Re: "Lettres à Léa 1914-1919"
Publié : jeu. oct. 28, 2010 2:32 pm
Bonjour à tous,
"La correspondance d'Albert Viard, officier d'artillerie précipité au front en Alsace en juillet 1914. Il fit toute la guerre et fut de toutes les batailles, le Nord, la Marne, Verdun. Durant ces années il écrit à sa femme Léa et à sa fille Jeanne. Dans ces lettres transparaissent son héroïsme, sa foi chrétienne et son amour conjugal sans faille"
Sur le site "Le choix des libraires", on peut lire : "Ces lettres commencent en juillet 1914, au moment de la mobilisation. Albert, officier d'artillerie, batterie de 75, est précipité au front en Alsace, où la guerre commence immédiatement. Il a 27 ans. Il est marié à Léa depuis trois ans. Ils ont une petite fille Jeanne. Sa bravoure, son héroïsme même, furent constants, ses lettres et ses décorations en témoignent. Sa foi chrétienne est également sans faille. Son amour conjugal tout autant, malgré la privation et les tentations. La France, Dieu, sa famille : ses trois passions. Ce qui est beau dans ce livre, outre une écriture soignée, c'est l'histoire d'amour qui le traverse.
Albert Viard, né le 28 mai 1887, est décédé le 15 novembre 1964. À l'origine menuisier dans les Vosges, il fit toute la guerre de 1914-1918, restant après guerre dans l'armée. Artilleur, médaillé militaire, sous officier puis officier, il fut de toutes les batailles, le Nord, la Marne, Verdun."
Quatrième : «Ma chère petite femme, Je t'écris rapidement ces quelques lignes avant de m'allonger sur mon lit. [...] Je crois qu'en ce moment, il est inutile de se faire des illusions et que c'est bien la guerre. [...]
Ton petit homme qui t'aime de tout son coeur.»
Voici le recueil authentique des lettres d'Albert à Léa, retrouvées récemment lors d'une succession. Elles commencent le premier jour de la guerre, en 1914 : Albert quitte ses Vosges natales, et sa jeune épouse, pour partir avec son régiment en Alsace. Elles finissent bien après l'armistice, en 1919, Albert devant attendre jusque-là son ordre de démobilisation. La guerre s'y trouve donc en entier : des premiers jours, quasi festifs, du trouble des premiers morts, à la Marne, le Nord, Verdun.
Au-delà de leur intérêt historique, c'est encore la simplicité et la beauté de ces lettres qui nous touchent.
Un livre de mémoire et de tendresse."
Vient de paraître aux éditions vauclusiennes de l'Aube, 18 € : http://www.laprocure.com/livres/albert- ... 00812.html
Bonne journée,
Jérôme
"La correspondance d'Albert Viard, officier d'artillerie précipité au front en Alsace en juillet 1914. Il fit toute la guerre et fut de toutes les batailles, le Nord, la Marne, Verdun. Durant ces années il écrit à sa femme Léa et à sa fille Jeanne. Dans ces lettres transparaissent son héroïsme, sa foi chrétienne et son amour conjugal sans faille"
Sur le site "Le choix des libraires", on peut lire : "Ces lettres commencent en juillet 1914, au moment de la mobilisation. Albert, officier d'artillerie, batterie de 75, est précipité au front en Alsace, où la guerre commence immédiatement. Il a 27 ans. Il est marié à Léa depuis trois ans. Ils ont une petite fille Jeanne. Sa bravoure, son héroïsme même, furent constants, ses lettres et ses décorations en témoignent. Sa foi chrétienne est également sans faille. Son amour conjugal tout autant, malgré la privation et les tentations. La France, Dieu, sa famille : ses trois passions. Ce qui est beau dans ce livre, outre une écriture soignée, c'est l'histoire d'amour qui le traverse.
Albert Viard, né le 28 mai 1887, est décédé le 15 novembre 1964. À l'origine menuisier dans les Vosges, il fit toute la guerre de 1914-1918, restant après guerre dans l'armée. Artilleur, médaillé militaire, sous officier puis officier, il fut de toutes les batailles, le Nord, la Marne, Verdun."
Quatrième : «Ma chère petite femme, Je t'écris rapidement ces quelques lignes avant de m'allonger sur mon lit. [...] Je crois qu'en ce moment, il est inutile de se faire des illusions et que c'est bien la guerre. [...]
Ton petit homme qui t'aime de tout son coeur.»
Voici le recueil authentique des lettres d'Albert à Léa, retrouvées récemment lors d'une succession. Elles commencent le premier jour de la guerre, en 1914 : Albert quitte ses Vosges natales, et sa jeune épouse, pour partir avec son régiment en Alsace. Elles finissent bien après l'armistice, en 1919, Albert devant attendre jusque-là son ordre de démobilisation. La guerre s'y trouve donc en entier : des premiers jours, quasi festifs, du trouble des premiers morts, à la Marne, le Nord, Verdun.
Au-delà de leur intérêt historique, c'est encore la simplicité et la beauté de ces lettres qui nous touchent.
Un livre de mémoire et de tendresse."
Vient de paraître aux éditions vauclusiennes de l'Aube, 18 € : http://www.laprocure.com/livres/albert- ... 00812.html
Bonne journée,
Jérôme