Re: Présentation
Publié : mer. oct. 30, 2013 12:21 pm
Bonjour à tous!
Je vous remercie de m'accueillir parmi vous. Qui suis-je? Je ne le sais pas trop mais je suis retraité. Mon âge?
« Impossible de vous dire mon âge, il change tout le temps.
Ce n'est pas de moi, c'est d'Alphonse Allais.
Ce qui est certain c'est que je partage vos goûts en matière d'histoire et de militaria.
Mon père était âgé de 50 ans lorsque j'ai vu le jour. Ancien élève de l'École Régimentaire de Menin, (actuellement
Menen où la pratique du français est interdite aux fonctionnaires!) il fut sergent au 4è Régiment de Ligne pendant
la première guerre mondiale. Il m'a raconté sa guerre; la guerre des tranchées, la vie de tous les jours, sa rencontre
avec les uhlans mecklembourgeois, sa blessure, à la suite de laquelle il se retrouva versé au Contre-espionnage ce
qui l'obligeait à faire régulièrement la traversée entre Flessingue (les Pays-Bas étaient neutres à l'époque) et
l'Angleterre (où il fit la connaissance de ma chère maman). Heureusement pour moi, mon père était obstiné et me
racontait inlassablement ses souvenirs. "Ah, la barbe; encore la guerre de 14!" Depuis lors j'ai revu ma position.
Bien cordialement,
Boyard
Je vous remercie de m'accueillir parmi vous. Qui suis-je? Je ne le sais pas trop mais je suis retraité. Mon âge?
« Impossible de vous dire mon âge, il change tout le temps.

Ce qui est certain c'est que je partage vos goûts en matière d'histoire et de militaria.
Mon père était âgé de 50 ans lorsque j'ai vu le jour. Ancien élève de l'École Régimentaire de Menin, (actuellement
Menen où la pratique du français est interdite aux fonctionnaires!) il fut sergent au 4è Régiment de Ligne pendant
la première guerre mondiale. Il m'a raconté sa guerre; la guerre des tranchées, la vie de tous les jours, sa rencontre
avec les uhlans mecklembourgeois, sa blessure, à la suite de laquelle il se retrouva versé au Contre-espionnage ce
qui l'obligeait à faire régulièrement la traversée entre Flessingue (les Pays-Bas étaient neutres à l'époque) et
l'Angleterre (où il fit la connaissance de ma chère maman). Heureusement pour moi, mon père était obstiné et me
racontait inlassablement ses souvenirs. "Ah, la barbe; encore la guerre de 14!" Depuis lors j'ai revu ma position.
Bien cordialement,
Boyard