Photos marquantes ...
Publié : lun. déc. 29, 2025 6:17 pm
Bonjour,
C'est bien beau Gallica et les recherches dans les journaux d'époque et dans les millions d'archives maintenant numérisées, dont certains sont devenus de vrais experts, bravo à Eux. Mais pour changer j'ouvre ce sujet pour y présenter quelques photos marquantes sur les horreurs de ce conflit, pour ne jamais oublier ! (photos que j'ai publiées par ailleurs) :
SOURCES : sites divers sur internet
1- Leur biens les plus précieux : une toile de tente et une gamelle...
2- Mort depuis peu, encore en rigidité cadavérique
3- Les bottes des Allemands étaient très prisées, bien mieux que les chaussures à clous avec des bandes molletières : on a dépouillé ce mort de ces bottes. Qu'en pense Dieu qui assiste à ce spectacle ?
4- La banalité de cotoyer les morts. Localisée à Souain, sans certitude.
5- La gestion des morts. La légende est : Landsturmmänner begin the unenviable of transferring the bodies of fallen soldiers from their field graves into a temporary cas...
6- Encore la gestion des morts, mais cette fois c'est l'âme du mort et non son corps, que le religieux va envoyer dans l'au-delà. L'homme a visiblement été amputé d'une jambe. Dommage qu'on ne puisse pas lire son nom sur la croix.
7- Après l'assaut, dans la tranchée conquise. La légende est : French soldiers pose behind the bodies of two german soldiers, killed in the fighting for their position
8- Ceux-là sont déja décharnés :
9- Une fosse commune, souvent nécessaire pour éviter les problèmes sanitaires :
10 : Une photo parfois publiée car elle montre bien l'hécatombe de masse et surtout... le besoin de créer des tranchées en zig-zag pour éviter la prise en enfilade... On ne distingue pas vraiment la nationalité des morts, mais on peu supposer que ce sont des Allemands, vu que des Français observent la scène. Si cette tranchée n'a pas été creusée pour enterrer ces morts, elle servira à coup sur à les y enterrer.
la légende donnée est : "bataille de Champagne 1915" (présence du casque français, donc à partir de septembre 1915)
à suivre, peut-être ...
Cordialement
C'est bien beau Gallica et les recherches dans les journaux d'époque et dans les millions d'archives maintenant numérisées, dont certains sont devenus de vrais experts, bravo à Eux. Mais pour changer j'ouvre ce sujet pour y présenter quelques photos marquantes sur les horreurs de ce conflit, pour ne jamais oublier ! (photos que j'ai publiées par ailleurs) :
SOURCES : sites divers sur internet
1- Leur biens les plus précieux : une toile de tente et une gamelle...
2- Mort depuis peu, encore en rigidité cadavérique
3- Les bottes des Allemands étaient très prisées, bien mieux que les chaussures à clous avec des bandes molletières : on a dépouillé ce mort de ces bottes. Qu'en pense Dieu qui assiste à ce spectacle ?
4- La banalité de cotoyer les morts. Localisée à Souain, sans certitude.
5- La gestion des morts. La légende est : Landsturmmänner begin the unenviable of transferring the bodies of fallen soldiers from their field graves into a temporary cas...
6- Encore la gestion des morts, mais cette fois c'est l'âme du mort et non son corps, que le religieux va envoyer dans l'au-delà. L'homme a visiblement été amputé d'une jambe. Dommage qu'on ne puisse pas lire son nom sur la croix.
7- Après l'assaut, dans la tranchée conquise. La légende est : French soldiers pose behind the bodies of two german soldiers, killed in the fighting for their position
8- Ceux-là sont déja décharnés :
9- Une fosse commune, souvent nécessaire pour éviter les problèmes sanitaires :
10 : Une photo parfois publiée car elle montre bien l'hécatombe de masse et surtout... le besoin de créer des tranchées en zig-zag pour éviter la prise en enfilade... On ne distingue pas vraiment la nationalité des morts, mais on peu supposer que ce sont des Allemands, vu que des Français observent la scène. Si cette tranchée n'a pas été creusée pour enterrer ces morts, elle servira à coup sur à les y enterrer.
la légende donnée est : "bataille de Champagne 1915" (présence du casque français, donc à partir de septembre 1915)
à suivre, peut-être ...
Cordialement