Bonjours
Avez-vous rechercher passage(s) en lien avec le 294e parmi les JMO des Rgts faisant parti de la 56e DI à ce moment
350e RI
354e RI
355e RI
361e RI
65e BCP
69e BCP
http://www.lesfrancaisaverdun-1916.fr/r ... .htm#ri294
EXTRAITS:
25 mai, 294e RI
«Sévèrement éprouvés par le bombardement des jours précédents, les éléments en ligne sur Thiaumont réussissent néanmoins à repousser 4 attaques.
Mais au pris d'un effort sur-humain.
27 mai, il est relevé .... , il quitte le front ... .»
Un aperçu du secteur
Les Armées françaises dans la Grande Guerre / Tome IV. Verdun et la Somme.
Deuxième volume. La bataille de Verdun et les offensives des Alliés (1er mai 1916 - 3 septembre 1916)
5.000e. - Attaque du plateau de Douaumont (22 mai 1916).
https://www.memoiredeshommes.sga.defens ... 214c1b2889
viewtopic.php?t=3117
EXTRAIt:
«354e RI, se trouvait tous ces jours-là dans le secteur de la Ferme de Thiaumont/Ravin de la Dame (Mort), positionné à gauche du 294e RI.
Dès le 23 , les lignes françaises allaient elles-même être fortement attaquées par des contre-attaques ennemies (le 294e RI subira douze charges à la baionnette en 48 heures, à chaque fois refoulées - cf Cahier de l'Aspirant LABY).»
Les carnets de l’aspirant Laby, médecin dans les tranchées (28 juillet 1914 – 14 juillet 1919), Paris, Bayard.
Extrait
https://www.parutions.com/pages/1-4-423-3997.html
Lucien Laby (1892-1982) est le fils d’un pharmacien, ancien adjoint au maire de Reims, installé dans la Somme au moment de la déclaration de guerre. Il est alors élève de l’école du service de Santé de Lyon et il est nommé médecin auxiliaire dans le groupe des brancardiers divisionnaires de la 56e division d’infanterie. Il participe à l’offensive de Lorraine, puis à la retraite, avant de stationner tout près de chez lui, dans la Somme. En avril 1915, désireux de s’illustrer sur le champ de bataille, il demande à être affecté au 294e régiment d’infanterie, avec lequel il est engagé dans l’offensive de Champagne en septembre 1915, à Verdun en mai 1916, sur la Somme en septembre et enfin au Chemin des Dames au printemps de 1917. Muté ensuite dans une ambulance chirurgicale automobile près de Belfort, il voit alors ses conditions d’existence changer du tout au tout. En 1918 la maladie (dont la grippe espagnole) l’éloigne durablement de sa tâche. Il fait partie des troupes qui entrent en libérateurs à Mulhouse et Strasbourg en novembre.
Salutations
Michel