Page 1 sur 1
Re: Journal d'un simple soldat
Publié : jeu. janv. 17, 2008 11:06 pm
par bm thiry
Bonsoir à tous,
Je viens de dénicher
Journal d'un simple soldat
guerre captivité
1914-1915
de Gaston RIOU
dans la collection "Mémoires et récits de guerre"
édition de 1916, édition d'origine je pense...
Préface de Edouart Herriot dessins de Jean Hélés
Je n'ai pas encore lu cet ouvrage,
mais il est du type "journal d'un témoin" (avec dates) concacré à la captivité.
Connaissez-vous cet ouvrage?
qu'en avez-vous pensé?
Je suis étonné que Jean-Norton Cru l'ai pas référencé,
Est-ce parce-que c'est justement un témoignage de captivité donc hors des zones de combats?
savez-vous pourquoi JN-C ne l'a pas référencé?
Merci de votre précieuse collaboration
cordialement
Bertrand
Re: Journal d'un simple soldat
Publié : dim. janv. 20, 2008 1:52 am
par cawete
Bonsoir
Peut-être parce que Gaston Riou a été fait prisonnier dès septembre 14 et que Norton-Cru s'est peu intéressé aux récits de prisonniers ?
A voir
Bon dimanche
josé
Re: Journal d'un simple soldat
Publié : dim. janv. 20, 2008 10:30 am
par dominique rhety
Bonjour,
Peut-être parce que Gaston Riou a été fait prisonnier dès septembre 14 et que Norton-Cru s'est peu intéressé aux récits de prisonniers ?
Il les avait même carrément exclus de son corpus, cf.
Témoins, Introduction générale page 10 :
" 5° Considérer tous les récits de combattants en donnant au mot combattant une signification différente de celle des lexicographes mais conforme à la pratique de la guerre de 1914-1918 : tout homme qui fait partie des troupes combattantes ou qui vit avec elles sous le feu, aux tranchées et au cantonnement, à 1'ambulance du front, aux petits états-majors : l'aumônier, le médecin, le conducteur d'auto sanitaire, sont des combattants;
le soldat prisonnier n'est pas un combattant, le général commandant le corps d'armée non plus, ni tout le personnel du GQG. La guerre elle-même a imposé cette définition fondée sur l'exposition au danger et non plus sur le port des armes qui ne signifie plus rien. Les médecins de bataillon n'avaient pas d'armes, les officiers de troupe n'étaient souvent armés que d'une canne; vivant au feu ils étaient combattants, tandis que les officiers de la 83e division territoriale (maintenue à Paris pendant toute la guerre) n'étaient pas combattants en dépit de leur sabre et de leur revolver. "
Cordialement .
Re: Journal d'un simple soldat
Publié : lun. janv. 21, 2008 3:32 pm
par garance.
bonjour,
j'ignore si JN Cru a délibérément occulté les récits de prisonniers; je pense plutôt qu'il n'a pu TOUT lire :
sommes-nous sûrs que "Témoins" critique l'intégralité des bouquins parus à l'époque ou simplement les bouquins connus de lui ?
Ce n'est pas tout à fait la même chose !
cordialement.
Re: Journal d'un simple soldat
Publié : lun. janv. 21, 2008 5:54 pm
par bm thiry
Bonsoir,
Je ne pense pas que JN-Cru ait oublié cet ouvrage publié dans la collection très connue "Mémoires et récits de guerre"
Où à chaque fin d'ouvrage des publicités sont toujours insérées.
Aurait-il du dresser la liste des ouvrages non traités?
Cordialement
Bertrand