Forum PAGES 14-18

Bonjour,

J'ai un problème d'interprétation de la fiche matricule suivante que je vous propose de lire :

https://archivesenligne.pasdecalais.fr/ ... te=1r_9267

En résumé, ce sergent est cité à l'ordre de la division suite aux combats du 6 au 8 novembre 1918. Les documents de famille l'attestent.

Mais il est également écrit qu'il est muté fin octobre 1918 dans le camp de prisonniers de Carpiagne puis dans celui de Marseille.

Je pense qu'il s'agit d'une erreur du militaire qui a complété la fiche matricule.

Il y a ici un certain nombre de personnes qui sont également habituées à lire ces fiches et vos avis m'intéressent.

Merci d'avance, cordialement, Hervé.

Bonjour Hervé
La fiche est claire et sans erreur
En France , dans tous les camps de prisonniers , il faut du personnel français pour gérer la maintenance
amicalement
Alain

Bonjour Alain,

Je suis de ton avis pour ce personnel mais la citation indiquée est précise et comme déjà écrit, les documents de famille l'attestent tout comme la citation dans la fiche matricule.
Pas facile de s'y retrouver.
Merci d'avoir donné ton avis, amicalement, Hervé.

Bonjour Hervé

Je pense à une erreur de transcription du rédacteur : confusion sur la date 30 X 1918 traduit en 30 octobre 1918 au lieu de 30 décembre 1918.

Cela devient cohérent avec son parcours et celui de son régiment. En effet le 8 R.I. est à Mayence en Allemagne à partir de décembre, le besoin en effectif est moindre alors qu'à l'arrière, le besoin est croissant pour l'assainissement des champs de bataille et surtout la garde des prisonniers.
De nombreuses CPG (j'ai une doute sur l'abréviation), compagnies de garde des prisonniers de guerre voit le jour. Leur effectif est prélevé sur les régiments.

Bonne journée
Jérôme

Hé oui Hervé
il s'agit d'une erreur de retranscription de sa fiche
je suis allé trop vite
alain

Bonjour,
Tout à fait de l'avis de Jérôme. L'erreur de transcription est manifeste.
Cordialement
Bernard

Bonjour Jérôme, Bernard,

Merci à vous deux ainsi qu'à Alain.
Cette question est réglée, M...... nous avions raison hier de douter.
Bien amicalement, Hervé.