Re: Liberté de circulation des prisonniers
Publié : mar. févr. 28, 2012 1:12 pm
Bonjour,
Dans une lettre datée du 13 janvier 1918, mon AGP, qui était prisonnier et travaillait dans une ferme des environs d'Ulm, raconte qu'il est allé chez un photographe. Pour ce faire, avec trois autres prisonniers qui étaient dans le même village, ils se sont rendus dans une localité située à trente kilomètres, tantôt à pied, tantôt en train. Tout cela sans aucun gardien.
Cette relative liberté de circulation m'a étonnée. Je crois savoir que dans les campagnes les prisonniers étaient soumis à des contraintes beaucoup moins importantes qu'ailleurs, mais ils étaient tout de même surveillés (dans le cas de mon AGP, enfermé à clef dans leur chambre durant la nuit, passage à l'office des contrôles, sentinelle, etc.).
Si certains peuvent apporter des précisions, des renseignements ou d'autres témoignages, je suis preneur.
Vous remerciant.
Cordialement.
Jean-Marie
Dans une lettre datée du 13 janvier 1918, mon AGP, qui était prisonnier et travaillait dans une ferme des environs d'Ulm, raconte qu'il est allé chez un photographe. Pour ce faire, avec trois autres prisonniers qui étaient dans le même village, ils se sont rendus dans une localité située à trente kilomètres, tantôt à pied, tantôt en train. Tout cela sans aucun gardien.
Cette relative liberté de circulation m'a étonnée. Je crois savoir que dans les campagnes les prisonniers étaient soumis à des contraintes beaucoup moins importantes qu'ailleurs, mais ils étaient tout de même surveillés (dans le cas de mon AGP, enfermé à clef dans leur chambre durant la nuit, passage à l'office des contrôles, sentinelle, etc.).
Si certains peuvent apporter des précisions, des renseignements ou d'autres témoignages, je suis preneur.
Vous remerciant.
Cordialement.
Jean-Marie