Forum PAGES 14-18

Bonsoir,
totalement néophyte, j entreprends des recherches sur mon grand père durant la guerre 14/18. Les infos que je posséde :
mobilisé en 14, soldat de deuxiéme classe, promu sergent en 15 et adjudant en 18. Ancien combattant de la Marne et de la Somme dans les rangs du 67 RI et du 224 RI. Blessé, médailles. Ceci est un extrait de journal.
Sur un carnet intitulé "classe 1909", je retrouve son nom, Finet Joseph, classe 1909, matricule de recrutement 975 Amiens, corps 224 e RI 22e compagnie (il n est pas fait là mention du 67 RI)
Je rentre du centre de documentation de Vincennes ou j ai trouvé le journal du 224 RI; en fait, souvent une suite de dates et d événements. J aimerai savoir comment déterminer avec précision les périodes durant les quelles il a pu séjourner au 224e et/ou 67 RI ?
D autre part, toutes vos suggestions pour poursuivre mes recherches seront les bien venues (ainsi que sites ou je peux trouver des photos)
Par avance merci

J aimerai savoir comment déterminer avec précision les périodes durant les quelles il a pu séjourner au 224e et/ou 67 RI ?

J'avais le même problème mais en temps normal (sinon vous ne pouvez que vous fier à votre esprit déductif...) tout est à la mairie de la commune/ville/bourgade où il repose pour toujours... si "non", vous pouvez toujours essayer aux archives départementales pour la durée de son séjour dans tel ou tel régiment.

Bien amicalement,
Julien BRASSEUR.

Bonjour,

Il vous faut d'abord les indicateurs de l'état-civil ensuite, vous rendre aux archives départementales de son lieu de recrutement (s'il s'agit de la Somme, bonjour l'ambiance ! à moins qu'il y ait eu du changement depuis).
L'idéal est de posséder le livret militaire et s'il a été bien rempli, vous pourrez prendre en compte ses temps de permission.
Cela est essentiel ayant moi-même eu ce cas au déclenchement d'une grande bataille.
Reste alors, le journal de marche consultable à Vincennes, ce que vous avez fait mais recopier est souvent pénible ou plus simplement, retracer le parcours par les historiques de régiment qui sont nettement moins renseignés.
Bon courage, cordialement, Hervé.