"L'armée de 1917" par le capitaine Z
Publié : jeu. nov. 28, 2024 7:02 pm
"L'armée de 1917" par le capitaine Z. Publié en 1917.
L'auteur, officier, qui a souhaité rester anonyme, y présente sa vision du commandement, de la gestion RH des troupes et des rôles qui devraient être dédiés à chacun, dans la hiérarchie.
J'ai trouvé cela assez intéressant.
Il cite cependant, page 17, un fait qui m'a surpris et que lui, souhaiterait voir publié dans tous les journaux d'Europe: "A la nuit tombante, le tir ennemi cesse subrepticement et s'allonge. C'est l'heure des boches pensons nous... l'attaque se déclenche en effet, escalade des pentes du fort , là, tout près, et vient se briser sur les fils de fer, fauchée par nos mitrailleuses. Demain, nous verrons du parapet, tous ces hommes arrêtés en pleine course, encore vêtus de nos uniformes : capotes, sac, gamelle, même le casque ! "
Évidemment, il prend cet exemple pour montrer la perfidie de l'Allemand et dans la citation suivante expose la bonté française, qui met à l'abri les prisonniers ennemis, tandis que lui reste exposé, faute de suffisamment de place dans l'abri. C'est la seule outrance que j'ai relevée, le reste du livre ne relève pas du tout de ce manichéisme.
Avez-vous déjà entendu parler de ruses pareilles dans ce conflit ou est-ce juste rumeur ou propagande?
L'auteur, officier, qui a souhaité rester anonyme, y présente sa vision du commandement, de la gestion RH des troupes et des rôles qui devraient être dédiés à chacun, dans la hiérarchie.
J'ai trouvé cela assez intéressant.
Il cite cependant, page 17, un fait qui m'a surpris et que lui, souhaiterait voir publié dans tous les journaux d'Europe: "A la nuit tombante, le tir ennemi cesse subrepticement et s'allonge. C'est l'heure des boches pensons nous... l'attaque se déclenche en effet, escalade des pentes du fort , là, tout près, et vient se briser sur les fils de fer, fauchée par nos mitrailleuses. Demain, nous verrons du parapet, tous ces hommes arrêtés en pleine course, encore vêtus de nos uniformes : capotes, sac, gamelle, même le casque ! "
Évidemment, il prend cet exemple pour montrer la perfidie de l'Allemand et dans la citation suivante expose la bonté française, qui met à l'abri les prisonniers ennemis, tandis que lui reste exposé, faute de suffisamment de place dans l'abri. C'est la seule outrance que j'ai relevée, le reste du livre ne relève pas du tout de ce manichéisme.
Avez-vous déjà entendu parler de ruses pareilles dans ce conflit ou est-ce juste rumeur ou propagande?