De handelsreiziger van de Nederlandsche Cocaïne fabriek.
Ecrit par Conny Braam
Le représentant de l’usine Néerlandaise de cocaïne ,
La cocaïne dans les tranchees
Malheureusement uniquement en Néerlandais , l’année passe
ce roman est paru qui dénonce et nous relate les péripéties,
D’un représentant (délégué) vendeur de l’usine de cocaïne a Amsterdam .
L’Hollande était neutre , et la vente de cocaïne était libre ( la matière brute les feuilles venait des plantations des colonies hollandaises d’Indonésie )
Cette usine ( les bâtiments excisent encore voir liens au fond )
vendait a grand profit a tout les belligérants Anglais Allemands Français , Etats unies etc de grandes quantités de cocaïne, et faisait d’énormes profits.
Ce roman basé sur des recherches nous compte que cette
Cocaïne ( en flacons et liquide ) n’était pas réservé uniquement aux sévices médicaux,
mais qu’une importante quantité trouva son chemin dans les tranchées, et même quelle fut
Administré au soldats avant une attaque …..
ce qui résultait a la fin de la guerre d’un grand nombre de soldats toxicomanes …
au point ou surtout en Angleterre et en Allemagne (Berlin)
on a du au début des années 20 interdire cette vente libre , car trop de crimes et de raids sur les pharmacies par d’ex soldats en manque en était le résultat .
Je n’ai pas lu le livre , et lors de sa parution il y a eu pas mal de débats dans les medias ,
mais l’auteur a toujours pu démonter et prouver au sceptiques avec des preuves ( les archives de l’usine de Cocaïne) que son roman était fondée sur des preuves de vérité.
Bizarre quand même que l’on trouve pratiquement rien de décrit de cet usage dans la littérature et les journaux de soldats , Ci cet usage a existé dans les tranchées elle a du être minime – ses utilisateurs intoxiquées couraient a leur mort – ou elle est reste dans un tabou .
J’ai trouve une allusion dans Barthas
Dans ses carnets de guerre, LOUIS BARTHAS évoque le crime dont s'est rendu coupable un caporal nommé MULLER,
parisien d'origine qu'il décrit comme étant un homme "pratiquant toutes les débauches des bas-fonds de la capitale, alcoolique,
inverti, amateur de cocaïne" les faits eurent lieu le 4 décembre 1916 à SALOUEL (Somme) lorsqu'il tua d'un coup de révolver
une enfant de 15 ans.
LOUIS BARTHAS écrit :
"C'était le soir dans un estaminet. Le caporal MULLER ivre maniait un révolver et le braqua sur la petite fille de la
tenancière en lui disant "dis chiche !" L'enfant croyant à une plaisanterie s'écria "chiche !". Muller pressa la détente
de son arme qu'il croyait dit-il vide et une balle partit tranchant l'artère du cou. Sans un cri une parole la jeune fille
tomba morte".
".... ce caporal fut arrêté aussitôt et traduit quelques jours après en conseil de guerre."
MULLER ne fut condamné qu'à 2 ans de prison.
voir lien forum
pages1418/forum-pages-histoire/Generali ... htm#t64233
Un en Anglais
Die hard, Aby! Abraham Bevistein - the boy soldier shot to encourage the others par David Lister.
Private William L. Thompson of the 6th Battalion, the Buffs,
Die hard, Aby! Abraham Bevistein - the boy soldier shot to encourage the others door David Lister.
Looking at Thompson's case file,
it appears he may well have been shot for deserting while he was suffering withdrawal symptons from what is now a Class A controlled drug under the 1971 Misuse of Drugs Act. It further appears that the issue of these drugs was at the discretion of the MO and that he may have been taking them regularly.
William Thompson chose to submit a written statement in his defence, rather than give verbal evidence. His statement is still held within his cas file.
"I have been using Coca Extract for some considerable time..."
These days we commonly know 'coca extract'by the name 'cocaine', a drug which produces a short feeling of intense euphoria followed by a debilitating and enervating depression, the intensity and duration of which increases with regular use.
He continued:
"... and before going into the trenches this time instead of getting my usual allowance of it I received a letter instead informing me that I could not have any more of the drug without a Medical Officer's signature, the consequence was that I was extremely nervous & depressed before going into the trenches, but I had no intention of wilfully leaving the trench. When proceeding up the communication trench a shell landed almost on the parapet, the shock completely demoralising me so that I was hardly responsible for what happened afterwards. I have but a hazy idea of leaving the trench. I remember asking Sergt Page of A Coy if he would come to the dressing station with me as I had an idea that I could get something from the MO which would put me right, but sergt Page said he could not. I must have got into panic as I was wandering about Vermelles all that night and next day. I strove to pull myself together & go back to the trenches but it was useless my nerves were completely gone & I was in a state of abject fear. That night I proceeded down to our transport at Sailly La Bourse where I was arrested by the Company Quarter Master Sergt."[/quote]
Pour les images de l’usine etc petit film
Sur AT5: après la pub un petit film
http://www.at5.nl/artikelen/25334/groot ... in-de-stad
Sur youtube l’auteur de roman
http://www.youtube.com/watch?v=oeaJW9Ksw18
Source
http://www.forumeerstewereldoorlog.nl/v ... 948#287948
@+
Patrick