14e régiment d'infanterie territoriale
18 décembre 1917
Ordre du régiment N° 141
Le Lieutenant-Colonel, comandant, cite à l'ordre du régiment les militaires dont les noms suivent :
FROIDEVAUX Ulysse, Sergent-Major, classe 1896, matricule 740, 2e Cie
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
DUVAL Albert, Sergent, classe 1896, matricule 780, C.M. 1
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
COLIN Gabriel, Sergent, classe 1893, matricule 13559, C.M. 1
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
SALÉ Henri, Sergent, classe 1895, matricule 16607, 9e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
LEROY Porphyre, Sergent, classe 1896, matricule 707, 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
YSSEMBOURG Paul, caporal, classe 1894, matricule 15419, C.M. 1
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
Blessé sur l'Yser.
GISLOUX Lucien, caporal, classe 1893, matricule 13786, 9e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
DELOISON Albert, caporal, classe 1893, matricule 1390, 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
et "grièvement blessé en Belgique"
DERAY Gustave, 2e classe, classe, matricule 17377, 9e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
MARIDEL Joseph, 2e classe, classe 1896, matricule 3767, 9e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
ROBART Emile, 2e classe, classe 1896, matricule 711, 9e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
DOUDOUX Alexis, 2e classe, classe 1896, matricule 367, 9e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
et une blessure
DOUCHET Eugène, 2e classe, classe 1896, matricule 739, 11e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
et une blessure
CAUCHOIS Alfred, 2e classe, classe 1896, matricule 578, 11e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans de front avec le régiment. A fait preuve notamment en Belgique et en Artois, de dévouement, de courage et de sang-froid."
FOUCART Edouard, caporal, classe 1895, matricule 17825, C.H.R.
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
LHÉRITIER Maurice, caporal, classe 1893, matricule 13801, C.H.R.
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
TESTU Charles, caporal, classe 1896, matricule 856, 1ère Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
THIÉBAULT Louis, caporal, classe 1896, matricule 682, C.M. 1
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
DUBUISSON Marcel, caporal, classe 1896, matricule 718, 5e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
DUCASTEL Léonce, caporal, classe 1896, matricule 1887, 6e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
DELAPORTE Adéodat, caporal, classe 1895, matricule 17311, C.M. 2
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
DARRAS Jean-Baptiste, caporal, classe 1895, matricule 17632, P.E.M. 3e bataillon
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
et une blessure
DIVES Henri, caporal, classe 1896, matricule 769, C.M. 3
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
MANTEL Emile, caporal, classe 1896, matricule 396, C.M. 3
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
RAFFAISIN Albert, 2e classe, classe 1895, matricule 17509, C.H.R.
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
HUMBERT Victor, 2e classe, classe 1895, matricule 17550, 3e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
ALLÉE Charles, 2e classe, classe 1895, matricule 17714, C.M. 1
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
JAVELOT Emile, 2e classe, classe 1895, matricule 17513, 1ère Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
JUNG Henri, 2e classe, classe 1895, matricule 17512, 1ère Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
BOULLY Eugène, 2e classe, classe 1893, matricule 14479, 1ère Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
MACLARD Fulbert, 2e classe, classe 1895, matricule 17093, 2e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
GRÉGOIRE Arioste, 2e classe, classe 1895, matricule 17003, 2e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
LEROY Georges, 2e classe, classe 1895, matricule 17123, 5e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
CARPENTIER Amédée, 2e classe, classe 1896, matricule 416, 5e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
LECLERCQ François, 2e classe, classe 1895, matricule 17117, 5e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
BRUHIER Jules, 2e classe, classe 1896, matricule 783, 5e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
GARDAIS Joseph, 2e classe, classe 1894, matricule 11834, 5e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
SENÉ Charles, 2e classe, classe 1895, matricule 428, 6e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
CORDIER Eugène, 2e classe, classe 1896, matricule 1901, 7e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
DELACROIX Brice, 2e classe, classe 1896, matricule 3.377, 7e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
blessé à Nieuport.
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 48/54
14e régiment d'infanterie territoriale
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
Dernière modification par ae80 le mar. janv. 09, 2024 4:11 pm, modifié 1 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
14e régiment d'infanterie territoriale
18 décembre 1917
Ordre du régiment N° 141
Le Lieutenant-Colonel, comandant, cite à l'ordre du régiment les militaires dont les noms suivent :
LEROY Charles, 2e classe, classe 1895, matricule 17192, 7e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
TALBOT Adolphe, 2e classe, classe 1895, matricule 17639, 7e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
PRUVOT Charles, 2e classe, classe 1895, matricule 17209, 7e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
Cultivateur à Boismont, canton de Saint-Valery-sur-Somme, il mesure 1 mètre 72. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Il effectue son service au 120e d'infanterie entre novembre 1896 et septembre 1899.
Rappelé à l'activité en août 1914 lors de la mobilisation générale au 14e régiment territorial d'infanterie. Il arrive à Abbeville le 4 août 1914 et dès le lendemain rejoint les armées du Nord et du Nord-Est avec les éléments de son régiment, n° matricule au corps : 17209.
Décoration : Croix de guerre avec étoile de bronze (voir citation ci-dessus)
Mis en congé illimité de démobilisation le 28 janvier 1919.
Pruvot, Charles Ernest, né le 09 novembre 1875 à Saint-Valery-sur-Somme (Somme), classe 1895, matricule n° 1247, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R868 Archives de la Somme
PAUCHET Alcide, 2e classe, classe 1895, matricule 733, C.M. 2
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
GRIBEAUVAL Arsène, 2e classe, classe 1895, matricule 17427, C.M. 2
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
FARCY Louis, 2e classe, classe 1895, matricule 17069, C.M. 2
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
BELPÈCHE Louis, 2e classe, classe 1895, matricule 17341, 11e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
LORGE Adéodat, 2e classe, classe 1896, matricule 17336, 11e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
BELLEGUEULE Gaston, 2e classe, classe 1895, matricule 17440, 11e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
PAUCHET Gustave, 2e classe, classe 1896, matricule 469, C.M. 3
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
THUILLIER Louis, 2e classe, classe 1895, matricule 17793, C.M. 3
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
LEGRAND Albert, sergent, classe 1895, matricule 16185, 6e Cie
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
LECOANET Célestin, sergent, classe 1896, matricule 222, 6e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
PETTEX Urbain, sergent, classe 1896, matricule 2581, C.M. 2
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
MONORY Ernest, caporal, caporal 1894, matricule 401, 3e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
LHOSTE François, caporal, classe 1894, matricule 18417, 2e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
BURGER Jules, caporal, classe 1896, matricule 16924, 6e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
OBRON Hippolyte, caporal, classe 1895, matricule 17159, P.E.M. 2e bataillon
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
GREDÉ Joseph, caporal, classe 1895, matricule 17412, 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
à suivre .../
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 49/54
18 décembre 1917
Ordre du régiment N° 141
Le Lieutenant-Colonel, comandant, cite à l'ordre du régiment les militaires dont les noms suivent :
LEROY Charles, 2e classe, classe 1895, matricule 17192, 7e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
TALBOT Adolphe, 2e classe, classe 1895, matricule 17639, 7e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
PRUVOT Charles, 2e classe, classe 1895, matricule 17209, 7e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
Cultivateur à Boismont, canton de Saint-Valery-sur-Somme, il mesure 1 mètre 72. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Il effectue son service au 120e d'infanterie entre novembre 1896 et septembre 1899.
Rappelé à l'activité en août 1914 lors de la mobilisation générale au 14e régiment territorial d'infanterie. Il arrive à Abbeville le 4 août 1914 et dès le lendemain rejoint les armées du Nord et du Nord-Est avec les éléments de son régiment, n° matricule au corps : 17209.
Décoration : Croix de guerre avec étoile de bronze (voir citation ci-dessus)
Mis en congé illimité de démobilisation le 28 janvier 1919.
Pruvot, Charles Ernest, né le 09 novembre 1875 à Saint-Valery-sur-Somme (Somme), classe 1895, matricule n° 1247, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R868 Archives de la Somme
PAUCHET Alcide, 2e classe, classe 1895, matricule 733, C.M. 2
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
GRIBEAUVAL Arsène, 2e classe, classe 1895, matricule 17427, C.M. 2
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
FARCY Louis, 2e classe, classe 1895, matricule 17069, C.M. 2
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
BELPÈCHE Louis, 2e classe, classe 1895, matricule 17341, 11e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
LORGE Adéodat, 2e classe, classe 1896, matricule 17336, 11e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
BELLEGUEULE Gaston, 2e classe, classe 1895, matricule 17440, 11e Cie
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
PAUCHET Gustave, 2e classe, classe 1896, matricule 469, C.M. 3
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
THUILLIER Louis, 2e classe, classe 1895, matricule 17793, C.M. 3
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
LEGRAND Albert, sergent, classe 1895, matricule 16185, 6e Cie
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
LECOANET Célestin, sergent, classe 1896, matricule 222, 6e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
PETTEX Urbain, sergent, classe 1896, matricule 2581, C.M. 2
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
MONORY Ernest, caporal, caporal 1894, matricule 401, 3e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
LHOSTE François, caporal, classe 1894, matricule 18417, 2e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
BURGER Jules, caporal, classe 1896, matricule 16924, 6e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
OBRON Hippolyte, caporal, classe 1895, matricule 17159, P.E.M. 2e bataillon
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
GREDÉ Joseph, caporal, classe 1895, matricule 17412, 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
à suivre .../
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 49/54
Dernière modification par ae80 le lun. févr. 05, 2024 10:17 am, modifié 1 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
14e régiment d'infanterie territoriale
18 décembre 1917
Ordre du régiment N° 141
Le Lieutenant-Colonel, comandant, cite à l'ordre du régiment les militaires dont les noms suivent :
GRIBEAUVAL Arsène, 2e classe, classe 1895, matricule 17427, C.M. 2
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
GRIBEAUVAL Arsène Adoléa Lucius, né le 18 février 1875 à Bertrancourt (Somme)
Cultivateur à Bertrancourt, commune située au nord-est du chef-lieu de canton, Acheux-en-Amiénois (Somme). Il se présente devant le conseil de révision du canton, en 1895, au cours de sa vingtième année. Il sera ajourné en 1896 et 1897, avant d'être jugé "Bon pour pour le service" l'année suivante. Il sera donc incorporé au 45e régiment d'infanterie entre novembre 1898 et septembre 1899.
Il accomplit une période d'exercices au sein du 14e R.I.T. du 25 mai au 2 juin 1910.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il arrive à Abbeville le 4 août pour y rejoindre le 14e régiment territorial d'infanterie. Il reçoit le n° matricule au corps 17427. Dès le lendemain, il est dirigé avec les éléments de son régiment déjà disponibles vers les armées du Nord et du Nord-Est.
Du 4 août 1914 au 25 janvier1919, il restera aux armées. A cette date, il sera mis en congé illimité de démobilisation (1er échelon n° 416 par le D.D. du 128e régiment d'infanterie et se retirera dans son village natal à Bertrancourt.
Gribeauval, Arsène Adoléa Lucius, né le 18 février 1875 à Bertrancourt (Somme), classe 1895, matricule n° 4, Bureau de recrutement d'Abbeville1R866Archives de la Somme
18 décembre 1917
Ordre du régiment N° 141
Le Lieutenant-Colonel, comandant, cite à l'ordre du régiment les militaires dont les noms suivent :
GRIBEAUVAL Arsène, 2e classe, classe 1895, matricule 17427, C.M. 2
(même motif)
"Durant 40 mois de campagne n'a cessé de faire preuve d'endurance, d'énergie et de dévouement et a pris part, en Belgique, en Artois et ailleurs à tous les combats dans lesquels le régiment a été engagé."
GRIBEAUVAL Arsène Adoléa Lucius, né le 18 février 1875 à Bertrancourt (Somme)
Cultivateur à Bertrancourt, commune située au nord-est du chef-lieu de canton, Acheux-en-Amiénois (Somme). Il se présente devant le conseil de révision du canton, en 1895, au cours de sa vingtième année. Il sera ajourné en 1896 et 1897, avant d'être jugé "Bon pour pour le service" l'année suivante. Il sera donc incorporé au 45e régiment d'infanterie entre novembre 1898 et septembre 1899.
Il accomplit une période d'exercices au sein du 14e R.I.T. du 25 mai au 2 juin 1910.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il arrive à Abbeville le 4 août pour y rejoindre le 14e régiment territorial d'infanterie. Il reçoit le n° matricule au corps 17427. Dès le lendemain, il est dirigé avec les éléments de son régiment déjà disponibles vers les armées du Nord et du Nord-Est.
Du 4 août 1914 au 25 janvier1919, il restera aux armées. A cette date, il sera mis en congé illimité de démobilisation (1er échelon n° 416 par le D.D. du 128e régiment d'infanterie et se retirera dans son village natal à Bertrancourt.
- 14e RIT GRIBEAUVAL 2.jpg (139.5 Kio) Consulté 501 fois
Gribeauval, Arsène Adoléa Lucius, né le 18 février 1875 à Bertrancourt (Somme), classe 1895, matricule n° 4, Bureau de recrutement d'Abbeville1R866Archives de la Somme
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
14e régiment d'infanterie territoriale
GIGNON Charles, caporal, classe 1895, matricule 17373; 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
DELARACE Hector, 2e classe, classe 1894, matricule 15304, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé aux Éparges étant au 328e R.I."
BAZILLE Onésime, 2e classe, classe 1895, matricule 18123, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé aux Éparges étant au 328e R.I."
BAYARD Charles, 2e classe, classe 1893, matricule 363, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé en Belgique".
DUPÉ Alexandre, 2e classe, classe 1894, matricule 2001, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé aux Éparges étant au 328e R.I."
DHEILLY Fernand, 2e classe, classe 1894, matricule 15794, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Une blessure".
DHEILLY Fernand, né le 1er août 1874 Puchevillers (Somme), canton d'Acheux-en-Amiénois (Somme). Il exerce la profession de charron dans son village natal. cet Artisan qui construit et répare notamment les trains des véhicules à traction animale (charrettes, chariots, etc.) mesure 1 mètre 65. Il possède un degré d'instruction générale de niveau 3. Il a les cheveux et sourcils blonds, les yeux bleus, un front et un nez moyens, une bouche moyenne, un menton petit, sur un visage ovale.
'Bon pour le service", il est appelé au 8e bataillon de chasseurs à pied où il est incorporé à compter du 16 novembre 1895. Il est mis en congé le 17 septembre 1998, muni d'un certificat de bonne conduite.
En 1911, exerçant sa profession de charron, il habite rue de Raincheval à Puchevillers, avec sa famille composée de sa femme Anna, née en 1877 dans ce même village, et leurs enfants, Laura née en 1902, Gabriel né en 1905 et enfin Cécile en 1909.
Le 1er août 1914, il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale. Il répond à cet ordre et se présente le 13 août suivant à la caserne d'Abbeville pour intégrer les rangs du 14e régiment territorial d'infanterie. Là, il lui est attribué le n° matricule au corps : 15794.
Il est blessé par éclat d'obus, plaie en séton de la cuisse droite, tiers supérieur face antérieure, le 6 septembre 1915 à Bully-Calonne.
Il est cité à l'ordre du 14e régiment territorial d'infanterie N° 141 du 25 décembre 1917 (voir ci-dessus) et décoré de la Croix de guerre.
Il passe au 79e régiment territorial d'infanterie le 31 janvier 1918 puis au 25e régiment territorial d'infanterie, le 15 août 1918. Campagne contre l'Allemagne du 13 août 1914 au 6 janvier 1919. Il est mis en congé illimité de démobilisation, à cette date, et se retire alors dans le village dont il est originaire, à Puchevillers (Somme).
Dheilly, Fernand Ernest, né le 1er août 1874 à Puchevillers (Somme), classe 1894, matricule n° 36, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R854 Archives de la Somme
BROQUELET Léon, 2e classe, classe 1894, matricule 15436, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
Léon BROQUELET est employé de bureau à Abbeville dans sa vingtième année, alors qu'il se présente devant le conseil de révision. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Le 16 novembre 1896, il est incorporé au 120e d'infanterie de Péronne-Saint-Denis. Etant devenu fils ainé de veuve postérieurement à son arrivée sous les drapeaux, il est mis en congé, avec un certificat de bonne conduite, le 18 septembre de l'année suivante, en vertu de l'article 21 de la loi du 15 juillet 1889.
Dès 1901, il habite la subdivision de Versailles. En 1912, il demeure à Marly-le-Roi.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il arrive au 14e régiment territorial le 13 août suivant. Il passe au 11e régiment territorial d'infanterie le 23 février 1918, puis 2e groupe d'aviation le 8 mars de la même année. Il sera mis en congé illimité de démobilisation, le 30 décembre 1918. Il se retire alors au 5, place du Chenil, à Marly-le-Roi (Seine-et-Oise).
Broquelet, Léon Jules Charles, né le 10 décembre 1874 à Abbeville (Somme), classe 1894, matricule n° 407, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R854 Archives de la Somme
FOURNIER Jules, 2e classe, classe 1894, matricule 15341, 1ère Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
LE BODIC Eugène, 2e classe, classe 1894, matricule 15929, 2e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
MAREST Charles, 2e classe, classe 1894, matricule 515, 3e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
COLLOT Henri, 2e classe, classe 1893, matricule 396, 3e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
PETIT Philémon, 2e classe, classe 1895, matricule 17021, 6e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
HAMEL Achille, 2e classe, classe 1896, matricule 441, C.M. 2
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé sur l'Yser".
Cultivateur à Mesnil-Domqueur (Somme), ce jeune d'un mètre 66 après son passage devant le conseil de révision, effectue son service, l'année suivante au 128e d'infanterie entre novembre 1897 et septembre 1898. Postérieurement à son incorporation, il est devenu fils unique de veuve. En 1901 il demeure à Ailly-le-Haut-Clocher.
Entre le 29 mai et le 6 juin 1912, il prend part à une période d'exercices au sein du 14e R.I.T.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale, il arrive à Abbeville, caserne Courbet, le 4 août 1914, pour rejoindre les rangs du 14e régiment territorial d'infanterie. Un numéro matricule au corps lui est attribué le 441. Dès le lendemain, il se met en marche avec les éléments de son régiment déjà présents pour gagner les armées du Nord et du Nord-Est. cité à % du 14e régiment territorial d'infanterie n° 141 du 25 décembre 1917 (voir ci-dessus). Il passe au 11e régiment territorial d'infanterie, le 23 février 1918. Il est mis en congé illimité de démobilisation le 28 janvier 1919.
Hamel, Achille Ernest, né le 19 février 1876 à Ailly-le-Haut-Clocher (Somme), classe 1896, matricule n° 1094, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R880 Archives de la Somme
OGET Alfred, 2e classe, classe 1896, matricule 383, 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
GOUILLARD Alfred, clairon, classe 1896, matricule 335, 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
ZELLWEGER Arnold, caporal, classe 1893, matricule 3954, C.M. 1
"Durant 24 mois passés au régiment, s'est montré sous le feu, comme en toutes circonstances, énergique et dévoué."
b]ZELLWEGER[/b] Arnold, né le 30 septembre 1873 aux Vives Eaux (Suisse), il exerce la profession de sculpteur. Il demeure avenue Kléber, à Paris, dans le16e arrondissement. Il mesure 1 mètre 62, a les cheveux et sourcils blonds, les yeux bruns, le front large, le nez fort, la bouche grande, le menton rond et un visage ovale. Son degré d'instruction générale est évalué au niveau 2.
Classé dans le service armé en 1915 par la décision du conseil de révision de la Seine du 11 mars de cette année là (décret du 9 septembre 1914). Affecté au 12e régiment territorial d'infanterie, il est convoqué pour intégrer ce régiment qu'il rejoint le 2 avril 1915. Il passe au 14e régiment territorial d'infanterie, le 22 juin 1915 (n° matricule au corps : 015100. Nommé caporal le 31 août 1915 (ordre du régiment n° 16). Il passe au 96e régiment territorial d'infanterie le 30 novembre 1918. (décision inconnue). Mis en congé le 4 janvier 1919, il est démobilisé au Grand-Palais. Il se retire à Paris, Passage Poncelet où il réside depuis 1902.
cité à % du 14e régiment territorial d'infanterie n° 141 du 25 décembre 1917 (voir ci-dessus)
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
ZELLWEGER Arnold matricule 3954 D4R1 746
LUTEL Sosthène, caporal, classe 1894, matricule 15.723, P.E.M. 1er bataillon
(même motif)
LUTEL Sosthène Alix, né le 18 février 1874 à Pavillon, canton de Troyes (Aube). Cultivateur dans son village natal, fils unique de veuve, il effectue son service au 37e R.I. (1895-1896)
Rappelé par décret de mobilisation générale du 1er août 1914 au 47e R.I.T., il passe au 14e régiment territorial d'infanterie sur le front, le 17 novembre 1915. Nommé caporal brancardier, le 10 août 1916, ordre du 14e Territorial N° 24 - cité à % du 14e régiment territorial d'infanterie n° 141 du 25 décembre 1917 :
"Durant 24 mois passés au régiment, s'est montré sous le feu, et en toutes circonstances, énergique et dévoué."
Campagne contre l'Allemagne du 1er août 1914 au 29 décembre 1918. Mis en congé illimité de démobilisation le lendemain 30 décembre 1918.
Sources : archives départementales de l'Aube - 1894, 3 R 530
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 49/54
GIGNON Charles, caporal, classe 1895, matricule 17373; 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
DELARACE Hector, 2e classe, classe 1894, matricule 15304, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé aux Éparges étant au 328e R.I."
BAZILLE Onésime, 2e classe, classe 1895, matricule 18123, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé aux Éparges étant au 328e R.I."
BAYARD Charles, 2e classe, classe 1893, matricule 363, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé en Belgique".
DUPÉ Alexandre, 2e classe, classe 1894, matricule 2001, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé aux Éparges étant au 328e R.I."
DHEILLY Fernand, 2e classe, classe 1894, matricule 15794, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Une blessure".
DHEILLY Fernand, né le 1er août 1874 Puchevillers (Somme), canton d'Acheux-en-Amiénois (Somme). Il exerce la profession de charron dans son village natal. cet Artisan qui construit et répare notamment les trains des véhicules à traction animale (charrettes, chariots, etc.) mesure 1 mètre 65. Il possède un degré d'instruction générale de niveau 3. Il a les cheveux et sourcils blonds, les yeux bleus, un front et un nez moyens, une bouche moyenne, un menton petit, sur un visage ovale.
'Bon pour le service", il est appelé au 8e bataillon de chasseurs à pied où il est incorporé à compter du 16 novembre 1895. Il est mis en congé le 17 septembre 1998, muni d'un certificat de bonne conduite.
En 1911, exerçant sa profession de charron, il habite rue de Raincheval à Puchevillers, avec sa famille composée de sa femme Anna, née en 1877 dans ce même village, et leurs enfants, Laura née en 1902, Gabriel né en 1905 et enfin Cécile en 1909.
Le 1er août 1914, il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale. Il répond à cet ordre et se présente le 13 août suivant à la caserne d'Abbeville pour intégrer les rangs du 14e régiment territorial d'infanterie. Là, il lui est attribué le n° matricule au corps : 15794.
Il est blessé par éclat d'obus, plaie en séton de la cuisse droite, tiers supérieur face antérieure, le 6 septembre 1915 à Bully-Calonne.
Il est cité à l'ordre du 14e régiment territorial d'infanterie N° 141 du 25 décembre 1917 (voir ci-dessus) et décoré de la Croix de guerre.
Il passe au 79e régiment territorial d'infanterie le 31 janvier 1918 puis au 25e régiment territorial d'infanterie, le 15 août 1918. Campagne contre l'Allemagne du 13 août 1914 au 6 janvier 1919. Il est mis en congé illimité de démobilisation, à cette date, et se retire alors dans le village dont il est originaire, à Puchevillers (Somme).
Dheilly, Fernand Ernest, né le 1er août 1874 à Puchevillers (Somme), classe 1894, matricule n° 36, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R854 Archives de la Somme
BROQUELET Léon, 2e classe, classe 1894, matricule 15436, C.H.R.
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
Léon BROQUELET est employé de bureau à Abbeville dans sa vingtième année, alors qu'il se présente devant le conseil de révision. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Le 16 novembre 1896, il est incorporé au 120e d'infanterie de Péronne-Saint-Denis. Etant devenu fils ainé de veuve postérieurement à son arrivée sous les drapeaux, il est mis en congé, avec un certificat de bonne conduite, le 18 septembre de l'année suivante, en vertu de l'article 21 de la loi du 15 juillet 1889.
Dès 1901, il habite la subdivision de Versailles. En 1912, il demeure à Marly-le-Roi.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il arrive au 14e régiment territorial le 13 août suivant. Il passe au 11e régiment territorial d'infanterie le 23 février 1918, puis 2e groupe d'aviation le 8 mars de la même année. Il sera mis en congé illimité de démobilisation, le 30 décembre 1918. Il se retire alors au 5, place du Chenil, à Marly-le-Roi (Seine-et-Oise).
Broquelet, Léon Jules Charles, né le 10 décembre 1874 à Abbeville (Somme), classe 1894, matricule n° 407, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R854 Archives de la Somme
FOURNIER Jules, 2e classe, classe 1894, matricule 15341, 1ère Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
LE BODIC Eugène, 2e classe, classe 1894, matricule 15929, 2e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
MAREST Charles, 2e classe, classe 1894, matricule 515, 3e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
COLLOT Henri, 2e classe, classe 1893, matricule 396, 3e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
PETIT Philémon, 2e classe, classe 1895, matricule 17021, 6e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
HAMEL Achille, 2e classe, classe 1896, matricule 441, C.M. 2
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
et "Blessé sur l'Yser".
Cultivateur à Mesnil-Domqueur (Somme), ce jeune d'un mètre 66 après son passage devant le conseil de révision, effectue son service, l'année suivante au 128e d'infanterie entre novembre 1897 et septembre 1898. Postérieurement à son incorporation, il est devenu fils unique de veuve. En 1901 il demeure à Ailly-le-Haut-Clocher.
Entre le 29 mai et le 6 juin 1912, il prend part à une période d'exercices au sein du 14e R.I.T.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale, il arrive à Abbeville, caserne Courbet, le 4 août 1914, pour rejoindre les rangs du 14e régiment territorial d'infanterie. Un numéro matricule au corps lui est attribué le 441. Dès le lendemain, il se met en marche avec les éléments de son régiment déjà présents pour gagner les armées du Nord et du Nord-Est. cité à % du 14e régiment territorial d'infanterie n° 141 du 25 décembre 1917 (voir ci-dessus). Il passe au 11e régiment territorial d'infanterie, le 23 février 1918. Il est mis en congé illimité de démobilisation le 28 janvier 1919.
Hamel, Achille Ernest, né le 19 février 1876 à Ailly-le-Haut-Clocher (Somme), classe 1896, matricule n° 1094, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R880 Archives de la Somme
OGET Alfred, 2e classe, classe 1896, matricule 383, 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
GOUILLARD Alfred, clairon, classe 1896, matricule 335, 10e Cie
(même motif)
"Plus de trois ans au front pendant lesquels sous le feu comme en toutes circonstances, il s'est montré énergique et dévoué."
ZELLWEGER Arnold, caporal, classe 1893, matricule 3954, C.M. 1
"Durant 24 mois passés au régiment, s'est montré sous le feu, comme en toutes circonstances, énergique et dévoué."
b]ZELLWEGER[/b] Arnold, né le 30 septembre 1873 aux Vives Eaux (Suisse), il exerce la profession de sculpteur. Il demeure avenue Kléber, à Paris, dans le16e arrondissement. Il mesure 1 mètre 62, a les cheveux et sourcils blonds, les yeux bruns, le front large, le nez fort, la bouche grande, le menton rond et un visage ovale. Son degré d'instruction générale est évalué au niveau 2.
Classé dans le service armé en 1915 par la décision du conseil de révision de la Seine du 11 mars de cette année là (décret du 9 septembre 1914). Affecté au 12e régiment territorial d'infanterie, il est convoqué pour intégrer ce régiment qu'il rejoint le 2 avril 1915. Il passe au 14e régiment territorial d'infanterie, le 22 juin 1915 (n° matricule au corps : 015100. Nommé caporal le 31 août 1915 (ordre du régiment n° 16). Il passe au 96e régiment territorial d'infanterie le 30 novembre 1918. (décision inconnue). Mis en congé le 4 janvier 1919, il est démobilisé au Grand-Palais. Il se retire à Paris, Passage Poncelet où il réside depuis 1902.
cité à % du 14e régiment territorial d'infanterie n° 141 du 25 décembre 1917 (voir ci-dessus)
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
ZELLWEGER Arnold matricule 3954 D4R1 746
LUTEL Sosthène, caporal, classe 1894, matricule 15.723, P.E.M. 1er bataillon
(même motif)
LUTEL Sosthène Alix, né le 18 février 1874 à Pavillon, canton de Troyes (Aube). Cultivateur dans son village natal, fils unique de veuve, il effectue son service au 37e R.I. (1895-1896)
Rappelé par décret de mobilisation générale du 1er août 1914 au 47e R.I.T., il passe au 14e régiment territorial d'infanterie sur le front, le 17 novembre 1915. Nommé caporal brancardier, le 10 août 1916, ordre du 14e Territorial N° 24 - cité à % du 14e régiment territorial d'infanterie n° 141 du 25 décembre 1917 :
"Durant 24 mois passés au régiment, s'est montré sous le feu, et en toutes circonstances, énergique et dévoué."
Campagne contre l'Allemagne du 1er août 1914 au 29 décembre 1918. Mis en congé illimité de démobilisation le lendemain 30 décembre 1918.
Sources : archives départementales de l'Aube - 1894, 3 R 530
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 49/54
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
14e régiment d'infanterie territoriale
Modèle D
Relevé des mutations survenues pendant la campagne parmi les officiers (à partir du 1er juillet 1917)
GARRABOS Anatole, capitaine, arrivé au corps le 1er juillet venant du 64e R.I., affecté au 14e R.I.T. par note de service en date du 24 juin 1917 - affecté à la 4e Cie D.B.
DE FRANCE Louis, lieutenant-colonel, quitte le 14e R.I.T. à la date du 15 juillet pour rejoindre le 32 Dragons auquel il est affecté - il remet le commandement par intérim du régiment au commandant CHASSINAT du premier bataillon (décision du Général en chef du 6 juillet).
PLICHON Paul Victor, commandant, affecté au service des secteurs du pays reconquis par ordre du Général commandant la IIIe Armée, du 3 juillet 1917.
GARRABOS Anatole, capitaine, de la 4e Cie D.B., prend à la date du 8 juillet le commandement de la 9e Cie.
CLOGENSON Pierre Jean, commandant, rapport du 15 juillet ; par décision du Général commandant la IIIe Armée, M. le commandant GLOGENSON est nommé chef de bataillon au 14e R.I.T. (2e bataillon), en remplacement de M. le commandant PLICHON détaché.
J.O. du 4 novembre 1916 page 9551
M. CLOGENSON P., chef de bataillon territoriale au 103e régiment territorial d'infanterie, passe au 282e régiment territorial d'infanterie
J.O. du 5 juillet 1918 page 5825
M. CLOGENSON (P.J.P.), chef de bataillon territorial au 14e régiment territorial d'infanterie, passe au 64e régiment d'infanterie comme major.
FRUITIER Charles Ulrich, sous-lieutenant, passe de la 6e Cie à la 2e Cie à la date du 18 juillet (reste détaché à la 162e B.I.T.).
LE BEUF Marie Joseph, capitaine, par suite de la dissolution du D.B. en date du 18 juillet passe de la 12e Cie (D.B.) ) la 5e Cie.
DUPIRE Ovide Louis, lieutenant, par suite de la dissolution du D.B. en date du 18 juillet passe de la 8e Cie (D.B.) à la 3e Cie.
GOSSELIN Raymond Marie, sous-lieutenant, par suite de la dissolution du D.B. en date du 18 juillet passe de la 8e Cie (D.B.) à la 10e Cie.
SELLIER François Alphonse, sous-lieutenant, par suite de la dissolution du D.B. en date du 18 juillet passe de la 4e Cie (D.B.) à la 11e Cie.
GARCIN Fernand Joseph, lieutenant, arrivé au corps le 18 juillet 1917 et affecté à la 6e Cie - Venu au 14e R.I.T. en exécution du message téléphoné N° 7466 (CI du ministère de la Guerre en date du 11 juillet 1917).
JOUVEN Alphonse Benjamin, sous-lieutenant téléphoniste, en subsistance à la date du 21 juillet à la Cie P.G. 16 5.
LE BEUF Marie Joseph, capitaine, à la 5e Cie, détaché comme major de cantonnement d'Ugny-le-Gay.
VIELJEUX Léonce, lieutenant-colonel, arrivé au corps le 21 juillet 1917, venu du 45e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. par note N° 9481 du G.Q.G. du 9 juillet 1917.
BRUNER Emile Stanislas, sous-lieutenant, affecté à l'armée polonaise constituée en France (note du G.Q.G. du 31 juillet N° 33760.
En conséquence M. le sous-lieutenant BRUNER cesse de faire partie à compter de ce jour du 14e RIT.
GARCIN F.J.M., capitaine, par décision ministérielle en date du 7 août 1917, la nomination à titre définitif pour la durée de la guerre au grade de capitaine de M. le lieutenant GARCIN est confirmée.
M. le capitaine GARCIN est affecté au 14e R.I.T.
KELLERMANN Louis, lieutenant, par décision ministérielle en date du 15 août 1917, M. KELLERMANN lieutenant de territoriale du service d'État-Major est affecté au 14e R.I.T. Il remplira les fonctions d'officier Porte-Drapeau en remplacement de M. le sous-lieutenant ANDRU désigné pour exercer les fonctions d'officier chef du service téléphoniste (ordre du régiment n° 121 du 31 août 1917)
THAIN Ernest Louis, sous-lieutenant, affecté au 124e R.I.T. commandant le détachement de récupération n° 24 (décision du Général Cdt la IIIe Armée du 31 août 1917 N° P/9049.
LAPOUBLE-BOYÉ, lieutenant, venu du 291e R.I.T. arrivé au corps le 23 septembre 1917 (décision n° 9253/1 du 13 septembre 1917 de la VIe Armée) affecté à la 3e Cie.
FONTANAUD Maurice, sous-lieutenant, venu du 291e R.I.T. arrivé au corps et affecté le 23 septembre 1917 à la 1ère Cie (même décision).
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 pages 50 et 51/54
Modèle D
Relevé des mutations survenues pendant la campagne parmi les officiers (à partir du 1er juillet 1917)
GARRABOS Anatole, capitaine, arrivé au corps le 1er juillet venant du 64e R.I., affecté au 14e R.I.T. par note de service en date du 24 juin 1917 - affecté à la 4e Cie D.B.
DE FRANCE Louis, lieutenant-colonel, quitte le 14e R.I.T. à la date du 15 juillet pour rejoindre le 32 Dragons auquel il est affecté - il remet le commandement par intérim du régiment au commandant CHASSINAT du premier bataillon (décision du Général en chef du 6 juillet).
PLICHON Paul Victor, commandant, affecté au service des secteurs du pays reconquis par ordre du Général commandant la IIIe Armée, du 3 juillet 1917.
GARRABOS Anatole, capitaine, de la 4e Cie D.B., prend à la date du 8 juillet le commandement de la 9e Cie.
CLOGENSON Pierre Jean, commandant, rapport du 15 juillet ; par décision du Général commandant la IIIe Armée, M. le commandant GLOGENSON est nommé chef de bataillon au 14e R.I.T. (2e bataillon), en remplacement de M. le commandant PLICHON détaché.
J.O. du 4 novembre 1916 page 9551
M. CLOGENSON P., chef de bataillon territoriale au 103e régiment territorial d'infanterie, passe au 282e régiment territorial d'infanterie
J.O. du 5 juillet 1918 page 5825
M. CLOGENSON (P.J.P.), chef de bataillon territorial au 14e régiment territorial d'infanterie, passe au 64e régiment d'infanterie comme major.
FRUITIER Charles Ulrich, sous-lieutenant, passe de la 6e Cie à la 2e Cie à la date du 18 juillet (reste détaché à la 162e B.I.T.).
LE BEUF Marie Joseph, capitaine, par suite de la dissolution du D.B. en date du 18 juillet passe de la 12e Cie (D.B.) ) la 5e Cie.
DUPIRE Ovide Louis, lieutenant, par suite de la dissolution du D.B. en date du 18 juillet passe de la 8e Cie (D.B.) à la 3e Cie.
GOSSELIN Raymond Marie, sous-lieutenant, par suite de la dissolution du D.B. en date du 18 juillet passe de la 8e Cie (D.B.) à la 10e Cie.
SELLIER François Alphonse, sous-lieutenant, par suite de la dissolution du D.B. en date du 18 juillet passe de la 4e Cie (D.B.) à la 11e Cie.
GARCIN Fernand Joseph, lieutenant, arrivé au corps le 18 juillet 1917 et affecté à la 6e Cie - Venu au 14e R.I.T. en exécution du message téléphoné N° 7466 (CI du ministère de la Guerre en date du 11 juillet 1917).
JOUVEN Alphonse Benjamin, sous-lieutenant téléphoniste, en subsistance à la date du 21 juillet à la Cie P.G. 16 5.
LE BEUF Marie Joseph, capitaine, à la 5e Cie, détaché comme major de cantonnement d'Ugny-le-Gay.
VIELJEUX Léonce, lieutenant-colonel, arrivé au corps le 21 juillet 1917, venu du 45e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. par note N° 9481 du G.Q.G. du 9 juillet 1917.
BRUNER Emile Stanislas, sous-lieutenant, affecté à l'armée polonaise constituée en France (note du G.Q.G. du 31 juillet N° 33760.
En conséquence M. le sous-lieutenant BRUNER cesse de faire partie à compter de ce jour du 14e RIT.
GARCIN F.J.M., capitaine, par décision ministérielle en date du 7 août 1917, la nomination à titre définitif pour la durée de la guerre au grade de capitaine de M. le lieutenant GARCIN est confirmée.
M. le capitaine GARCIN est affecté au 14e R.I.T.
KELLERMANN Louis, lieutenant, par décision ministérielle en date du 15 août 1917, M. KELLERMANN lieutenant de territoriale du service d'État-Major est affecté au 14e R.I.T. Il remplira les fonctions d'officier Porte-Drapeau en remplacement de M. le sous-lieutenant ANDRU désigné pour exercer les fonctions d'officier chef du service téléphoniste (ordre du régiment n° 121 du 31 août 1917)
THAIN Ernest Louis, sous-lieutenant, affecté au 124e R.I.T. commandant le détachement de récupération n° 24 (décision du Général Cdt la IIIe Armée du 31 août 1917 N° P/9049.
LAPOUBLE-BOYÉ, lieutenant, venu du 291e R.I.T. arrivé au corps le 23 septembre 1917 (décision n° 9253/1 du 13 septembre 1917 de la VIe Armée) affecté à la 3e Cie.
FONTANAUD Maurice, sous-lieutenant, venu du 291e R.I.T. arrivé au corps et affecté le 23 septembre 1917 à la 1ère Cie (même décision).
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 pages 50 et 51/54
Dernière modification par ae80 le jeu. janv. 18, 2024 5:09 pm, modifié 1 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
14e régiment d'infanterie territoriale
Modèle D
Relevé des mutations survenues pendant la campagne parmi les officiers (à partir du 1er juillet 1917) (suite)
THEVENOT François Joseph - sous-lieutenant - venu du 291e R.I.T. arrivé au corps le 23 septembre 1917. Décision N° 9253/1 du 13 septembre 1917 de la VIe Armée. Affecté à la 3e Cie.
MICHEAU Gaston - sous-lieutenant - venu du 291e R.I.T. et affecté le 23 septembre 1917 à la 6e Cie (même décision).
WEISS Paul Louis Henri - sous lieutenant - venu du 291e R.I.T. et affecté le 23 septembre 1917 à la C.M. 3 (même décision).
DUPOUY Jean - Médecin Aide-Major de 2e classe - affecté au 10e régiment de cuirassiers (5e Division de cavalerie) (décision PE /3987 du 29 septembre 1917.
LEMAIRE Charles Claude - lieutenant - Par décret du Président de la République en date du 14 octobre 1917, M. LEMAIRE sous-lieutenant a été nommé lieutenant à titre définitif.
DUPIRE Ovide Louis Joseph - lieutenant - Affecté aux services du territoire, dirigé le 29 octobre 1917 sur le dépôt du 38e R.I.T. à Montargis, à la disposition du Général commandant la 5e Région (exécution de la note du G.Q.G. 27.182 du 23 octobre 1917).
LE CLERC Adolphe Marie Joseph - sous-lieutenant - Affecté au 6e régiment de tirailleurs pour être employé au service du territoire. Dirigé le 29 octobre 1917 sur le C.I. de Béziers (exécution de la note du G.Q.G. du 23 octobre 1917 n° 27.182).
DUFAUR Jean - Médecin Major de 2e classe - Venu du Service médical dépôt du 144e R.I. Affecté au 14e R.I.T. 3e bataillon en remplacement de M. le Médecin Aide-Major de 2e classe DEPIERRIS (note ministérielle n° 33168 - 1/7 du 17 octobre 1917).
DEPIERRIS Louis - Médecin Aide-Major de 2e classe - Passé le 28 octobre 1917 à la 18e Région (même note)
KELLERMANN Louis - lieutenant - de la C.H.R. prend à la date du 1er novembre 1917 le commandement de la 3e Cie.
FRUITIER Charles - sous-lieutenant - de la 2e Cie, passe à la C.H.R. à la date du 1er novembre 1917 et remplira les fonctions d'officier Porte-Drapeau.
THÉVENOT François Joseph - sous-lieutenant - de la 3e Cie passe à la 2e Cie à la date du 1er novembre 1917
SÉJOURNÉ Louis Alexandre - capitaine - venu du 16e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. à la date du 2 novembre 1917 (ex. des prese. (?) - notes n° 1053/L du G.A.N. du 22 octobre 1917 et P /9966 de la 3e Armée). Le capitaine SÉJOURNÉ passe à la 6e Cie.
DOUAY Prosper Alfred - lieutenant - venu du 16e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. à la date du 2 novembre 1917, passe à la 2e Cie (mêmes notes).
SAMANI Dominique - lieutenant - venu du 16e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. à la date du 2 novembre 1917, passe à la 9e Cie (mêmes notes).
DUCHEMIN Gustave Eugène - lieutenant - venu du 16e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. à la date du 2 novembre 1917, passe à la 7e Cie (mêmes notes).
PHÉLIPEAUX Alfred - sous-lieutenant - Par décision du Général en chef N° 5702 M. PHÉLIPEAUX du 45e R.I.T. est affecté au 14e R.I.T.
Il est placé à la suite du régiment et fera du service à la C.M. 2 à la date du 14 novembre 1917.
MILLERAND Fernand - sous-lieutenant - réaffecté au dépôt de son corps à la date du 17 novembre 1917.
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 52/54
PLANEL Germain Éloi - capitaine - Passe au 101e R.I.T. et Major de cantonnement à Guny (ordre de la IIIe Armée n° P/386 à la date du 2 décembre 1917.
VAUJANY Pierre - sous-lieutenant - Passe à la 2e Cie par permutation avec le lieutenant DOUAY (décision du 5 décembre 1917).
DOUAY Prosper Alfred - lieutenant - passe à la 3e Cie par permutation avec le sous-lieutenant VAUJANY (décision du 5 décembre 1917).
TEXIER Louis Ernest - sous-lieutenant - Venu du 307e R.I. Affecté au 14e R.I.T. par décision du Général commandant la IIIe Armée N° P/349 en date du 29 novembre 1917.
Placé à la suite du régiment, fera du service à la C.M. 1 à la date du 6 décembre 1917.
CHADUC Marc - Médecin Major de 2e classe - Par décision du Général commandant la IIIe Armée N° P/E 7993 en date du 28 décembre 1917, M. CHADUC est affecté au 414e R.I. comme Médecin-Chef.
FONSAGRIVES Maurice - Médecin Major de 2e classe - Par décision du Général commandant la IIIe Armée, M. FONSAGRIVES est affecté au 14e R.I.T. comme Médecin-Chef en remplacement de M. Médecin Major de 2e classe CHADUC
Arrivé au corps le 1er janvier 1918.
CARLIN Louis Léon - capitaine - Venu du 279e R.I., Affecté au 14e R.I.T. par décision du Général commandant la IIIe Armée N° P/868 du 11 janvier 1918.
Placé provisoirement à la suite du 3e bataillon.
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 53/54
BERNARD Gaston, 2e classe, classe 1894, matricule 1395, 3e Cie (même motif)
ADDITIF
Lieutenant SELLIER de la 11e Cie
"Officier aussi modeste que dévoué. Sur le front depuis le début, a assisté à tous les combats du régiment et a maintes fois fait preuve de calme et de courage."
29 décembre 1917
12 caporaux des classes les plus anciennes sont dirigés sur Creil et affectés au 10e R.I.T. 2e bataillon en exécution de la note de la IIIe Armée N° 18588 du 22 décembre 1917.
Aux Armées le 31 décembre 1917
Le Colonel commandant le 14e R.I.T.
Le Lt-Colonel VIELJEUX, commandant le régiment
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 54/54
FIN du JMO
Modèle D
Relevé des mutations survenues pendant la campagne parmi les officiers (à partir du 1er juillet 1917) (suite)
THEVENOT François Joseph - sous-lieutenant - venu du 291e R.I.T. arrivé au corps le 23 septembre 1917. Décision N° 9253/1 du 13 septembre 1917 de la VIe Armée. Affecté à la 3e Cie.
MICHEAU Gaston - sous-lieutenant - venu du 291e R.I.T. et affecté le 23 septembre 1917 à la 6e Cie (même décision).
WEISS Paul Louis Henri - sous lieutenant - venu du 291e R.I.T. et affecté le 23 septembre 1917 à la C.M. 3 (même décision).
DUPOUY Jean - Médecin Aide-Major de 2e classe - affecté au 10e régiment de cuirassiers (5e Division de cavalerie) (décision PE /3987 du 29 septembre 1917.
LEMAIRE Charles Claude - lieutenant - Par décret du Président de la République en date du 14 octobre 1917, M. LEMAIRE sous-lieutenant a été nommé lieutenant à titre définitif.
DUPIRE Ovide Louis Joseph - lieutenant - Affecté aux services du territoire, dirigé le 29 octobre 1917 sur le dépôt du 38e R.I.T. à Montargis, à la disposition du Général commandant la 5e Région (exécution de la note du G.Q.G. 27.182 du 23 octobre 1917).
LE CLERC Adolphe Marie Joseph - sous-lieutenant - Affecté au 6e régiment de tirailleurs pour être employé au service du territoire. Dirigé le 29 octobre 1917 sur le C.I. de Béziers (exécution de la note du G.Q.G. du 23 octobre 1917 n° 27.182).
DUFAUR Jean - Médecin Major de 2e classe - Venu du Service médical dépôt du 144e R.I. Affecté au 14e R.I.T. 3e bataillon en remplacement de M. le Médecin Aide-Major de 2e classe DEPIERRIS (note ministérielle n° 33168 - 1/7 du 17 octobre 1917).
DEPIERRIS Louis - Médecin Aide-Major de 2e classe - Passé le 28 octobre 1917 à la 18e Région (même note)
KELLERMANN Louis - lieutenant - de la C.H.R. prend à la date du 1er novembre 1917 le commandement de la 3e Cie.
FRUITIER Charles - sous-lieutenant - de la 2e Cie, passe à la C.H.R. à la date du 1er novembre 1917 et remplira les fonctions d'officier Porte-Drapeau.
THÉVENOT François Joseph - sous-lieutenant - de la 3e Cie passe à la 2e Cie à la date du 1er novembre 1917
SÉJOURNÉ Louis Alexandre - capitaine - venu du 16e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. à la date du 2 novembre 1917 (ex. des prese. (?) - notes n° 1053/L du G.A.N. du 22 octobre 1917 et P /9966 de la 3e Armée). Le capitaine SÉJOURNÉ passe à la 6e Cie.
DOUAY Prosper Alfred - lieutenant - venu du 16e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. à la date du 2 novembre 1917, passe à la 2e Cie (mêmes notes).
SAMANI Dominique - lieutenant - venu du 16e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. à la date du 2 novembre 1917, passe à la 9e Cie (mêmes notes).
DUCHEMIN Gustave Eugène - lieutenant - venu du 16e R.I.T. affecté au 14e R.I.T. à la date du 2 novembre 1917, passe à la 7e Cie (mêmes notes).
PHÉLIPEAUX Alfred - sous-lieutenant - Par décision du Général en chef N° 5702 M. PHÉLIPEAUX du 45e R.I.T. est affecté au 14e R.I.T.
Il est placé à la suite du régiment et fera du service à la C.M. 2 à la date du 14 novembre 1917.
MILLERAND Fernand - sous-lieutenant - réaffecté au dépôt de son corps à la date du 17 novembre 1917.
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 52/54
PLANEL Germain Éloi - capitaine - Passe au 101e R.I.T. et Major de cantonnement à Guny (ordre de la IIIe Armée n° P/386 à la date du 2 décembre 1917.
VAUJANY Pierre - sous-lieutenant - Passe à la 2e Cie par permutation avec le lieutenant DOUAY (décision du 5 décembre 1917).
DOUAY Prosper Alfred - lieutenant - passe à la 3e Cie par permutation avec le sous-lieutenant VAUJANY (décision du 5 décembre 1917).
TEXIER Louis Ernest - sous-lieutenant - Venu du 307e R.I. Affecté au 14e R.I.T. par décision du Général commandant la IIIe Armée N° P/349 en date du 29 novembre 1917.
Placé à la suite du régiment, fera du service à la C.M. 1 à la date du 6 décembre 1917.
CHADUC Marc - Médecin Major de 2e classe - Par décision du Général commandant la IIIe Armée N° P/E 7993 en date du 28 décembre 1917, M. CHADUC est affecté au 414e R.I. comme Médecin-Chef.
FONSAGRIVES Maurice - Médecin Major de 2e classe - Par décision du Général commandant la IIIe Armée, M. FONSAGRIVES est affecté au 14e R.I.T. comme Médecin-Chef en remplacement de M. Médecin Major de 2e classe CHADUC
Arrivé au corps le 1er janvier 1918.
CARLIN Louis Léon - capitaine - Venu du 279e R.I., Affecté au 14e R.I.T. par décision du Général commandant la IIIe Armée N° P/868 du 11 janvier 1918.
Placé provisoirement à la suite du 3e bataillon.
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 53/54
BERNARD Gaston, 2e classe, classe 1894, matricule 1395, 3e Cie (même motif)
ADDITIF
Lieutenant SELLIER de la 11e Cie
"Officier aussi modeste que dévoué. Sur le front depuis le début, a assisté à tous les combats du régiment et a maintes fois fait preuve de calme et de courage."
29 décembre 1917
12 caporaux des classes les plus anciennes sont dirigés sur Creil et affectés au 10e R.I.T. 2e bataillon en exécution de la note de la IIIe Armée N° 18588 du 22 décembre 1917.
Aux Armées le 31 décembre 1917
Le Colonel commandant le 14e R.I.T.
Le Lt-Colonel VIELJEUX, commandant le régiment
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 54/54
FIN du JMO
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
14e régiment d'infanterie territoriale
KELLERMANN Louis, lieutenant, par décision ministérielle en date du 15 août 1917, M. KELLERMANN lieutenant de territoriale du service d'État-Major est affecté au 14e R.I.T. Il remplira les fonctions d'officier Porte-Drapeau en remplacement de M. le sous-lieutenant ANDRU désigné pour exercer les fonctions d'officier chef du service téléphoniste (ordre du régiment n° 121 du 31 août 1917)
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 pages 50 et 51/54
KELLERMANN Louis - lieutenant - de la C.H.R. prend à la date du 1er novembre 1917 le commandement de la 3e Cie.
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 52/54
J.O. du 14 janvier 1918 page 547
Armée territoriale.
Par décret en date du 13 janvier 1918, rendu sur la proposition du président du conseil, ministre de la guerre, ont été promus dans l'arme de la cavalerie (armée territoriale), les officiers dont les noms suivent :
Au grade de capitaine.
(Pour prendre rang du 28 décembre 1917.)
M. Kellermann (Louis-Lucien), lieutenant de cavalerie territoriale au 8e régiment de dragons (à la suite) détaché au 14e régiment territorial d'infanterie.
==================================================
ORDRE DU REGIMENT N° 145
Le Lieutenant colonel commandant porte à la connaissance du régiment l'extrait suivant du Journal officiel du 8 janvier 1918 page 337
Le Président du Conseil, Ministre de la Guerre
Vu le décret du 13 août 1914
Arrête :
Article unique - Sont inscrits au tableau spécial de la Légion d'honneur à compter du 29 décembre 1917, les militaires dont les noms suivent :
Pour Chevalier (cavalerie)
KELLERMANN Louis Lucien
lieutenant de cavalerie (territorial)
au 14e régiment territorial d'infanterie
14e régiment d'infanterie territoriale : J.M.O. 26 N 775/9
J.M.O. du 3 janvier au 23 février 1918 page 3
KELLERMANN Louis, lieutenant, par décision ministérielle en date du 15 août 1917, M. KELLERMANN lieutenant de territoriale du service d'État-Major est affecté au 14e R.I.T. Il remplira les fonctions d'officier Porte-Drapeau en remplacement de M. le sous-lieutenant ANDRU désigné pour exercer les fonctions d'officier chef du service téléphoniste (ordre du régiment n° 121 du 31 août 1917)
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 pages 50 et 51/54
KELLERMANN Louis - lieutenant - de la C.H.R. prend à la date du 1er novembre 1917 le commandement de la 3e Cie.
Extrait du J.M.O. du 14e régiment d'infanterie territoriale : 26 N 775/8
J.M.O. 1er août 1914-31 décembre 1917 page 52/54
J.O. du 14 janvier 1918 page 547
Armée territoriale.
Par décret en date du 13 janvier 1918, rendu sur la proposition du président du conseil, ministre de la guerre, ont été promus dans l'arme de la cavalerie (armée territoriale), les officiers dont les noms suivent :
Au grade de capitaine.
(Pour prendre rang du 28 décembre 1917.)
M. Kellermann (Louis-Lucien), lieutenant de cavalerie territoriale au 8e régiment de dragons (à la suite) détaché au 14e régiment territorial d'infanterie.
==================================================
ORDRE DU REGIMENT N° 145
Le Lieutenant colonel commandant porte à la connaissance du régiment l'extrait suivant du Journal officiel du 8 janvier 1918 page 337
Le Président du Conseil, Ministre de la Guerre
Vu le décret du 13 août 1914
Arrête :
Article unique - Sont inscrits au tableau spécial de la Légion d'honneur à compter du 29 décembre 1917, les militaires dont les noms suivent :
Pour Chevalier (cavalerie)
KELLERMANN Louis Lucien
lieutenant de cavalerie (territorial)
au 14e régiment territorial d'infanterie
14e régiment d'infanterie territoriale : J.M.O. 26 N 775/9
J.M.O. du 3 janvier au 23 février 1918 page 3
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
14e régiment d'infanterie territoriale
J.O. du 30 décembre 1927 page 13257
Attribution de la Médaille militaire
Citation :
PRUVOT (Alfred-Albert), matricule 940, soldat de 1ère classe au 14e régiment d'infanterie territoriale : "bon soldat, courageux et dévoué. A été très grièvement blessé, le 6 octobre 1914, au combat de Monchy-au-Bois."
PRUVOT (Alfred-Albert) né le 31 décembre 1877 à Beauval, canton de Doullens (Somme).
Manouvrier à Avrigny (Oise), au moment de son passage devant le conseil de révision de Clermont dans sa vingtième année. Il mesure 1 mètre 70.
Passé au recrutement d'Abbeville par changement de domicile, le 29 février 1904. Il réside à cette date, à La Vicogne, canton de Domart-en-Ponthieu (Somme) Versé dans l'armée territoriale, il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914. Il arrive au corps le 4 août 1914 (14e régiment territorial d'infanterie).
Blessé le 4 octobre 1914 au combat de Bucquoy (Pas-de-Calais) par éclat d'obus - fracture cuisse droite.
Il sera réformé n° 1, dès décembre 1915, puis par décision ministérielle du 20 mars 1916. Il présente des séquelles de fracture par E.O. de la cuisse droite au 1/3 inférieur - gros cal en crosse - ankylose du coup de pied.
Campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 20 mars 1916 (intérieur)
Sources : archives départementales de l'Oise
Pruvot Alfred Albert - Classe 1877 - Bureau Beauvais - Registre RP 876 - Matricule 940
J.O. du 30 décembre 1927 page 13257
Attribution de la Médaille militaire
Citation :
PRUVOT (Alfred-Albert), matricule 940, soldat de 1ère classe au 14e régiment d'infanterie territoriale : "bon soldat, courageux et dévoué. A été très grièvement blessé, le 6 octobre 1914, au combat de Monchy-au-Bois."
PRUVOT (Alfred-Albert) né le 31 décembre 1877 à Beauval, canton de Doullens (Somme).
Manouvrier à Avrigny (Oise), au moment de son passage devant le conseil de révision de Clermont dans sa vingtième année. Il mesure 1 mètre 70.
Passé au recrutement d'Abbeville par changement de domicile, le 29 février 1904. Il réside à cette date, à La Vicogne, canton de Domart-en-Ponthieu (Somme) Versé dans l'armée territoriale, il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914. Il arrive au corps le 4 août 1914 (14e régiment territorial d'infanterie).
Blessé le 4 octobre 1914 au combat de Bucquoy (Pas-de-Calais) par éclat d'obus - fracture cuisse droite.
Il sera réformé n° 1, dès décembre 1915, puis par décision ministérielle du 20 mars 1916. Il présente des séquelles de fracture par E.O. de la cuisse droite au 1/3 inférieur - gros cal en crosse - ankylose du coup de pied.
Campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 20 mars 1916 (intérieur)
Sources : archives départementales de l'Oise
Pruvot Alfred Albert - Classe 1877 - Bureau Beauvais - Registre RP 876 - Matricule 940
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
14e régiment d'infanterie territoriale
Voici le destin tragique d'un soldat du 14e R.I.T. en dehors des citations aux accents patriotiques du discours militaire.
Le 21 octobre 1914, Louis GORRY, soldat au 14e régiment territorial d'infanterie, adoptant pour la circonstance un ton lénifiant, donne des informations sur son sort, à son beau-frère et ma sœur demeurant à Simorre (Gers). Il recevront sa carte cinq jours plus tard, le 26 octobre 1914. : "j'ai été blessé le 10 octobre dans le dos. Je suis en traitement à l'hôpital, il est probable que la guerre sera longue. Je vous tiendrai au courant. Je vous embrasse tous."
signé : L GORRY 14e Territorial - Hôpital temporaire n° 8, salle 2, Angers.
En fait son état de santé est beaucoup plus grave que ce qu'il laisse transparaître dans sa carte à sa famille.
A-t-il minimisé intentionnellement la gravité de sa blessure ou n'appréhendait-il pas lui-même les conséquences irréversibles de sa blessure ?
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Louis GORRY est employé de commerce dans le 10e arrondissement lors de son passage devant le conseil de révision lors de sa vingtième année, en 1895. Il est le fils de feu Louis et de Philippine Bonhoure. Sa mère, veuve, demeure au 6, rue Pierre-Dupont dans ce même arrondissement. Ce jeune homme mesure 1 mètre 65, son degré d’instruction est évalué au niveau 3. Signalement : Cheveux et sourcils châtain foncé, yeux châtains, front ordinaire, nez pointu, bouche moyenne, menton à fossette, visage ovale.
Fils de veuve, il est dispensé de service dans un premier temps. Il finit par être incorporé au 54e régiment d’infanterie de Compiègne entre novembre 1896 et septembre 1897.
Dès cette date, il demeure à Deuil, au 28, boulevard de Montmorency.
Affecté au 14e régiment territorial d’infanterie, il effectue une période d’exercices au sein de ce régiment du 8 au 16 juin 1910.
Il est rappelé à l’activité par décret du 1er août 1914 ordonnant la mobilisation générale. Il arrive au corps à Abbeville, le 4 août suivant – n° matricule au corps : 17830.
Il est blessé le 10 octobre 1914 (et non le 30 octobre comme l'indique son feuillet matricule) au combat de Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) – myélite consécutive à une section de la moelle par éclat d’obus.
Citation : cité à l’ordre du régiment du 17 juillet 1919 N° 5536 D.P. « Très bon soldat courageux et dévoué. Mort pour la France des suites de ses blessures le 20 janvier 1915. » Il décède à cette date à l’hôpital temporaire N° 8 d’Angers.
Campagne contre l’Allemagne du 4 août 1914 au 20 janvier 1915.
Louis GORRY
Mort pour la France le 20 janvier 1915 à l’hôpital temporaire n° 8 d’Angers (Maine-et-Loire) des suites de ses blessures – myélite consécutive à une section de la moelle
Né le 3 février 1875 à Paris 10e arrondissement (ex Seine)
soldat au 14e régiment territorial d’infanterie n° matricule au corps : 17830
Classe 1895 – Bureau de recrutement Seine 1er Bureau (75) – Matricule au Rt : 871
acte transcrit à son dernier domicile : Deuil (Seine-et-Oise)
Sources : site "Mémoire des hommes"
&
archives de la ville de Paris – recrutement militaire de la Seine
GORRY Louis – Matricule 871 D4R1 826
Voici le destin tragique d'un soldat du 14e R.I.T. en dehors des citations aux accents patriotiques du discours militaire.
Le 21 octobre 1914, Louis GORRY, soldat au 14e régiment territorial d'infanterie, adoptant pour la circonstance un ton lénifiant, donne des informations sur son sort, à son beau-frère et ma sœur demeurant à Simorre (Gers). Il recevront sa carte cinq jours plus tard, le 26 octobre 1914. : "j'ai été blessé le 10 octobre dans le dos. Je suis en traitement à l'hôpital, il est probable que la guerre sera longue. Je vous tiendrai au courant. Je vous embrasse tous."
signé : L GORRY 14e Territorial - Hôpital temporaire n° 8, salle 2, Angers.
En fait son état de santé est beaucoup plus grave que ce qu'il laisse transparaître dans sa carte à sa famille.
A-t-il minimisé intentionnellement la gravité de sa blessure ou n'appréhendait-il pas lui-même les conséquences irréversibles de sa blessure ?
- 14e RIT GORRY carte postale 21 octobre 1914.jpg (140.8 Kio) Consulté 248 fois
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Louis GORRY est employé de commerce dans le 10e arrondissement lors de son passage devant le conseil de révision lors de sa vingtième année, en 1895. Il est le fils de feu Louis et de Philippine Bonhoure. Sa mère, veuve, demeure au 6, rue Pierre-Dupont dans ce même arrondissement. Ce jeune homme mesure 1 mètre 65, son degré d’instruction est évalué au niveau 3. Signalement : Cheveux et sourcils châtain foncé, yeux châtains, front ordinaire, nez pointu, bouche moyenne, menton à fossette, visage ovale.
Fils de veuve, il est dispensé de service dans un premier temps. Il finit par être incorporé au 54e régiment d’infanterie de Compiègne entre novembre 1896 et septembre 1897.
Dès cette date, il demeure à Deuil, au 28, boulevard de Montmorency.
Affecté au 14e régiment territorial d’infanterie, il effectue une période d’exercices au sein de ce régiment du 8 au 16 juin 1910.
Il est rappelé à l’activité par décret du 1er août 1914 ordonnant la mobilisation générale. Il arrive au corps à Abbeville, le 4 août suivant – n° matricule au corps : 17830.
Il est blessé le 10 octobre 1914 (et non le 30 octobre comme l'indique son feuillet matricule) au combat de Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) – myélite consécutive à une section de la moelle par éclat d’obus.
Citation : cité à l’ordre du régiment du 17 juillet 1919 N° 5536 D.P. « Très bon soldat courageux et dévoué. Mort pour la France des suites de ses blessures le 20 janvier 1915. » Il décède à cette date à l’hôpital temporaire N° 8 d’Angers.
Campagne contre l’Allemagne du 4 août 1914 au 20 janvier 1915.
- 14e RIT GORRY Citation.jpg (358.69 Kio) Consulté 236 fois
Louis GORRY
Mort pour la France le 20 janvier 1915 à l’hôpital temporaire n° 8 d’Angers (Maine-et-Loire) des suites de ses blessures – myélite consécutive à une section de la moelle
Né le 3 février 1875 à Paris 10e arrondissement (ex Seine)
soldat au 14e régiment territorial d’infanterie n° matricule au corps : 17830
Classe 1895 – Bureau de recrutement Seine 1er Bureau (75) – Matricule au Rt : 871
acte transcrit à son dernier domicile : Deuil (Seine-et-Oise)
Sources : site "Mémoire des hommes"
&
archives de la ville de Paris – recrutement militaire de la Seine
GORRY Louis – Matricule 871 D4R1 826
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 14e régiment d'infanterie territoriale
14e régiment d'infanterie territoriale
J.O. du 26 juillet 1920 page 10738
Des requêtes ont été présentées au procureur de la République à Doullens, en vue de faire déclarer judiciairement le décès de :
Monchy-au-Bois
Vasseur (Raymond-Anatole-Arthur), soldat au 14e régiment d'infanterie territoriale, domicilié à Canaples, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
Ecangueur de profession : Ouvrier écanguant du lin avec un écang (ou écangue) ; il sépare la filasse et la paille des tiges de lin ou de chanvre (initialement à l'aide d'un écang). Il demeure dans son village natal. Il mesure 1 mètre 55 et semble avoir eu peu l'occasion de fréquenter les bancs de l'école pour travailler très tôt. Il accomplit son service au 120e d'infanterie de Péronne entre novembre 1896 et novembre 1897. Il demeure à Flixecourt en 1899 puis revient habiter à Canaples en 1905.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation du 1er août 1914, il quitte Canaples pour rejoindre Abbeville où il arrive le 4 août suivant et intègre les rangs du 14 e régiment territorial d'infanterie - n° matricule au corps : 17.128.
Il est porté disparu le 10 octobre 1914 à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) - avis de disparition du ministère de la guerre du 2 juin 1916.
Vasseur, Raymond Anatole Arthur, né le 28 mars 1875 à Canaples (Somme), classe 1895, matricule n° 253, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R866 Archives de la Somme
Carton (Léon-Amédée-Benjamin-Marie-Joseph), soldat au 14e régiment d'infanterie territoriale, domicilié à Hérissart, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
Cultivateur à Hérissart, il est appelé sous les drapeaux pour faire son service au 51e d'infanterie, entre novembre 1900 et septembre 1903. Il mesure 1 mètre 63 et possède un degré d'instruction de niveau 3. Affecté dan l'armée territoriale au 14e régiment territorial, il y est rappelé en août 1914, lors de la mobilisation générale. Il arrive à Abbeville le 4 août 1914 avant de partir aux armées - n° matricule au corps : 4973.
Disparu le 10 octobre 1914 au combat à Monchy-au-Bois - avis officiel du ministère de la guerre du 22 juin 1917. Jugement déclaratif de décès fixé à cette date.
Carton, Léon Amédée Benjamin Marie Joseph, né le 10 mars 1879 à Hérissart (Somme), classe 1899, matricule n° 1191, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R916 Archives de la Somme
Rathuille (Louis-Isaïe), soldat au 14e régiment d'infanterie territoriale, domicilié à Saint-Ouen, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
Natif et habitant à Saint-Léger-lès-Domart (Somme), cet ouvrier d'usine se présente au conseil de révision dans sa vingtième année à Domart-en-Ponthieu. Il mesure 1 mètre 69 et son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Il accomplit son service au 132e d'infanterie entre novembre 1897 et novembre 1898. Depuis 1909, il réside à Saint-Ouen (Somme), au 10, cité Saint-Jean. C'est là qu'il reçoit son ordre de mobilisation début août 1914, lui enjoignant de rejoindre le 14e régiment territorial qui se forme à Abbeville. Il y arrive le 4 août (n° matricule au corps : 17.156) et se tient prêt à partir aux armées dès le lendemain.
Il est au nombre des disparus du 14e R.I.T. lors du combat de Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914 - avis de disparition du ministère de la guerre du 28 août 1916.
Rathuille, Louis Isaïe, né le 10 novembre 1875 à Saint-Léger-lès-Domart (Somme), classe 1895, matricule n° 291, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R866 Archives de la Somme
Bolias (Belmire-Alphonse), soldat au 14e régiment territorial d'infanterie, domicilié à Saint-Ouen, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
BOLIAS Belmire Alphonse, ouvrier d'usine à Saint-Ouen, village du canton de Domart-en-Ponthieu, passe devant le conseil de révision cantonal au cours de l'année 1896. Celui-ci le déclare apte au service. Il mesure 1 mètre 66, a un visage plein, un menton rond, des yeux gris, des cheveux et sourcils châtains. On lui reconnaît un degré d'instruction de niveau 2. L'année suivante, il est incorporé au 51e régiment d'infanterie à Amiens, à compter du 15 novembre 1897. Il y restera trois ans et ne sera mis en congé que le 22 septembre 1900, un certificat de bonne conduite : accordé. Il passe dans la réserve de l'armée active cette même année (1er novembre).
En 1903 et 1906, il est rappelé pour deux périodes d'exercices dans les rangs du 128e régiment d'infanterie à Abbeville. Entre le 29 mai et le 6 juin 1912, une troisième période d'exercices lui fait rejoindre le 14e régiment territorial d'infanterie.
Il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914 et rejoint son corps le 4 août. Il part avec les éléments du 14eR.I.T. présents, dès le lendemain 5 août, vers les armées du Nord et du Nord-Est. Le N° matricule (corps) ; 674, lui est attribué à Abbeville avant son départ aux armées.
Il est porté disparu, le 10 octobre 1914, lors des combats de Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) - Avis officiel du ministère de la Guerre du 21 décembre 1915.
Bolias, Belmire Alphonse, né le 21 juin 1876 à Belloy-sur-Somme (Somme), classe 1896, matricule n° 196, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R878 Archives de la Somme
Beluire (sic) Alphonse BOLIAS
Mort pour la France le 10 octobre 1914 à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) Tué
Né le 21 juin 1876 à Belloy-sur-Somme (Somme)
38 ans, 3 mois et 19 jours
soldat de 2e classe
Unité : 128e régiment d'infanterie (128e RI) (sic) LIRE : 14e régiment territorial d'infanterie
Classe 1896 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 196
Jugement déclaratif de décès rendu par le tribunal de Doullens le 4 juin 1920
Lieu de transcription du décès : Saint-Ouen (Somme) le 15 juin 1920
Delaporte (Charles-Joseph), soldat au 14e régiment territorial d'infanterie, domicilié à Doullens, disparu à Monchy-au-Bois (Marne), le 10 octobre 1914.
Quillet (Joseph-Alfred-Henri), soldat au 14e régiment d'infanterie territoriale, domicilié à Montrelet, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
Manouvrier à Montrelet, le jeune homme mesure 1 mètre 63 et possède un degré d'instruction de niveau 3 alors qu'il se présente devant le conseil de révision en 1899. C'est au 8 bataillon de chasseurs à pied à Amiens qu'il accomplit son temps entre novembre 1900 et septembre 1903.
Du 1er au 9 avril 1914, il accomplit une période d'exercices au 14e régiment territorial
Août 1914, il répond à l'ordre de mobilisation générale et rejoint à Abbeville le 14e régiment territorial où il arrive le 4 août n° matricule au corps : 5192.
Il est porté disparu le 10 octobre 1914 à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) - avis du ministère de la guerre du 12 novembre 1915.
Quillet, Joseph Alfred Henri, né le 12 avril 1879 à Fieffes-Montrelet (Somme), classe 1899, matricule n° 1050, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R916 Archives de la Somme
Nieuport-ville
Pauchet (Georges-Fernand), soldat au 14e régiment territorial d'infanterie, domicilié à Bonneville, disparu à Nieuport-ville (Belgique), le 11 novembre 1914.
Ouvrier d'usine à Bonneville, il est appelé sous les drapeaux au 51e d'infanterie entre novembre 1900 et septembre 1903. Passé dans la territoriale le 1er octobre 1913, il est rappelé par décret présidentiel du 1er août 1914 portant ordre de mobilisation générale. Affecté au 14e régiment territorial d'infanterie d'Abbeville, il rejoint son régiment le 4 août avant de partir rejoindre les armées du Nord et du Nord-Est dès le lendemain avec les éléments du régiment déjà disponibles. Il est nommé soldat de 1ère classe, le 24 octobre 1914 - ordre du 14e Territorial d'infanterie N° 25.
Disparu le 11 novembre 1914 à Nieuport-Ville (Belgique) - avis du ministère de la guerre du 14 février 1916.
Pauchet, Georges Fernand, né le 2 mai 1879 à Bonneville (Somme), classe 1899, matricule n° 1040, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R916 Archives de la Somme
J.O. du 26 juillet 1920 page 10738
Des requêtes ont été présentées au procureur de la République à Doullens, en vue de faire déclarer judiciairement le décès de :
Monchy-au-Bois
Vasseur (Raymond-Anatole-Arthur), soldat au 14e régiment d'infanterie territoriale, domicilié à Canaples, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
Ecangueur de profession : Ouvrier écanguant du lin avec un écang (ou écangue) ; il sépare la filasse et la paille des tiges de lin ou de chanvre (initialement à l'aide d'un écang). Il demeure dans son village natal. Il mesure 1 mètre 55 et semble avoir eu peu l'occasion de fréquenter les bancs de l'école pour travailler très tôt. Il accomplit son service au 120e d'infanterie de Péronne entre novembre 1896 et novembre 1897. Il demeure à Flixecourt en 1899 puis revient habiter à Canaples en 1905.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation du 1er août 1914, il quitte Canaples pour rejoindre Abbeville où il arrive le 4 août suivant et intègre les rangs du 14 e régiment territorial d'infanterie - n° matricule au corps : 17.128.
Il est porté disparu le 10 octobre 1914 à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) - avis de disparition du ministère de la guerre du 2 juin 1916.
Vasseur, Raymond Anatole Arthur, né le 28 mars 1875 à Canaples (Somme), classe 1895, matricule n° 253, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R866 Archives de la Somme
Carton (Léon-Amédée-Benjamin-Marie-Joseph), soldat au 14e régiment d'infanterie territoriale, domicilié à Hérissart, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
Cultivateur à Hérissart, il est appelé sous les drapeaux pour faire son service au 51e d'infanterie, entre novembre 1900 et septembre 1903. Il mesure 1 mètre 63 et possède un degré d'instruction de niveau 3. Affecté dan l'armée territoriale au 14e régiment territorial, il y est rappelé en août 1914, lors de la mobilisation générale. Il arrive à Abbeville le 4 août 1914 avant de partir aux armées - n° matricule au corps : 4973.
Disparu le 10 octobre 1914 au combat à Monchy-au-Bois - avis officiel du ministère de la guerre du 22 juin 1917. Jugement déclaratif de décès fixé à cette date.
Carton, Léon Amédée Benjamin Marie Joseph, né le 10 mars 1879 à Hérissart (Somme), classe 1899, matricule n° 1191, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R916 Archives de la Somme
Rathuille (Louis-Isaïe), soldat au 14e régiment d'infanterie territoriale, domicilié à Saint-Ouen, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
Natif et habitant à Saint-Léger-lès-Domart (Somme), cet ouvrier d'usine se présente au conseil de révision dans sa vingtième année à Domart-en-Ponthieu. Il mesure 1 mètre 69 et son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Il accomplit son service au 132e d'infanterie entre novembre 1897 et novembre 1898. Depuis 1909, il réside à Saint-Ouen (Somme), au 10, cité Saint-Jean. C'est là qu'il reçoit son ordre de mobilisation début août 1914, lui enjoignant de rejoindre le 14e régiment territorial qui se forme à Abbeville. Il y arrive le 4 août (n° matricule au corps : 17.156) et se tient prêt à partir aux armées dès le lendemain.
Il est au nombre des disparus du 14e R.I.T. lors du combat de Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914 - avis de disparition du ministère de la guerre du 28 août 1916.
Rathuille, Louis Isaïe, né le 10 novembre 1875 à Saint-Léger-lès-Domart (Somme), classe 1895, matricule n° 291, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R866 Archives de la Somme
Bolias (Belmire-Alphonse), soldat au 14e régiment territorial d'infanterie, domicilié à Saint-Ouen, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
BOLIAS Belmire Alphonse, ouvrier d'usine à Saint-Ouen, village du canton de Domart-en-Ponthieu, passe devant le conseil de révision cantonal au cours de l'année 1896. Celui-ci le déclare apte au service. Il mesure 1 mètre 66, a un visage plein, un menton rond, des yeux gris, des cheveux et sourcils châtains. On lui reconnaît un degré d'instruction de niveau 2. L'année suivante, il est incorporé au 51e régiment d'infanterie à Amiens, à compter du 15 novembre 1897. Il y restera trois ans et ne sera mis en congé que le 22 septembre 1900, un certificat de bonne conduite : accordé. Il passe dans la réserve de l'armée active cette même année (1er novembre).
En 1903 et 1906, il est rappelé pour deux périodes d'exercices dans les rangs du 128e régiment d'infanterie à Abbeville. Entre le 29 mai et le 6 juin 1912, une troisième période d'exercices lui fait rejoindre le 14e régiment territorial d'infanterie.
Il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914 et rejoint son corps le 4 août. Il part avec les éléments du 14eR.I.T. présents, dès le lendemain 5 août, vers les armées du Nord et du Nord-Est. Le N° matricule (corps) ; 674, lui est attribué à Abbeville avant son départ aux armées.
Il est porté disparu, le 10 octobre 1914, lors des combats de Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) - Avis officiel du ministère de la Guerre du 21 décembre 1915.
Bolias, Belmire Alphonse, né le 21 juin 1876 à Belloy-sur-Somme (Somme), classe 1896, matricule n° 196, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R878 Archives de la Somme
Beluire (sic) Alphonse BOLIAS
Mort pour la France le 10 octobre 1914 à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) Tué
Né le 21 juin 1876 à Belloy-sur-Somme (Somme)
38 ans, 3 mois et 19 jours
soldat de 2e classe
Unité : 128e régiment d'infanterie (128e RI) (sic) LIRE : 14e régiment territorial d'infanterie
Classe 1896 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 196
Jugement déclaratif de décès rendu par le tribunal de Doullens le 4 juin 1920
Lieu de transcription du décès : Saint-Ouen (Somme) le 15 juin 1920
Delaporte (Charles-Joseph), soldat au 14e régiment territorial d'infanterie, domicilié à Doullens, disparu à Monchy-au-Bois (Marne), le 10 octobre 1914.
Quillet (Joseph-Alfred-Henri), soldat au 14e régiment d'infanterie territoriale, domicilié à Montrelet, disparu à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais), le 10 octobre 1914.
Manouvrier à Montrelet, le jeune homme mesure 1 mètre 63 et possède un degré d'instruction de niveau 3 alors qu'il se présente devant le conseil de révision en 1899. C'est au 8 bataillon de chasseurs à pied à Amiens qu'il accomplit son temps entre novembre 1900 et septembre 1903.
Du 1er au 9 avril 1914, il accomplit une période d'exercices au 14e régiment territorial
Août 1914, il répond à l'ordre de mobilisation générale et rejoint à Abbeville le 14e régiment territorial où il arrive le 4 août n° matricule au corps : 5192.
Il est porté disparu le 10 octobre 1914 à Monchy-au-Bois (Pas-de-Calais) - avis du ministère de la guerre du 12 novembre 1915.
Quillet, Joseph Alfred Henri, né le 12 avril 1879 à Fieffes-Montrelet (Somme), classe 1899, matricule n° 1050, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R916 Archives de la Somme
Nieuport-ville
Pauchet (Georges-Fernand), soldat au 14e régiment territorial d'infanterie, domicilié à Bonneville, disparu à Nieuport-ville (Belgique), le 11 novembre 1914.
Ouvrier d'usine à Bonneville, il est appelé sous les drapeaux au 51e d'infanterie entre novembre 1900 et septembre 1903. Passé dans la territoriale le 1er octobre 1913, il est rappelé par décret présidentiel du 1er août 1914 portant ordre de mobilisation générale. Affecté au 14e régiment territorial d'infanterie d'Abbeville, il rejoint son régiment le 4 août avant de partir rejoindre les armées du Nord et du Nord-Est dès le lendemain avec les éléments du régiment déjà disponibles. Il est nommé soldat de 1ère classe, le 24 octobre 1914 - ordre du 14e Territorial d'infanterie N° 25.
Disparu le 11 novembre 1914 à Nieuport-Ville (Belgique) - avis du ministère de la guerre du 14 février 1916.
Pauchet, Georges Fernand, né le 2 mai 1879 à Bonneville (Somme), classe 1899, matricule n° 1040, Bureau de recrutement d'Abbeville 1R916 Archives de la Somme
Dernière modification par ae80 le lun. mars 11, 2024 10:37 am, modifié 2 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE