MACEIO Vapeur brésilien
Publié : jeu. mars 29, 2018 8:00 am
MACEIO
Bonjour à tous,
Vapeur construit en 1910 au chantier Bremer Vulkan de Vegesack sous le nom de SANTA ANNA.
Armateur Hamburg-Sudamerikanische Dampfs.Ges de Hambourg
3739 t Longueur 107 m Largeur 15,3 m I hélice
1917 MACEIO Gouvernement brésilien (Navire saisi par les Brésiliens)
La perte du MACEIO
Effectue une traversée Le Havre – New York, affrété par le Gouvernement français.
Navire armé de 2 canons français de 90 mm. Canonniers français au nombre de 7 dont 1 chef de section
Officier TSF Français
Equipage de 66 hommes dont 8 Portugais, 8 Français et 50 Brésiliens.
Capitaine Antonio Xavier MERCANTE (Portugais)
Rapport britannique
Position du torpillage 45°00N 11°00 W. Le sous-marin n’avait pas été aperçu et le navire a été immédiatement abandonné. La torpille a frappé dans la soute à charbon bâbord. Tout le charbon s’est échappé et le navire s’est trouvé très allégé. Le choc a été si violent que les portes des cabines se sont bloquées. Le capitaine est a pu sortir par le sabord de sa cabine.
Mer belle et nuit très noire. Envoyé un SOS au moyen des accumulateurs de secours, le moteur de la dynamo ayant été brisé par l’explosion.
Les documents TSF secrets ont été détruits par le télégraphiste.
Le navire a coulé
Une embarcation avec 17 hommes dont le capitaine est arrivée à Corcubion le 5 Août. Aucune nouvelle des deux autres embarcations.
Le capitaine a été handicapé, n’ayant reçu aucune aide de ses officiers. 1er, 2e et 3e officiers se sont rués dans les canots avec la majorité de l’équipage. Le capitaine a eu beaucoup de mal à affaler le seul canot restant, et si le moindre problème était survenu lors de la mise à l’eau, lui et les 16 hommes l’accompagnant n’auraient reçu aucun secours des autres canots déjà forts éloignés et qui n’ont pas été revus. J’ai interrogé le 4e officier, le télégraphiste, le commissaire et le responsable de l’hôpital. Tous disent que le reste des officiers et de l’équipage ont quitté le navire sans en avoir reçu l’ordre du capitaine.
Le capitaine MERCANTE était déjà 1er officier sur le vapeur MACAU quand il a été coulé par l’ennemi le 18 0ctobre 1917.
(Nota : ce vapeur brésilien avait été coulé pratiquement à la même position que MACEIO soit 45°41 N et 10°43 W par l’U 93 du Kptlt Helmut GERLACH lors d’une traversée Rio de Janeiro – Le Havre).
Signé : Consul britannique à Vigo.
Rapport d’enquête français
Navire équipé de 2 canons de 90 mm armés par des Français. 2 Verdier et 14 Berger
Avait quitté Le Havre le 27 Juillet sur lest.
Position du torpillage 46°01 N 08°47 W
Mer assez grosse avec brise de NW
La torpille a frappé dans le compartiment machine où elle a tout dévasté. Les chaudières ont fait explosion. Le navire s’est cassé en deux et a aussitôt été envahi par l’eau. Les canons ont été complètement disloqués. Le navire a coulé 15 minutes plus tard.
On a amené 3 embarcations et 44 hommes sont montés dans les canots de tribord. 22 hommes et le capitaine seraient montés dans le 3e canot, mais n’ont pas été revus. Il n’y avait pas de radeaux de sauvetage. Il n’y avait pas non plus de rôle d’abandon. On peut d’ailleurs s’étonner que le bâtiment ait été torpillé par nuit noire. Mais les témoins brésiliens affirment que toutes les lumières étaient masquées.
Il y aurait 22 disparus dont 3 marins français et 19 Brésiliens dont le capitaine portugais. Il est aussi possible que plusieurs hommes aient été tués par l’explosion.
Au petit jour, le sous-marin s’est approché d’une des embarcations et a fait signe d’accoster. Un de ses officiers, qui parlait français, a posé les questions habituelles au 3e officier sur destination, nature du chargement et composition de l’équipage. Il a demandé combien de torpilles avaient porté et s’est étonné qu’une seule ait touché le navire. Il a laissé les embarcations continuer leur route en leur donnant leur position, mais qui paraîtrait erronée de 100 milles.
Le sous-marin avait un seul canon à l’avant d’environ 100 mm et trois antennes TSF allant de l’avant à l’arrière. Longueur environ 50 m. Etrave droite. On a cru voir 3 tubes lance-torpille de chaque bord tirant par le travers. Sous-marin noir sous la flottaison et gris au dessus avec l’arrière camouflé jusqu’au milieu. Peinture récente. Vu 3 officiers et une vingtaine d’hommes.
Les deux embarcations sont arrivées à Brest le 7 Août à midi.
Les marins français de ces deux embarcations se sont plaints de la conduite des Brésiliens pendant la traversée de retour dans les canots. On ne leur a en effet donné du biscuit, et encore sur leur réclamation, que très parcimonieusement, alors que les Brésiliens prenaient tout ce qu’ils voulaient. L’officier les laissait faire sans aucun souci du lendemain. Tout le personnel officier qui a été vu ici fait plutôt mauvaise impression et selon les Français, on peut conclure que ce navire était mal commandé.
On vient d’apprendre que des survivants sont arrivés à Corcubion et il serait utile de savoir si les 3 marins français manquants figurent parmi eux.
Interrogatoire du QM canonnier français GUILLOU à Bordeaux le 12 Août 1918
Ce QM était le chef de section des canonniers et se trouvait dans l’embarcation arrivée à Corcubion.
Nous avons quitté Falmouth le 31 Juillet pour New York avec un convoi anglais partant pour la Méditerranée jusqu’au 2 Août. Après quoi, nous avons fait route seuls pour New York.
Le MACEIO s’appelait avant la guerre SANTA ANNA et appartenait à une compagnie allemande. Il a été réquisitionné en 1914 par le gouvernement du Brésil. Il naviguait sur lest et filait environ 9 nœuds.
Le capitaine était Portugais et s’appelait Antonio MERCANTE. L’équipage comportait 66 hommes.
Nous avions deux canons de 90 mm modèle 1877 et j’étais chef de section, Armand Jean-François GUILLOU, Paimpol n° 41143, de l’AMBC.
Il a été torpillé par 45°55 N et 11°00 W vers 01h00 le 3 Août. La mer était houleuse avec brise de NW et brume réduisant la visibilité à quelques centaines de mètres. On éteignait l’électricité tous les jours à minuit et j’ai constaté qu’elle avait été éteinte cette nuit là. Un SOS a été lancé par le QM TSF.
Je n’ai vu ni le sous-marin ni la torpille et le sous-marin n’a pas tiré de coups de canon. J’étais de quart à la pièce tribord arrière quand j’ai entendu une explosion par le travers bâbord de la machine. Le navire s’est incliné sur bâbord, puis s’est redressé et j’ai armé ma pièce, comme l’autre canonnier de veille à la pièce bâbord. Tout l’armement des pièces a rallier mais nous n’avons pas pu tirer, aucun but n’étant visible. Je n’ai pu me rendre compte des avaries, mais le navire s’enfonçait rapidement.
Etant à nos pièces et ne pouvant tirer, nous avons constaté que les embarcations étaient déjà amenées et s’éloignaient. Le capitaine avait déjà embarqué dans l’une d’elle. Il allait pousser et nous abandonner à bord. Nous avons décidé de rallier le canot de tribord avant car il n’y avait aucun radeau à bord. Dès que nous avons embarqué, le capitaine a donné l’ordre de pousser sans savoir ou chercher à savoir s’il y avait encore du monde à bord. Le temps étant brumeux, nous avons tout de suite perdu de vue le navire qui était assez enfoncé, mais flottait encore. Nous étions 17 dans l’embarcation du capitaine, dont les 3 Français ici présents à l’interrogatoire. Je ne sais ce que sont devenus les autres.
Pendant notre voyage dans l’embarcation, un chauffeur a dit qu’il était le seul rescapé du personnel de quart dans la machine.
Nous avons fait route vers la terre à la voile, vent portant, à la vitesse de 5 nœuds environ. Le 4 à 14h00, la terre étant en vue, nous avons été sauvés par un bateau espagnol, le PENA SAGRA qui nous a mis à terre dans la baie de Corcubion en Espagne. Mis à part quelques exceptions, l’équipage portugais et brésilien a évacué le navire dans le plus grand affolement.
Conclusion de l’officier enquêteur
Quoique le danger n’ait pas paru pressant, et sans que le capitaine ait cherché à se rendre compte de la situation exacte de son navire, trois embarcations ont été amenées et l’équipage y a embarqué et s’est éloigné. Cette évacuation a été trop hâtive et s’est faite sans calme. Le capitaine n’a pas quitté son navire le dernier et les trois témoins interrogés affirment tous que les embarcations se sont éloignées sans qu’il ait été vérifié que personne ne restait à bord.
Les 7 Français de l’AMBC et aussi, en particulier, le télégraphiste, ont montré le plus grand sang froid.
Conclusion générale
D’après ces interrogatoires, tous les Français de l’équipage ont donc été sauvés. Avec les 44 hommes arrivés à Brest et les 17 arrivés à Corcubion, ce sont donc finalement 5 marins qui ont disparu dans le naufrage. On peut penser qu’il s’agissait des hommes de quart dans la machine qui ont été tués par l’explosion de la torpille.
(Correction à apporter au site uboat. net qui donne 0 victime)
Le sous-marin attaquant
C’était l’U 43 du Kptlt Johannes KIRCHNER. Le même jour, il coulera le voilier portugais VOUGA.
Cdlt
Bonjour à tous,
Vapeur construit en 1910 au chantier Bremer Vulkan de Vegesack sous le nom de SANTA ANNA.
Armateur Hamburg-Sudamerikanische Dampfs.Ges de Hambourg
3739 t Longueur 107 m Largeur 15,3 m I hélice
1917 MACEIO Gouvernement brésilien (Navire saisi par les Brésiliens)
La perte du MACEIO
Effectue une traversée Le Havre – New York, affrété par le Gouvernement français.
Navire armé de 2 canons français de 90 mm. Canonniers français au nombre de 7 dont 1 chef de section
Officier TSF Français
Equipage de 66 hommes dont 8 Portugais, 8 Français et 50 Brésiliens.
Capitaine Antonio Xavier MERCANTE (Portugais)
Rapport britannique
Position du torpillage 45°00N 11°00 W. Le sous-marin n’avait pas été aperçu et le navire a été immédiatement abandonné. La torpille a frappé dans la soute à charbon bâbord. Tout le charbon s’est échappé et le navire s’est trouvé très allégé. Le choc a été si violent que les portes des cabines se sont bloquées. Le capitaine est a pu sortir par le sabord de sa cabine.
Mer belle et nuit très noire. Envoyé un SOS au moyen des accumulateurs de secours, le moteur de la dynamo ayant été brisé par l’explosion.
Les documents TSF secrets ont été détruits par le télégraphiste.
Le navire a coulé
Une embarcation avec 17 hommes dont le capitaine est arrivée à Corcubion le 5 Août. Aucune nouvelle des deux autres embarcations.
Le capitaine a été handicapé, n’ayant reçu aucune aide de ses officiers. 1er, 2e et 3e officiers se sont rués dans les canots avec la majorité de l’équipage. Le capitaine a eu beaucoup de mal à affaler le seul canot restant, et si le moindre problème était survenu lors de la mise à l’eau, lui et les 16 hommes l’accompagnant n’auraient reçu aucun secours des autres canots déjà forts éloignés et qui n’ont pas été revus. J’ai interrogé le 4e officier, le télégraphiste, le commissaire et le responsable de l’hôpital. Tous disent que le reste des officiers et de l’équipage ont quitté le navire sans en avoir reçu l’ordre du capitaine.
Le capitaine MERCANTE était déjà 1er officier sur le vapeur MACAU quand il a été coulé par l’ennemi le 18 0ctobre 1917.
(Nota : ce vapeur brésilien avait été coulé pratiquement à la même position que MACEIO soit 45°41 N et 10°43 W par l’U 93 du Kptlt Helmut GERLACH lors d’une traversée Rio de Janeiro – Le Havre).
Signé : Consul britannique à Vigo.
Rapport d’enquête français
Navire équipé de 2 canons de 90 mm armés par des Français. 2 Verdier et 14 Berger
Avait quitté Le Havre le 27 Juillet sur lest.
Position du torpillage 46°01 N 08°47 W
Mer assez grosse avec brise de NW
La torpille a frappé dans le compartiment machine où elle a tout dévasté. Les chaudières ont fait explosion. Le navire s’est cassé en deux et a aussitôt été envahi par l’eau. Les canons ont été complètement disloqués. Le navire a coulé 15 minutes plus tard.
On a amené 3 embarcations et 44 hommes sont montés dans les canots de tribord. 22 hommes et le capitaine seraient montés dans le 3e canot, mais n’ont pas été revus. Il n’y avait pas de radeaux de sauvetage. Il n’y avait pas non plus de rôle d’abandon. On peut d’ailleurs s’étonner que le bâtiment ait été torpillé par nuit noire. Mais les témoins brésiliens affirment que toutes les lumières étaient masquées.
Il y aurait 22 disparus dont 3 marins français et 19 Brésiliens dont le capitaine portugais. Il est aussi possible que plusieurs hommes aient été tués par l’explosion.
Au petit jour, le sous-marin s’est approché d’une des embarcations et a fait signe d’accoster. Un de ses officiers, qui parlait français, a posé les questions habituelles au 3e officier sur destination, nature du chargement et composition de l’équipage. Il a demandé combien de torpilles avaient porté et s’est étonné qu’une seule ait touché le navire. Il a laissé les embarcations continuer leur route en leur donnant leur position, mais qui paraîtrait erronée de 100 milles.
Le sous-marin avait un seul canon à l’avant d’environ 100 mm et trois antennes TSF allant de l’avant à l’arrière. Longueur environ 50 m. Etrave droite. On a cru voir 3 tubes lance-torpille de chaque bord tirant par le travers. Sous-marin noir sous la flottaison et gris au dessus avec l’arrière camouflé jusqu’au milieu. Peinture récente. Vu 3 officiers et une vingtaine d’hommes.
Les deux embarcations sont arrivées à Brest le 7 Août à midi.
Les marins français de ces deux embarcations se sont plaints de la conduite des Brésiliens pendant la traversée de retour dans les canots. On ne leur a en effet donné du biscuit, et encore sur leur réclamation, que très parcimonieusement, alors que les Brésiliens prenaient tout ce qu’ils voulaient. L’officier les laissait faire sans aucun souci du lendemain. Tout le personnel officier qui a été vu ici fait plutôt mauvaise impression et selon les Français, on peut conclure que ce navire était mal commandé.
On vient d’apprendre que des survivants sont arrivés à Corcubion et il serait utile de savoir si les 3 marins français manquants figurent parmi eux.
Interrogatoire du QM canonnier français GUILLOU à Bordeaux le 12 Août 1918
Ce QM était le chef de section des canonniers et se trouvait dans l’embarcation arrivée à Corcubion.
Nous avons quitté Falmouth le 31 Juillet pour New York avec un convoi anglais partant pour la Méditerranée jusqu’au 2 Août. Après quoi, nous avons fait route seuls pour New York.
Le MACEIO s’appelait avant la guerre SANTA ANNA et appartenait à une compagnie allemande. Il a été réquisitionné en 1914 par le gouvernement du Brésil. Il naviguait sur lest et filait environ 9 nœuds.
Le capitaine était Portugais et s’appelait Antonio MERCANTE. L’équipage comportait 66 hommes.
Nous avions deux canons de 90 mm modèle 1877 et j’étais chef de section, Armand Jean-François GUILLOU, Paimpol n° 41143, de l’AMBC.
Il a été torpillé par 45°55 N et 11°00 W vers 01h00 le 3 Août. La mer était houleuse avec brise de NW et brume réduisant la visibilité à quelques centaines de mètres. On éteignait l’électricité tous les jours à minuit et j’ai constaté qu’elle avait été éteinte cette nuit là. Un SOS a été lancé par le QM TSF.
Je n’ai vu ni le sous-marin ni la torpille et le sous-marin n’a pas tiré de coups de canon. J’étais de quart à la pièce tribord arrière quand j’ai entendu une explosion par le travers bâbord de la machine. Le navire s’est incliné sur bâbord, puis s’est redressé et j’ai armé ma pièce, comme l’autre canonnier de veille à la pièce bâbord. Tout l’armement des pièces a rallier mais nous n’avons pas pu tirer, aucun but n’étant visible. Je n’ai pu me rendre compte des avaries, mais le navire s’enfonçait rapidement.
Etant à nos pièces et ne pouvant tirer, nous avons constaté que les embarcations étaient déjà amenées et s’éloignaient. Le capitaine avait déjà embarqué dans l’une d’elle. Il allait pousser et nous abandonner à bord. Nous avons décidé de rallier le canot de tribord avant car il n’y avait aucun radeau à bord. Dès que nous avons embarqué, le capitaine a donné l’ordre de pousser sans savoir ou chercher à savoir s’il y avait encore du monde à bord. Le temps étant brumeux, nous avons tout de suite perdu de vue le navire qui était assez enfoncé, mais flottait encore. Nous étions 17 dans l’embarcation du capitaine, dont les 3 Français ici présents à l’interrogatoire. Je ne sais ce que sont devenus les autres.
Pendant notre voyage dans l’embarcation, un chauffeur a dit qu’il était le seul rescapé du personnel de quart dans la machine.
Nous avons fait route vers la terre à la voile, vent portant, à la vitesse de 5 nœuds environ. Le 4 à 14h00, la terre étant en vue, nous avons été sauvés par un bateau espagnol, le PENA SAGRA qui nous a mis à terre dans la baie de Corcubion en Espagne. Mis à part quelques exceptions, l’équipage portugais et brésilien a évacué le navire dans le plus grand affolement.
Conclusion de l’officier enquêteur
Quoique le danger n’ait pas paru pressant, et sans que le capitaine ait cherché à se rendre compte de la situation exacte de son navire, trois embarcations ont été amenées et l’équipage y a embarqué et s’est éloigné. Cette évacuation a été trop hâtive et s’est faite sans calme. Le capitaine n’a pas quitté son navire le dernier et les trois témoins interrogés affirment tous que les embarcations se sont éloignées sans qu’il ait été vérifié que personne ne restait à bord.
Les 7 Français de l’AMBC et aussi, en particulier, le télégraphiste, ont montré le plus grand sang froid.
Conclusion générale
D’après ces interrogatoires, tous les Français de l’équipage ont donc été sauvés. Avec les 44 hommes arrivés à Brest et les 17 arrivés à Corcubion, ce sont donc finalement 5 marins qui ont disparu dans le naufrage. On peut penser qu’il s’agissait des hommes de quart dans la machine qui ont été tués par l’explosion de la torpille.
(Correction à apporter au site uboat. net qui donne 0 victime)
Le sous-marin attaquant
C’était l’U 43 du Kptlt Johannes KIRCHNER. Le même jour, il coulera le voilier portugais VOUGA.
Cdlt