Bonjour,
Un article intéressant :
https://www.defense.gouv.fr/ema/actuali ... p-bataille
Cordialement.
Eric
Grande Guerre, le difficile choix des blessés sur le champ de bataille
Grande Guerre, le difficile choix des blessés sur le champ de bataille
« Les hommes pour la plupart n’étaient pas gais ; ils étaient résolus, ce qui vaut mieux. »
Marc Bloch
Marc Bloch
Re: Grande Guerre, le difficile choix des blessés sur le champ de bataille
Bonjour, j'aurai bien vu ce sujet placé dans la rubrique "service de santé".
Il me semble qu'un soldat a survécu sa vie entière avec une balle logée dans sa boite cranienne, qu'il était impossible d'extraire. Mais rien retrouvé.
Pour l'article, c'est un principe de base : « commencez à soigner les blessés les moins graves et puis après, si vous avez le temps, occupez-vous des blessés les plus graves »
Voir Louis Maufrais.
CG-83
Il me semble qu'un soldat a survécu sa vie entière avec une balle logée dans sa boite cranienne, qu'il était impossible d'extraire. Mais rien retrouvé.
Pour l'article, c'est un principe de base : « commencez à soigner les blessés les moins graves et puis après, si vous avez le temps, occupez-vous des blessés les plus graves »
Voir Louis Maufrais.
CG-83
Re: Grande Guerre, le difficile choix des blessés sur le champ de bataille
Bonsoir,
On avait traité d'une balle dans le cœur sur ce topic : viewtopic.php?p=549422#p549422
Bonne soirée, Fabrice
On avait traité d'une balle dans le cœur sur ce topic : viewtopic.php?p=549422#p549422
Bonne soirée, Fabrice
- Stephan @gosto
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Re: Grande Guerre, le difficile choix des blessés sur le champ de bataille
Bonsoir,
Il faut ajouter qu'un autre "tri" s'opérait parfois dès le champ de bataille... et pas toujours de façon très "glorieuse". Voici quelques lignes extraites du récit d'un brancardier du 74e R.I., lors des combats de la Caillette, en avril 1916 :
" [...] A quatre, Prévost, Dehais, Duclos et moi, nous pouvons transporter un blessé, trois dans la nuit si tout va bien. Il y en a parterre, autour de nous, plus de vingt. C’est une tâche impossible. Au hasard, nous en prenons un. On choisissait toujours les blessés les moins lourds. En route ! "
On nous le dit assez que le surpoids c'est mauvais pour la santé...
Bonne soirée.
Stéphan
Il faut ajouter qu'un autre "tri" s'opérait parfois dès le champ de bataille... et pas toujours de façon très "glorieuse". Voici quelques lignes extraites du récit d'un brancardier du 74e R.I., lors des combats de la Caillette, en avril 1916 :
" [...] A quatre, Prévost, Dehais, Duclos et moi, nous pouvons transporter un blessé, trois dans la nuit si tout va bien. Il y en a parterre, autour de nous, plus de vingt. C’est une tâche impossible. Au hasard, nous en prenons un. On choisissait toujours les blessés les moins lourds. En route ! "
On nous le dit assez que le surpoids c'est mauvais pour la santé...
Bonne soirée.
Stéphan