MESSIMY Adolphe, Marie
Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonsoir à tous.
MESSIMY Adolphe, Marie
Né le 31.01.1869 à Lyon, département du Rhône
Décédé le 1.09.1935 à Charnoz, département de l’Ain
Origine : Ecole spéciale militaire
Ordres et décorations Français et étrangers :
Chevalier de l’ordre de la légion d’honneur le 31.01.1914
Officier de l’ordre de la légion d’honneur le 15.10.1916
Commandeur de l’ordre de la légion d’honneur le 16.06.1920
Grand officier de l’ordre de la légion d’honneur le 8.07.1932
Croix de guerre avec palme les 27.11.1914, 28.04.1915, 26.08.1915, étoile d’argent le 7.09.1916
Grand croix de l’ordre de la couronne de Belgique le 28.10.1920
Grades successifs : Affectations successives :
Sous-lieutenant le 1.10.1889 13 ième brigade de chasseurs à pied le 1.10.1889
Lieutenant le 19.12.1891 Ecole supérieure de la guerre le 1.03.1894
Capitaine le 25.05.1897 109 ième régiment d’infanterie le 24.07.1896
Capitaine de réserve le 30.12.1899 14 ième corps d’armée & gouverneur militaire
Chef de bataillon de réserve le 9.09.1905 de Lyon (stagiaire) le 16.11.1896
Lieutenant-colonel de réserve le 25.12.1914 62 ième régiment d’infanterie le 15.02.1898
Colonel à TT de réserve le 31.12.1915 Etat-major (51 ième brigade d’infanterie)
Colonel à TD de réserve le 24.10.1916 le 15.07.1898
Général de brigade à TT le 9.09.1917 Hors-cadres (51 ième brigade d’infanterie)
Général de brigade à TD le 26.06.1918 le 15.01.1899
Démissionnaire le 1.09.1899
Rayé des cadres de l’activité le 21.09.1899
Etat-major (1 ième armée) le 30.08.1914
229 ième régiment d’infanterie (commandement) le 12.01.1915
152 ième régiment d’infanterie le 11.03.1915
Commandement (213 ième brigade d’infanterie)
le 29.10.1915
Commandement (6 ième brigade d’infanterie)
le 22.07.1916
Adjoint (général commandant la 46 ième division d’infanterie) le 20.11.1916
Cadre des officiers de réserve et maintenu dans son commandement le 26.06.1918
Remis à la disposition du ministre et renvoyé dans ses foyers le 15.01.1919
Placé dans la section de réserve le 8.10.1923
Cordialement. Frédéric.
MESSIMY Adolphe, Marie
Né le 31.01.1869 à Lyon, département du Rhône
Décédé le 1.09.1935 à Charnoz, département de l’Ain
Origine : Ecole spéciale militaire
Ordres et décorations Français et étrangers :
Chevalier de l’ordre de la légion d’honneur le 31.01.1914
Officier de l’ordre de la légion d’honneur le 15.10.1916
Commandeur de l’ordre de la légion d’honneur le 16.06.1920
Grand officier de l’ordre de la légion d’honneur le 8.07.1932
Croix de guerre avec palme les 27.11.1914, 28.04.1915, 26.08.1915, étoile d’argent le 7.09.1916
Grand croix de l’ordre de la couronne de Belgique le 28.10.1920
Grades successifs : Affectations successives :
Sous-lieutenant le 1.10.1889 13 ième brigade de chasseurs à pied le 1.10.1889
Lieutenant le 19.12.1891 Ecole supérieure de la guerre le 1.03.1894
Capitaine le 25.05.1897 109 ième régiment d’infanterie le 24.07.1896
Capitaine de réserve le 30.12.1899 14 ième corps d’armée & gouverneur militaire
Chef de bataillon de réserve le 9.09.1905 de Lyon (stagiaire) le 16.11.1896
Lieutenant-colonel de réserve le 25.12.1914 62 ième régiment d’infanterie le 15.02.1898
Colonel à TT de réserve le 31.12.1915 Etat-major (51 ième brigade d’infanterie)
Colonel à TD de réserve le 24.10.1916 le 15.07.1898
Général de brigade à TT le 9.09.1917 Hors-cadres (51 ième brigade d’infanterie)
Général de brigade à TD le 26.06.1918 le 15.01.1899
Démissionnaire le 1.09.1899
Rayé des cadres de l’activité le 21.09.1899
Etat-major (1 ième armée) le 30.08.1914
229 ième régiment d’infanterie (commandement) le 12.01.1915
152 ième régiment d’infanterie le 11.03.1915
Commandement (213 ième brigade d’infanterie)
le 29.10.1915
Commandement (6 ième brigade d’infanterie)
le 22.07.1916
Adjoint (général commandant la 46 ième division d’infanterie) le 20.11.1916
Cadre des officiers de réserve et maintenu dans son commandement le 26.06.1918
Remis à la disposition du ministre et renvoyé dans ses foyers le 15.01.1919
Placé dans la section de réserve le 8.10.1923
Cordialement. Frédéric.
- garnier jean pierre
- Messages : 683
- Inscription : lun. sept. 05, 2005 2:00 am
Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonjour
Vont pas être bien content les p'tis vitriers...
Ils sont nombreux sur le forum.
L'Adolphe il prend le commandement en mars 15 du groupe de la Weiss (30e 52e et 70e bataillons de chasseurs).
Il est victime d'un "remaniement ministèriel" fin Août 14, Millerand voulait son poste, il l'obtint.
Et l'Adolphe, il partit....sur le front.
Cordialement
JP
Vont pas être bien content les p'tis vitriers...
Ils sont nombreux sur le forum.
L'Adolphe il prend le commandement en mars 15 du groupe de la Weiss (30e 52e et 70e bataillons de chasseurs).
Il est victime d'un "remaniement ministèriel" fin Août 14, Millerand voulait son poste, il l'obtint.
Et l'Adolphe, il partit....sur le front.
Cordialement
JP
D'ousqu'on vient, on salue que les morts!
La peur. (G chevallier)
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Chemin des dames.
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- Eric Mansuy
- Messages : 4290
- Inscription : mer. oct. 27, 2004 2:00 am
Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonjour à tous,
Quant à sa blessure :
« 28 juillet 1915. Au Rudlin, le colonel Messimy, atteint de plaie par éclat d’obus à la face externe de la cuisse droite, à huit heures du matin, tenant à conserver son commandement, n’a voulu être évacué que le soir à 9 h. Traité au camp de Wettstein, opération : retiré deux éclats d’obus, contre ouverture pour drainage. Demande à ne pas être évacué et à être traité à son ancien cantonnement au Lac Noir. Demande paraissant difficile à accueillir en raison de la durée probable de l’indisponibilité. »
« 2 août 1915. Au Rudlin, Ambulance 3/44. Lt-colonel Messimy (plaie de la cuisse droite en très bonne voie de guérison), état général excellent. » (JMO du Médecin d’Armée Hassler)
La blessure de Messimy n’a pas dû peiner certains artilleurs, puisque Georges Maurice rapporte (in Quand je les observais) :
« [24 juillet 1915] Malgré les demandes pressantes et réitérées de Benoit qui voulait changer de position, le commandement continue à exiger qu’elle reste là comme une cible offerte aux canonniers allemands. Qui donc était à l’origine de cette décision ? On avait fini par le savoir.
Le téléphoniste Casser, en surveillant la ligne qui nous réunit à l’Artillerie Divisionnaire, y avait vu Messimy, ancien ministre de la Guerre et lieutenant-colonel commandant d’une Brigade de Chasseurs. Nous savions déjà qu’il y stationnait à demeure en y faisant la loi. Casser était à portée d’oreille quand un message venu des 155 Rimailho à la Cote 917 annonçait des pertes.
L’oraison funèbre tombait alors de la bouche de Messimy :
- Enfin, l’Artillerie a des morts !
Ainsi, selon lui, tout ce qui tombe sur les Artilleurs est automatiquement déduit de ce qui est prévu pour l’Infanterie.
D’où la mesure logique qui en découle : montrer exprès les canons pour soulager l’Infanterie ! »
Bien cordialement,
Eric Mansuy
Quant à sa blessure :
« 28 juillet 1915. Au Rudlin, le colonel Messimy, atteint de plaie par éclat d’obus à la face externe de la cuisse droite, à huit heures du matin, tenant à conserver son commandement, n’a voulu être évacué que le soir à 9 h. Traité au camp de Wettstein, opération : retiré deux éclats d’obus, contre ouverture pour drainage. Demande à ne pas être évacué et à être traité à son ancien cantonnement au Lac Noir. Demande paraissant difficile à accueillir en raison de la durée probable de l’indisponibilité. »
« 2 août 1915. Au Rudlin, Ambulance 3/44. Lt-colonel Messimy (plaie de la cuisse droite en très bonne voie de guérison), état général excellent. » (JMO du Médecin d’Armée Hassler)
La blessure de Messimy n’a pas dû peiner certains artilleurs, puisque Georges Maurice rapporte (in Quand je les observais) :
« [24 juillet 1915] Malgré les demandes pressantes et réitérées de Benoit qui voulait changer de position, le commandement continue à exiger qu’elle reste là comme une cible offerte aux canonniers allemands. Qui donc était à l’origine de cette décision ? On avait fini par le savoir.
Le téléphoniste Casser, en surveillant la ligne qui nous réunit à l’Artillerie Divisionnaire, y avait vu Messimy, ancien ministre de la Guerre et lieutenant-colonel commandant d’une Brigade de Chasseurs. Nous savions déjà qu’il y stationnait à demeure en y faisant la loi. Casser était à portée d’oreille quand un message venu des 155 Rimailho à la Cote 917 annonçait des pertes.
L’oraison funèbre tombait alors de la bouche de Messimy :
- Enfin, l’Artillerie a des morts !
Ainsi, selon lui, tout ce qui tombe sur les Artilleurs est automatiquement déduit de ce qui est prévu pour l’Infanterie.
D’où la mesure logique qui en découle : montrer exprès les canons pour soulager l’Infanterie ! »
Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
- garnier jean pierre
- Messages : 683
- Inscription : lun. sept. 05, 2005 2:00 am
Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonjour à tous
Messimy reçu une seconde blessure le 4 septembre 1916 (bois des Riez-Somme)
Eclat d'obus à la face.
Au Linge ou les préparations d'artillerie furent insuffisantes et imprécises , les deux compagnies de chasseurs sont fauchés.
Messimy arrêtera tout son monde .
L'attaque est ratée et le commandement revient à des conceptions plus saines.
Adolphe surveillera la ligne de feu avec un artilleur de liaison en permanence à ses trousses.
Quand la 3e brigade sera relevée elle comprendra 20 hommes par compagnies...
" L'affaire" du linge, pour laquelle il n'était pas responsable lui coutera son élection à la fin de la guerre, ses adversaires politiques ayant fait circuler des "racontars" à son sujet alors que manifestement il prenait soin de ses chasseurs. (mais peut-être pas assez des artiflots)
Il ne fera pas partie de la chambre bleu horizon de 1919.
Faire la guerre vous expose en politique...
Cordialement
JP
Messimy reçu une seconde blessure le 4 septembre 1916 (bois des Riez-Somme)
Eclat d'obus à la face.
Au Linge ou les préparations d'artillerie furent insuffisantes et imprécises , les deux compagnies de chasseurs sont fauchés.
Messimy arrêtera tout son monde .
L'attaque est ratée et le commandement revient à des conceptions plus saines.
Adolphe surveillera la ligne de feu avec un artilleur de liaison en permanence à ses trousses.
Quand la 3e brigade sera relevée elle comprendra 20 hommes par compagnies...
" L'affaire" du linge, pour laquelle il n'était pas responsable lui coutera son élection à la fin de la guerre, ses adversaires politiques ayant fait circuler des "racontars" à son sujet alors que manifestement il prenait soin de ses chasseurs. (mais peut-être pas assez des artiflots)
Il ne fera pas partie de la chambre bleu horizon de 1919.
Faire la guerre vous expose en politique...
Cordialement
JP
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- Inscription : jeu. mai 31, 2007 2:00 am
Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonjour,
Et je crois qu'il fut le brillant ministre, pourvoyeur d'informations à l'infâme sénateur Gervais pour sa diatribe dans le journal "Le Matin", transformant en boucs émissaires les troupes du midi pour masquer l'incompétence des Généraux les 20 et 21 août 14 à Dieuze!
Cordialement,
JM CHARDES
Et je crois qu'il fut le brillant ministre, pourvoyeur d'informations à l'infâme sénateur Gervais pour sa diatribe dans le journal "Le Matin", transformant en boucs émissaires les troupes du midi pour masquer l'incompétence des Généraux les 20 et 21 août 14 à Dieuze!
Cordialement,
JM CHARDES
- garnier jean pierre
- Messages : 683
- Inscription : lun. sept. 05, 2005 2:00 am
Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonjour
Il serait intéressant de connaître ( la source) le pourvoyeur d'informations au journal le matin le 24 Août 1914.
Adolphe se dit certain que l'article fut inspiré par Ebener, dont l'intansigeant patriotisme alsacien n'admettait et ne tolérait aucune faiblesse.
Messimy déclare toutefois que des chercheurs malveillants, en fouillant les archives du GCG, trouveraient à coup sûr, les documents peu élogieux pour la tenue au feu de certaines troupes du 15e corps.
Il en a sous les yeux d'indubitables qu'il ne mentionne pas.
Mais la vérité oblige à dire que d'autres grandes unités, originaires d'autres régions de France, ne tinrent pas mieux dans les premières rencontres.
Par ailleurs, il stigmatise les principes militaires de 1914 qu'il juge héroiques, désuets et absurdes.
Doivent être intéressantes les archives du GCG, notamment en 1914.
Cordialement
JP
Il serait intéressant de connaître ( la source) le pourvoyeur d'informations au journal le matin le 24 Août 1914.
Adolphe se dit certain que l'article fut inspiré par Ebener, dont l'intansigeant patriotisme alsacien n'admettait et ne tolérait aucune faiblesse.
Messimy déclare toutefois que des chercheurs malveillants, en fouillant les archives du GCG, trouveraient à coup sûr, les documents peu élogieux pour la tenue au feu de certaines troupes du 15e corps.
Il en a sous les yeux d'indubitables qu'il ne mentionne pas.
Mais la vérité oblige à dire que d'autres grandes unités, originaires d'autres régions de France, ne tinrent pas mieux dans les premières rencontres.
Par ailleurs, il stigmatise les principes militaires de 1914 qu'il juge héroiques, désuets et absurdes.
Doivent être intéressantes les archives du GCG, notamment en 1914.
Cordialement
JP
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Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonjour
Piètre ministre, il me semble.
C'est-y pas lui qui n'a pas cru aux observations du général Michel en 1911?
Celui-ci avait prévu une invasion de la France par la Belgique avec les troupes d'active et de réserve allemande.
Messimy prit un général, qui n'avait jamais commandé une grande unité, pour chef d'état major, le général Joffre
croc-5962
Piètre ministre, il me semble.
C'est-y pas lui qui n'a pas cru aux observations du général Michel en 1911?
Celui-ci avait prévu une invasion de la France par la Belgique avec les troupes d'active et de réserve allemande.
Messimy prit un général, qui n'avait jamais commandé une grande unité, pour chef d'état major, le général Joffre
croc-5962
- garnier jean pierre
- Messages : 683
- Inscription : lun. sept. 05, 2005 2:00 am
Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonjour
Messimy prévoit l'invasion de la Belgique, contrairement à Joffre.
Il dépose Michel qui n'a pas pris de disposition pour défendre le camp retranché de Paris et nomme Gallièni ( indépendant de Joffre) , ce qui n'est pas rien dans le cadre de la bataille de la Marne.
Il fait venir les troupes d'afrique du nord (en relation avec Lyautey) qui vont jouer un grand rôle lors de cette bataille.
Joffre essaiera sans succès de les récupérer.
Joffre n'avait pas l'intention de défendre Paris et demande au gouvernement de quitter la capitale. Ce qui fut fait.
Quant à Michel qui avait une théorie concernant la réserve adjointe à l'active (ce qu'ont pratiqué en 14 les Allemands) il n'était pas partisan d'une artillerie lourde ou d'obusiers, le 75 devant pallier à tout.
Contrairement à Messimy, et quelques autres.
Bon, je ne suis l'avocat ni le procureur de personne, les faits sont intéressants, mais je pense qu' il conviendrait quand même pour les intervenants qui le souhaitent, de développer un peu.
L'Histoire n'est pas si lapidaire.
Cordialement
JP
Messimy prévoit l'invasion de la Belgique, contrairement à Joffre.
Il dépose Michel qui n'a pas pris de disposition pour défendre le camp retranché de Paris et nomme Gallièni ( indépendant de Joffre) , ce qui n'est pas rien dans le cadre de la bataille de la Marne.
Il fait venir les troupes d'afrique du nord (en relation avec Lyautey) qui vont jouer un grand rôle lors de cette bataille.
Joffre essaiera sans succès de les récupérer.
Joffre n'avait pas l'intention de défendre Paris et demande au gouvernement de quitter la capitale. Ce qui fut fait.
Quant à Michel qui avait une théorie concernant la réserve adjointe à l'active (ce qu'ont pratiqué en 14 les Allemands) il n'était pas partisan d'une artillerie lourde ou d'obusiers, le 75 devant pallier à tout.
Contrairement à Messimy, et quelques autres.
Bon, je ne suis l'avocat ni le procureur de personne, les faits sont intéressants, mais je pense qu' il conviendrait quand même pour les intervenants qui le souhaitent, de développer un peu.
L'Histoire n'est pas si lapidaire.
Cordialement
JP
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- Eric Mansuy
- Messages : 4290
- Inscription : mer. oct. 27, 2004 2:00 am
Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonjour à tous,
Au cas où, une petite (re)lecture des pages 48 à 55 du n°21 (août - septembre 2004) du magazine 14-18, ça peut aussi être intéressant.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
Au cas où, une petite (re)lecture des pages 48 à 55 du n°21 (août - septembre 2004) du magazine 14-18, ça peut aussi être intéressant.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
- garnier jean pierre
- Messages : 683
- Inscription : lun. sept. 05, 2005 2:00 am
Re: MESSIMY Adolphe, Marie
Bonjour
Article très intéressant avec la synthèse de l'ancien chef de la division études et documentation du SHAT.
Confirmation, entre autre, des prises de décision de Messimy.
Quelqu'un sait-il comment retrouver un article dans 14/18 magazine ?
(à part les consulter individuellement).
Cordialement
JP
Article très intéressant avec la synthèse de l'ancien chef de la division études et documentation du SHAT.
Confirmation, entre autre, des prises de décision de Messimy.
Quelqu'un sait-il comment retrouver un article dans 14/18 magazine ?
(à part les consulter individuellement).
Cordialement
JP
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