans le sillage du sous-marin allemand UB-88 (Kapitänleutnant Reinhard von RABENAU) qui venait de torpiller dans le Sud-Est de l'Île de Wight le cargo britannique Bayronto.
[Torpilleur d’escadre Pertuisane, Journal de bord n° 5/1918 — 7 juillet ~ 18 août 1918 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 399, p. num. 745 et 746.]
Ainsi, le 30 juillet 1918, le torpilleur d'escadre Pertuisane, alors commandé par le lieutenant de vais-seau Marie Gabriel André Raymond WAYNE, mouilla une mine de ce second type dans le sillage du sous-marin allemand UB-88 (Kapitänleutnant Reinhard von RABENAU) qui venait de torpiller dans le Sud-Est de l'Île de Wight le cargo britannique Bayronto.
[Torpilleur d’escadre Pertuisane, Journal de bord n° 5/1918 — 7 juillet ~ 18 août 1918 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 399, p. num. 745 et 746.]
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.