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compte rendu d'enquête décès

tomtraceur a écrit : ↑dim. févr. 14, 2021 4:15 pm ah autant pour moi, dans ma tête c'était plus précis .
Donc mon arrière grand oncle Fernand FRICHE est porté disparu le 22 mai 1916 à Douaumont.
une enquête est ouverte. Celle-ci fini par la découverte du corps le 26 mai 1916. L'une de ses plaques d'identité est prélevé de son corps et est envoyée à la famille. Cependant le corps redisparait et ne sera jamais redonné à la famille et sa tombe n'a pas encore été identifié (mon enquête).

Voici ci joint la fiche.
je cherche à lire le rapport fait par le sous lieutenant Lemonnier et le capitaine Heuteau.

Achache a écrit : ↑dim. févr. 14, 2021 5:14 pm Re
Merci pour ces précisions,
il s'agit donc d'une enquête Croix Rouge, dans les camps (tout autre chose que l'enquête de terrain de "La vie et rien d'autre"...); le sous lieutenant Lemonnier et le capitaine Heuteau, eux mêmes prisonniers, n'ont fait que de donner des renseignements.
Alors, où trouver ce rapport ? Je ne suis pas sûr que la Croix Rouge l'ai communiqué à Vincennes...
Je ne sais pas. - Je crains qu'il ne reste pour tout "compte rendu" que cette petite fiche synthétique...
Bien à vous,

Achache.png

Stephan @gosto a écrit : ↑jeu. mars 11, 2021 11:13 am Salut Thomas,

J'ai écumé tous les cartons du 74e et de la 5e D.I.., tu ne trouveras rien de cet ordre-là à Vincennes.

D'autre part, en ce qui concerne sa possible tombe... Je sais que c'est une quête qui te tient à cœur... mais je crains de devoir me répéter : pour moi - je te l'ai déjà dit - il n'a eu comme tombe qu'un des trous d'obus qui se trouvaient à proximité du poste de secours et que l'on comblait des corps et membres "rebuts" dudit poste. Et encore il ne s'est très certainement agit que d'une tombe collective provisoire dans la mesure où, très vraisemblablement, elle a été retournée par les bombardements qui ont secoué le ravin du Bazil dans les mois qui ont suivi... Il n'y a eu, durant l'engagement du 74e en ces parages, que de très rares tombes individuelles, mais elles furent aménagées pour des officiers dont les corps, de toutes façons, n'ont jamais été retrouvés après la guerre...

A bientôt !
Stéphan