Re: traduction pour Malancourt!
Publié : lun. mars 01, 2010 10:25 pm
Bonjour,
Voici un texte trouvé sur internet il y a longtemps mais sorti raide du traducteur automatique. L'un de vous a-t-il ou peut-il trouver le texte allemand
original qu'il faudrait retraduire vraiment sérieusement?
REICHSARCHIV
" DIE TRAGODIE VON VERDUN 1916 (3 UND 4 TEIL) 1929"
MARS 1916
Dans leur offensive, les 12ème et 22ème R.D. ont pris possession du MORT HOMME et de la forêt de Cumières et ceci à l'issue de durs combats. La 11 Infanterie Division et la 11 RD prirent possession de l'orée nord du bois d'Avocourt sous la hauteur de la côte 304. Pour la division, en quelques mots, le plan d'attaque de la rive gauche de la Meuse, la zone de combat était après la prise du MORTHOMME, la conquête de la côte 304.
En premier, il fallait prendre le sud-ouest de la forêt d'AVOCOURT, pour éviter le combat .
En 2ème partie, il fallait conquérir les côtes 279-270-275,4, les villages de MALANCOURT et HAUCOURT et le point nord dit " colline des Termites".
C'est le 11ème B.J.D. qui est chargé le 20 mars jusqu'au 22 chargé de prendre ces positions.
Depuis le 4 mars, les bavarois préparaient diverses divisions de combat pour la conquête de ces côtes. Dans la densité des sous-bois, il n'y avait pas de possibilité de voir l'ennemi. Les patrouilles en s'avançant avaient du mal, et tombèrent nez à nez sur les avants postes. De dures journées de travail commencèrent. Des tranchées furent creusées assez prêts des lignes ennemis afin de pénétrer assez facilement dans leurs positions et ceci avec l'appui de lances-mines et de lances flammes. Avec des "grenades de 28 cm ? et de lourdes mines ? ils détruisirent les abris et égalisait les tranchées. Sans pouvoir se défendre, les troupes bavaroises subirent de grosses pertes. Plus longtemps que prévu, l'offensive programmée pour le 9 mars ou les jours suivants a due être reportée, du au fait que l'avance sur l'aile gauche n'avançait pas aussi rapidement que prévue et ceci avant la prise du MORT HOMME. Le transfert de l'artillerie lourde fût déplacé du nord des FORGES ouest, dans les forêts de Cuisy et Montfaucon. Pour détruire la première tranchée ennemie, trop proche, 6 Cies de mitrailleuses furent réunies sous le commandement du cdt LINKE, la 11ème, 211, 222, 302, 18 et 33ème Cies de Bavière, avec 50 mortiers dirigèrent leurs tirs contre les lignes arrières. Un bombardement intense précède notre offensive, la forêt s'écroule comme un fétu de paille sous les tirs des lourdes mines, et ceci jusqu'à 3H30 (bombardement prévu de 8h du matin jusqu'à 4h de l'A.M.) les troupes éprouvèrent un soulagement, lorsqu'elles devaient passées à l'attaque ce 20 mars.
Vers 4heures, suite à des explosions de mines, on entendit sur la position du 21 Bavarois Infanterie Bataillon des "hourras" et des tirs d'infanterie ce qui présume la victoire. On n'entendit plus le bruit des mitrailleuses et des fusées rouges et blanches furent tirées. Les premiers prisonniers sortirent des tranchées. Entouré par la fumée des lances flammes les avants gardes des troupes d'assauts ne trouvèrent que des morts et dévastation dans les positions françaises.
Chaque mitrailleuse française a été prise sous le feu selon les ordres du Lt GUTENBERG (der Feld Flieg.Ubt. 34) , ensuite les troupes d'assaut attaquèrent avec les grenades à main et prirent la 2ème tranchée. Les tirs de mitrailleuses françaises furent réduits au silence au bout de quelques minutes suite à l'assaut des troupes lançant des grenades. Cela ne se passa pas aussi facilement du côté gauche pour le régiment d'Augsbourg. La 8ème Cie attend en vain la destruction du champ de mines et dont les détonateurs sont détruits. De précieuses minutes passèrent, l'artillerie continue à tirer en avant ce qui permit aux troupes se sortir de leurs tranchées et d'ouvrir les tirs. Le Lt de réserve BENISH 4ème bataillon, 6 cie de pionniers essaye en vain de sortir de la tranchée qu'ils occupent, mais la 6ème Cie est reçue par des tirs de mitrailleuses et de grenades, et le Lt de réserve BENISH et le Lt de réserve HENLE tombèrent ensemble. En effet, une "FLATTERMINE"(bombe à ailettes) a détruit et en ensevelissant l'avant des 5ème et 6ème Cie et des pionniers du 4 Bat./29. En vain, la 5ème Cie essaye d'atteindre le groupe 214-215, tandis que le groupe de combat 240-241 devait prendre l'ouest de la forêt. Ceux-ci ne purent progresser suite aux durs combats de grenades. Le renfort du 5ème Bat./3 dans la forêt, la 8ème R./10 n'arrivent pas à déloger l'ennemi. Ce n'est qu'après, que le 7Bat./3 dont le commandant le Lt de réserve FRISCH est tombé et que les français furent poussés hors de la forêt. Les pertes ; 3ème R.I. BAVIERE = 426 hommes, dont 2ème Bat. 237hommes 8ème Cie = 105 hommes et le II./R 10 = 158 hommes, 22ème R.I. BAVIERE 155 hommes, II, III/ Landwehr 120 seulement 50 hommes, ce qui parait peu vu l'intensité des combats.
La 57ème division d'infanterie française était presque complètement anéantie ; 2825 prisonniers, dont 58 officiers ** , 25 mitrailleuses, 3 canons et 9 lançeurs de mines. Tel est le butin récupéré. La capture du commandant de brigade et des 2 commandants de régiments démontre l'intensité des combats.
La prise du flanc de la côte 304, la perte de la forêt d'Avocourt est l'un des évènements les plus importants. Le 22 mars après la victoire devait apporter un peu de répit.
Afin d'unifier les combats sur les positions ennemies, le général en chef du VI ème R.R. (Corps de réserve) a décidé de scinder l'attaque, appellée "SCHLESIEN". Les 2 régiments du 11 R.D.(réserve division ?) . 10 avec 4 pionniers, 29 à droite régiments von KEITH (22) avec pionniers 283 à gauche. A 12 heures, une première attaque sur les côtes 270 et 275,4 devait s'emparer de l'ouest d'HAUCOURT, à 5 heures de l'après midi contre les points essentiels, les côtes 292, 289, 284, HAUCOURT et le sud ouest de MALANCOURT. Cette 2ème attaque devait permettre aux bavarois qui étaient à l'orée du bois d'AVOCOURT de s'emparer de la côte 279, les tranchées 246, 247, 250 et 251. Le combat commencé à 12 heures pile avec la participation des 2 régiments de Sélésie est considéré comme la victoire la plus importante* suite aux durs combats, l'artillerie lourde a perdue 1 officier, 127 hommes, fusa. (?) batterie 207 en une 1/2 heure 18, 14 du même groupe Tretrop 19. 1 er bataillon fa. (?) 21, Lt RITTER VON SCHOPF, il fallait reprendre le 22 mars le matériel d'infanterie derrière les premières lignes car les 3/4 du matériel était enseveli. ** il a été noté 1300 hommes du 111ème R.I. à l'est, 900 hommes du 258 R.I. à l'ouest de la zone combat et 400 hommes du
(107RIT) suspectà vérifier
merci d'avance
Bien cordialement.
CC
Voici un texte trouvé sur internet il y a longtemps mais sorti raide du traducteur automatique. L'un de vous a-t-il ou peut-il trouver le texte allemand
original qu'il faudrait retraduire vraiment sérieusement?
REICHSARCHIV
" DIE TRAGODIE VON VERDUN 1916 (3 UND 4 TEIL) 1929"
MARS 1916
Dans leur offensive, les 12ème et 22ème R.D. ont pris possession du MORT HOMME et de la forêt de Cumières et ceci à l'issue de durs combats. La 11 Infanterie Division et la 11 RD prirent possession de l'orée nord du bois d'Avocourt sous la hauteur de la côte 304. Pour la division, en quelques mots, le plan d'attaque de la rive gauche de la Meuse, la zone de combat était après la prise du MORTHOMME, la conquête de la côte 304.
En premier, il fallait prendre le sud-ouest de la forêt d'AVOCOURT, pour éviter le combat .
En 2ème partie, il fallait conquérir les côtes 279-270-275,4, les villages de MALANCOURT et HAUCOURT et le point nord dit " colline des Termites".
C'est le 11ème B.J.D. qui est chargé le 20 mars jusqu'au 22 chargé de prendre ces positions.
Depuis le 4 mars, les bavarois préparaient diverses divisions de combat pour la conquête de ces côtes. Dans la densité des sous-bois, il n'y avait pas de possibilité de voir l'ennemi. Les patrouilles en s'avançant avaient du mal, et tombèrent nez à nez sur les avants postes. De dures journées de travail commencèrent. Des tranchées furent creusées assez prêts des lignes ennemis afin de pénétrer assez facilement dans leurs positions et ceci avec l'appui de lances-mines et de lances flammes. Avec des "grenades de 28 cm ? et de lourdes mines ? ils détruisirent les abris et égalisait les tranchées. Sans pouvoir se défendre, les troupes bavaroises subirent de grosses pertes. Plus longtemps que prévu, l'offensive programmée pour le 9 mars ou les jours suivants a due être reportée, du au fait que l'avance sur l'aile gauche n'avançait pas aussi rapidement que prévue et ceci avant la prise du MORT HOMME. Le transfert de l'artillerie lourde fût déplacé du nord des FORGES ouest, dans les forêts de Cuisy et Montfaucon. Pour détruire la première tranchée ennemie, trop proche, 6 Cies de mitrailleuses furent réunies sous le commandement du cdt LINKE, la 11ème, 211, 222, 302, 18 et 33ème Cies de Bavière, avec 50 mortiers dirigèrent leurs tirs contre les lignes arrières. Un bombardement intense précède notre offensive, la forêt s'écroule comme un fétu de paille sous les tirs des lourdes mines, et ceci jusqu'à 3H30 (bombardement prévu de 8h du matin jusqu'à 4h de l'A.M.) les troupes éprouvèrent un soulagement, lorsqu'elles devaient passées à l'attaque ce 20 mars.
Vers 4heures, suite à des explosions de mines, on entendit sur la position du 21 Bavarois Infanterie Bataillon des "hourras" et des tirs d'infanterie ce qui présume la victoire. On n'entendit plus le bruit des mitrailleuses et des fusées rouges et blanches furent tirées. Les premiers prisonniers sortirent des tranchées. Entouré par la fumée des lances flammes les avants gardes des troupes d'assauts ne trouvèrent que des morts et dévastation dans les positions françaises.
Chaque mitrailleuse française a été prise sous le feu selon les ordres du Lt GUTENBERG (der Feld Flieg.Ubt. 34) , ensuite les troupes d'assaut attaquèrent avec les grenades à main et prirent la 2ème tranchée. Les tirs de mitrailleuses françaises furent réduits au silence au bout de quelques minutes suite à l'assaut des troupes lançant des grenades. Cela ne se passa pas aussi facilement du côté gauche pour le régiment d'Augsbourg. La 8ème Cie attend en vain la destruction du champ de mines et dont les détonateurs sont détruits. De précieuses minutes passèrent, l'artillerie continue à tirer en avant ce qui permit aux troupes se sortir de leurs tranchées et d'ouvrir les tirs. Le Lt de réserve BENISH 4ème bataillon, 6 cie de pionniers essaye en vain de sortir de la tranchée qu'ils occupent, mais la 6ème Cie est reçue par des tirs de mitrailleuses et de grenades, et le Lt de réserve BENISH et le Lt de réserve HENLE tombèrent ensemble. En effet, une "FLATTERMINE"(bombe à ailettes) a détruit et en ensevelissant l'avant des 5ème et 6ème Cie et des pionniers du 4 Bat./29. En vain, la 5ème Cie essaye d'atteindre le groupe 214-215, tandis que le groupe de combat 240-241 devait prendre l'ouest de la forêt. Ceux-ci ne purent progresser suite aux durs combats de grenades. Le renfort du 5ème Bat./3 dans la forêt, la 8ème R./10 n'arrivent pas à déloger l'ennemi. Ce n'est qu'après, que le 7Bat./3 dont le commandant le Lt de réserve FRISCH est tombé et que les français furent poussés hors de la forêt. Les pertes ; 3ème R.I. BAVIERE = 426 hommes, dont 2ème Bat. 237hommes 8ème Cie = 105 hommes et le II./R 10 = 158 hommes, 22ème R.I. BAVIERE 155 hommes, II, III/ Landwehr 120 seulement 50 hommes, ce qui parait peu vu l'intensité des combats.
La 57ème division d'infanterie française était presque complètement anéantie ; 2825 prisonniers, dont 58 officiers ** , 25 mitrailleuses, 3 canons et 9 lançeurs de mines. Tel est le butin récupéré. La capture du commandant de brigade et des 2 commandants de régiments démontre l'intensité des combats.
La prise du flanc de la côte 304, la perte de la forêt d'Avocourt est l'un des évènements les plus importants. Le 22 mars après la victoire devait apporter un peu de répit.
Afin d'unifier les combats sur les positions ennemies, le général en chef du VI ème R.R. (Corps de réserve) a décidé de scinder l'attaque, appellée "SCHLESIEN". Les 2 régiments du 11 R.D.(réserve division ?) . 10 avec 4 pionniers, 29 à droite régiments von KEITH (22) avec pionniers 283 à gauche. A 12 heures, une première attaque sur les côtes 270 et 275,4 devait s'emparer de l'ouest d'HAUCOURT, à 5 heures de l'après midi contre les points essentiels, les côtes 292, 289, 284, HAUCOURT et le sud ouest de MALANCOURT. Cette 2ème attaque devait permettre aux bavarois qui étaient à l'orée du bois d'AVOCOURT de s'emparer de la côte 279, les tranchées 246, 247, 250 et 251. Le combat commencé à 12 heures pile avec la participation des 2 régiments de Sélésie est considéré comme la victoire la plus importante* suite aux durs combats, l'artillerie lourde a perdue 1 officier, 127 hommes, fusa. (?) batterie 207 en une 1/2 heure 18, 14 du même groupe Tretrop 19. 1 er bataillon fa. (?) 21, Lt RITTER VON SCHOPF, il fallait reprendre le 22 mars le matériel d'infanterie derrière les premières lignes car les 3/4 du matériel était enseveli. ** il a été noté 1300 hommes du 111ème R.I. à l'est, 900 hommes du 258 R.I. à l'ouest de la zone combat et 400 hommes du
(107RIT) suspectà vérifier
merci d'avance
Bien cordialement.
CC