Forum PAGES 14-18

Bonsoir,

J'ignore si le fait a déjà été signalé pour qui cela intéresserait, soit quant au suicide, soit quant au 133e RI, ou les deux... Un sondage dans le moteur de recherche ne m'a pas permis de le trouver. Malgré ma réticence devant ce genre de publication qui me semble toujours entachée de quelque indiscrétion, je livre donc cette information trouvée hier aux AD Marne (Reims, Avenue de l'Yser) sous la cote 2 R 278 -Tombes militaires 1915-1918:
Ignace Rozé, de la CHR du 133e RI s'est suicidé à Chaumuzy, le 22 Septembre 1917, où cette CHR a en effet cantonné les 21 et 22 Septembre 17. Le dossier comporte un plan de situation de cette tombe, derrière l'église: je n'ai pas encore eu le loisir de passer à Chaumuzy vérifier si cette tombe y subsiste.

Je voulais surtout, par cette publication, rappeler que les AD recèlent souvent des mines d'informations très diverses, sans doute trop méconnues, pour ne pas dire beaucoup trop inexploitées...

Bien à vous,
Achache

Bonsoir,

Ignace BOZI répose à la nécropole de Chatillon sur marne tombe n° 288

amicalement,

Philippe

re bonsoir,

Merci Philippe: j'ai donc fait, ou recopié... une erreur sur le nom de ce sous chef de la musique du 133e comme je viens de voir sur sa fiche MDH.

Bien à vous
Achache

re bonsoir

Merci à vous pour ce complément d’information. Des blessures de guerre qui se transforment en suicide … A ce jour, Ignace est le seul des tués issu du 133e à Chaumuzy, et le seul a être inhumé à Châtillon sur Marne. Je comprends maintenant pourquoi…

Bonne soirée à vous.
Philippe

le voici:

re bonsoir

Merci à vous pour ce complément d’information. Des blessures de guerre qui se transforment en suicide … A ce jour, Ignace est le seul des tués issu du 133e à Chaumuzy, et le seul a être inhumé à Châtillon sur Marne. Je comprends maintenant pourquoi…

Bonne soirée à vous.
Philippe

merci à vous pour la photo.
Sans vouloir jouer sur les mots: pour avoir, malheureusement, approché beaucoup de personnes au psychisme "blessé" même dans la paix, je suis de ceux qui considèrent les blessures psychiques comme pouvoir être, éventuellement, d'authentiques blessures de guerre, parfois aussi fatales que celles par le fer ou le feu, comme, peut être, il en fut pour monsieur Bozi...
Bien à vous,
Achache