Forum PAGES 14-18

Bonjour,
demain, vendredi 14 mars à 19 h, dans la salle de la communauté de communes de Suippes, Michel GODIN, ancien maire de Suippes et historien, évoquera les fusillés pour l'exemple, les Caporaux de Suippes.
L'entrée est libre mais il est prudent de réserver au 03 26 68 24 09.
Cordialement
Alain

girodacle a écrit : ↑jeu. mars 13, 2025 9:44 am Bonjour,
demain, vendredi 14 mars à 19 h, dans la salle de la communauté de communes de Suippes, Michel GODIN, ancien maire de Suippes et historien, évoquera les fusillés pour l'exemple, les Caporaux de Suippes.
L'entrée est libre mais il est prudent de réserver au 03 26 68 24 09.
Cordialement
Alain

Bonjour,

Ne serait-ce pas plutot la dénomination habituelle des "caporaux de Souain" ?

Au revoir.

Bonjour,
exacte, le monument qui leur rend hommage à Suippes m'a perturbé.
Alain

girodacle a écrit : ↑jeu. mars 13, 2025 10:54 am Bonjour,
exacte, le monument qui leur rend hommage à Suippes m'a perturbé.
Alain

ya pas d'mal ! Bonjour !

J'ai récemment parcouru les lieux du Moulin de Souain et je peux dire qu'il n'y a plus aucune trace des combats, ni bien sur dudit moulin.

Même pas le moindre éclat d'obus, alors que sur d'autres endroits, comme par exemple entre Auberive et l'épine de Vedegrange, on trouve encore de nombreuses traces au sol, telles que canif, cuillère, clé d'ouverture de boite de sardine, éclats d'obus, etc... mais au Moulin de Souain, plus rien, si ce n'est le souvenir de ce qui s'est passé.

Un des premiers livre sur le sujet fut celui-ci (voir photo ci-dessous). Depuis, l'affaire a été reprise maintes fois, y compris avec des pièces de théatre, etc...



Avec cette carte et un simple GPS de voiture, genre Tomton, on peut bien se repérer sur les lieux, ce qui jadis n'était pas possible.

Bonjour,

Et même un téléfilm ( https://www.youtube.com/watch?v=IzjxU5PkbOA ), mais le plus intéressant reste les commentaires des internautes (422 commentaires à ce jour)

Exemple du dernier commentaire :

"J'ai eu l'occasion de trouver les lettres de ma grand-mère paternelle avec son mari , l'état français a envoyé tous ces hommes sans nourriture, les trois quarts du temps. Dans ses courriers, mon grand-père demandait de la nourriture, du chocolat , des pastilles pour la gorge etc etc. Tous ces hommes partaient le ventre creux et tout leur paquetage sur le dos au front, il est décédé à la première offensive dans la somme, il était infirmier".

Bonjour,
un peu de lecture.
Cordialement.